Auteur/autrice : ADMIN66 Page 1 sur 8

Bonne prestation de Clovis à Gamarde les Bains

La journée taurine de Gamarde commence toujours par le tentadero matinal.  Devant un quart d’arènes Cet année c’est des deux vaches de la Ganaderia la Espera  que le jeune novillero a mener le tentadero. Cavalerie Bonijol. Public  4/10 d’arènes

Vuelta de Clovis

C’est toujours un plaisir de voir du bétail de la Ganaderia La Espera et l’exigence de son proprietaire . Les deux vaches ont un trapio identique. Le comportement au  cheval est identique avisé puis un galop déterminer et finit par contourner le cheval pour le contact . La seconde sort plus rapidemen de l’équide  que la premiere. Chacune des deux vaches vont faire minimun trois rencontres  . Elles ont un galop harmonieux . 

Clovis à la cape sur la première vache

A la cape Clovis, effectue des veroniques  agréable et avec sérieux . La vache ne pose aucune difficulté à droite comme à gauche. Dans le dernier tiers le novillero trouve rapidement le bon sitio. Sans forcément montrer les qualités de la vache. Il exécute des derechazos avec de la douceur et de l’émotion avec des naturelles au public présent. Ses faenas sont répétitives sans inspiration et fini sur une estocade virtuelle. Le public apprécie sa première prestation.

Naturelle de Clovis sur la seconde vache

Cette seconde vache la tête haute des la sortie du toril. Elle est distraite et mansa lors de son tour de piste. Clovis execute des veroniques plus appuyés que lors de la prècedente vache. Le public adhère.  A la muleta, le jeune novillero a une tauromachie dominante. Il trouve le bon terrain. Il garde bien la vache dans la muleta. Le duende du novillero s’exprime plus sur cette vache que sur la première. Il fini sa faena avec des luquesinas. Une mise à mort virtuelle reussi est effectué. Il exécute une vuelta sous les applaudissements du public.

Texte E.C

Photos Nicolas Couffignal

Tercis les Bains au son du flamenco et de la Tauromachie avec la Peña La Maestria

Les membres de la peña La Maestria sont des passionnés de flamenco et de tauromachie. Depuis trois ans, au travers leurs investissements personnels, ils participent à l’animation de Tercis au travers d’un week-end début mai.

“Pouvez vous nous présenter la Pena La Maestria ses membres et le but de l’association ?

La Peña La Maestria a été créée en 2012 ,avec pour objectif de promouvoir la tauromachie en ces temps difficiles.Pour cela ,il fallait se centrer sur une idée commune , c’est donc en toute logique que nous nous sommes tournés vers le Maestro Richard Millian et son école taurine Adour Aficion. Quoi de plus naturel pour véhiculer nos idées , que d’aider , soutenir et encourager les élèves d’Adour Aficion …

La Maestria est composée d’un bureau de 4 personnes et compte environ 40 adhérents, dont la plupart nous suivent depuis le départ .

Pour la troisième fois, vous organisez cette feria  entre flamenco et tauromachie, quel est l’idée de base de cet événement sur trois jours ?

Ce troisième festival va nous permettre de faire découvrir ou redécouvrir le point d’attache entre la corrida et l’art du flamenco ; ainsi que l’histoire que nous racontent ces deux univers et d’ancrer notre festival dans la durée .

Quelle est l’évolution entre votre premier événement et celui-ci ?

En effet ,la première édition avait été une véritable découverte , autant pour nous que pour le public . Nous avions eu la chance d’avoir un très beau week-end et le succès a été au rendez-vous ! Pour la deuxième édition , plutôt en demi-teinte faute de soleil et de chaleur ,a malgré tout , reçu un excellent accueil et nous a permis de peaufiner notre programmation pour cette année .Nous pouvons donc affirmer que cette année sera celle de la maturité !!!

Artistes présent lors de l’édition 2023

L’art taurin et l’art de la danse sont présent, mais y a-t-il d’autres artistes présents ?

Nous avons énormément retravaillé le programme tout en gardant l’âme du festival. Nous avons la chance d’avoir des artistes photographes , peintres , sculpteurs qui nous suivent depuis la 1ère édition et qui viennent compléter notre week end , avec chacun sa touche artistique personnelle.

