Les Jeunes Aficionados du Sud-Ouest ont représenté la jeunesse taurine française aujourd’hui à Las Ventas, à l’occasion de la première édition du Premio Internacional al Joven por la Tauromaquia « José Gómez Ortega ».
Nous sommes honorés de recevoir ce prix et de porter la voix d’une jeunesse qui aspire à renforcer les liens avec les associations et organismes espagnols engagés dans la défense du toro et de l’intégrité de la culture taurine.
L’avenir de cette culture ne se limite pas à nos frontières. Sa solidité et son union doivent également se construire avec le peuple taurin espagnol.
Un grand merci à l’ACT Chenel y Oro pour leur accueil et pour nous avoir remis ce prix, qui récompense tous les jeunes Français passionnés et animés par cet art que nous chérissons tant.
Le 107è Congrès de la Fédération des Sociétés taurines de France s’est tenu ce samedi 14 Décembre sous la halle de Rieumes. Monsieur Thierry Chantran, 1er adjoint de la mairie de Rieumes nous a souhaité la bienvenue. 60 personnes venues du sud-est et du sud-ouest étaient présentes pour la dernière de Dominique Valmary en tant que Président. Après avoir exposé son bilan moral, Bernard Desvignes a déroulé sur le bilan financier.
Le prix Tio Pepe de la fédération a été attribué à Michel Volle . Pour le prix Popelin, le Fédération a sélectionné Clemente.
Le bureau démissionnant , un nouveau a été élu avec Benoit PINCE comme président avec 16 membres composant son conseil d’administration. A noter une entrée de nombreux jeunes auprès de Benoit.
Après le repas servi sous la halle, le colloque s’est poursuivi avec pour thème: « Autour du toro, acteur majeur de la corrida »avec un animateur de qualité Fabrice Torrito, ancien mayoral des Albaserradas de la finca de la Mirandilla. Débat enrichi par les échanges entre le public et l’homme de coeur qu’est Fabrice. A la fin du congrès, Dominique Valmary lui a remis le maillot du Stade Toulousain, Car Fabrice aime les toros et aussi le rugby.
C’est avec beaucoup de tristesse que nous venons d’apprendre le décès de Brigitte Calvet présidente de la peña Fiesta Brava de Seissan dans le Gers. C’était l’âme du club, elle ficelait tout de A à Z pour l’organisation de la novillada de septembre.
A sa famille, ses amis, aux membres de la peña Fiesta Brava nos plus sincères condoléances.
Alberto Lamelas a choisi Raul Galindo comme nouvel apoderado. Galindo, ancien matador de toro retiré, est bien connu en France où il a laissé de belles traces dans le sud-ouest notamment. C’est dans cette région que Lamelas a le public le plus fidèle à Vic-Fézensac, Mon,t-de-Marsan ou Orthez. Ila égalemenyt été vu avec succès à Saint Martin de Crau, Teruel, Riscle. Alberto spécialite des sorridas dures comme Saltillo ou Dolrés Aguirre. Il est le héros d’un beau documentaire « Hacia la luz » réalisé par Claude Péant et François Forget.
Villaseca de la Sagra (Toledo), dimanche 8 . Festival sans picadors au bnéfice des victimes de la DANA Plus de 2/3 d’entrée.
Novillos, par ordre de lidia La Olivilla, Toros de San Román, La Buitrera, Mariano de León, San Isidro, ; José Cruz, Juan Carlos García Rivera, et Conde de Mayalde, bravo. Le troisième Nicotina, numero 7, tostado chorreado, né en 06/22, de La Buitrera, vuelta al ruedo; comme le 8ème Conde de Mayalde, « Entrador » n° 58, castaño salpicado, bragado y meano, né en 01/23.
Esaú Fernández, ovation et saluts;
Cristian Escribano, ovation et saluts,
Álvaro Lorenzo, deux oreilles;
Francisco Montero, deux oreilles après avis;
García Pulido, oreille après avis;
Sergio Rodríguez, ovation et saluts après avis;
Jorge Molina, palmas après avis
Alberto Seseña oreille.
