Photo : Bruno Lasnier

Arene de Parentis-en-Born. Pratiquement plein. Six novillos de José Cruz

Aarón Palacio : une oreille et une oreille

El Mene : une oreille et deux oreilles

Javier Zulueta : une oreille et une oreille

Cette novillada a régalé les spectateurs nombreux dans les gradins. Les novillos ont donné du jeu et les novilleros en ont profité pour offrir un beau spectacle chacun dans son registre. Aarón Palacio un cran vraiment au dessus de ses compagnons au cartel. Alors, oui, chaque novillo n’a pris qu’une pique mais en poussant pour certain d’entre eux. Ils étaient tous bien présenté, le dernier était un vrai taureau de corrida. Ils ont montré parfois de la faiblesse mais ont récupéré au dernier tier pour permettre aux novilleros de s’exprimer. Le ganadero a envoyé un lot pour triompher et les hommes ont assuré. Il a peut être manqué par moment le grand frisson et l’émotion indescriptible (mais c’est tellement rare..) Ne boudons pas notre plaisir en coupant le cheveux en quatre et profitons de ces moments dont l’aficion et la tauromachie a besoin.