Le jury des Prix Puerta del Príncipe qui sont offerts par El Corte Inglés a donné la liste de ses prix.
Morante de la Puebla a obtenu le prix Vicente Zabala’ meilleure faena et le prix ‘Curro Romero’ meilleur toreo de capote.
David de Miranda Prix Juan Antonio Ruiz Espartaco’, seul a sortir par la Puerta del Príncipe. triomphateur de la féria, seul torero sorti par la porte du prince.
Meilleure estocade pour Pepe Moral.
Meilleure ganadería Juan Pedro Domecq.
Juan Sierra et Tito Sandoval meilleur subalterne et meilleur picador
Mention à la Junta de Andalucía pour son appui à la retransmission télévisée de le féria.
Desertio le prix au meilleur rejoneador.
« Profesor » dans les mains d’El Fandi.Photo JY Blouin
L’IIlustre Colegio Oficial de Veterinarios de Sevilla choisi ‘Profesor‘, de la ganadería de Alcurrucén, como meilleur toro de la Feria de Abril de Sevilla 2025.‘Profesor’,colorao bragado, né en octobre 2020, herrado dul numéro 101 y de 535 kilos de peso, lidié en quatrième par David Fandila ‘El Fandi le 30 avril.
Dix neuf ans que la plaza de toros de Jerez de la Frontera n’avait pas vu une novillada piquée et, divine surprise ; cette année non seulement ils seront quatre novilleros à toréer mais deux d’entre eux sont des enfants de Jerez. La « Juventud Taurina de Jerez » les recevait hier soir pour permettre aux jeunes aficionados de mieux connaître le deux jeunes toreros.
Contrairement à bien souvent les têtes grises se comptaient sur les doigts de la main et c’est un public très jeune et attentif qui garnissait la salle. On ne présente plus Javier Peregrino jeune ingénieur torero comme il se plaît à le rappeler qui mène de front sa carrière professionnelle et sont entraînement de torero au long de journées bien chargées. Il se définit lui même comme un torero classique, toréant et avec sincérité. On avait pu apprécier cette tauromachie lors du circuit andalou de novillada piquées l’an dernier, dont il avait atteint les phases finales.
Ignacio Candelas est plus jeune et plein d’espoir il a intégré le circuit de la fondation toro de lidia cette année indultant un novillo de Bohorquez ce qui, pour d’obscures méthodes de calcul des points ne lui a pas permis de poursuivre la compétition pour un demi point. Gageons qu’il fera tout pour prouver sa valeur samedi prochain.
Les deux novilleros étaient cette semaine à la ganaderia de la Palmosilla qui fournira les huit protagonistes de la novillada. La Palmosilla est dans un très bon moment et gage de bravoure et de noblesse.
Rappelons pour terminer le dates du premier spectacle taurin de la Feria del Caballo 2025 samedi 17 mai à 19 heures novillo de la Palmosilla pour Peregrino, Javier Zulueta, Martin Morilla et Ignacio Candelas qui feront leur premier paseo dans les arènes de la calle Circo.
Ce soir, tout Séville toréait dans la rue et jusque dans les casitas de la féria : La porte du Prince s’était enfin ouverte et pas pour une des figuras en tête de l’escalafon, mais un sans grade qui a quand même connu 25 contrats en 2024, mais dont on ne parlait que dans les cercles informés.
CAYETANO , silence et applaudissements.
• ROCA Rey, silence et applaudissements.
• DAVID DE MIRANDA , oreille avec forte demande pour la deuxième et les deux oreilles.
Pourtant le lot de toros d’El Parralejo, du moins à la sortie des deux premiers, n’incitait pas à l’optimisme : d’une faiblesse insigne (le premier aurait du être changé, mais la présidence n’a pas su voir avant les banderilles qu’il était quasi intoréable en raison de ses multiples chutes). Cela s’est un peu amélioré ensuite, mais certainement pas pour le 4 et le 5 : Ni Cayetano pour ses adieux à Séville, ni Roca Rey n’ont bénéficié d’un sorteo un peu favorable.
