Mois : mars 2024 Page 10 sur 18

Lola de Maria et Diego Bastos en triomphe à Lora del Rio

Lora del Río (Sevilla).  Novillada avec picadors. Lleno.

 Novillos de Castillejo de Huebra, bien presentés, le cinquième vuelta al ruedo

Lalo de María, deux oreilles et deux oreilles et la queue

Diego Bastos, deux oreilles et deux oreilles et la queue

Manuel Casado, oreille et ovation

le banderillero El Gallo a été touché par le sixième et transporté à l’hôpital pour une cornada interne.

Almagro, succès de la terna

Nouvelle porte du prince pour Marco Përez

Almagro (Ciudad Real) – 

Novillos de Julio A. de la Puerta, de bonne présence et de grand jeu. 

Aarón Infantes, deux oreilles et oreille; 

Marco Pérez, oreille et deux oreilles

Javier Zulueta, deux oreilles et oreille. 

Cercedillas, copa Chenel: oreille por coleta

Plaza de toros de Cercedilla, Madrid. Deuxième du certamen de la Copa Chenel. 1/2 arène.

Toros de Alcurrucén et El Vellosino.

LUIS DAVID ADAME, oreille et ovation et saluts.

ALEJANDRO FERMÍN, ovation et saluts et oreille.

CRISTIAN PÉREZ, vuelta al ruedo et oreille.

Tienta de Plaimont

Valence: un sentiment d’inachevé

Valence: l’image du jour, le brindis de Sébastien à Enrique

Plaza de toros de Valence, sixième de la Feria de Fallas. Lleno de ‘No hay billetes’.

Toros de Victoriano del Río,

SEBASTIEN CASTELLA, ovation et silence après avis. 

• ROCA REY, silence après avis et oreille après deux avis. 

• PABLO AGUADO, ovación y silencio tras aviso. 

Les banderilleros José Chacón et Luis Blázquez ont salué au quatrième.

C’était le premier des deux cartels trois étoiles de la féria et le coso de la calle Jativa avait fait le plein. Les toros de Victoriano del Rio n’ont pas permis à l’événement d’atteindre la plénitude espéré. Mal présentés, inégaux et justes de trapio plusieurs Victoriano furent protestés à leur sortie: troisième, cinquième et sixième. Ils n’eurent pas non plus la noblesse attendue hormis le cinquième de peu de force. Le quatrième violent à la pique s’avéra dangereux par la suite: bronco et avec du genio. Le troisième renversa le picador de Trebujena Salvador Nuñez; il fit illusion mais ne dura pas.

Très concentré Sébastien Castella fit face à un lot complexe de peu d’option. Il le conduisit avec entrega et surtout une précision remarquable, une efficacité et une sureté que personne ne lui contestera. Son premier quite par chicuelinas très apprêtées donna le ton de cette après-midi où les toros ne lui firent pas de cadeaux: le premier par son absence de transmission, le second par le peligro sordo qu’il a développé. Castella sut les deux fois résoudre ces difficultés et imposer sa loi d’airain, ce dont le public le gratifia. Il salua au premier toro qu’il avait brindé à Enrique Ponce présent dans le callejon.

Invincible l’entrega de Roca Rey qui possède la fougue de la jeunesse et qui sans aucun doute était à la base du llenazo sur les tendidos. Il assume le rôle de numéro un qu’il a gagné depuis le départ du Juli avec un esprit de décision remarquable et ainsi il compte bien garder ce trône si difficile à porter. Son engagement séduit évidemment le public par sa générosité mais la construction de ces faenas plairont aussi à l’aficionado par leur lucidité: la seconde hier fut un modèle du genre, terminée à màs, à droite sur la corne la plus spectaculaire négligée jusque là. Andrés nous gratifia aussi de son toreo un tantinet tremendiste: redondos, muletazos à genoux, arrucinas inattendues auxquelles personne ne peut rester insensible. Il tua d’une entière le second et il y eut pétition de deux oreilles mais la présidence résista car l’animal ne tomba qu’à l’ultime moment, à la fin du second avis.

Détails précieux de la part de Pablo Aguado un des toreros les plus intéressants du circuit. Il porte sur ses épaules la grande tradition du toreo sévillan qu’il exprime avec bonheur à la cape surtout: quelle lenteur! quelle harmonie! quelle sens de la cadence! A la muleta également il nous gratifia de magnifiques trincherillas lascives, de doblones élégants, d’ayudados sculpturaux. Tout cela reste un peu isolé, décousu et Pablo a encore trop de lacunes à l’épée. Ces défauts on le sait vont de pair avec les qualités ces toreros artistes qui ont leur public. Peut-on vaincre le signe indien.? A quand la grande faena, complète, de Pablo dans une arène qui ne soit pas la Maestranza de sa Séville natale? Nous serions alors, nous aussi, devenus Aguadistes. En attendant, l’admiration se mêle à un certain scepticisme.

Au total une tarde intéressante avec un sentiment d’inachevé en raison de la médiocrité du bétail.

Pierre Vidal

Club taurin Monteblanco à Montblanc

“Vendredi soir 15 mars 2024 le Club taurin Monteblanco à Montblanc (34) organisait une rencontre avec André Roques, animateur du CPAC (Corps des Présidents et Alguazils de Corrida). On notait une belle exposition de photos de Jean-Pierre Albouy alias TIM sur les débuts de carrière du maestro Christian Parejo et de son apoderado Tomas Cerqueira ; ainsi que la présence de deux élèves de l’École taurine de Béziers Luis Torres et Estaban Navarro. Notons aussi l’intervention de Leonie Noyer secrétaire de la Pena de Christian donnant les dates des arènes où il se produira Remarquons aussi l’intervention de Leonie Noyer secrétaire de la Pena de Christian donnant les dates des arènes où il se produira au début de la temporada 2024…”
Lo taure roge

Valence: fluctuat Neck mergitur

Plaza de toros de Valence. Corrida de toros mixte. Cinquième de la Feria de Fallas. Deux toros d’entrée.

