Auteur/autrice : Pierre Vidal Page 1 sur 248

Retour aux sources à San José del Valle

San José del Valle dimanche, festival, lleno de no hay billetes.

Quatre novillos et un eral de Fuente Ymbro. Le troisième vuelta al ruedo, le quatrième gracié.

Manuel Escribano : deux oreilles et la queue.

Cayetano : deux oreilles.

Francisco de Manuel : deux oreilles et la queue.

Le novillero « El Melli » : deux oreilles et la queue.

Le novillero sans picador Angel Perez : deux oreilles et la queue.

San José del Valle… Retour aux sources de la tauromachie dans un de ces lieux emblématiques et méconnus. Là où elle est restée une fête populaire, accessible à tous  riches ou pauvres, modestes ou savants, jeunes et vieux. Dans un lieu où elle reste vivante où elle fait partie de la vie quotidienne où elle est le centre de toutes les réjouissances. Une culture terriblement enracinée et qui dément toutes les prévisions de ceux qui spéculent sur son extinction.

C’est ici que Gallardo élève les fameux Fuente Ymbro qui cette année ont connu des fortunes diverses, à Madrid notamment. Pour ses concitoyens Gallardo avait gardé un lot aux petits oignons à la présentation conforme à un spectacle de cet acabit (c’est à dire médiocre) mais grandiose au moral. Les cinq avaient des charges émouvantes, répétées, en humiliant et en allant à màs. La prime au troisième et quatrième qui sauvera sa peau après une pique généreuse. Un lot idéal pour le public et aussi pour les toreros qui purent s’exprimer en confiance.

Photo Marciano Brenda Galan

Manuel Escribano banderilla avec réussite le premier ; sa faena fut longue (ici pas d’avis) et il toréa à gusto ce tambour major occis d’une entière sin puntilla.

Photo Marciano Brenda Galan

Cayetano se mit au diapason : faena classique menée avec du goût, par le bas, sans démagogie ni facilité ; une entière en place.

Photo Marciano Brenda Galan

Révélation de la tarde: Francisco de Manuel venu en replacement d’El Fandi qui peine à se remettre d’une récente blessure. Beaucoup de personnalité dans le toreo de Francisco magnifique de classe et de profondeur à la cape. La faena un peu décousue eut des moments brillants dans ce corte si particulier et charmant des toreros du sud. Une entière et un gros succès.

Héros du jour El Melli qui tomba sur une crème et qui sut se mettre à sa hauteur. German, a la muleta surtout brilla dans un travail ajusté, mené dans un très bon rythme, le novillo conduit par le bas avec de beaux détails. Il fit monter la température et obtint la grâce de son opposant sans tomber dans ces supplications vulgaires qui accompagnent trop souvent ce cadeau fait à l’éleveur et à l’animal. Le torero de Sanlucar bien secondé par son confiance Eloy Hilario a montré que non seulement il savait toréer mais qu’il pouvait faire preuve de sentiment, de personnalité. Il est temps de prendre l’alternative German !

Un ton en dessous Angel Perez le novillero sans picador d’Arcos de la Frontera mais la concurrence était sévère et on pardonnera au débutant son toreo hésitant et parfois décousu. Une demie épée pour conclure; l’indulgence présidentielle lui accorda à lui aussi la récompense suprême.

Sortie triomphale des toreros, selfies et suleta de vacas à la suite car ici les toros c’est la vie.   

Que la joie soit dans les cœurs !

Pierre Vidal

Victor Cerrato grièvement blessé

 Horche (Guadalajara) – Novillos de Antonio San Román

 Jorge Molina, oreille et oreille;

Víctor Cerrato, herido y dos orejas ;

Jorge Molina oreille et oreille

El Cid de Maríadeux oreilles et oreille.

Victor Cerrato: Parte médico: ‘Cornada de 15 centímetros en Región inguinal derecha, con salida en la base del pene y en cavidad abdominal’. Pronóstic: grave. 

Cerrato blessé à son son premier toro est sorti pour tuer le second. Précisons de son père Javier Cerrato, à propos de son fils Víctor : « La cornada a brisé le sac qui contient l’intestin et a meurtri son urètre. Le président a voulu le suspendre et la Garde civile a tenté de le retenir pour qu’il ne parte pas”.

Madrid, comment toréer avec certitude les Victorinos ?

MADRID, CORRIDA DE LA PRESSE, la dernière de San Isidro 2023.
Beau temps, un peu de vent et de pluie au 4°.
Arènes combles, présence du roi d’Espagne en barrière.
6 toros de Victorino Martin pour Paco Ureña et Emilio de Justo, mano a mano.


Paco Ureña : Ovation, une oreille, silence

Emilio de Justo : Ovation, silence, silence
Grande corrida de Victorino Martin, les six toros de présentation quasi identique, gris, veletos, tous
de cinq ans révolus, magnifiques.
1° toro dangereux, silence à l’arrastre.
2° toro toréable, silence à l’arrastre.
3° toro classieux à la muleta, ovation.
4° toro un grand toro, ovation.
5° toro une estampe, applaudissements à l’entrée et à la sortie.
6° toro un toro brave sensationnel de présentation et à la muleta, demande de vuelta, ovation.

Paco Ureña, pris deux fois par son premier toro pendant la faena de muleta, puis repris à la mise à mort nous a fait très peur, mais le toro lui a pardonné comme l’on dit. On ne peut pas toréer un Victorino qui n’humilie pas et reste à votre hauteur pour vous prendre par l’aisselle et vous projeter à terre. Son côté tragique, son immense courage ont provoqué la demande d’oreille du public, demande émotionnelle justement refusée par le Président de la course. Ovation.
Son second toro, le troisième de la course donc, lui a permis de montrer qu’en plus de son courage il sait toréer comme on aime à Madrid, c’est-à-dire par des naturelles données avec sincérité de trois quart, de face sur la corne contraire pour terminer. Un pinchazo avec puntazo, puis une entière concluante libère une oreille largement demandée par le public.
Son troisième toro, le cinquième de la course, est un « tio » authentique, une estampe. C’est un toro marcheur, exigeant, au comportement divers et auquel donc on ne peut se confier. Mais Paco se confie trop et se fait soulever encore une fois par le toro. Il tue a recibir par une demi d’effet beaucoup trop long, le toro mourant juste avant le troisième avis. Silence.
Emilio de Justo est passé selon nous à côté des deux meilleurs toros de l’après-midi, le 4° et le 6°, deux toros, surtout le sixième qui ne demandaient qu’à faire l’avion. Les deux faenas de muleta ont été dans les deux cas de mas à menos par une mauvaise entente entre l’homme et le fauve, les toros donnant de plus en plus de signes négatifs en coupant leur charge ou en ne baissant plus leur tête.
Ce n’est vraiment pas facile de toréer des Victorino. Il est évident que si Emilio avait coupé ne serait-ce qu’une oreille le 6° toro aurait été primé d’une vuelta demandée par les aficionados. Silence et silence donc.
Heureusement à son premier toro Emilio avait montré à l’ensemble du conclave sa classe face à un toro encasté par trois séries de naturelles profondes précédant des derechazos donnés avec lenteur et temple, rematé par une trinchera et des pechos de gala. Trois naturelles de face précèdent une bonne épée concluante. La pétition d’oreille parait majoritaire à tout le monde sauf au Président.
Ovation au torero, bronca à la présidence.
En résumé une très bonne corrida de la presse, avec des Victorino qui restent de très beaux et bons toros, pas une seconde d’ennui pendant leur combat, et deux toreros très courageux arrivant parfois à tirer des passes harmonieuses à des adversaires qui globalement les dominent. Mais qui sait encore toréer avec certitude les Victorino ?

EXIR

Solalito: “Quand on s’engage cela transmet immédiatement”

Début de saison brillant pour le novillero nîmois Solalito sorti en triomphe à Aire et à Nîmes et qui a fait bonne impression à Madrid où il a salué à deux reprises. C’est à Sanlucar de Barameda où il est « afincado » depuis plusieurs années que nous l’avons rencontré. Là avec d’autres toreros comme Adrian de Torres, Emilio de Justo ou Pablo Aguado, il peaufine son entrainement sous l’œil avisé de son mentor « Luisito ». Sans aucun doute cet éloignement de la France et cette immersion andalouse lui auront été bénéfique. Il touche les premiers dividendes de ce choix courageux de l’exil de son exil du lieu où il a grandi.

Ce samedi Solal sera à Mauguio pour le retour des toros dans cette petite ville. Ecoutons-le faire le bilan de ce début de saison :

« J’ai trois courses à mon actif cette année : c’est un super début de saison c’est vrai et j’en suis très fier. C’est le résultat d’énormément de travail. Ma progression s’est faite petit à petit. Cela fait un an que je suis avec Luisito et c’est maintenant que les résultats se voient. Il nous reste beaucoup de travail à faire; l’hiver m’a fait du bien et les novilladas de l’an dernier m’ont permis d’acquérir une maturité nouvelle.

-Evoquons ta relation avec Luisito : Comment cela se passe ?

– Luisito est un grand professionnel dans ce milieu. On se voit beaucoup. On travaille ensemble tous les jours. En plus d’être un apoderado, au niveau des contrats par exemple, il m’apporte un énorme soutien technique. Je pense que c’est là où il est le meilleur. Je ne connais personne d’autre avec autant de connaissances techniques que lui. Il est vraiment là pour m’aider. J’ai ma personnalité, ma conception, mon objectif : il est là en appui pour me dire comment atteindre mon but.

-Succès ou déception lors de ta sortie de Nîmes où tu es sorti par la porte des Consuls sans gagner la « cape d’or » ? En gardes-tu de l’amertume ?

– Non pas du tout ! Je peux dire en souriant que j’ai déjà ce trophée chez moi, puisque je l’ai gagné l’année précédente. Ce que je retiens de cette après-midi-là c’est la Porte des Consuls. Je pense qu’il n’y a pas grand-chose à expliquer lorsque la Porte des Consuls s’ouvre. Après le prix… je laisse les gens se faire leur propre idée, leur propre avis. Tout cela ne me dérange pas plus que ça.

-Dans quel sens veux-tu évoluer désormais ?

– On en a beaucoup parlé en sortant de ces dernières courses. Il faut profiter d’être un “torero largo” pour fonctionner. J’ai besoin de beaucoup toréer, la maturité va me faire évoluer. Je pense que je suis un torero qui peut apporter beaucoup de plaisir au spectateur avec de l’engagement pour donner du bonheur au public. Le fait de poser les banderilles donne une proximité avec les gradins. J’ai un toreo varié « de rodillas », « de largas »… je m’engage beaucoup et quand on s’engage cala transmet immédiatement.

-Cap sur Mauguio ce samedi avec une novillada concours uniquement composée de novillos français. Comment vois-tu ce rendez-vous ?

– C’est une arène importante. Dans un milieu très taurin car les villages ou les petites villes autour ont toutes leurs fêtes votives. Un énorme bravo aux organisateurs à la famille Vangelisti de reprendre en main cette arène et de réaliser cette novillada. On a annonce une grosse netrée à nous les toreros de donner tout pour que tout le monde soit content et revienne l’année suivante”.

Itw Pierre Vidal

Journée du Club Taurin Marc Serrano

Grands cartels à Pampelune

– M 05/07: Christian Parejo, Marcos Linares et Cristiano Torres (Pincha)
– J 06/07: Pablo Hermoso de Mendoza, Roberto Armendáriz et Guillermo Hermoso de Mendoza (Capea)
– V 07/07: Rafael Rubio ‘Rafaelillo’, Manuel Escribano et Leo Valadez (La Palmosilla)
– S 08/07: Fernando Robleño, Juan Del Álamo et Borja Jiménez (José Escolar) 
– D 09/07: Adrián de Torres, Román et Isaac Fonseca (Cebada Gago)
– L 10/07Miguel Ángel Perera, Daniel Luque et Ginés Marín (Fuente Ymbro)
– M 11/07Morante de la Puebla, Alejandro Talavante et Roca Rey (Núñez del Cuvillo)
– X 12/07Antonio Ferrera, El Juli et Cayetano (Jandilla)
– J 13/07Emilio de Justo, Roca Rey et Tomás Rufo (Victoriano del Río)
– V 14/07Rubén Pinar, Juan Leal et Jesús Enrique Colombo (Miura)

