À l’approche de la feria de la Madeleine, qui se tiendra du 16 au 20 juillet prochain, certaines dates sont à ne pas manquer pour conserver vos places ou en obtenir de nouvelles.
Vous avez jusqu’au vendredi 10 mai pour renouveler votre abonnement et conserver vos places habituelles. À partir du 12 mai, les abonnements non renouvelés seront remis à la vente. Plus d’info sur les abonnements 2025
Dès le 19 mai, vous bénéficierez également d’une ouverture anticipée de la billetterie pour l’achat de places supplémentaires. Cette priorité est réservée aux abonnés et aux entreprises.
Le grand public pourra acheter ses places : ● en ligne, à partir du 2 juin sur montdemarsan.fr ● et à la Régie des fêtes, à partir du 17 juin.
David Gutierrez : une oreille et Vuelta avis ( Qualifié) Silence
Clovis Germain. : une oreille Qualifié/ deux oreilles et vuelta
Un lot contrasté sur une piste glissante Le premier novillo affiche un joli trapío et garde la tête haute, sans poser la moindre difficulté. Mais la piste, rendue glissante par une averse récente, ajoute une touche d’incertitude à la lidia. Le second, à la robe negro , convainc et obtient une vuelta méritée. Le troisième, quant à lui, reste sur la retenue, manquant d’initiative. Le quatrième révèle une certaine faiblesse. Pourtant, fidèle à l’adage « No hay quinto malo », le dernier toro se distingue par ses qualités et offre une seconde vuelta.
Romero Aparicio
Le novillero exécute des véroniques avec une élégance .Alexis Ducasse, avec précision, pose une banderille qui attire quelques applaudissements. Les premiers muletazos se dessinent avec douceur et à mi-hauteur, mais les naturelles manquent de profondeur. La musique enveloppe l’arène et intensifie l’émotion. Pourtant, l’avis retentit alors qu’aucune tentative à l’épée n’a été amorcée. Elle est peine à conclure, laissant une impression inachevée.
David Gutierrez Oreille
Le novillero accueille son adversaire avec une larga élégante, captivant immédiatement l’attention du public. Il enchaîne avec une série de véroniques profondes, saluées par des applaudissements enthousiastes. Au centre de la piste, il entame sa faena avec assurance, mettant en valeur un novillo encasté. Les derechazos, lourds et bien posés, impriment leur force sur l’animal. Une série de naturelles, empreintes de temple et de profondeur, suscite l’admiration des spectateurs. Il conclut avec des luquesinas parfaitement exécutées, avant de porter une demi-caida efficace.
Face à son second novillo, il offre une très belle série à la cape, marquant son engagement dès les premières passes. D’un geste solennel, il dédie son combat à son concurrent, avant d’entamer une faena toute en douceur. Malgré son assurance, il se fait prendre à plusieurs reprises, ce qui ajoute une tension palpable dans l’arène. L’épée portée de côté ne scelle pas la récompense.
Clovis Germain
berceau, maîtrisant chaque mouvement. Au centre de la piste, il entame des derechazos profonds, tandis que le comportement du novillo va a más. Il démontre une parfaite maîtrise de l’exigence sur les naturelles, offrant une séquence captivante. Pourtant, un manque de réussite avec un recibir laisse une légère frustration. La seconde tentative, bien que caída, se révèle efficace, et le président accorde l’oreille.
Son second novillo est accueilli avec une larga élégante, montrant un bel engagement. L’animal embiste bien à la cape, et, comme pour le premier, il place les trois paires de banderilles avec assurance. Le public applaudit, sensible à l’engagement du jeune torero. La faena, exécutée avec douceur et précision, met en valeur un novillo qui part de loin. Les derechazos sont portés avec temple, transmettant une belle émotion dans l’arène. Le novillo s’avère être un bon partenaire, et le novillero signe une très belle faena, marquant les esprits.
Texte Nicolas Couffignal et Photos Bertrand Caritey
Clovis Germain a été déclaré vanqueur et aura l’occasion de se produire à Bayonne, Dax, Mont-de-Marsan, Plaisance-du-Gers et Vic-Fezensac.