Villaseca de la Sagra, bien connue pour ses novilladas participe elle aussi au grand élan de solidarité pour les victimes des intempéries de la province de Valence. Le festival sans picadors de cet après midi participait à ce grand mouvement du monde taurin. Huit erales (novillos de deux ans) de huit ganaderias différentes étaient lidiès par sept toreros du second niveau de l’escalafon et un novillero de la province nous étions loin du festival de luxe de Madrid la semaine dernière mais animés par le même esprit.
Le festival a duré plus de trois heures ce qui fait beaucoup surtout pour un spectacle sans picador et il faut bien dire que les faena ont été particulièrement longue selon la mode du temps et parfois particulièrement ennuyeuses.
Esaü Fernandez essayera beaucoup avec un exemplaire du Juli qui bien que qualiteux possédait le pire vice une faiblesse indigente.
Cristian Escribano paraît bien brouillon devant son opposant de San Roman qui à plusieur reprises le prend en défaut. La faena ne montera jamais à un bon niveau malgré quelques détails.
Il faudra attendre le troisième novillo pour voir un animal brave et noble disposant des forces suffisantes pour livrer un combat intéressant. Le salut capotero d’Alvaro Lorenzo montre d’entrée le niveau auquel le jeune torero veut s’élever. Une série de véroniques particulièrement lente mène les deux protagonistes au centre. Montero donne un quite baroque à une main auquel Lorenzo réplique par tafalleras d’une grande lenteur conclue d’une formidable larga. Cette lenteur , la profondeur des passes et leur précision domineront la faena de muleta. L’estocade est d’école portée droit en décomposant les temps.
Que dire de la prestation de Francisco Montero ? Ce torero a, c’est le moins que l’on puisse dire, sa personnalité. On aime ou on n’aime pas et pour ma part je suis mitigé. Ce qui est certain c’est qu’il a porté sur le public de Villaseca. Revenons sur sa prestation. L’entame se fait à puerta gayola, Montero nous avait habitué à utiliser pour ce faire son capote de paseo il il prit son marseillais(la veste chaude de campo) doublé du drapeau valencien . Le novillo n’en a cure et secoue durement l’imprudent. Taléguilla déchirée et boitant bas Montero se relève et poursuit au capote. Par la suite il pose deux paires de banderilles alternant avec son péon. La faena bien dans le style très particulier du chiclanero sera particulièrement longue le premier avis venant le rappeler à l’ordre alors qu’il aimerait poursuivre. Montero se résout à prendre l’épée et conclut d’une série de bernardinas à genoux. Nouveau détail broque la mise à mort sans muleta à cuerpo limpio heureusement l’épée rentre malgré une nouvelle voltereta et elle sera suffisante. Montero est content, le public aussi.
Le San Isidro de Pulido est lui aussi faible d’entrée de jeu . De la faena particulièrement longue nous reteindrons la première série à droite conclue d’une belle trincherilla. La série suivante est liée et templée, le novillo aurait du rythme mais beaucoup trop faible ne tient pas la distance. Pullido donnera de bons détails sans plus.
Le novillo de Sergio Rodriguez paraît noble mais est trop exigeant pour le torero qui se fait souvent accrocher à droite le final à gauche est intéressant.
Jorge Molina se trouve en face d’un animal très faible qui ne lui permet pas de s’exprimer . Ici encore il fera durer des débats stériles d’u n’émergent que quelques passes intéressantes au milieu des scories.
Le novillero de Tolède Alvaro Sesena a la chance de tomber sur un excellent exemplaire du Conde de Mayalde qui sera certainement le meilleur de la soirée, cela valait le coup d’attendre trois heures ! l’érale dispose de toute les qualités pour une bonne faena bravoure noblesse et force et le jeune novillero se retrouvera parfois un peu débordé par son antagoniste. La faena est intéressante mais sans jamais atteindre les niveaux auquel le novillo aurait permis de s’élever. Les séries sont bonne bien dessinées mais l’animal domine souvent en fin de série. Le mise à mort est en deux temps, un mete y saca et une entière et le bilant d’un mouchoir bleu pour le toro me paraît plus justifié que le blanc au torero.
Aujourd’hui, nous avons le plaisir de plonger dans la seconde partie de l’interview captivante de Mathias Sauvaire, alias « Matias » ! .
Préparation lors de la nsp de Maurrin 2024
Nous poursuivons notre exploration avec lui pour découvrir ensemble ses projets passionnants pour la saison 2024 et ses goûts taurins !
Lien vers la première partie de l’interview : https://corridasi.com/2024/12/10/matias-la-passion-de-la-corrida-depuis-lenfance-1er-partie/
Matias et Denis Loré
« – N.C Parlons un peu de l’avenir. Tu as rejoint Denis Loré. Quel sont tes attentes à son égards ?
-Matias : Comme je l’ai évoqué auparavant, j’ai rejoint oui le maestro Denis Loré, mais au sein de la section « El Toreo Nîmes » dirigé par Hervé Galtier ! J’attends d’eux qu’ils m’aident dans ma progression dans le but d’atteindre la novillada con caballos dans un futur proche. Je me retrouve totalement dans les valeurs véhiculées par Hervé et Denis !
NC : Comment perçois tu la temporada 2025 ?
-Matias : pour la saison qui arrive, on espère que je pourrai intégrer un maximum de cartels et montré mon envie au public. Tout cela avec beaucoup de triomphes !!«
Portrait Chinois
– Ton maestro préféré ?
-Matias : Mon maestro a été et restera Manolo Vanegas. Mon père le suivait depuis son époque de novillero piqué. Je faisais partie de sa pena et j’ai donc eu l’occasion de le voir assez régulièrement. C’est un torero qui m’a donné beaucoup d’émotions et qui tout au long de sa carrière a incarné des valeurs et une force mentale et physique qui m’a particulièrement plu !
– L’arène ou tu aimerais passer ton alternative ?
Matias :mes professeurs m’ont toujours appris depuis le début qu’en tauromachie tout se fait un pas après l’autre donc je n’y pense pas encore, on verra au moment voulu.
– Ton pasodoble préférée ?
Matias : J’aime les pasodobles avec un rythme assez lent, j’essaie lors de mes faenas d’adapté le rythme de mes séries et de mes déplacements a celui de la musique. Je dirais « Caridad Del Guadalquivir »
– Cape ou muleta et ta passe préférée ?
Matias :question difficile ! Muleta, car c’est avec elle qu’on coupe les oreilles. Je dirais les bernadinas, c’est un final qui lorsqu’il est bien réalisé permet une fin de faena explosive afin de finir sur une bonne note avant d’allée chercher l’épée. C’est un final que j’aime beaucoup réaliser !
– Description de ton habit de lumière que tu souhaiterais porter ?
Matias :Depuis petit, j’ai toujours aimé les costumes blanco y oro rématé de noir. J’ai eu la chance d’en porter un lors d’une becerrada sans mise à mort en 2023.
– Ton encaste ou ton élevage préféré ?
Matias :Je n’ai pas encore eu l’occasion de tous torée. A ce jour, je dirais le Santa Coloma. J’ai eu l’occasion d’toréer régulièrement, de plus en parallèle de la tauromachie, j’ai réalisé pour mes études un stage à la Ganaderia Turquay et à ce jour depuis 1 an et demi chez François André. J’ai donc l’occasion d’approfondir chaque jour mes connaissances de cette encaste !«
Je tiens à remercier chaleureusement Matias d’avoir pris le temps de répondre à mes questions avec autant de passion et de sincérité. En espérant une magnifique temporada 2025, je vous invite vivement à découvrir ce talentueux novillero dans les arènes qui auront l’opportunité de l’inscrire à leur cartel.
