Plaza de toros de La Misericordia, Zaragoza. Mardi. Troisièùe de la Feria de San Jorge 2025. 1/2 entrée. Mano a mano.
Novillos de Montealto,
MARCO PÉREZ, silence après avis, silence après avis et vuelta al ruedo après pétition.
JAVIER ZULUETA, ovation, silence après avis et oreille.
Le picador Pedro Morales Yot, appartenant à la cuadrilla du torero sévillan Javier Zulueta, a dû être examiné à l’infirmerie des arènes Misericordia de Saragosse après avoir été désarçonné par le deuxième taureau de l’après-midi. Après avoir été examinée au centre médical, la docteure María Pilar Val-Carreres Rivera a délivré le rapport médical officiel qui se lit comme suit : « Traumatisme à l’épaule droite avec possible fracture de l’humérus, avec un pronostic réservé. Cela l’empêche de poursuivre le combat, en attendant le diagnostic d’imagerie. »
Vous pouvez, dès maintenant, réserver votre place sur Festik pour notre corrida du samedi 28 juin à 18h.
LA NOUVEAUTÉ DE CETTE ANNÉE : il est désormais possible de réserver votre repas du midi sur ce même lien dans la catégorie « REPAS ».
Cette année, nous renouvelons notre offre « GRADIN NÉOPHYTE » afin que les non-initiés puissent être guidés pendant notre corrida grâce à plusieurs professionnels du monde taurin.
Hier à Aguascalientes (Mexique) le banderillero Edgar Camacho, de Diego Sánchez a reçu une forte blessure à la cuisse droite, touchant la veine fémorale, ce qui a provoqué une hémorragie importante après avoir été attrapé par le quatrième toro de l’après-midi de Corlomé, qui l’a également plaqué contre la barrière.
José Luis Martínez, chirurgien en chef d’Aguascalientes, a décrit l’accident comme « un coup de corne dans la veine fémorale de la cuisse droite, qui affecte le faisceau fémoral droit ». De plus, Edgar souffre également d’un « traumatisme crânien » dû à la violence de l’accident lorsque le taureau l’a secoué dans les airs et l’a coincé contre les planches. Par la suite, le banderillero a été stabilisé à l’infirmerie pour être transféré dans un centre médical, en demandant des donneurs de sang pour transférer le torero d’argent.
Le torero Emilio de Justo a été opéré ce dimanche matin à Plasencia, par le Dr Emilio Sánchez Barrado, d’une blessure interne de 12 centimètres dans la région dorsale de la cuisse gauche, subie hier lors du combat du premier taureau de Jandilla dans les arènes françaises d’Arles. Malgré que l’animal l’ait pris à deux reprises Emilio de Justo, blessé, s’est rétabli et a continué l’après-midi, coupant les deux oreilles du taureau et en sortant en triomphe des arènes d’Arles.
Plaza de toros de Arles. Dernière de la féria. ½ arène.
Toros de Virgen María,
MIGUEL ÁNGEL PERERA, ovation et vuelta al ruedo après deux avis.
PACO UREÑA, palmas et silence.
FERNANDO ADRIÁN, oreille et deux oreilles.
Le meilleur d’une tarde terne par ailleurs est venu à la fin avec le sixième toro : brave et mobile et noble par la suite. Face à lui Fernando Adrian s’est révélé comme un des espoirs les plus solides du moment ; ainsi la féria, de qualité dans l’ensemble, se termine sur une bonne note. La venue des caméras Onetorotv lui aura donné une répercussion bénéfique. Onetorotv qui non seulement sera à Vic-Fézensac pour l’ensemble de la Pentecôte mais aussi à Alés pour la corrida concours.
Sérieux, armé pointu, inégal dans sa présentation cependant, le lot de Virgen Maria aura donné un jeu disparate. Le premier faible se défendait sur place, sans relief le second, blando le troisième, plus complet le quatrième, vite éteint le cinquième causa un batacazo spectaculaire puis s’arrêta, très complet le dernier, brave au cheval puis noble avec de la transmission -grand toro.