Le Bolsin de Bougue est désormais une étape incontournable de la temporada du Sud-ouest. De nombreux maestros actuel ont foulés ce ruedo au cœur des Landes. Les organisateurs prévoient une compétition où les trois places pour la novillada de l’après-midi seront déterminées par un jury ainsi que par le vote du public.
Les novilleros se qualifient devant des vaches de la Ganaderia Camino de Santiago de Jean Louis Darré.
Public : 4/10
Metéo : Soleil et douceur
Cavalerie. : Bonijol
Leo Pallatier ( Ecole Taurine El Yiyo Madrid) :
Pablo Hernandez ( Ecole Taurine Adour Aficion Cauna) :
Javier Torres « Bombita » (Ecole Taurine Ubrique) :
San Agustín del Guadalix (Madrid). Samedi 28 avril 2025, soirée. Plaza de Toros Antonio Ronda Ortiz. Deuxième jour de la Feria del Aficionado. Taureaux de Prieto de la Cal (1er, 3e et 5e) et Cuadri (2e, 4e et 6e). Affluence : Complet.
Résultats :
Luis Gerpe : Applaudissements, salut depuis le callejón et silence.
Juan de Castilla : Oreille et silence.
Cristóbal Reyes : Silence et silence.
Détails : L’organisation de 3 Puyazos a annoncé après le défilé que deux taureaux de Prieto de la Cal avaient été abimés après le débarquement et que, par respect pour le travail de l’éleveur et l’intérêt suscité par ces exemplaires, ils seraient tout de même toréés.
Le picador Gabin Réhabi a été ovationné après avoir piqué le premier taureau. Francisco Javier Ortiz a également été applaudi après avoir piqué le sixième.
Se sont démarqués après avoir posé les banderilles sur le quatrième taureau Manuel Gómez et Francisco Javier Tornay, ainsi que Yelco Álvarez et Víctor Pérez sur le sixième.
Le sixième taureau, de l’élevage Celestino Cuadri, nommé Bronceado, marqué du numéro 45, noir de robe et appartenant à la génération du 0, a été récompensé par une vuelta
L’Association des Présidents taurins a décerné les prix suivants :
Meilleur homme de la cuadrilla : partagé entre Joao Pedro et Víctor Pérez.
Meilleur picador : partagé entre Gabin Réhabi (1er toro) et Francisco Javier Ortiz (6e toro).
Écurie de chevaux : Alain Bonijol
Picadors :
A. Peralta et Gabin Réhabi (Cuadrilla : Luis Gerpe)
Héctor Vicente et Teo Caballero (Cuadrilla : Juan de Castilla)
Helder Pires et Francisco Javier Ortiz (Cuadrilla : Cristóbal Reyes)
Texte et photos Philippe Gil Mir
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Ce matin en se second jour de week end pascal, l’arène de Condrette s’ouvre sur un lot bien presenté de la Ganaderia Alma Serena. Une Ganaderia qui offre aux aficionados de l’émotion . Pour Hadrien Lucq, le local de l’étape, cette journée résonne comme un défi à relever sur ses terres. Et pour Clovis, qui vient de triompher la veille.
President : Mathieu Cazalet
Public : une demi arènes
Hadrien Lucq : silence
Clovis Germain : une oreille avis et Avis et silence
Les trois erals, le dernier étant pour le meilleur des deux novilleros. Les deux premiers ont un trapio identique, manso, tandis que le dernier possède un trapio supérieur et est plus encasté.
Hadrien Lucq
Le novillo remate à peine dans les planches, mais il exprime de la noblesse. Le novillero se fait accrocher à la cape, et le quite de Clovis est récompensé par les applaudissements du public. Alexis Ducasse et Julien Merenciano posent une paire de banderilles avec précision. Hadrien tente de maintenir le novillo au centre de la piste, mais il subit une voltereta sur un derechazo. Il parvient néanmoins à exécuter un début de faena dans la querencia du toro. Cependant, le toro prend progressivement l’ascendant psychologique sur le novillero. Lors de l’épreuve du fer, l’engagement, bien que rapide, manque d’être total.
