La Féria Anniversaire 2025 se termine ce dimanche 9 mars, avec une affiche féminine, composée de la rejoneadora Estefanía Uribe , Paola San Román et l’Espagnole Rocío Romero , qui confirmera son alternative avec des taureaux de Marrón pour les rejones et Campo Hermoso . Cette course mixte, qui se tiendra un jour après la Journée mondiale des femmes, est un clin d’œil à toutes ces femmes qui tentent de se frayer un chemin dans ce métier difficile.
La célébration servira également à confirmer l’alternative de la Cordouane Rocío Romero , qui a fait ses débuts sans chevaux le 4 avril 2015 dans la ville de Villacarrillo, Jaén, et qui a pris l’alternative le 23 septembre 2023 à Pozoblanco des mains de José María Manzanares et Roca Rey .
Face à l’interdiction des corridas prononcée par le maire de VIEUX-BOUCAU, président de la communauté de communes Macs, et qui constitue un acte d’intolérance et de déni de notre culture et de notre identité, nous devons réagir avec vigueur. Aussi le club taurin de Magescq appelle, pour la défense de notre identité, à la mobilisation des aficionados, des sympathisants aux valeurs qui représentent notre culture, valeurs d’ailleurs partagées par de nombreux autres citoyens de toute la France, installés ou non dans notre région. Venez nombreux à MAGESCQ, participer à la grande journée taurine qui ouvrira la temporada dans les Landes le dimanche 9 mars à partir de 10h30. Vous participerez à un moment de convivialité dans les arènes couvertes et chauffées et vous encouragerez les espoirs de la tauromachie de demain. Vous jugerez des qualités et des progrès des jeunes élèves de Richard MILIAN, des novilleros français Andy MARTIN d’Arles et Hugo TARBELLI de Capbreton. Vous découvrirez pour la première fois en France, David GUTIERREZ de Badajoz, tout récemment vainqueur du Bolsin de Ciudad Rodrigo et qualifié pour la prochaine finale du prestigieux Zapato de Plata d’Arnedo le 23 mars. Nous comptons sur vous !
Dimanche 9 mars 2025 : mobilisons-nous ! Ouverture de la temporada taurine dans les Landes Arènes couvertes et chauffées de MAGESCQ Entrée gratuite à la Novillada pour les moins de 16 ans accompagnés
Voici le programme qui vous attend :
10 h : 30 CAPÉA avec les élèves de l’école Adour Afición, dirigée par le maestro Richard MILIAN. En collaboration avec les Comités Organisateurs de Corridas et Novilladas du Sud-ouest (ACOSO). 12 h : APÉRITIF à la Bodega du Club taurin Cape et Corde 13 h : REPAS LANDAIS dans les arènes couvertes et chauffées Garbure landaise – Confit de canard – Frites – Fromage – Dessert 16 h : NOVILLADA sans picador 6 Novillos de EL PALMERAL, origine Atanasio Fernandez – Conde de la Corte pour : Andy MARTIN – Arles HUGO TARBELLI – Ecole taurine de Navas del Rey DAVID GUTIERREZ – Ecole taurine de Badajoz (présentation en France). Les 3 novilleros seront en compétition pour le prix du triomphateur remis par les membres de l’ACOSO et pour le trophée « Bernard MENARD » remis par les membres du club taurin au novillero le plus méritant de l’après-midi. Ce trophée est une création de Xavier CARRERE. Animation musicale de la novillada : La Mi del Sol TARIF
Capéa gratuite organisée par l’ACOSO
Repas enfant de 10 à 14 ans : 9 €
Repas : 16 € – Novillada : 22 €
Entrée gratuite à la Novillada pour les moins de 16 ans accompagnés RÉSERVATION : 06 08 35 24 42 et 06 26 21 23 82 Organisation : Club Taurin de MAGESCQ – Consultant : Michel BERTRAND ➢ clubtaurinmagescq@gmail.com ➢ www.facebook.com/pages/Club-Taurin-Cape-et-Corde-Magescq ➢ Twitter : @capetcorde
Plaza de toros de Ciudad Rodrigo (Salamanca). Festival. Dernière du Carnaval del Toro. Lleno. Novillos de Alejandro Talavante et un eral de Castillejo de Huebra (4º).
Miguel Ángel Perera, ovation;
Daniel Luque, deux oreilles;
Manuel Diosleguarde, ovation après avis
Le novillero sin picadores David Gutiérrez, deux oreilles.
Paseo retardé de plus de 20 minutes en raison de la pluie.
Deux ans et demi après la novillada de Brocas en 2022, l’association Toros de Landia marque son grand retour avec une journée au campo unique. Le Dimanche 16 mars, la ganaderia La Espera accueillera une tienta menée par Tristan Barroso, espoir de la tauromachie française et futur matador de toros.
Un rendez-vous d’aficion au campo
Dès 11h, les aficionados auront le privilège d’assister à une tienta de deux vaches par Tristan Barroso, offrant un moment clé de la sélection d’une ganaderia brava.
La journée se poursuivra dès 13h avec un repas convivial, sur inscription, comprenant : Assiette de charcuterie Lomo piperade / Patates Tarte aux pommes
El Quitos c’est un nom connu en France, celui d’un matador qui connut son heure de gloire en France dans les années quatre vingt dix où il combattit de nombreuses corridas dites dures. Il se fit de nombreux amis au pays de Marianne, dans le sud-est comme dans le sud-ouest. Ce fut ensuite le découvreur de Joselito Adame, alors jeune prodige et devenu depuis le numéro mexicain comme on le sait. Joselito commença sous sa houlette à Maubourguet alors qu’il était encore en culotte courte. Quitos garda des liens avec de nombreux aficionados français notamment par l’intermédiaire de l’association « Mexico Aztecas y Toros » qu’il reçut dans sa finca mexicaine pour une journée inoubliable. Il est donc bien normal que son fils, César, né à Nîmes, marche sur ses brisées et, porté par le même goût de la découverte, prenne attache dans le sud-est, « cuna del toreo » français.
