Concha d'or pour le réalisateur Albert Serra. Le film, avec le torero Andrés Roca Rey comme protagoniste, remporte le premier prix au Festival de Saint-Sébastien. Ce prix est la récompense la plus importante du cinénma hispanique. Le lobbyè anti avn,ait essayé d'empêcher ce succès mais la qualité du film, son sujet et la charisme de son principal protagoniste ont faiy la différence. Sohaitosn que ce film soit présenté en France et enhorabuena au réalisateur Albert Serra.
Albert Serra : "Le monde est plus complexe qu'être pour ou contre quelque chose"
Albert Serra : "Je ne m'intéresse ni aux causes ni à l'idéologie, seulement au cinéma"
Albert Serra : « La tauromachie n’est pas un divertissement, c’est une valeur positive et il vaut mieux qu’elle existe »
Mois : septembre 2024 Page 1 sur 16
Le festival qui clôturera la saison le 12 octobre à la Real Maestranza de Séville compte désormais ses ganaderias : Fuente Ymbro, Núñez del Cuvillo, Zacarías Moreno, El Parralejo, El Vellosino et Jandilla.
Le cartel est composé des toreros Morante de la Puebla, Diego Urdiales, Daniel Luque, Oliva Soto, Pablo Aguado et du torero Javier Zulueta.
La célébration a été organisée par l'empresa Pagés et bénéficiera à l'action sociale de la Confrérie des Tsiganes et de l'association Nuevo Futuro Sevilla. En outre, à cette occasion, le festival rendra hommage au maestro Curro Romero pour son parcours et son lien avec cette confrérie.
L’exposition « Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris » propose une immersion fascinante dans le dialogue entre tradition et création contemporaine. Elle met en lumière un riche éventail d’œuvres réalisées par des artistes contemporains tels que Laurent Arpinon, Chrislaine Dupuy, Méryl Fortunat-Rossi, Quentin de Ladelune,William Lentz, Eugénie Martinez, Revilla, Swan Soto, Jonathan Veyrunes, Claude Viallat, Jean Villevielle, ainsi que des pièces historiques de collection. Cet événement invite à une exploration profonde de l’art tauromachique, à travers des médiums variés allant de la peinture à la photographie, en passant par la sculpture, la vidéo, la performance, la sérigraphie et d’autres expressions artistiques. Certaines œuvres littéraires ayant nourri la réflexion autour de ce projet seront également mises en avant.
Prenant pour fil conducteur l’œuvre de José Bergamin, La solitude sonore du toreo (1981) l’exposition aspire à faire ressentir l’omniprésence du taureau, bien qu’absent physiquement de l’arène. L’auteur y dévoile la relation intense et exaltée qui se tisse entre le torero et le public lorsque l’animal fait son apparition. Dès cet instant, les protagonistes de la corrida – mozos d’espada, picadores, et autres acteurs – s’animent dans une chorégraphie millimétrée où chacun occupe un rôle précis, du président dans sa loge aux alguazils dans leur couloir.
Plus qu’une simple célébration de la beauté et des mouvements subtils de la corrida, cette exposition engage également une réflexion profonde sur les dimensions esthétiques, émotionnelles, historiques et sociétales de cet art séculaire, interpellant ainsi le spectateur sur son sens et sa portée dans le monde contemporain
jeu. 17 oct. Paris
Avant-première : Exposition – Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.
[Sous invitation]
ven. 18 oct. Paris
Portes ouvertes : Exposition – Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.
[Sans réservation]
La date et l’heure sont à définir
Paris
Table-ronde : Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.
[Sous réservation] En direct sur Instagram + Enregistrement vidéo publié sur notre site.
La plaza portative maintenant fixe d’Arcos de la Fontera avait fait le plein et ce malgré la féra de Séville à quelques encablures. Et il faut admettre que le public ne s’est pas trompé nous avons vu plus de toros de combats que je n’ai pu en voir ces deux derniers jours à la Real Maestranza. Notons toutefois quelques défauts d’organisation l’empresa avait tout simplement oublié les alguazils qui furent absents au paseo, on alla chercher une jeune fille de dix ans à peine pour remettre les trophées et la pauvre parut bien perdue dans le ruedo.
