Auteur/autrice : Pierre Vidal Page 10 sur 128
L’ensemble de la Ganadéria vous donne rendez-vous demain, pour la course prévue à Saint-Loubouer à 16h.
Un moment particulier, qui rendra hommage au pilier de la Ganadéria
Originaire de Béziers, le metteur en scène Jean-Baptiste Tur a grandi à distance de la tradition taurine que la ville porte lors des férias, avec un sentiment ambivalent. Un jour sa curiosité l’a poussé à entrer dans les arènes pour découvrir cette pratique. Au-delà du folklore et de la tradition, qu’est-ce que ce rendez-vous singulier dit de la construction humaine et sociétale, de son rapport au spectacle cathartique, aux tabous, à la mort ou à la domination ?
Pour étudier cet univers extrêmement codifié de la tauromachie, à la fois fascinant et répulsif, Jean-Baptiste Tur a fait une plongée documentaire en Occitanie. Là, il rencontre des matadors professionnels, leurs proches, les élèves des écoles taurines d’Arles, de Nîmes et de Béziers…
Et puis il y a eu la rencontre décisive avec l’acteur David Ayala, chez qui cette thématique résonne et fait écho à son enfance arlésienne, à l’histoire de son père, figure du monde taurin, à son parcours d’artiste. La mise en scène de Jean-Baptiste et l’écriture du texte par Azylis Tanneau dépassent ainsi le sujet initial et touchent à l’intime et à l’universel via la fiction : la mort, le deuil, les origines territoriales qui nous fondent et nous poursuivent, le poids de l’échec, les rêves de gloire… et de lumière !
Texte Azilys Tanneau et Jean-Baptiste Tur, mise en scène Jean-Baptiste Tur, collaboration artistique Gabriel Tur, assistant à la mise en scène Joris Rodriguez, avec David Ayala, musiciens Thomas Delpérié, Pierre Borel, et la participation d’une fanfare amateure, scénographie Emmanuelle Debeusscher, création lumière Jimmy Boury, création son Jules Tremoy, création vidéo Marine Cerles, images Clément Delpérié, , direction de production et développement Nathalie Carcenac.
Production Le Grand Cerf Bleu. Coproduction Le Cratère scène nationale d’Alès, Le Printemps des comédiens Domaine d’O, Théâtre de Châtillon. Aide à la résidence Théâtre des franciscains à Béziers. Avec le soutien et la collaboration des Écoles taurines d’Arles, de Nîmes et de Béziers
Le Grand Cerf Bleu est compagnie associée au Cratère scène nationale d’Alès. Jean-Baptiste et Gabriel Tur sont artistes résidents au 104 à Paris. La création DE LUMIÈRE a obtenu l’aide à la production de la DRAC Occitanie. La compagnie Le Grand Cerf Bleu est soutenue par Le Ministère de La Culture-DGCA pour le programme d’aide à la création mutualisée en musiques actuelles pour la création MONADE, La Drac Occitanie, La Région Occitanie sur les aides à la création, les crédits Politique de la Ville pour l’ensemble des actions en direction des publics à Béziers.
mar 5 Nov 2024 20h30
- Salle d’à côté
mer 6 Nov 2024 20h30
- Salle d’à côté https://lecratere.fr/spectacle/de-lumiere/
Tentadero pédagogique à Vallabrègues (30) le samedi 16 novembre…
C’est dans les salons de la mairie, que l’affiche a été dévoilée par Bertrand Pujol, l’instigateur du projet, en présence de Mr. Jean-Marie Gilles, maire de la commune, de sa 1ère adjointe, Mme Sylvie Rossignol-Put, entourés de nombreux participants, les ganaderos Jacques Giraud et son mayoral, Edouard Belmaure, ganadería Mroz, Mathias Sauvaire « Matias », le recortador Romain Aquillon, Robert Lacroix… Rendez-vous aux arènes de Vallabregues le samedi 16 novembre à 10h30 pour assister à une tienta pédagogique avec cinq novillos et une becerra des ganaderías de Mroz, Jacques Giraud et Raphaël Chaubet, à charge des matadors de toros Andy Younes et Maxime Solera, du novillero franco-mexicain César Fernández « El Quitos », du práctico et organisateur Bertrand Pujol, et du raseteur et práctico, Belkacem Benhammou. Les recortadores Guy Sadji et Romain Aquillon écarteront les novillos et la becerra.