Nous le retrouvons désormais au Mexique pour une série de compromis. Bien que la situation ne soit facile pour personne dans la tauromachie, encore moins pour les novilleros, César Fernández « El Quitos » est revenu au Mexique pour combattre demain dans les arènes « San Marcos » d’Aguascalientes, dans le cadre de la saison taurine qui se déroule avec tant de succès dans les arènes centenaires de l’ancienne rue Democracia.
Il a fait son septième passage sur la terre de son père, et il sait déjà ce que c’est que d’être blessé à « San Marcos », de triompher dans l’après-midi même, d’être projeté avec une affiche de vainqueurs dans la feria, et d’obtenir la grâce d’un taureau de Las Huertas, comme cela s’est produit l’année dernière. Sa tâche sera donc d’essayer de répéter les exploits que, jusqu’à présent, avec beaucoup d’efforts et de dévouement, le torero né à Nîmes, mais originaire d’Aguascalientes dans l’âme, a réussi à obtenir. Il l’a dit au site taurin mexicain, « Al Toro Mexico »:
« Je suis arrivé il y a quelques semaines, où je me suis préparé en profitant de l’hiver, qui est la période où il y a le plus de corridas, et je suis très heureux de retrouver les habitants d’Aguascalientes et ses fans, qui continuent à exiger de moi, et je sais qu’ils attendent que je continue à leur donner de la joie. Je remercie la compagnie pour cela, de montrer mon désir d’être torero dans ce que je considère comme mon arène porte-bonheur ».
Titulaire d’un solide courage et d’un caractère ferme qui grandit, surtout à mesure que le temps passe, il ne veut pas se décourager. Il veut poursuivre sa dynamique en alternant sa saison mexicaine avec ce qu’il peut combattre en Espagne ou en France. Il ne faut pas oublier que l’année dernière il a combattu dans les arènes mexicaines les plus prestigieuses: « La Luz » à León, la Plaza Monumental de México ou la Monumental de Zacatecas.
Avant sa comparution aux arènes de la San Marcos, il a déclaré: « Ces dernières semaines, j’ai testé mes compétences dans certaines ganaderias d’Espagne, comme Montalvo ou Barcial, et aussi dans la ferme de mon ami, le rejoneador Sergio Pérez. Et ici au Mexique comme celle de Don Jorge de Haro, là-bas à San Juan del Río, alors j’en profite pour les remercier de m’avoir ouvert les portes de leurs maisons pour que je puisse me préparer« .
César attend beaucoup de la France évidemment; aux organisateurs -souvent en quête de solutions par les temps qui courent- de faire à ce jeune franco-mexicain, la place qu’il mérite. A eux de donner sa chance à ce jeune aventurier ambitieux à l’apodo célèbre, « Quitos », et au prénom glorieux, César !
Morante à la une de l’ABC aujourd’hui : « J’ai une maladie très douloureuse. Ça me tourmente de devenir fou. » C’est inquiétant !
🗣 ENTREVISTA A MORANTE DE LA PUEBLA | Quinientos kilómetros separan La Puebla del Río de Marinha Grande, capital del vidrio y refugio portugués de Morante de la Puebla. El torero vive ahora entre el verde del pinar de Leiria y el azul del Océano Atlántico. Aunque nadie le ha… pic.twitter.com/irCnqfA9MU
Le Club Taurin de Paris a le plaisir de vous inviter à l’avant-première du film TARDES DE SOLEDAD, qui se tiendra le dimanche 9 mars à 10h30 au Cinéma l’Arlequin (76 rue de Rennes, 75006 Paris).
Cette projection, première présentation publique du film à Paris, est un événement exceptionnel qui nous offrira l’opportunité de découvrir ensemble cette œuvre rare, déjà chaleureusement accueillie partout où elle a été présentée. Ce jour, le réalisateur, Albert Serra, sera dans la salle pour présenter le film et participer au débat qui suivra.
Synopsis officiel du film : À travers le portrait du jeune Andrés Roca Rey, star incontournable de la corrida contemporaine, Albert Serra dépeint la détermination et la solitude qui distinguent la vie d’un torero. Par cette expérience intime, le réalisateur de PACIFICTION livre une exploration spirituelle de la tauromachie, il en révèle autant la beauté éphémère et anachronique que la brutalité primitive. Quelle forme d’idéal peut amener un homme à poursuivre ce choc dangereux et inutile, plaçant cette lutte au-dessus de tout autre désir de possession ?
La grande salle du cinéma L’Arlequin sera privatisée mais accessible à tous, l’achat des places se fera exclusivement en caisse (CB ou espèce, cartes illimitées UGC acceptées) lors de l’entrée en salle. Vous n’avez donc pas particulièrement besoin de vous inscrire à l’avance, la contenance de la salle étant de 400 personnes.
Plein tarif négocié à 8,10 euros.
Déroulement de la matinée :
10h00 ouverture des caisses
10h30 début de la projection durée du film 2h05
12h35 échange d’Albert Serra avec le public animé par Araceli Guillaume-Alonso et Thierry Vignal du Club Taurin de Paris