Il faut saluer la maestria de Miguel Angel Perrera qui prouva une fois qu’il était dans l’escalafon, un des professionnels les plus sérieux et consciencieux. Il a fait preuve d’officio et d’entrega à ses deux passages, masquant la faiblesse insigne de son premier opposant, construisant une faena qui débuta de loin à genoux pour finir dans les cornes du toro par la suite. Il gâcha à l’épée le triomphe qui lui était alors promis. Ca n’est pas dans ses habitudes et il en était marri…
Peu convaincant, Paco Ureña qui pourtant avait des options à son second toro. Il usa du côté droit le plus amène du quadrupède mais ne connecta pas avec les gradins malgré de bons moments, l’opposant manquant de relief. Malhabile à l’épée, il dut se contenter du silence à ses deux passages. Il lui faut de plus rudes affrontements pour émouvoir.
Fernando Adrian coupa une première oreille cadeau après une faena superficielle sans engament réel et un coup d’épée défectueux (trasero) au troisième voyage mais il montra par la suite qu’il n’était pas venu faire du tourisme. Il profita des qualités du sixième accueilli à genoux au centre de l’ovale camarguais. La faena dominatrice ira à màs menée des deux côtés avec un réel sens de la cadence, sans abuser, se terminant par des circulaires bien conduites et une entière en se mouillant les doigts. Il mit ainsi un point final émouvant à cette belle féria. Un remate à la hauteur de ces journées. Il fallait attendre: le meilleur fut pour la fin.
Ce matin en se second jour de week end pascal, l’arène de Condrette s’ouvre sur un lot bien presenté de la Ganaderia Alma Serena. Une Ganaderia qui offre aux aficionados de l’émotion . Pour Hadrien Lucq, le local de l’étape, cette journée résonne comme un défi à relever sur ses terres. Et pour Clovis, qui vient de triompher la veille.
President : Mathieu Cazalet
Public : une demi arènes
Hadrien Lucq : silence
Clovis Germain : une oreille avis et Avis et silence
Les trois erals, le dernier étant pour le meilleur des deux novilleros. Les deux premiers ont un trapio identique, manso, tandis que le dernier possède un trapio supérieur et est plus encasté.
Hadrien Lucq
Le novillo remate à peine dans les planches, mais il exprime de la noblesse. Le novillero se fait accrocher à la cape, et le quite de Clovis est récompensé par les applaudissements du public. Alexis Ducasse et Julien Merenciano posent une paire de banderilles avec précision. Hadrien tente de maintenir le novillo au centre de la piste, mais il subit une voltereta sur un derechazo. Il parvient néanmoins à exécuter un début de faena dans la querencia du toro. Cependant, le toro prend progressivement l’ascendant psychologique sur le novillero. Lors de l’épreuve du fer, l’engagement, bien que rapide, manque d’être total.
Clovis
La robe noire du novillo remate mieux que la précédente. Le novillero adapte la vitesse de sa cape à la charge du novillo. Des demi-véroniques élégantes sont applaudies par le public. Clovis pose joliment les banderilles. Il débute avec une cambiana et enchaîne avec une série de derechazos pleins de profondeur. Clovis domine le novillo avec maîtrise. Les naturelles sont plus complexes, mais réalisées avec profondeur. Il a du mal à fixer l’animal, sachant que ce dernier perd en intensité. L’épée est engagée, mais légèrement en arrière.
Le dernier novillo présente un trapio supérieur à celui des précédents. Clovis l’accueille par deux largas. Le novillo embiste avec vigueur, montrant plus d’encaste et chargeant de loin, mieux que les précédents. Clovis réalise un quite carlésien audacieux qui attire l’attention du public. La faena progresse et prend de l’ampleur au centre. La série de naturelles est correcte. L’exigence de la présidence fait retentir la musique. La faena s’étire un peu en longueur. La série de manoletinas est applaudie par le public. Lors de la mise à mort, deux a traversada sont exécutées.