Vos arguments pour convaincre les lecteurs de venir lors de ce week-end et avez-vous d’autres projets pour 2024 ?

Pour ce festival , laissez votre curiosité et votre goût de la fête vous emmener pour un week end festif , ouvert à tous et toutes . Vous y découvrirez un univers passionant , coloré , avec des artistes et une équipe sur motivée qui feront de ces trois jours une parenthèse conviviale et familiale !!

Entretien Nicolas Couffignal /Photos Max Loubère

les Baltasar Iban présents au rendez-vous d’Aignan perdent 2 oreilles

Aignan, belle entrée, temps nuageux, température agréable, deux heures trente de spectacle. Six toros de Baltasar Iban, bien présentés mobiles, très braves au cheval, tous deux piques, prises avec bravoure et poussant fort sous le fer. Seul, petit défaut, manquant d’un peu de nerf dans la suite du combat. Une corrida très agréable.( Corrida du 31 mars, reportée au 7 avril en raison de la pluie).

Uceda Leal, (noir et or), au premier, une entière, silence ; au quatrième, une entière, salut.

Dorian Canton (bleu marine et or), au deuxième, une entière, un avis, une oreille ; au cinquième, deux pinchazos, une entière, deux descabellos, avis, salut.

Christian Parejo (rioja et or), au troisième, une entière, silence ; au dernier, un pinchazo, une entière, avis, une oreille.

Présidence : Jean-Christian Dabadie, assesseur Florian Durou et Yohan Teixeira

A Aignan on ne peut que se féliciter du comportement des toros de Baltasar Iban, bien présentés et bien armés. Ils ont eu sous la pique un comportement très honorable, attaquant, tous, par deux fois, franchement le cheval et poussant fort sous le fer. On pourrait tout de même leur reprocher un léger manque de nerf dans le dernier tiers. Mais l’aller et retour, dans la semaine entre le cortijo Wellington, à côté de Madrid et le Gers n’a pas dû aider à une forme maximum.

Uceda Leal devant son second toro

Si les deux jeunes du cartel, Dorian Canton et Christian Parejo ont fait le maximum, on ne peut pas en dire autant de Uceda Leal. L’ancien a donné l’impression de toréer à l’économie, surtout avec son premier adversaire. Malgré une belle attaque de faena il ne tardait pas à sombrer dans la monotonie au point d’écouter quelques sifflets. Il revenait avec plus de volonté. On retiendra d’excellentes séries de naturelles, toujours servies avec lenteur et un beau temple. Du parfait art castillan qui pourtant ne parvint pas à convaincre totalement le public.

Dorian Canton

Dorian Canton donne toujours l’impression du bonheur quand il est face à un toro. Il avait commencé par un tercio de cape très doux poursuivi par une séquence de quites. Très à l’aise avec la muleta, après quelques derechazos il signa une série d’un dizaine de naturelles qui arracha les applaudissements du public. Il continua un moment sur ce registre oubliant le temps. Il entendra un avis. Mais le Béarnais allait atteindre des sommets lors de sa seconde sortie. Après une belle série de chicuelinas on le retrouva avec la muleta enchaînant sur les deux mains avec un beau temple et beaucoup d’harmonie. Une tauromachie de charme. Malheureusement il perdit l’essentiel de ce travail à l’épée et dut se contenter d’un salut alors qu’il venait de frôler une deuxième oreille.

Christian Parejo ne réussit pas à faire monter sa première faena dans les gradins. Elle avait pourtant de bonnes qualités… Certes il avait été un peu avare sur la main gauche. Il allait méditer ses erreurs avec le dernier toro avec lequel il fut discret à la cape. Par contre ouverture de faena a mi hauteur donnait le rythme à la suite par un festival de naturelles très basses et lentes. Il fut assez à l’aise tout au long de son combat et avec son oreille donna une note festive à la fin de la course.

Des Baltasar Iban, on reviendra en voir !