Le but de cette initiative à laquelle participe également le club taurin local Lou Vincen, est de faire découvrir et partager les tauromachies dans un village ancré depuis longtemps dans les traditions camarguaises et avec les bénéfices, les faire découvrir aux scolaires des proches alentours, lors notamment d’un spectacle mixte d’initiation fin juin, pour les fêtes de Vallabrègues.
Vente des tickets : Bar du cours et Bar des Platanes à Vallabrègues – La mairie de Mas Blanc des Alpilles. Une tombola sera aussi mise en place pour l’occasion…
(Communiqué)
Le 10 novembre la PENA TORO BLANCO organise sa traditionnelle fiesta campera. Vous y retrouverez entre autres le maestro el Rafi face à un novillo des frères Jalabert.
A cette occasion nous vous donnons rendez vous le Samedi 09 novembre à partir de 19h00. Nous recevrons El Rafi et l’éleveur Philippe Bats ganadero de chez ALMA SERENA pour un moment d’échanges et la remise d’un prix un peu spécial. Tapas y bebidas seront bien entendues de la partie et la soirée se poursuivra avec la diffusion du match de rugby France – Japon.
𝐂𝐀𝐑𝐍𝐄𝐓 𝐍𝐎𝐈𝐑
C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons ce matin le décès de 𝐉𝐞𝐚𝐧-𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬 𝐃𝐞𝐲𝐫𝐢𝐬.
C’est un monument de la Course Landaise qui vient de nous quitter. Jean-Louis Deyris était un homme de passion, de conviction, d’émotion. Il était la générosité même. Cette grande figure de notre Gascogne coursayre incarnait pleinement notre belle tradition avec quelques petits défauts certes mais surtout une montagne de qualités qui faisaient de lui un homme que l’on n’oubliera pas et qui nous manquera.
Aujourd’hui, sous un triste ciel de pluie, c’est tout notre grand petit monde qui prend le deuil et pleure un des siens parti trop tôt.
Merci 𝐉𝐞𝐚𝐧-𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬 pour tout ce que tu as apporté à la Course Landaise. Tu resteras à jamais dans toutes les mémoires.
Le Président Fédéral, Patrice Larrosa
Franck Etcheverry – Pickwicq photographies – Peyrelongue Peio
Après le décès du ganadero amallois qui va tant manquer à l’univers de la Course Landaise, la réaction de Michel Puzos dans Course Landaise Magazine:
https://www.facebook.com/MpCourselandaisefb
« La disparition subite de Jean-Louis Deyris est un séisme, pour la course landaise bien sûr, pour sa famille, ses proches et tous les coursayres. Et sans doute n’y a-t-il pas de mots assez forts pour traduire peine et tristesse.
Au delà du ganadero passionné qu’il était et qui a beaucoup apporté à la course landaise depuis les années 70, Jean-Louis Deyris était un personnage haut en couleur qui ne laissait personne indifférent.
Lorsque j’ai annoncé ce vendredi matin son décès, j’ai indiqué que « Course Landaise Magazine » retracerait sa carrière, plus de 50 ans d’efforts et de travail pour que la ganaderia aux couleurs « vert et blanc » atteigne les sommets, avec en son sein des noms prestigieux et emblématiques (je pense en particuler à Didier Laplace, Jean-Marc Lalanne, Thierry Bergamo…), des jeunes que Jean-Louis a su former et porter vers les plus hautes marches (je pense ici à Benjamin de Rovère, Nicolas Vergonzeanne, Thomas Marty, Hugo Viney-Thomas, Louis Navarro et plus récemment Jérôme Costarramone), et puis des coursières de renom qu’il a façonnées, farouches et nobles, telles Jacquite, Marie-Laure, Carmencite, Andalouse, Aloha, Folga, Zamora, Naranka, Ibiza et tant d’autres, fleurons de la ganaderia, redoutables en piste, et fierté de Jean-Louis.
Jean-Louis Deyris, c’était un tempérament bien affirmé, parfois rebelle et frondeur, dont les mots pouvaient dépasser la pensée, mais d’une grande générosité, avec « un coeur gros comme ça », une générosité sans faille… et c’est malheureusement ce coeur qui l’a lâché.
Je n’oublierai jamais l’accueil de Jean-Louis, lorsqu’après avoir créé le site je lui avais rendu visite avec Michel Laurensan. Il était intervenu aussitôt auprès de la fédération pour qu’une carte presse nous soit accordée…… je n’oublierai jamais son accueil lorsque nous allions faire des photos avec Pickwicq, toujours le verre de l’amitié à disposition, ou le bon pâté landais…… je n’oublierai jamais, lorsque je lui rendais visite au centre Napoléon à Dax, ce qu’il disait à l’oreille des autres visiteurs qui lui demandaient qui j’étais : « celui-là c’est un bon ».