Metéo : Pluie vent et fraicheur; paseo retardé de 30 minutes pour débâchage de la piste. Entrée réduite.
Roman : silence et deux avis, silence
Christian Parejo : une oreille et deux oreilles
Solalito : salut et silence
Les organisateurs méritent des félicitations pour avoir sélectionné un lot avec une belle présentation, mettant en valeur des toros au physique irréprochable. Cependant, le comportement dans l’arène laisse à désirer.L’ensemble du lot s’est montré decasté, manquant de la vivacité et de la puissance attendues. Quelques-uns ont tout de même réussi à exprimer une certaine noblesse, offrant des moments appréciables. Malheureusement, le manque de bravoure a globalement marqué cette présentation, laissant un goût d’inachevé chez les spectateurs.
Roman
Dans l’arène, le toro est sur la retenue. Il part directement au cheval, sans intervention de la cuadrilla. Une série de doblones se déroule sous les applaudissements du public. Aucune mise en suerte n’est effectuée lors des deux dernieres pique La charge se révèle franche. Le toro a tendance à se diriger vers les planches. Les premières naturelles se montrent compliquées, alors que le public réclame l’estocade plusieurs pinchazos interviennent avant le coup fatal, le bajonazo, avis.
Ce quatrième toro présente le même comportement que les précédents. Lors des deux rencontres avec le cheval, le public crie contre le picador, exprimant son mécontentement. Roman entame par une série de derechazos avec application, et quelques applaudissements se font entendre en témoignage de son habileté. Les naturelles sont exécutées avec soin et profondeur, illustrant ainsi la technicité du torero mais sans alegria . Enfin, deux tentatives sont nécessaires, sans que le coup fatal soit véritablement dans l’esprit, marquant l’incertitude de l’issue dans cette épreuve.
Christian Parejo
Il accueille son premier toro avec alegría à la cape. Il reçoit une seule pique. Le matador réalise une belle série à la cape, captivant le public dès les premières passes. En plein centre, il cite de loin le toro qui charge avec détermination. Il a un bon sitio, et la série de naturelles transmet une belle émotion. La musique résonne, le président ayant judicieusement attendu avant de la lancer. Les derechazos suivants se déroulent près des planches. Mathieu Guillon intervient brillamment. Christian Parejo termine avec quatre manoletinas et conclut par une épée entière et efficace.
Le cinquième toro remate dans les planches. Christian Parejo réalise de jolies véroniques et le met correctement en suerte, recevant une seule pique. Mathieu Guillon est applaudi pour sa pose de banderilles. Le torero, appliqué dans ses faenas, fait vibrer le public avec puesto et alegría. L’émotion dans la faena de Christian Parejo est sincère, contrairement à Roman, il reussit à garder le toro dans le vuelo. Enfin, l’épée est exécutée de manière parfaite.
Solalito
Solalito accueille avec élégance, à la cape, un toro réfléchi, captivant les regards dès l’entrée en piste. Cependant, aucune mise en suerte n’est observée, bien que la charge se révèle franche. Le toro, manso, semble davantage participer à des rencontres qu’à un véritable tercio de pique. La série à droite se montre compliquée, mais Solalito parvient à offrir une série de naturelles exécutées avec douceur, lesquelles transmettent une émotion palpable au public. Dans un moment de tension, le torero se fait prendre violemment, laissant l’arène dans l’angoisse. Pourtant, il revient avec détermination sous les applaudissements chaleureux des spectateurs. La mise à mort complexe, met en lumière les difficultés de fixer le toro. Solalito tente à trois reprises avant de parvenir à conclure, suscitant avis et réflexions quant à sa prestation.