Six pensionnaires de Las Monjas remarquablement présentés pour une placita de quatrième catégorie, tous encastés certains avec un peu de genio; les trois derniers d’une grande noblesse encastée, ont permis aux trois toreros du jour de s’exprimer, il faut signaler, et c’est rare que les six, sont morts la bouche fermée
David Fandilla« El Fandi » une oreilles et deux oreilles après avis
Octavio Chacon une oreille et deux oreilles et la queue après avis
David de Miranda une oreille et deux oreilles et la queue
C’est un superbe exemplaire sort en premier lieu qui d’entrée montre sa cas et ses complication au Fandi dés la réception au capote par véroniques. Après avoir bandérillé à sa manière, le Fandi entame par doblones. Le toro peu piqué est resté très cru et proteste à chaque sortie de passe, il se révèle quasi intoréable à gauche pour cause de derotes incessants. Le retour à droite est laborieux la demi efficace permet l’octroi d’une oreille.
A son second même problème de défaut de premier tiers, semble-t-il pour permettre un tercio de banderilles plus appuyé. Heureusement pour le torero le toro est d’une noblesse infinie et permet une faena fleurie sur les deux bord marquée par de longues circulaires parfaitement templées.
Le premier d’Octavio Chacon est un vrai toro de combat bien décidé à ne pas s’en laisser compter ; il charge tout ce qui se présente à son regard, l’accueil par véroniques et chicuelinas est déjà un exploit. Il n’y aura qu’une seule pique mais particulièrement dure et longue en poussant très fort. L’entame se fait par doblones mais le toro derrote en direction de la main du torero qui se retrouve désarmé et en danger à plusieurs reprises. Octavio n’est pas un débutant et il est bien décidé à dominer. C’est un combat de vaillant qui s’ouvre, Chacon fera tout pour en sortir vainqueur et son adversaire ne lui facilitera pas la tâche. Peu à peu le toro se rend et le desplante final à « cuerpo limpio » prend toute sa valeur. Chacon entrera « a matar » comme un mort de faim pour finalement porter une estocade contraire qui lui vaudra l’oreille du courage.
Le second exemplaire nous permet de retrouver le grand artiste qu’est Octavio Chacon. Le toro galope dans la muleta démontrant à la fois caste et noblesse. Très vite le temple prend le dessus : Les séries sont courtes mais d’une grande douceur et révèlent les qualités du maestro et de son opposant du jour. L’estocade est un peu longue à agir mais n’empêche pas les trophées maximums, il faut reconnaître que la présidence en l’occurrence le Maire du village et son premier assesseur, président le la peña Chacon locale, ne sont pas trop difficiles à convaincre.
David de Miranda est trop souvent oublié des grands cartels et pourtant quel bon torero! Une fois de plus il en a fait la démonstration, Grand au capote il emmène son premier au centre par de belles véroniques. L’animal est compliqué très encasté il va au cheval seul et prend une pique très appuyée, coincé contre la barrière le piquero s’acharne violant au passage un certain nombre d’articles du règlement. Pourtant malgré ce traitement le toro garde toute sa combativité et sa force; lui aussi mourra la bouche fermée après avoir éprouvé son torero. Il faut trouver des solutions face à un animal qui refuse d’humilier et garde la tête haute. Malgré cela De Miranda poursuit sans reculer et finit par dessiner une faena de belluaire. L’épée est en arrière et plate mais suffisante pour couper un pavillon.
Le dernier de l’après midi, un beau colorado, est certainement le meilleur toro le plus complet et il paraît étrange de ne pas lui avoir accordé une vuelta à ruedo mérité alors que certains avaient timidement demandé la grâce. David de Miranda ne pouvait pas passer à côté d’un tel toro tout en bravoure et en noblesse. Il a dessiné une faena puissante et dominatrice en douceur et en lenteur. Nous avons dégusté du très bon toreo. Le final par manoletinas de face est une perfection du genre. L’estocade est portée avec fermeté et précision et ici encore les trophées maximums seront accordés. La sortie à hombros des trois toreros se fera dans une ambiance plus que festive.
Un fois encore alors qu’à Séville on s’ennuyait ferme, à Arcos l’aficion se réjouissait.
Jean Dupin
Zafra (Badajoz) deuxième de Feria
Toros de Virgen Maria para
Sébastien Castella pour Roca Rey 2 oreilles et oreille,
Alejandro Talavante oreille et deux oreilles
Juanito 2 oreilles et rabo et oreille
Plaza de toros de Corella, Navarra. Corrida de toros. Casi lleno.
Toros de Antonio Bañuelos,
• ANTONIO FERRERA, oreille et vuelta al ruedo.