Parfois il engueulait (et il prenait une amende), parfois il ne vous regardait pas quand il vous serrait la main, mais tous ces petits mouvements d’humeur n’étaient rien face à ses qualités. Jean-Louis Deyris va nous manquer, c’est certain, car il appartenait à une époque glorieuse de la course landaise. L’arrivée de son fils Laurent n’était pour lui que du bonheur, il est parti avec la certitude que tout ce qu’il a forgé va se poursuivre et que les couleurs vert et blanc continueront à se distinguer dans nos arènes.
Merci Jean-Louis pour tout ce que tu as apporté à la course landaise, pour la passion que tu as su transmettre et pour la qualité des spectacles que tu as proposés au public. Ton étoile continuera à briller.«
Michel Puzos
Photo Le Sillon. Jean-Louis Deyris, un éleveur de renom
Le grand ganadero amallois, pilier de la Course Landaise Jean-Louis Deyris est décédé jeudi d’un malaise cardiaque. Il était né le 10 février 1950, son père Paul avait créé la ganaderia à Amou. Il lui avait succédé. Il était présent lors du dernier concours de Dax et la promotion 2024 de sa ganaderia avait été présentée à Bats dimanche dernier avec Rémi Latapy, Chef de Cuadrilla et Théo Castagnon, champion des Jeunes écarteurs 2024. Passionné et chaleureux, Jean-Louis manquera à tous les amoureux de la Course.
A sa famille, à ses amis nombreux nos sincères condoléances.
Comme si les enlèvements, le trafic des narcos, la corruption ne suffisaient pas, le pays que les aficionados a los toros aiment autant que l’Espagne taurine que le Perou ou la Colombie ou le Venezuela, je veux dire le Mexique, s’est doté d’une nouvelle présidente parfaitement anti taurine ,qui ne cache pas son intention d’interdire la corrida en utilisant pour arguments une masse de clichés imbéciles sur la soi- disant protection animale.
Pauvre Mexique, que deviendront les extraordinaires milliers d’hectares sans clôture tant la nature est généreuse , tous ces toros de Santa Coloma qui, si la corrida n’existe pas, disparaitront. Le mot est bien connu : Les toros mourront quand l’Espagne sera déjà morte.J’ai bien peur que le Mexique disparaisse , lui, en laissant disparaitre ce pan entier de son histoire: l’arrivée des toros depuis 1492
Vérité qui vaut tout autant pour le Mexique, si Mexico, Guadalajara, Monterrey, Querétaro Agu scalientes, Puebla Tlaxcala Durango Autlan ne donnet plus de corridas ce sera la fin d’une civilisation , ne riez pas,
Pauvre, pauvre Mexique! qui confie son sort à une antispéciste style Caron, style Petro( ex Farc Colombien désorrmais président de la Colombie,style Podemos…
La señora Scheinbaum , puisque tel est son nom va favotiser la typicité de son superbe pays sans traiter les vrais problèmes et dans le seul but de faire plaisir à quelques jeunes braillards imbéciles qui vous parleront de sang et de torture et que, bien sûr, puisque vous refusez de regarder les choses sérieusement,vous vous laisserez convaincre.
Au Mexique, idiote, où le sang coule t il? où la torture se pratique- t- elle vraiment?
C’est la corrida qui enlève les enfants rançonne les parents, tue les étudiants, corrompt la police assassine sans grand risque d’être puni?
Civilisation des nounours,des dessins d’enfants, des petits coeurs, des bougies ,des parcs d’attraction, tout ce qui va vous arriver , qu’on ne peut décrire, va vous arriver, par niaiserie pour commencer- et ensuite l »inculture dont finalement vous n’avez rien à faire dévorera votre pays..
Dépêchons nous, mes amis, le temps se rapproche où les hommes de grand art et de grand courage n »auront plus le droit d’exposer leur vision du monde en risquant leur vie.
Pour y être allé souvent, y compter des membres de ma famille; je n’arrive pas à croire que les grands éleveurs de toros, les grands toreros comme Adame, S Flores, PB Sanchez, Garibay, Payo, Chihuahua, j Mauricio, d San Roman ne pourront plus exprimer leur vision du toreo
.Viva Mexico,Viva!
Vivan Los toros!
Jean François Nevière