Juan Leal sera le seul français invité dans le cycle avec la dure responsabilité de tuer la corrida de Miura. A noter l’entrée de Juan del Alamo face à la corrida de José Escolar et celle d’Adrian de Torres remarqué à Vic-Feznsac face aux toros Cebada Gago. Chistian Parejo ouvre la féria lors de la novillada de Pincha aussi qui verra aussi les grands débuts dans cette arène de Cristiano Torres, le jeune torero aragonais qui s’est révélé il y a deux ans à Arzacq. Enfin consécration de Rafaelillo le torero de Murcie un peu oublié, dans son arène fétiche.

le cycle sera-t-il télévisé? Pas de nouvelles…

Madrid, chantons sous la pluie

Temps couvert . Pluie violente à partir du quatrième. Festival des parapluies.
Quasi lleno
Six toros de Alcurrucen d’âge et de comportement variable. Lot de toute façon indigne de Madrid.
Pour
Diego URDIALES: Habit de Luz Noir et Or
Alejandro TALAVANTE :  Rouge vif et Or
Daniel LUQUE :  Bleu et or.

Diego URDIALES : Applaudissements bien polis aprés Avis et Silence
Alejandro TALAVANTE : Silence et ovations aprés Avis
Daniel LUQUE : Pétition d’oreille aprés Avis et vuelta trés fêtée sous la pluie .

Il est des moments où on se demande ce que l’on fait avec son petit avis devant son petit ordinateur tant les choses semblent être faites sans nous et que pour l’éternité la corrida continuera avec ses grandes qualités et les noirs défauts de ceux qui la dirigent.

Nous avons vu ce soir à MADRID des évidences : des toros d’une grande maison certes avec un fonds de bravoure mais imprésentables  à Madrid ou dans une quelconque arène de première catégorie.

Diego Urdiales n’a pas souhaité rencontrer vraiment son premier. Triste épée.

A son deuxième très volumineux, presque 6 ans, presque 600 Kg pour les presque 60 Kg du maestro… Il semblait avoir des gros problèmes de vue qu’ignora la présidence. Il ne se passa rien. Triste mort d’un triste toro.

Talavante laissa clairement passer le premier aprés avoir entamé une faena à genoux simplement époustouflante. Je pense que dans cet exercice si particulier il est actuellement le meilleur. Mais à son cinquième il reprit sa démonstration à genoux et affirma son talent et son courage dans les conditions les plus compliquées. Il nous offrit le toreo vertical qu’en d’autre temps CORBACHO lui enseigna. Très beau moment de vérité et de classe pure. Un engagement total à l’épée et un descabello superbe (c’est rare)sous l’œil indifférent de la présidence.

Daniel LUQUE a fait preuve dans la Lidia de ses deux toros d’une « entregua » du meilleur goût avec la lenteur et le calme qu’on lui connaît. Je n’ai pas le savoir pour vous parler de ses dialogues qu’il a instaurés avec ses toros de ces moments de grâce qu’il partage avec eux. CE Maestro sait tout faire techniquement mais au delà de cela il sait accompagner un toro dans son ultime combat.
Ne cherchez pas ,le TORERO d’époque s’appelle DANIEL LUQUE.
Une vuelta fêtée à Las VENTAS ça ne se refuse pas.
Et bienvenue très vite dans nos arènes francaises où nous avons le bon goût de vous reconnaitre à votre immense valeur.