MANUEL ESCRIBANO, oreille et oreille.
ROMÁN, oreille et oreille
Plaza de toros de Vera, Almería.
Toros de José Luis Marca.
EMILIO DE JUSTO, oreille et ovation.
DAVID GALVÁN, deux oreilles et oreille.
FERNANDO ADRIÁN, oreille et deux oreilles.
Arnedo, La Rioja. Deuxième del ‘Zapato de Oro’. 1/2 entrée.
Novillos de Guadalmena, le 2ème vuelta al ruedo
CRISTIANO TORRES, oreille et vuelta al ruedo.
AARÓN PALACIO, deux oreilles et oreille
JAVIER ZULUETA, vuelta al ruedo et ovation
Arènes d’Úbeda , Jaén Demie-entrée.
Des novillos de Núñez del Cuvillo.
MARCO PÉREZ, oreille et deux oreilles.
MARTÍN MORILLA, vuelta et ovation.
ANGEL DELGADO -qui fait ses débuts avec les picadors-, ovation et oreille.
Arènes d’Algemesí , Valence . Dernière de la Setmana de Bous. Leno.
Novillos de Campos Peña , n
ANDRÉS ROMERO, ovation et oreille.
FERRER MARTÍN, silence et oreille.
Arènes de Pozoblanco , Cordoue. Deuxième de la Féria. Rejoneo.
Taureaux de Montalvo, bien présentés et d’un jeu remarquable dans l’ensemble.
RUI FERNANDES, oreille et oreille.
ANDY CARTAGENA, ovation et deux oreilles.
DIEGO VENTURA, deux oreilles et deux oreilles.
Plaza de toros de La Real Maestranza de Caballería de Sevilla. Troisième corrida de la Feria de San Miguel 2024. Lleno. Toros de El Capea (1º y 4º) et Hnos. García Jiménez,
PABLO HERMOSO DE MENDOZA, palmas et oreille.
JUAN ORTEGA, ovation et ovation.
PABLO AGUADO, silence et ovation.
Les banderilleros Juan Sierra et Sánchez Araujo ont salué au 3ème.
Tarde presque aussi grise que celle de la veille.
Heureusement, il y avait le grand Pablo Hermoso de Mendoza, qui a une nouvelle fois rappelé quel énorme cavalier, lidiador et dresseur de chevaux il était. Ses deux prestations superbes devant des toros d’El Capea regular ont malheureusement été gâchées au rejon de muerte notamment à son premier (6 mete y saca ou pinchazos !). Mais l’ovation finale après concession d’une oreille de despedida était sincère et venait du coeur de Séville.
Heureusement aussi, il y avait les capes: celle de Juan Ortega, d’abord auteur de 5 véroniques d’anthologie à son premier qui mettent la Maestranza à ses pieds. Mais hélas, ses adversaires mansotes, sans jus ne lui permettront pas le triomphe qu’il aurait pu chercher ici.
Autre jeu de cape superbe, celui de Pablo Aguado, qui propose au 6 ème toro manso réfugié au soleil une lidia exceptionnelle à la cape par des passes énergiques qui font réagir le toro : ce ne sont pas des véroniques léchées, mais la Maestranza hurle! Pour le reste pas grand chose devant des adversaires vides de force et de caste.
La temporada de séville est presque terminée (il reste le festival du 12 octobre) il serait souhaitable que l’empresa en fasse une bonne analyse.
Jena Yves Bloin texte et photos
Plaza de toros de Las Ventas, Madrid. Deuxième de la Feria de Otoño 2024. 13. 568 spectateurs.
Novillos de José González, Condessa de Sobral, Guerrero y Carpintero, Quintas, Baltasar Ibán et Ángel Luis Peña,
VILLITA, ovation après avis et silence.
JESÚS MORENO, silence et silence après avis
DIEGO BASTOS, silence et silence
Roca Rey sera absent ce dimanche soir à Zafra en raison du coup reçu à la cheville droite mardi à la Feria de San Mateo à Logroño. Il sera donc relmplacé par Castella qui défilera en compagnie de Talavante et Juanito. Toros de Virgen Maria.
Championnat de France des écarteurs et des sauteurs ce dimanche sous le soleil dans des arènes de Dax pleines au 2/3.
Podium écarteurs :
Jérôme COSTARRAMONE
Julien GUILLÉ
Gauthier LABEYRIE
Podium sauteurs :
Kevin RIBEIRO
Louis LARRERE
Bastien MEUNIE