Toros de El Capea et Carmen Lorenzo (rejones), Juan Pedro Domecq y novillos de Talavante (3º et 6º),

PABLO HERMOSO DE MENDOZA, palmas et oreille.

MORANTE DE LA PUEBLA, ovation et silence.

NEK ROMERO, oreille et vuelta al ruedo  après avis.  

José Manuel Mas a été blessé par corne en trébuchant après une pose de banderilles au troisième toro. Il est passé à l’infirmerie puis conduit à l’hôpital.

Véritable patchwork taurin, le montage de cette corrida (?) ne valut que par l’entrega du jeune Neck Romero. Il eut la chance de tomber sur un excellent novillo de Talavante, combatif, mobile, spectaculaire, sans danger. Le second toro de Capea est à louer aussi pour la race et la continuité qu’il a montrées au cheval. Noble mais fade le premier Juan Pedro, éteint le second.

Les adieux de Pablo Hermoso de Mendoza se présentent comme un pensum que l’on va imposer au public durant toute la saison après ses succès mexicains. Certes on ne discute pas le talent de celui qui a révolutionné le rejoneo mais il ne surprend plus personne, sa cavalerie n’a plus le brio des précédentes et lui n’a pas la rage de triompher qui l’animait. C’est devant un public respectueux mais distant qu’il évolua sans jamais forcer son talent même si la sortie de « Berlin » au second passage releva le niveau. Deux rejons traseros, le second lui assurant un succès mitigé pour cette despedida fallera.

Des intentions chez Morante de la Puebla qui brilla à la cape à son premier passage avec des véroniques de sous les fagots et une média de « cartel ». Les fans se prenaient à rêver mais leurs désirs tourna court; le toro baissant rapidement; la faena bien débutée en gagnant le centre ne transmis que peu de chose : sans véritable poids ni continuité malgré quelques détails plaisants. Le second Juan Pedro sortit noble lui aussi mais ne dura pas, prenant deux piques en se défendant. El de la Puebla abrégea avec sagesse: rien ne sert de perdre son temps…

C’est en réalité la fraîcheur, la détermination du jeune Neck Romero qui releva la tarde. Il passait pourtant après deux icônes congelées ce jour-là. Sans complexe il fit preuve d’une grande variété au capote alternant des chiculelinas apprêtées, des tafalleras et cordobesinas –rarement données, ces dernières- avec talent rématant avec de spectaculaires revoleras. Plus d’agilité que de sentiment diront certains mais il sut connecter avec le public. La première faena donnée des deux bords dans de longues séries par le bas emporta l’adhésion. Il tua d’une entière desprendida et ne put couper qu’une oreille. Face au dernier, retors et querencioso, il donna tout terminant à genoux dans les tablas. Une autre épée desprendida, il aurait pu couper un nouveau trophée si le toro ne s’était relevé à trois reprises: adieux veaux, vaches, cochons, puerta grande… c’est la loi du genre. Fluctuat Neck mergitur, comme disent les forts en thème: sans triompher Neck n’aura pas sombré…. il a m^me laissé une bonne impression..

Pierre Vidal

Orthez: Cartel de la novillada de la journée taurine du 28 juillet 2024…

Pour les 100 ans de BARCIAL, les “Patas blancas” seront lidiés par Le Jerezano Miguel Andrades, novillero con alegría, spectaculaire aux banderilles, puissant à la muleta, imposant à l’épée. Et par le natif de la Province de Guadalajara, Cristian « CID DE MARÍA », novillero « de verdad » alliant la classe à l’état pur à un toreo en profondeur. Rendez-vous le dimanche 28 juillet 2024 à 11h…

(Communiqué)

https://www.facebook.com/reel/401713729131518/?s=single_unit&cft[0]=AZV2Ty4DC7RmYxXcst9CG4T4cfKWsk2rQfugkIX-PeRdXscFifTDeHA93Ye465xC5U_UQPOyWGyH5AyGwddOmnJWIHa7ctglCfbWSy8x7X8-aCHNaD3PPkoajIl7aDA0eiF4k5FFzELGCB8GQfo_042uZ5qjvBtAQVpGJPqUhuFFLXq3Hulzvne7pNMb2cAXQeE&tn=H-R

Valladolid

Fiesta campera le samedi 6 avril 2024 avec le novillero Victor…

En 2023, lors de la première Fiesta campera de notre protégé Victor, nous avons tous partagé un moment émouvant, magique, mais aussi historique avec la venue de la grande Anselma de Séville. 

Cette année, c’est avec un immense plaisir que nous vous annonçons la présence d’un jeune groupe Sévillan n°1 actuellement, CALLE BOTICA, pour leur première apparition dans le sud de la France. 

 Venez vivre ou revivre pour un soir l’Alegría de la Feria de Séville au Mas du Ménage. Avec la prestation de VICTOR lors du tentadero dès 18h. Soirée bodega, tapas. Places limitées, participation de 10€. 

Réservations : Caro du Mas du Ménage 0612137706. Venez nombreux… 

La confrérie Espérance de Saint-Gilles.

(Communiqué)

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