Ce fut la chance de David de Miranda de tomber sur les deux seuls qui pouvaient être toréés mais son talent fut aussi de ne pas laisser passer cette chance.
Il s’était déjà signalé par un quite au premier toro de Roca Rey, en gaoneras, mais en repliant la cape derrière son dos et en citant à cuerpo limpio avant de la déployer pour canaliser l’embestida.
Inspirado, le 3 ème, un castano au frontal clair sort avec alegria et est le premier à répondre aux cites des banderilleros. Intelligemment, De Miranda le fait peu piquer et entame sa faena au centre, ce qui commence à être rare, par des naturelles. Le toro n’est pas très fort, avec une faiblesse du train arrière, mais il a du jus et rentre bien dans la muleta.
C’est une arrucina qui déclenchera la musique après 4 séries bien faites dont des naturelles de face à pieds joints. Une nouvelle série à droite sera très applaudie et suivie par un ensemble de Bernadinas de haut niveau en changeant le voyage du toro. S’ajoute à cette belle œuvre une épée dans le haut et foudroyante et le palco accorde la première oreille subissant une bronca pour ne pas avoir accordé la seconde.
Hojalatero qui sort en 6 ème position sera le meilleur du lot : il sera reçu au centre encore une fois par véroniques et peu piqué. Après les statuaires superbes qui entament la faena, rématées par passe du mépris et trincherilla la musique joue. L’embestida du toro reste vive et bien exploitée par David de Miranda en droitières sur 360 degrés à mi-hauteur :
il conserve tout son jus dans les séries suivantes. Une nouvelle arrucina conclut la série à droite suivante et dans les naturelles s’inscrit ce que j’appellerai, faute de connaitre son nom éventuel, une arrucina de la gauche que je n’avais jamais vue ! Suivent à nouveau des derechazos en rond et le taureau charge toujours ! L’estocade est entière contraire et foudroyante et la présidence n’hésite pas cette fois à sortir 2 mouchoirs qui ouvrent la Porte du Prince.
Malchanceux, Cayetano qui a touché les plus faibles, mais aussi Roca Rey, n’ont pu avoir que quelques beaux gestes épars. Triste despedida de Séville pour Cayetano qui a toréé un lot impossible avec beaucoup de dignité.
De son côté Roca Rey a montré son savoir-faire, mais à Séville on aime les passes longues qui durent 3 ou 4 secondes et qui sont liées par-dessus le marché (dixit Zocato). Or Roca Rey est plus électrique et enchaîne avec force et rapidité ses muletazos, ce qui peut être très beau à voir mais ne correspond pas forcément au style de la plaza.
Son premier est sorti faiblard et il n’a rien pu faire. A son second, il entend la musique pour des séries liées des olés pour un pendule de la gauche, mais après pinchazo, l’estocade desprendida ne permet aucune récompense.
Grand moment en ce 10 mai à Séville, où les rues étaient pleines de sourires ce soir !
Jean Yves Blouin (texxte et photos ) et Ferdinand de Marchi photo
Une faible corrida d’El Pilar à oublier au plus vite. 5e et 6e renvoyés aux corrals. 1er et 3e rongés par un instinct défensif de mauvais aloi.
Les Urdiales sont restées dignes et inédites face à un 1er qui n’avait pas une passe, et un 4e qui n’en avait guère plus.
Grande clairvoyance de Galván qui démarre le 2e tout en douceur pour amener le toro à se livrer pour lier une faena élégante. Le manque de transmission du toro fera que la forte pétition ne soit pas suffisante et qu’il se contente d’un tour d’honneur.