Solalito débute ensuite avec une série à la cape agréable, captivant l’attention du public par sa maîtrise. La première charge au cheval est marquée par une bravoure certaine, et dans un moment de tension, le cheval est renversé. Sous les applaudissements nourris du public, Solalito pose avec précision les trois paires de banderilles cherchant à montrer sa détermination à couper une oreille. Face à un toro manso, il parvient à exécuter quelques séries, démontrant son art et sa détermination. La série de naturelles en plein centre est exécutée avec une émotion palpable et une profondeur remarquable, laissant le public en admiration. Dans un dernier effort, Solalito réussit à fixer le toro pour les dernières derechazos, terminant sur une note vibrante. L’épée, bien que légèrement de côté, s’avère efficace et vient couronner sa prestation sous la pluie et dans la nuit et le froid.
Cette année encore, Mugron a décidé de renouveler sa confiance en la Ganaderia Balthasar Iban pour la novillada piquée, suite au succès de l’an dernier. Un choix qui reflète à la fois l’engouement du public et la qualité des toros présentés. Avec un cartel original, l’événement promet une fois de plus de captiver les aficionados. Et parmi les toreros à l’affiche, celui qui s’est fait remarquer lors des Fallas, El Mene, attire déjà toutes les attentions. Un rendez-vous qui s’annonce mémorable pour les amateurs de tauromachie.
President : Mathieu Cazalet
Musique : Harmonie Mugronaise
Cavalerie : Heyral huits rencontre
Public 2/3 d’arène
Meteo Soleil printanier
Six novillos de Baltasar Iban, le 4ème ‘Arbolario’, nº 76, negro vuelta al ruedo.
Emiliano Osornio : avis silence et une oreille
El Mené : Salut et Silence
Julio Mendez : une oreille et une oreille Prix de la pena Mugronaise
Emiliano Osornio
Accroché par le novillo lors de la série à la cape, le novillo donne des coups de tête sans pousser à la rencontre avec le cheval. La seconde rencontre est applaudie par le public. Sans poser de difficulté, il débute avec des naturelles profondes au centre de la piste. Les premières séries à droite sont plus complexes, suscitant quelques applaudissements d’encouragement. Sur les derechazos, il est dominé ou accroché et peine à fixer le novillo pour l’acte ultime : l’épée entière.
Le novillo est applaudi lors qu’il sort du toril. Le novillero se montre plus appliqué à la cape que lors de son premier passage. Les deux charges révèlent la bravoure face au cheval. L’entame de la faena témoigne de domination. Les derechazos affichent une certaine profondeur, tandis que les naturelles se distinguent par leur élégance. Malgré le silence et l’engagement, l’épée est tombée.
El Mene
La série à la cape d’El Mene se distingue par douceur et maîtrise de la charge. Les deux rencontres sont franches. La série du novillero, appliquée et douce, mène à des premiers derechazos propres, suivis de naturelles identiques. Seuls les oiseaux chantent dans l’arène, entrecoupés de quelques applaudissements, jusqu’à ce que l’épée réveille l’assemblée.
El Mene réalise des véroniques avec profondeur. Le novillo effectue deux charges au cheval, frappant de la tête sans pousser réellement. Le novillero ne parvient pas à captiver le public pendant sa faena. Quelques applaudissements accueillent la série de naturelles qui s’intensifie. Une demi-épée efficace conclut son second novillo.
Julio Mendez
Julio Mendez entame une série à la cape avec domination et profondeur. La belle mise en suerte révèle un novillero détendu, maîtrisant sa faena avec temple. La musique retentit enfin. Les naturelles, pleines d’alegría, se concluent par une trincherilla. L’épée caida déclenche les applaudissements du public et la pétition d’oreille.
La série de véroniques de Julio mendez manque d’audace comparée à la précédente. Le novillo pousse sur ses deux engagements au cheval. Début de faena engagé, le novillero aspire à sortir a hombros. Applaudissements pour des derechazos profonds et templés, où il déploie sa palette de passes. Pinchazo à la première tentative, la seconde est de côté.