J’ai découvert Matias chez un éleveur, et depuis ce jour, j’ai eu le privilège de le suivre tout au long de cette temporada 2024. Au-delà de ses compétences techniques et de son talent naturel pour la tauromachie, Matias se distingue par une belle personnalité qui le rend aussi captivant dans l’arène qu’en dehors. À travers cette interview en deux parties , nous allons explorer son parcours, ses inspirations et ses aspirations.
« N.C Quels éléments ont suscité ton intérêt pour la corrida et t’ont conduit à commencer en tant que novillero ?
– Matias :Tout commence à l’âge de huit ans lorsque j’ai vu ma première corrida. C’était une corrida équestre au domaine de Méjanes. Avant mon seul contact avec le milieu taurin était des extraits de vidéos que je regardais avec mon père. En sortant des arènes, j’ai dit à mes parents que je voulais être torero, mais « sans chevaux », à pied ! Après trois ans d’attentes et la passion qui persistait, mes parents m’ont inscrit à l’école taurine d’Arles où j’ai commencé mon apprentissage jusqu’à mon début en tant que novillero sans picador, avant de rejoindre tout récemment la section jeune El Toreo Nîmes dirigé par Hervé Galtier et le maestro Denis Loré.
N.C – Nous avons eu l’occasion de se croiser plusieurs fois à la Ganaderia Malabat. Quelle est la raison de venir régulièrement chez eux ?
– Matias : J’ai eu l’occasion de rencontrer cette famille incroyable grâce à Serge Almeras. Ils m’ont donné l’opportunité de toréer leur bétail et offert généreusement un novillo pour leur dernière journée. Je les remercie de tout cœur d’avoir partagé ces moments avec moi !
le novillero lors de sa première novillada à Ales
N.C : Peux-tu décrire ton parcours d’apprentissage avant de te présenter à Alès,ainsi que l’état d’esprit qui t’a permis à te préparer pour faire face au jugement du public ?
– Matias : J’ai fait mes gammes au sein de l’école taurine d’Arles ainsi que ma première épée à la monumental de Gimeaux. En plus de ça, je m’entraînais régulièrement auprès du maestro Denis Loré, car je voulais être vraiment prêt pour ce jour si important. Denis m’a également appris le maniement de l’épée qui était une lacune pour moi, car je suis gaucher et qu’il fallait que je tue de la main droite. Les entraînements ont été très intenses pour ne laisser aucun détail de côté ! Mon état d’esprit était que j’avais toujours rêvé de porter l’habit de lumière donc forcément que l’émotion était au maximum, mais j’ai la chance d’être très bien entourée par mon équipe ainsi que ma famille ce qui m’a permis d’apprécier cette journée et d’arriver le jour J avec l’envie d’exister malgré le stress.
Matias lors de la nsp de Arles
« N.C Quel est ta novillada de cette temporada la plus aboutie ?
– Matias : La novillada la plus aboutie et celle de la Féria d’Arles. J’ai ressenti beaucoup d’émotions et je pense avoir transmis au public, j’ai su profiter à fond de cette matinée et mieux gérer la pression que lors des autres novilladas où je l’avoue, le stress m’avait un peu gagné.
Fin de la première partie de l’interview ( la suite à venir)
Après une très belle temporada 2024, la commission taurine de Dax vient de dévoiler les élevages qui seront présents lors de sa prochaine temporada.
La Feria de Dax aura lieu du 13 au 17 août 2025 et Toros Y Salsa du 12 au 14 septembre 2025.
On peut noter avec intérêt la présentation en France de la Ganadéria El Freixo, appartenant au célèbre maestro El Juli.bb
La Ganaderia Victorino Martin après six ans d’absence dans le ruedo dacquois
En outre, la saison sera marquée par le retour des renommées Ganaderías telles que Juan Pedro Domecq, Pedraza De Yeltes, Victoriano Del Río, Santiago Domecq, ainsi que la Ganadería Marge, qui ont toutes démontré leur sérieux et leur engagement lors de la temporada deux mille vingt-quatre.
