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Madrid, le 29 novembre 2021
AprÚs 3 ans de relation professionnelle, leurs chemins se séparent.
Suite Ă une rĂ©union qui sâest tenue hier Ă Madrid, El Rafi et Alberto Garcia ont dĂ©cidĂ© de mettre fin Ă la relation dâapoderamiento qui les unissait depuis 2018.
Chacun considĂšre quâĂ ce moment de sa carriĂšre, le torero a besoin dâune implication pleine et entiĂšre quâAlberto Garcia ne peut lui offrir en raison de ses occupations professionnelles.
Ils se souhaitent le meilleur dans cette nouvelle Ă©tape et maintiennent un relation dâamitiĂ© qui sâest forgĂ©e durant ces 3 derniĂšres annĂ©es.
El Rafi a pris lâalternative cette annĂ©e et a rĂ©alisĂ© des prestations importantes dans des arĂšnes de premiĂšre catĂ©gorie comme Arles, NĂźmes ou BĂ©ziers.
Crédit photo : Muriel Haaz
Aguascalientes, Ags.- Cortijo “San Rafael” Novillada extraordinaire, plein de la capacitĂ© autorisĂ©e par un aprĂšs-midi ensoleillĂ© et frais. Des Novillos de l’Ă©levage Torrecilla de Bonilla , corrects dans leur prĂ©sentation et compliquĂ©s dans leur jeu, sauf le premier qui a montĂ© une belle bravoure.
José Miguel Arellano : Ovation.
José Andrés Origel : Oreille.
Enrique de Ayala : Silence.
Juan del Castillo : Oreille.

ArĂšnes de Cadereyta. DĂ©buts de l’empresa Feria Toro. Plus des trois quarts de l’entrĂ©e, par une agrĂ©able aprĂšs-midi. Taureaux de Boquilla del Carmen (3e, comme sobrero), bien prĂ©sentĂ©s mais ternes dans leur jeu. Le 6Ăšme. il avait un peu plus de mobilitĂ©.
Paco VelĂĄsquez : Vuelta et deux oreilles.
Ernesto Javier “Calita” ( bleu et or) : oreille et oreille.
Sergio Flores (bleu marine et or) : silence aprĂšs avertissement et deux oreilles.

ChocholĂĄ, Yuc.– Plaza “Santa MarĂa”. EntrĂ©e : trois quarts de la capacitĂ© autorisĂ©e, par une aprĂšs-midi chaude et nuageuse.
Novillos de San MartĂn de Porres, bien prĂ©sentĂ©s et avec un bon jeu en gĂ©nĂ©ral, Ă l’exception du 2e, qui Ă©tait compliquĂ©.
Le rejoneador David Cesa : Ovation et ovation.
Jussef HernĂĄndez : Oreille et oreille.

Mexico, dimanche. DeuxiĂšme de la saison. Corrida de rejones. Un tiers d’entrĂ©e (environ 14 mille personnes), par une aprĂšs-midi fraĂźche, avec quelques rafales de vent. Une entrĂ©e remarquable
Toros de La Estancia, bien présentés, avec un jeu varié, Se sont distingués 3Úme. et 4Úme. P
â Jorge HernĂĄndez GĂĄrate, qui a remplacĂ© Andy Cartagena : Vuelta et ovation.
â Emiliano Gamero : Vuelta et silence.
â Fauro Aloi : Vuelta et silence.

â Incidents : Los Forcados Amadores du Mexique ont animĂ©s le ruedo. Avant la
corrida un spectacle Ă©questre qui a durĂ© 25 minutes s’est dĂ©roulĂ©. Et Ă la fin de
la cĂ©lĂ©bration, une minute d’applaudissements a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă la mĂ©moire du
banderillero Beto Preciado MelĂ©ndez et de l’Ă©leveur JosĂ© Roberto
Gómez, décédé lundi dernier.
Guadalajara, Jalisco.- troisiĂšme corrida de la temporada en la Monumental âNuevo Progresoâ. Six toros de Villa Carmela, et un septiĂšme de regalo, de GuanamĂ©, . Vuelta au sixiĂšme
Emilio de Justo, palmas, silence et silence au toro de regalo
Diego Silveti, silence et silence
HĂ©ctor GutiĂ©rrez, qui prenait lâalternative, vuelta al ruedo et deux oreilles,
AprĂšs sa sortie en triomphe , Gutierrez est passĂ© Ă lâinfirmerie pour soigner une cornada avec deux trajectoires Ă la jambe droite. Il a Ă©tĂ© hospitalisĂ© .
Niebla dimanche.
6 novillos de la ganaderĂa de Juan Pedro Domecq, 3Âș vuelta al ruedo
Joselito SĂĄnchez, de la Escuela Taurina de Osuna, deux oreilles et vuelta
Marcos Linares, de la Escuela Taurina de Ăbeda, oreille et vuelta
Diego Bastos, de la Escuela Taurina de Sevilla, oreille et deux oreilles et la queue

Il semblerait qu’aux derniĂšres Ă©lections au Venezuela, des gouverneurs en faveur d’un retour Ă la tauromachie aient Ă©tĂ© Ă©lus. On parle d’une rĂ©ouverture d’arĂšnes -aux dimensions monumentales- ici San Cristobal mais il est question aussi de MĂ©rida, de Tovar et mĂȘme de Maracaibo. Ce sont les gouverneurs Ă©lus qui l’ont promis dans leurs campagnes Ă©lectorales. Ne nous rĂ©jouissons pas trop vite car les promesses n’engagent que ceux qui y croient, mais cela pourrait ĂȘtre une bonne nouvelle dans un pays qui fut le plus taurin de l’AmĂ©rique du sud dans les annĂ©es cinquante avec les frĂšres Gijon vĂ©ritables idoles nationales.