Texte Nicolas Couffignal et photo Roland Costedoat
Plaza de toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla – Corrida del Domingo de Resurrección (la plus importante de l’année car elle débute la temporada sévillane. Lleno de ‘No hay billetes’.
Toros de Núñez del Cuvillo,
• MORANTE DE LA PUEBLA, ovation et silence.
• TALAVANTE, silence et silence.
• DANIEL LUQUE, oreille et pétition de la seconde, ovation après avis et pétition.
Morante de la Puebla a salué à l’issue du paseo.
Les banderilleros Juan Contreras et Jesús Arruga au troisième.
Javier Ambel et Manuel Izquierdo au cinquième.
Le lot de Nunez del Cuvillo en ce dimanche de résurrection avait quelques qualités de trapio surtout le 4 et le 5, mais tous manquaient de fond et de force.
Le premier est changé pour faiblesse et sort le sobrero de 580 kg ( !) brillamment accueilli à la véronique par Morante. Après 2 piques quelconques, et un quite de Talavante en chicuelinas, les doblones d’entame sont remarquables et Morante initie une faena entièrement gauchère où seul un avertissement à la 4ème série fera de l’ombre au tableau. L’estocade en ½ épée contraire après pinchazo interdit tout espoir de trophée.
En second sort un toro plus violent et qui parcourt le ruedo à grande vitesse. La cape est quelconque mais il pousse à la première pique jusqu’aux planches. Luque donne un quite par gaoneras. L’entame est en doblones donnés les mains très basses et qui pèsent sur le toro. Talavante exploite bien la corne gauche du toro mais celui-ci montrera un fond de mansedumbre en allant a menos et en se réfugiant aux planches. L’estocade est trasera et tendida mais sera concluante.
Le troisième, pour Luque qui a les faveurs d’une partie du public, est un toro qui montre des signes de faiblesse. A la cape, Luque l’accueille en levant la main pour ne pas l’éprouver. A la muleta, une belle entame sur la corne gauche laisse espérer mais le toro ne suit pas dans les séries et le torero ne peut lier. Les belles naturelles font sonner la musique, mais le toro manque de fond. L’estocade entière est tombée ce qui n’empêche pas l’attribution d’une oreille.
Le second de Morante sort lui aussi à toute vitesse et le maestro ne peut pratiquement rien montrer à la cape. Il semble d’emblée ne pas apprécier ce toro qui est mis en suerte pour la pique par Juan Jose Dominguez : le piquero se croit donc permis de piquer à fond, et comme le toro recharge après la sonnerie, il prendra 2 picotazos supplémentaires mais appuyés ! Morante sort avec en main l’épée de mort, mais veut d’abord tenter quelque chose, dont il ne restera qu’une belle série de naturelles avant quelques passes de châtiment et une estocade en demie épée après pinchazos. Le public réagira en division d’opinion les sifflets se mêlant aux ovations là où le silence aurait été préférable.
Talavante qui avait fait le geste après son premier d’indiquer qu’il ferait mieux au second voit lui aussi sortir à fond de train un toro noir qui impressionne. Après une bonne entame à la cape, 2 piques légères pour conserver toute sa puissance à l’animal et Javier Ambel et Manuel Izquierdo se montrent aux banderilles. La faena est commencée à genoux avec pendule, (pueblerina pour le public sévillan ?), et suivent 2 séries liées, avant que le toro n’aille a menos. L’estocade entière caïdita après pinchazo sera concluante.
Autre toro vif à la sortie, le second de Daniel Luque ne montre pas grand-chose dans les deux premiers tiers. A la muleta, le maestro essaie de lier mais doit tenir compte du manque de force et de transmission du toro. Son travail est de bonne qualité technique, ce qui après une demie épée en place permettra une pétition plus sonore que de mouchoirs lui vaudra une ovation.