La corrida à cheval se fera avec la Ganaderia Murube et la novillada piquée la Ganaderia Juan Manuel Criado
Les toros de CAMPOS PENA fouleront le sable dacquois pour la corrida portugaise de septembre.
Charles Dayot, maire de Mont de Marsan, et Christophe Andiné, président de la commission taurine extra-municipale viennent d’annoncer les premiers éléments des cartels de la feria 2025 avec les élevages sélectionnés promettent des confrontations inoubliables…
La feria 2024 à peine terminée que la commission taurine extra-municipale (CTEM) et le mandataire des arènes du Plumaçon, Jean-Baptiste Jalabert, étaient déjà à pied d’œuvre pour offrir à l’aficion montoise une grande feria 2025. Alors que les cartels avec les grands toreros du moment sont encore en phase d’affinage, l’équipe est rentrée du campo avec beaucoup de satisfaction. Ce voyage a permis de confirmer les élevages qui feront le cœur de cette prochaine feria. Une sélection, fruit d’un travail rigoureux, basé sur l’observation, l’écoute, et surtout la passion, pour offrir aux aficionados du Plumaçon des moments de grande intensité.
« Notre objectif était de trouver un équilibre entre élevages reconnus torista et torerista, dans le respect de la philosophie du Plumaçon, pour satisfaire la demande de l’ensemble des aficionados tout en tenant compte de l’actualité taurine» explique Christophe Andiné, président de la commission taurine extra-municipale.
Le retour de deux ganaderías légendaires : Fuente Ymbro et Escolar Gil
Ces deux ganaderías ont marqué à jamais l’histoire des corridas montoises. Renommée pour ses toros athlétiques, braves et encastés, Fuente Ymbro reviendra pour la 8e fois dans la feria montoise, porteur de l’espoir d’un nouvel après-midi riche en émotions. Quant aux Escolar Gil, ils incarnent l’esprit du toro Albaserrada, avec des bêtes puissantes et imprévisibles qui demandent des toreros déterminés, au courage sans faille. Régulièrement programmée dans les arènes de Madrid, cette ganadería attire un public averti en quête d’émotions.
Victorino Martín : le toro mythique
Après cinq années de silence, la dernière feria a marqué le retour de ce grand élevage avec un spectacle à la hauteur de sa réputation. Un retour qui a rappelé que le toro de Victorino porte en lui une part de mystère et de défi, imposant une tension dans l’arène. En 2025, l’élevage mythique viendra poursuivre son histoire avec Mont de Marsan.
El Parralejo : l’émergence d’une nouvelle référence
En 2024, ce fer a marqué les esprits lors de sa présentation en novillada piquée. Après avoir prouvé son potentiel, El Parralejo sera présenté en corrida de toros, une évolution naturelle pour cette ganadería qui s’affirme comme l’une des plus prometteuses de la nouvelle génération.
Santiago Domecq : fleuron de la tauromachie actuelle
Depuis plusieurs temporadas, la ganadería rayonne par la qualité exceptionnelle de ses toros et s’impose comme l’une des plus respectées et recherchées du moment. Une demande si forte qu’il a souvent été complexe de pouvoir composer un lot conforme aux exigences de la feria montoise. Mais c’est aujourd’hui chose faite avec un lot qui suscite tous les espoirs et les attentes du public.
Les novillos de Philippe Cuillé : une promesse de bravoure
Après une présentation remarquable en 2023, les novillos de Cuillé seront à nouveau présents au Plumaçon, avec l’espoir de renouveler la même magie qui a séduit le public l’année passée. Leur force, leur vivacité et leur noblesse sont des qualités qui assurent des confrontations spectaculaires.
Plus d’infos :
Ouverture des abonnements à partir du 10 mars 2025 à la Régie des Fêtes et Animations.
479 av. du Mal Foch 40000 Mont de Marsan | 05 58 75 39 08