Jean-Michel Dussol

Photographes Philippe Gil Mir et Nicolas Couffignal

voir la galerie de Philippe Gil Mir ci dessous

Aignan 07-04-2024 Toros de Baltasar Ibán para Uceda Leal, Dorian Canton y Christian Parejo © Philippe Gil Mir

Alternative de Tristan Barroso lors de la Feria de  Dax 2024

Il est confirmé que Tristan Barroso deviendra le soixante-quatrième matador français. Il effectuera son alternative lors de la feria de Dax avec l’élevage de la Ganaderia Victoriano del Rio. Il reste à savoir qui seront son parrain et son témoin le 7 mai.

Sergio Flores de retour à Orthez

Les taureaux portugais seront confrontés aux matadors

Sergio Flores

Gomez Del Pilar

Luis Gerpe

Un cartel passionnant avec le retour de Sergio Flores qui nous avit gratifié il y a deux ans, face à un Dolorés Aguirre d’une faena qui est entrée dans les annales. La présence de Gomez del Pilar un des meilleurs lidiadors du moment et du grand espoir madrilène Luis Gerpe, spécialisé lui aussi dans les corrida difficiles. A mettre sur vos agendas le dimanche 28 juillet.

Le matin, une novillada piquée de la ganadería Barcial avec les novilleros Cid de María et Miguel de Andrades face à des novillos de Barcial.

Un moulin, une arène et un tentadero

Il y a la feria de Pâques en Arles, mais il y a des clubs taurins qui organisent des événements à côté qui mérite que l’on s’y attarde davantage. Le club taurin de la Muleta  d’Arles organise un tentadero lors de la feria. Cette année, ils invitent Luis Gerpe que l’on a découvert dans les arènes de Vic-Fezensac et le tout jeune Matador français Solalito avec quatre vaches de la Ganaderia Yonnet affiche alléchante pour les aficionados de la tauromachie.

A quelques centaines de mètres du moulin d’Alphonse Daudet et de nos saines lectures d’enfant, alors que le marché bat son plein, les arènes et ses platanes pour protéger du soleil accueille le public nombreux venant même de Paris et de Londres.

Les quatre vaches de la ganaderia ont un trapio homogène. Elles ont donné des comportements divers. Au cheval, elles y vont avec de la charge en particulier la dernière. Elles ont de la noblesse et exigeante. La première est compliquée considérablement sur la gauche. La dernière est celle qui le plus de noblesse.

Luis Gerpe avec sa seconde vache de la Ganaderia de Yonnet

Luis Gerpe sur sa première vache s’emploie à la cape avec force et qui relève la tête. Il fait de bonne mise en suerte. Sur les naturelles, il a tendance à ne pas amener le bras assez loin, car la vache ne veut pas céder. Sur la droite, ses passes sont plus construites. Aucune émotion se dégage de la faena. Mathias Sauvaire le vaillant jeune élève de l’école taurine d’Arles s’emploie de tapia. Il arrive à faire des naturelles plus élégantes.

Sur la seconde vache qui a le moins d’exigence, mais tout autant de la noblesse. Comme sur sa précédente vache, le matador s’emploie activement à la cape. Il réalise notamment plusieurs sériés de naturelles et de derechazo plus abouti que de la précédente. Son attitude exprime du plaisir que le public ressent. Un autre élève sort de second.

Solalito

Solalito préparé son retour dans les arènes nîmoises aujourd’hui devant ses vaches, il a la même détermination. Il s’applique dans les différents tiers. Confiant dans sa technique, il laisse son inspiration taurine s’exprimer . Ses faenas ont de la profondeur et exploitent bien les capacités du bétail. Le public apprécie. L’émotion se vit, mais il est parfois compliqué de la retranscrire à l’écrit. L’aficion, c’est aussi de se rendre à ces tentaderos qui donnent du plaisir sans l’apparat d’une corrida s’exprime aussi et se termine autour d’un moment de convivialité dans le ruedo sous les platanes.

Photographe Nicolas Couffignal

Texte CN

Séville: La corrida des si…

SEVILLE- 31 mars 2024.Corrida du dimanche de Pâques.

15°. Arènes combles. Paseillo retardé d’une demi-heure , le temps de remettre en état la piste après la pluie incessante depuis plusieurs jours sur Séville.

5 toros des frères Garcia Jimenez et Olga Jimenez et 1 de Roman Sorando (6ème bis) pour :

Morante de la Puebla, silence et silence.

Sébastian Castella, une oreille et silence.

Andrés Roca Rey, une oreille et silence.

