Le mardi 2 septembre, le torero péruvien Robert Alexander Copertino Gavino, dit « Alex Gabino », âgé de 28 ans, a été grièvement blessé après avoir reçu un violent coup de corne qui lui a laissé des blessures à la cuisse, à l’abdomen et à l’aisselle. Il est décédé.
L’incident s’est produit lors d’un festival en l’honneur de Santa Rosa de Lima, organisée dans les arènes improvisées du quartier de Chiquián, à Bolognesi (Ancash). Le taureau — selon le site web Perú Taurino —, appartenait à l’élevage Rupay.
Roca Rey a déclaré : « Que Dieu te bénisse, torero ! Ta disparition est une profonde tristesse pour la tauromachie péruvienne et internationale. Tu es un exemple d’amour et de passion. Tu as donné ta vie pour ce que tu aimais : la tauromachie. La tauromachie est pure, authentique, magique, belle et très dangereuse partout : en Espagne, en France, au Mexique, au Pérou et en Chine »
Pour son retour après sa blessure à Bayonne le 31 Aout, Antonio Ferrera a gracié un taureau. Plaza de Toros de Barcarrota, Badajoz – Toros de Juan Albarrán, le quatrième a été gracié. Un cartel de toreros banderilleros véterans qui assure. Antonio Ferrera, deux oreilles et deux oreilles et queue symboliques. El Fandi, deux oreilles et queue et deux oreilles; et Manuel Escribano, deux oreilles et deux oreilles.
Plaza de toros de Villena (Alicante). Corrida de toros. 1/4 d’arène. Toros de Julio de la Puerta de jeu inégal. Meilleur les trois derniers SEBASTIÁN CASTELLA, applaudissement après avis et une oreille
BORJA JIMÉNEZ, silence après avis et une oreille
TRISTÁN BARROSO, silence et deux oreilles. Une faena engagée au sixième toro et une bonne estocade
Plaza de toros de Villarrubia de los Ojos (Ciudad Real). Corrida de toros. Llleno. Toros de Fermín Bohórquez (1º y 4º) et de Santiago Domecq, bien présentés et de bon jeu, le cinquième à fait un tour de piste posthume.
• LEA VICENS, deux oreilles et silence
• CAYETANO, ovation et deux oreilles
• MARCO PÉREZ, deux oreilles et queue et deux oreilles
Sixième novillada de l’Alfarero de Oro 2025. environ 3/4 d’arène. Les novillos d’Ana Romero étaient bien bâtis et intéressants avec parfois des complications. Les troisième, quatrième et cinquième on eu de la mobilité.
• EL MELLA, silence et silence
• CRISTIANO TORRES, ovation après avertissement et ovation. L’échec avec l’épée ne lui permet pas de couper une oreille à chaque toro.
• IGNACIO CANDELAS, silence et silence
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La loi, signée par le président Gustavo Petro en juillet 2024, a établi une période de transition de trois ans pour concevoir un programme de restructuration économique pour les personnes touchées par l’arrêt de la tauromachie.
Demain à Villaseca El Mene prendra seul les six Novillos de Montealto. Aarón Palacio n’est pas remis de sa blessure jeudi dernier au tibia à Tarazona de Aragón.
Il doit prendre son alternative à Nîmes le 20 Septembre 2025.
Juan de Castilla a quitté mercredi soir la clinique Belharra de Bayonne. Il veux revenir le plus vite possible devant un taureau. Il est annoncé à Dax le 13 septembre.
Antonio Ferrera moins gravement touché a quitté la même clinique lundi. Il pourrait reprendre le 6 septembre à Cortegana dans la province de Huelva.
photo Cultoro
Le Torero d’Albacete José Fernando Molina a demandé aujourd’hui à quitter la clinique sous sa responsabilité. Il veux toreer la corrida du 8 septembre. Cartel : Taureaux du Condé de Mayalde pour Fortes , « Molina » et Samuel Navalón.
Pedro Luis. Photo Bruno Lasnier.Pedro Luis. Photo Bruno Lasnier.
Bayonne. Samedi, matinale. Arènes de Lachepaillet. Deuxième de la Feria del Atlántico. Moins d’un quart.
Novillos de El Montecillo. Tous plus de 480 kilos. Avec parfois de fortes piques, interessants et exigeants pour les novilleros.
Photo Bruno LasnierPhoto Bruno LasnierPhoto Bruno Lasnier
Cristiano Torres: Tour de piste après pétition et bronca au president et tour de piste après deux avis. Son premier novillo est le plus faible du lot et il ne peut pas nous montrer ses capacités mais il tue d’une bonne estocade au 1er essai. Il profite bien des qualités de son second novillo et nous montre alors l’étendue de son talent. Malheureusement plusieurs tentatives ratées avec le descabello vont l’empêcher de couper..au moins une oreille.
Photo Bruno Lasnier
Martín Morilla: Silence après avis et silence après avis. Assez transparent aujourd’hui le protégé de Juan José Padilla qui a peu montré envie et courage mais plutôt sa peur devant il est vrai un lot de taureaux sérieusement présenté..mais pas plus que ses collègues de Cartel.
Photo Bruno LasnierPhoto Bruno LasnierPhoto Bruno Lasnier
Pedro Luis: Oreille et applaudissements après avis. C’est le novillero qui nous a paru le plus complet et le plus à l’aise ce matin. Ce garçon est intelligent et courageux et sait manier la muleta des deux mains même avec un taureau compliqué. Il rate la grande porte car le sixième taureau est réfugié dans les planches et il est difficile à tuer. Il avait déja triomphé a Bayonne. Un novillero péruvien à suivre de prêt. Il a dernièrement été très remarqué début juillet à Las Ventas.
La Peña Taurina Côte Basque a remis le prix du quite le plus artistique à Pedro Luís.
Photographies Bruno Lasnier.
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Arene de Parentis-en-Born. Pratiquement plein. Six novillos de José Cruz
Aarón Palacio : une oreille et une oreille
El Mene : une oreille et deux oreilles
Javier Zulueta : une oreille et une oreille
Cette novillada a régalé les spectateurs nombreux dans les gradins. Les novillos ont donné du jeu et les novilleros en ont profité pour offrir du spectacle chacun dans son registre. Aarón Palacio un cran vraiment au dessus de ses compagnons. Alors, oui, chaque novillo n’a pris qu’une pique mais en poussant pour certain d’entre eux. Ils étaient tous bien présentés, le dernier était un vrai taureau de corrida. Ils ont montré parfois de la faiblesse mais ont récupéré au dernier tier pour permettre aux novilleros de s’exprimer. Le ganadero a envoyé un lot pour triompher et les hommes ont assuré. Il a manqué par moment le grand frisson et l’émotion indescriptible (mais c’est tellement rare..) Ne boudons pas notre plaisir en coupant le cheveux en quatre et profitons de ces moments dont l’aficion et la tauromachie a besoin. Bravo aux organisateurs des novilladas de Parentis-en-Born.