San José del Valle Festival de la féria. Lleno de no hay billetes.novillos de Salvador Domecq et 2 becerros de El Torero
3 novillos de Salvador Domecq et 2 becerros de El Torero
La réjoneadora Léa Vicens deux oreilles
Jesulin de Ubrique deux oreilles
EL Fandi deux oreilles
Le novillero sans picador Dario Cañas blessure au poignet gauche avec suspicion de fracture, transporté à l’hôpital de Jerez pour examen.
Angel Perez silence pour celui tué à la place de Cañas et deux oreilles.
C’est la fête au village au cœur de l’Espagne profonde avec un public passionné mais peu regardant dans ce traditionnel festival qui chaque année fait le plein. Un pèlerinage aux sources qu’il faut faire sans idées préconçues. Bien choisis, présentés modestement, les novillos de Salvador Domecq comme les becerros ont tous donné du jeu ; le cinquième (El Torero) le meilleur.
Léa Vicens n’a pas forcé son talent mais elle a tué d’un rejon d’effet rapide et donc eut droit à ses deux oreilles. Grande démonstration de Jesulin de Ubrique qui a encore de beaux restes. Il fit une démonstration de ce temple dont il a le secret et qui a animé sa belle prestation. Foutage de g… complet du Fandi venu en dilettante bandérillant à cornes passées et toréant sur le voyage. Bien le jeune David Cañas de Prado del Rey mais il abusa de la classe de son adversaire qui finit par l’envoyer à l’hopital de Jerez. Ennuyeux Angel Perez d’Arcos de la Frontera répétitif, superficiel, abusant lui aussi de la bonté de son adversaire. Comme ses camarades il coupa lui aussi deux pavillons. C’était le tarif du Jour.
Pierre Vidal