Saluts des banderilleros Curro Javier y Alberto Zayas au premier. Antonio Joao Ferreira et Alberto Zayas au quatrième; José Chacón, au cinquième.

Il était impensable que la corrida du dimanche de résurrection soit suspendue après l’annulation de la nuit de la Madruga,  du jeudi saint au vendredi saint, sans donc les processions de la Macarena, de l’Esperanza de Triana et du Grand Poder. Une tristesse infinie pour les Sévillans.

Après donc plusieurs jours de pluie il y eut le miracle du jour avec le retour du soleil à 18h30 précises.

 A croire que Jésus lui-même était revenu lui-même pour  voir toréer Morante de la Puebla, Sebastian Castella et Roca Rey. Le numéro 1 espagnol, le numéro 1 français, le numéro 1 sud-américain et numéro 1 absolu actuel.

Ce fut la corrida des si :

Si l’on aime les toros toros il n’y a rien à raconter, mais on s’y attendait. Quand les vedettes sont là, les toros ne sont pas là, c’est bien connu. Bien présentés, mais sans force et sans race dans l’ensemble. Rien à écrire, n’usons pas les touches de notre clavier.

Si l’on aime le travail de cape il ne fallait pas venir non plus. Une véritable désolation pour Séville qui aime tant le travail de cape. Il n’y eut aucun quite après les simulacres de pique, à part un seul, hasardeux, de Castella au deuxième toro. Seules deux ou trois véroniques de Morante à la réception de son premier toro.

Si l’on aime en revanche les banderilles il fallait venir, les banderilleros rivalisant tous. Curro Javier, Alberto Zayas, Rafael Vioti, Antonio Joao Ferreira, José Chacon durent saluer après des paires « extra » , mais tous auraient pu saluer vu l’état précaire de la piste.

Si l’on est « de Morante » on a pu apprécier ses trois véroniques de réception et son début de faena sur la corne droite à son premier toro. Mais c’est tout. Certes les toros n’étaient pas bons mais l’heure d’une retraite bien méritée n’est-elle pas venue pour l’amateur de cigares ?

Si l’on aime dans la taureaumachie l’art de dominer les toros, alors on peut dire que Castella a donné ce jour une véritable leçon à son premier toro qui avait tous les défauts de la terre pour un torero : batailleur, sans charge, beaucoup de genio, un danger sourd. Un travail de grand maître terminé par des naturelles de face et une grande épée concluante. Si  l’on avait été à Madrid les deux oreilles auraient été assurées, mais à Séville on aime surtout les jolies passes esthétiques. Pour nous ce fut un travail sensationnel mal récompensé.

Si l’on aime le sitio et le temple alors on put se régaler du travail de Roca Rey au troisième toro bis de l’après-midi, Ce jeune homme n’a aucune hésitation  dans sa tauromachie faite d’emplacements adéquats et d’embarquement du toro dans la passe, et comme il tue à chaque fois de façon fulminante il n’est pas étonnant qu’il remplisse actuellement les arènes sur son seul nom.  Une oreille bien méritée à son premier toro, son second, un remplaçant Roman Sorando n’offrant aucune option pour le bon toreo.

En conclusion tous les amateurs de corridas ont eu quelque chose pour se mettre en émoi malgré des toros peu toros. Merci aux trois maestros qui ont su nous « inventer » une corrida de toros, merci aux banderilleros, et merci aux areneros, ces travailleurs de l’ombre qui ont rendu possible ce spectacle.

A 18h20, quand Morante, Castella et  leurs cuadrillas vinrent tester la piste, il fallait vraiment être optimiste pour croire que la corrida allait avoir lieu.

Mais les aficionados, c’est bien connu, croient aux miracles, et parfois ceux-ci se réalisent.

EXIR

Annulation et report à Aignan

Photo JC Lemelle

La corrida prévue ce dimanche à Aignan a pas pu se dérouler en raison de la pluie. Elle a été reportée à dimanche prochain même cartel. Toros de Baltasar Iban pour Ucdea Leal, Dorian Canton et Christian Parejo.

