Vous pourrez prendre connaissance de la missive envoyée par les animalistes du Colbac aux partenaires de « Toros Y Campo » organisateur de l’acte VIII à Boujan sur Libron les 28, 29 et 30 juin 2024. Citantl’article 521-1 du code pénal en « ignorant » volontairement la phrase : « Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. » Ce qui est le cas pour les novilladas boujanaises. Que les animalistes n’oublient pas la réflexion d’ordre général de l’aficionado et écrivain Albert Camus, membre du Club taurin de Paris : « La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité ».