Président Paul Christian Dabadie

Public un quart d’arenes

Musique Al violin

Ganaderia du Vieux Sulauze lot homogène et bien présenté

Température estivale

Andoni Verdejo une oreille

Javier Zulueta deux oreilles prix de la meilleure estocade

Julio Mendes une oreille

Tomas Bastos deux oreilles et vuelta prix de l’Acoso et de la Villa Mirasol prix de Al Natural

A l’issue du paseo, un moment de recueillement a été observé en mémoire de Jean Cazaubon

Récompense et remise des prix à l’issue de la novillada non piquée

Andoni Verdejo, chef de lidia de blanc vêtu, ouvre cette dernière novillada devant un novillo Colorado. Il enchaîne de belle véronique. Javier Zuleuta fait un quite. Andoni répond par une série de demi-véronique. Il brinde le toro à son père. Le toro est légèrement manso et faible. Il entame la faena avec doblones de qualité. Une première série à droite à mi-hauteur. Une série de naturelles lente avec la musique. Il recommence une série de derechazo avec le temple que l’on connaît et un joli changement de main pour finir sur un pécho. La première épée est une atraversada La seconde est entière.

Javier Zulueta

Le second novillo a plus de charge que le précèdent. Il est légèrement manso. Julio Mendes fait un quite. Le novillero fait cette tauromachie moderne. Il n’est pas dans le sitio et il est en retard face à la charge du toro. Très bonne épée entière et il obtient deux oreilles.

Julio Mendes

Julio Mendes
Ce troisième novillo est accueilli à genou à la cape par le novillero. Il domine le novillo et maîtrise bien la cape. Tomas Bastos fait un quite. Le toro est meilleur à droite qu’à gauche. Il réalise une belle série de naturelles. Aux fers il pinche et il met une seconde efficace, ce qui lui permet d’obtenir une oreille.

Quiebro de Tomas Bastos

Tomas Bastos entame ce dernier novillo par de belles véroniques. Andoni Verdejo fait un quite. Son opposant fait des garoneras. C’est le seul novillero à poser des banderilles en finissant sur un joli quiebro. Il commence par des derechazos et finit la série par changement de main dans le dos. Contrairement à ses prédécesseurs il cite de loin le toro. Le concerto de Aranjuez commence. Elle est dans le même tempo que les naturelles du novillero . Il construit une belle faena et fini sur des luquesinas . Une belle épée engagée, bien placée, lui fait obtenir deux oreilles et le palco donne la vuelta pour le très bon novillo.

Texte EC et photographe Nicolas Couffignal

Les prix des critiques taurins du sud-ouest ont été révélés à cette occasion:

Prix Tio Pepe: Baltazar Iban meilleure corrida de Vic Fezensac.

Prix “monosabio” pas attribué

Prix du triomphateur: Sebastien Castella avec un coup de cœur pour Clémente

Meilleur novillero: Garcia Pulido

Mention pour la peña la Mariposa et la commune de Seissan pour l’organisation d’événement taurin

Meilleure novillada sans picador: ganaderia Alma Serena et meilleur novillero sans picador Tomas Bastos