CH FIGINI

COMMUNIQUE DE PRESSE par Maître Ludovic PARA, Avocat du CLUB TAURIN LOU RAZET DE PEROLS

On ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment, raison pour laquelle l’Alliance Anticorrida s’est
désistée de son action…

Nîmes le 1er juin 2023,
Quand l’ALLIANCE ANTI CORRIDA doute du doute censé lui profiter…

Le CLUB TAURIN LOU RAZET DE PEROLS, en charge d’organiser la novillada de PEROLS le 15 juillet 2023, avait rendez-vous cet après-midi devant le Tribunal Judiciaire de MONTPELLIER avec l’ALLIANCE ANTICORRIDA qui sollicitait que le Juge des référés prononce l’interdiction d’organiser ladite novillada…
Le débat Judiciaire n’eut pas lieu, L’ALLIANCE ANTICORRIDA ayant préféré se désister de son action avant qu’une décision Judiciaire ne soit susceptible de remettre un peu d’ordre dans une situation juridique inédite et confuse.
Qui peut avoir intérêt à se retirer ? sinon celui qui sait qu’il est en position de faiblesse au vu d’une jurisprudence ancienne et constante abordant la notion de « tradition taurine » à l’échelle d’ensembles démographiques.
Avec un certain parallélisme des formes, référence faite à la proposition de loi ambitionnant de supprimer la corrida qui fut retirée le 24 novembre 2022 quelques minutes avant le vote parce que son député instigateur la savait vouée à l’échec ; l’ALLIANCE ANTICORRIDA vient de faire l’aveu qu’elle pensait son action en justice particulièrement fragile et incertaine en la retirant avant le débat judiciaire.
Il doit être rappelé que par une décision inédite, qui a notamment analysé la notion de tradition taurine sous le prisme de considérations globales, urbanistiques et économiques (appartenance de PEROLS à Montpellier Méditerranée Métropole), le Tribunal administratif de Montpellier statuant en référé a considéré par ordonnance du 16 mai dernier que les arènes de Pérols, situées à 12,9 Km (ou 10 Km à vol de flamant rose) de celles de MAUGUIO qui accueilleront une novillada le 3 juin constituent une bulle Montpelliéraine, hermétique à la tradition et à la culture taurine.
L’ordonnance précitée, qui n’avait pas vocation à trancher définitivement le litige, a ainsi conduit à suspendre la délibération par laquelle la ville de PEROLS autorisait l’organisation de la novillada par le CLUB TAURIN LOU RAZET DE PEROLS.

Cette décision par nature provisoire, ne tranche aucunement la question au fond et caractérise tout au plus un « doute sur la légalité » de la délibération ainsi suspendue dans l’attente que se prononce le Tribunal administratif ou le Conseil d’état sur le fond du dossier : l’existence d’une « tradition locale ininterrompue » à PEROLS.
Certaines associations anti-corrida se sont logiquement réjouis de cette décision, certes provisoire mais pour autant bloquante vu la proximité de la novillada, pensant avoir enfin triomphé en droit.
Certaines associations … mais pas toutes, et manifestement pas l’ALLIANCE ANTICORRIDA qui vient ainsi, en jetant l’éponge aux portes du Palais de Justice de MONTPELLIER, se joindre à tout le moins en pensées aux aficionados déçus et aux membres du Club Taurin Pérolien centenaire (crée en 1922) qui avaient la conviction, l’avenir ne nous le dira pas, que le Juge judiciaire aurait tranché en faveur de la liberté
culturelle.
D’ores et déjà, le CLUB TAURIN LOU RAZET DE PEROLS prend acte avec satisfaction du fait que l’ALLIANCE ANTICORRIDA n’entend plus à ce stade lui faire grief d’être l’organisateur de novilladas dans les arènes de PEROLS, et attend sereinement la décision au fond qui sera ultérieurement rendue par la juridiction administrative.

Pour le CLUB TAURIN LOU RAZET DE PEROLS
Maître Ludovic PARA
Le 1er juin 2023

Fiesta Campera chez Barcelo

Castelnau, l’affiche signée Sikora

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