Plaza de toros de Pampelune. 7ème festejo de la Feria del Toro 2024. Lleno de ‘No hay billetes.
Toros de Domingo Hernández,
ALEJANDRO TALAVANTE, ovation et ovation et saluts après pétition minoritaire.
DANIEL LUQUE, ovation et saluts et pétition après avis ovation et saluts après avis.
JUAN ORTEGA, silence et silence.
Les banderilleros Iván García et Jesús Arruga ont salué au second.
Décevante corrida de Domingo Hernandez qui débutait dans le coso de la Misericordia. Elle a fait tâche par rapport à la précédente de Fuente Ymbro. Très inégale de présentation, inexistante sous le peto elle a manqué de race par le suite se montrant de plus, juste de force.
Le toreo superficiel de Talavante son côté vistoso lui a permis d’obtenir un succès relatif à son second passage, l’estocade al encuentro, contraire mais spectactulaire concluant un travail sans profondeur ni relief. Une fois encore l’extremeño s’en tira sin pena ni gloria. Il s’est abonné à la devise cette temporada.
Daniel Luque a fait un effort réel face au second surtout qui état le mieux présenté du lot, âpre, violent développant du sentido. Le torero de Gerena s’est engagé malgré une incompréhension relative des tendidos plus préoccupés de finir le bocadillo de tortilla de baclao de la mémé. Il tua en deux fois et ses espoirs de prîme s’envolèrent; trop vite de notre point de vue.
Débuts en demi-teinte à Pampelune de Juan Ortega décidé certes mais peu à l’aise face à ses opposants et sans doute emprunté dans le vacarme local des peñas qui désormais abordent les drapeaux palestiniens -c’est dire leur sérieux! Le rapport entre la défense de la cause palestinienne et San Firmin laisse perplexe. Le délicat sévillan n’est pas fait pour ce genre de happening qui disons-le a des aspects peu râgoutants.
PV.