Le matin, Aignan : Jaïro Lopez triomphateur de la novillada sans picadors

Jairo Lopez (bleu marine et or) hier matin à Aignan est sorti et triomphe des arènes André Ladoues. Il venait de couper une oreille à chacun de ses adversaires, un Astarac et un Camino de Jean-louis Darré. Jaïro Lopez a bénéficié de deux bonnes mise à mort qui ont cloué ses toros sur place, les deux animauc s’’écroulant aussitôt, provoquant une nuée de mouchoirs dans les arènes. Auparavant avec son premier, un Astarac il s’était montré élégant à la cape mais aussi avec beaucoup d’efficacité pour réduire son adversaire. Pour la première de ses deux sorties on le voyait poser les banderilles avec un certain succès, même si sur des quiebros volontaires, à son second, un Camino, il fut parfois en grande difficultés. Avec l’Astarac il bénéficia d’un toro noble où il se fit plaisir dans une faena une faena un peu longue où prenant confiance, il finit par être sévêrement bousculé. Mais il sut se rattraper et terminer d’une entière fulgurante. Une oreille.

Il attaqua sa seconde sortie par une belle série de naturelles, quelques gaoneras, et après son tercio de banderilles attaque sa seconde faena par une série de très belle aidées par le haut. Par la suite, il faut parfait à droite et chiffona à gauche. Mais là encore une ép

Jeanée très efficace lui fit accorder sa seconde oreille.

Face à un tel adversaire, Hadrien Lucq (bleu marine et azabache) manqua rapidement de confiance.

Face à son premier Astarac il fut plutôt bien à la cape. Il commença une faena très sage mais sur sa main droite fut rapidement débordé et châtié. Mais avec courage il revint dans le copbat sur la main gauche et eut du mal a tuer. Deux pinchazos avec une voltereta, unr demie-lame a recibir, silence. Comme deuxième adversaire, il eut un Camino, lourd et bien fait, véritable petit toro applaudi à son entrée en piste. Avec précision et application il profita d’un légère faiblesse du novillo qu’il toréa essentiellement à droite. Il lui infligea tout de même une cogida impressionnante. Hadrien s’acharna à voulooir tuer a recibir ce qu’il parvint à faire après deux pinchazos, une entière atravesada, une entière et trois descabellos, silence.

Jaïro Lopez emporta le pris de l’ACOSO remis par Michel Raymond et Hadrien Licq le prix du club taurin d’Aignan remis par son président Michel Pupin

Jean-Michel Dussol

Remise de prix de la temporada 2023 à la mairie de Arles

Clemente qui reçoit son prix

Hier soir à la mairie de Arles a eu lieu la remise des prix de la temporada 2024 avec la présence du Maire , de la reine d’Arles et de la commission taurine .

Triomphateur de la temporada Daniel Luque

Meilleurs lot temporada 2023 Arles  Jandilla

Coup de coeur  Clémente

Meilleur novillero Yon Lamothe

Carlos Olsina attire le public pour la Tienta de Plaimont à Plaisance du Gers

En ce premier week-end de printemps la peña VivementCinqHeure organise le tentadero des caves du Plaimont.

Devant deux cents personnes transgénérationnel ont remplis les arènes de Plaisance du Gers Carlos Olsina a tienter deux vaches de la Ganaderia de l’Astarac de Jean-Louis Darre.

La premire vache de trapio normale est mansa . Carlos Olsina fait de joli passe à la cape Elle va au cheval à trois reprise sans conviction . Elle a de la noblesse . Le torero arrive a faire de joli derechazo alors qu’elle est compliquée sur la droite .

Elle est plus comode sur les naturelles agréable de Carlos Olsina. Le public apprécie le travail. Le novillero Hugo Tarbelli sort de second et effectue des derechazo prêt des planches.

La seconde génisse possède un trapio semblable à la première. Elle a plus de gaz. Au cheval, la vache a une charge franche et part de loin à plusieurs reprises. Avec la muleta, le torero prend du plaisir sur les naturelles et sur les derechazos et la musique joue. Elle est encastée, mais imperceptiblement distraite que la technique du torero garde dans la muleta.

Carlos Olsina exprime de la joie avec cette vache. Clovis Germain et Hugo Tarbelli profitent aussi des qualités de la vache. Le public quitte les arènes avec le sourire sous le soleil printanier.

Photographe Nicolas Couffignal texte E.C

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