Le 5e bis de Castillejo de Huebra ne fait pas montre de bonne volonté à la muleta. Galvan s’applique à lui arracher les passes. Pétition minoritaire et nouvelle vuelta al ruedo
Face aux mauvaises manières du 3e, lier deux passes pertinentes de la jauge. Un pari réussi par Hernández avec en particulier des naturelles exposées de grande valeur, au sens français et espagnol (courage) du mot. Une oreille. Avec le 6e bis de Villamarta, pas grand choix à se rappeler malgré l’envie du torero ; le froid avait saisi l’arène et ses spectateurs
Michel NAUDY
Le point de vue de Charles Figini
Tous les lots de toros présentés à Las Ventas sont minutieusement sélectionnés par chaque Ganaderia. Moises FRAILE grand ganadero depuis plus de quarante ans a su avec science et patience fabriquer à partir d’une encaste DOMECQ un toro à la fois spectaculaire et avec une vraie force d’âme. A juste titre il fait partie des élevages toujours choisis par les grandes arènes. Pourtant deux de ces six exemplaires durent être changés le Cinquième pour un défaut de vision évident remplacé par un toro de Castillo de Huebra (même poids et même trapio) et le sixième pour faiblesse par un toro de la ganaderia de Villamarta.
Diego Urdiales : Accueillit Burreñito avec circonspection, le toro c’est vrai se montra vite très distrait et sans force ni violence à la pique. Le comportement de l’adversaire se détériorant très vite Diego n’insista pas. Peut-on dire qu’il laissa tomber ? Au moins il abrégea : Un pinchazo, une estocade et un descabello plus tard il était temps de laisser place aux jeunes !
A son deuxième adversaire Burriño un colorado de cinq ans Diego n’eut point à s’employer davantage, un toro sans la plus petite trace de noblesse, tardo , puis presque totalement arrêté plus quelques rafales de vent lui donnèrent toutes les raisons d’arrêter là un combat jamais commencé.
David Galvan :Son premier adversaire de 4 ans et 575 Kg était magnifiquement présenté, il le reçut avec une série de véroniques templées et parfaitement rythmées. Le toro humiliait et manifestait une vraie bravoure. On retiendra deux séries de naturelles aussi verticales qu’émouvantes. Il manifesta tout le long de sa faena une science approfondie du toro. Il sut profiter de sa relative faiblesse dans les derniers moments pour faire valoir une tauromachie de douceur et de proximité avec l’animal.La mise à mort fut exécutée dans les règles et le toro tarda un peu à mourir (un deuxième avis sonna). Une faena complète appréciée par le public exigeant de Madrid mais pas par la présidence qui ne lui accorda pas l’oreille.
David GALVAN vit arriver un cinquième qui, lui, ne voyait pas ou trop peu et qui fut immédiatement changé pour un sobrero de « Castillo de Huebra » de presque six ans mais avec toutes les qualités du toro noble, il humiliait, « mettait la tête » et le maestro sut en profiter, mais pas très longtemps car Sembrador se décomposa assez vite. Malgré tout David Galvan sut le garder et provoquer la « embestida » du bicho , il sut le toréer de près en fin de faena et donna une estocade en place et efficace qui a conquis le public…Mais pas la présidence. Une vuelta tristounette s’en suivit.
Victor Hernandez : Devant ses deux adversaires s’est montré digne de sa jeune réputation. Certes son premier adversaire le désarma à la sortie de la pique, certes, son second (un sobrero de Villamarta )lui causa pas mal de tracas , mais l’entrega du jeune homme, en même temps que sa technique sut conquérir le cœur des madrilènes. A son premier il opposa une tauromachie profonde et sincère par naturelles absolument pures et sans affèteries. La présidence voulut bien reconnaitre ses mérites et lui accorda une oreille largement plébiscitée par le public. A son second l’échec à la mort lui coutât cette fameuse « puerta grande ». Ne doutons pas du bel avenir de ce jeune homme.
Interview exclusive de Marco Pérez avant son alternative à Nîmes
Lors d’un passage en France, Marco Pérez a voulu découvrir le théâtre de son alternative du vendredi 6 juin. À cette occasion, une interview exclusive avec les arènes de Nîmes et la rencontre avec l’Amphithéâtre romain.
Victorino Martin vous présente sa corrida du lundi 9 juin
Victorino Martin a reçu les arènes de Nîmes chez lui, à la finca Las Tiesas de Santa Maria pour nous faire découvrir les toros sélectionnés pour le solo de Borja Jiménez, le lundi de Pentecôte à 18h. Il nous parle de cette corrida évènement, du torero qui va affronter ses toros et ça donne envie d’y être… Interview exclusive au coeur du campo.
Casas & Co
4 Rue de la Violette, 30000 Nîmes 0891 701 401 (0,225 € TTC/mn) www.arenesdenimes.com
À l’approche de la feria de la Madeleine, qui se tiendra du 16 au 20 juillet prochain, certaines dates sont à ne pas manquer pour conserver vos places ou en obtenir de nouvelles.
Vous avez jusqu’au vendredi 10 mai pour renouveler votre abonnement et conserver vos places habituelles. À partir du 12 mai, les abonnements non renouvelés seront remis à la vente. Plus d’info sur les abonnements 2025
Dès le 19 mai, vous bénéficierez également d’une ouverture anticipée de la billetterie pour l’achat de places supplémentaires. Cette priorité est réservée aux abonnés et aux entreprises.
Le grand public pourra acheter ses places : ● en ligne, à partir du 2 juin sur montdemarsan.fr ● et à la Régie des fêtes, à partir du 17 juin.
David Gutierrez : une oreille et Vuelta avis ( Qualifié) Silence
Clovis Germain. : une oreille Qualifié/ deux oreilles et vuelta
Un lot contrasté sur une piste glissante Le premier novillo affiche un joli trapío et garde la tête haute, sans poser la moindre difficulté. Mais la piste, rendue glissante par une averse récente, ajoute une touche d’incertitude à la lidia. Le second, à la robe negro , convainc et obtient une vuelta méritée. Le troisième, quant à lui, reste sur la retenue, manquant d’initiative. Le quatrième révèle une certaine faiblesse. Pourtant, fidèle à l’adage « No hay quinto malo », le dernier toro se distingue par ses qualités et offre une seconde vuelta.
Romero Aparicio
Le novillero exécute des véroniques avec une élégance .Alexis Ducasse, avec précision, pose une banderille qui attire quelques applaudissements. Les premiers muletazos se dessinent avec douceur et à mi-hauteur, mais les naturelles manquent de profondeur. La musique enveloppe l’arène et intensifie l’émotion. Pourtant, l’avis retentit alors qu’aucune tentative à l’épée n’a été amorcée. Elle est peine à conclure, laissant une impression inachevée.
David Gutierrez Oreille
Le novillero accueille son adversaire avec une larga élégante, captivant immédiatement l’attention du public. Il enchaîne avec une série de véroniques profondes, saluées par des applaudissements enthousiastes. Au centre de la piste, il entame sa faena avec assurance, mettant en valeur un novillo encasté. Les derechazos, lourds et bien posés, impriment leur force sur l’animal. Une série de naturelles, empreintes de temple et de profondeur, suscite l’admiration des spectateurs. Il conclut avec des luquesinas parfaitement exécutées, avant de porter une demi-caida efficace.
Face à son second novillo, il offre une très belle série à la cape, marquant son engagement dès les premières passes. D’un geste solennel, il dédie son combat à son concurrent, avant d’entamer une faena toute en douceur. Malgré son assurance, il se fait prendre à plusieurs reprises, ce qui ajoute une tension palpable dans l’arène. L’épée portée de côté ne scelle pas la récompense.
Clovis Germain
berceau, maîtrisant chaque mouvement. Au centre de la piste, il entame des derechazos profonds, tandis que le comportement du novillo va a más. Il démontre une parfaite maîtrise de l’exigence sur les naturelles, offrant une séquence captivante. Pourtant, un manque de réussite avec un recibir laisse une légère frustration. La seconde tentative, bien que caída, se révèle efficace, et le président accorde l’oreille.
Son second novillo est accueilli avec une larga élégante, montrant un bel engagement. L’animal embiste bien à la cape, et, comme pour le premier, il place les trois paires de banderilles avec assurance. Le public applaudit, sensible à l’engagement du jeune torero. La faena, exécutée avec douceur et précision, met en valeur un novillo qui part de loin. Les derechazos sont portés avec temple, transmettant une belle émotion dans l’arène. Le novillo s’avère être un bon partenaire, et le novillero signe une très belle faena, marquant les esprits.
Texte Nicolas Couffignal et Photos Bertrand Caritey
Clovis Germain a été déclaré vanqueur et aura l’occasion de se produire à Bayonne, Dax, Mont-de-Marsan, Plaisance-du-Gers et Vic-Fezensac.
18h30 – 20h00 → Bandas en live 19h00 → Présentation officielle de l’affiche et des vins de la Feria 2025 20h00 → Lancement de la Feria Off 20h00 – 22h00 → Concert live RICOUNE
22h00 – 1h → Bodega géante sur le parvis des Arènes – DJ
Samedi 3 mai 2025
11h00 → CAPEA « Los Niños Toreros » Avec Hugo, Pablo Perez et le jeune mexicain Santi (GRATUIT)
12h00 – 15h00 → Bandas en live
15h00 – 17h00 → DJ Parvis des Arènes
17h00 → Gala taurin Christian Coll
Novillos de la Ganadería Jalabert
Avec les toreros Carlos Olsina, Christian Parejo, Victor Clauzel et Clovis
18h30 – 01h00 → Bodega géante sur le parvis des Arènes – DJ
San Agustín del Guadalix (Madrid). Samedi 28 avril 2025, soirée. Plaza de Toros Antonio Ronda Ortiz. Deuxième jour de la Feria del Aficionado. Taureaux de Prieto de la Cal (1er, 3e et 5e) et Cuadri (2e, 4e et 6e). Affluence : Complet.
Résultats :
Luis Gerpe : Applaudissements, salut depuis le callejón et silence.
Juan de Castilla : Oreille et silence.
Cristóbal Reyes : Silence et silence.
Détails : L’organisation de 3 Puyazos a annoncé après le défilé que deux taureaux de Prieto de la Cal avaient été abimés après le débarquement et que, par respect pour le travail de l’éleveur et l’intérêt suscité par ces exemplaires, ils seraient tout de même toréés.
Le picador Gabin Réhabi a été ovationné après avoir piqué le premier taureau. Francisco Javier Ortiz a également été applaudi après avoir piqué le sixième.
Se sont démarqués après avoir posé les banderilles sur le quatrième taureau Manuel Gómez et Francisco Javier Tornay, ainsi que Yelco Álvarez et Víctor Pérez sur le sixième.
Le sixième taureau, de l’élevage Celestino Cuadri, nommé Bronceado, marqué du numéro 45, noir de robe et appartenant à la génération du 0, a été récompensé par une vuelta
L’Association des Présidents taurins a décerné les prix suivants :
Meilleur homme de la cuadrilla : partagé entre Joao Pedro et Víctor Pérez.
Meilleur picador : partagé entre Gabin Réhabi (1er toro) et Francisco Javier Ortiz (6e toro).
Écurie de chevaux : Alain Bonijol
Picadors :
A. Peralta et Gabin Réhabi (Cuadrilla : Luis Gerpe)
Héctor Vicente et Teo Caballero (Cuadrilla : Juan de Castilla)
Helder Pires et Francisco Javier Ortiz (Cuadrilla : Cristóbal Reyes)
Texte et photos Philippe Gil Mir
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