Clovis
La robe noire du novillo remate mieux que la précédente. Le novillero adapte la vitesse de sa cape à la charge du novillo. Des demi-véroniques élégantes sont applaudies par le public. Clovis pose joliment les banderilles. Il débute avec une cambiana et enchaîne avec une série de derechazos pleins de profondeur. Clovis domine le novillo avec maîtrise. Les naturelles sont plus complexes, mais réalisées avec profondeur. Il a du mal à fixer l’animal, sachant que ce dernier perd en intensité. L’épée est engagée, mais légèrement en arrière.
Le dernier novillo présente un trapio supérieur à celui des précédents. Clovis l’accueille par deux largas. Le novillo embiste avec vigueur, montrant plus d’encaste et chargeant de loin, mieux que les précédents. Clovis réalise un quite carlésien audacieux qui attire l’attention du public. La faena progresse et prend de l’ampleur au centre. La série de naturelles est correcte. L’exigence de la présidence fait retentir la musique. La faena s’étire un peu en longueur. La série de manoletinas est applaudie par le public. Lors de la mise à mort, deux a traversada sont exécutées.
Cette année encore, Mugron a décidé de renouveler sa confiance en la Ganaderia Balthasar Iban pour la novillada piquée, suite au succès de l’an dernier. Un choix qui reflète à la fois l’engouement du public et la qualité des toros présentés. Avec un cartel original, l’événement promet une fois de plus de captiver les aficionados. Et parmi les toreros à l’affiche, celui qui s’est fait remarquer lors des Fallas, El Mene, attire déjà toutes les attentions. Un rendez-vous qui s’annonce mémorable pour les amateurs de tauromachie.
President : Mathieu Cazalet
Musique : Harmonie Mugronaise
Cavalerie : Heyral huits rencontre
Public 2/3 d’arène
Meteo Soleil printanier
Six novillos de Baltasar Iban, le 4ème ‘Arbolario’, nº 76, negro vuelta al ruedo.
Emiliano Osornio : avis silence et une oreille
El Mené : Salut et Silence
Julio Mendez : une oreille et une oreille Prix de la pena Mugronaise
Emiliano Osornio
Accroché par le novillo lors de la série à la cape, le novillo donne des coups de tête sans pousser à la rencontre avec le cheval. La seconde rencontre est applaudie par le public. Sans poser de difficulté, il débute avec des naturelles profondes au centre de la piste. Les premières séries à droite sont plus complexes, suscitant quelques applaudissements d’encouragement. Sur les derechazos, il est dominé ou accroché et peine à fixer le novillo pour l’acte ultime : l’épée entière.
Le novillo est applaudi lors qu’il sort du toril. Le novillero se montre plus appliqué à la cape que lors de son premier passage. Les deux charges révèlent la bravoure face au cheval. L’entame de la faena témoigne de domination. Les derechazos affichent une certaine profondeur, tandis que les naturelles se distinguent par leur élégance. Malgré le silence et l’engagement, l’épée est tombée.
El Mene
La série à la cape d’El Mene se distingue par douceur et maîtrise de la charge. Les deux rencontres sont franches. La série du novillero, appliquée et douce, mène à des premiers derechazos propres, suivis de naturelles identiques. Seuls les oiseaux chantent dans l’arène, entrecoupés de quelques applaudissements, jusqu’à ce que l’épée réveille l’assemblée.
El Mene réalise des véroniques avec profondeur. Le novillo effectue deux charges au cheval, frappant de la tête sans pousser réellement. Le novillero ne parvient pas à captiver le public pendant sa faena. Quelques applaudissements accueillent la série de naturelles qui s’intensifie. Une demi-épée efficace conclut son second novillo.
Julio Mendez
Julio Mendez entame une série à la cape avec domination et profondeur. La belle mise en suerte révèle un novillero détendu, maîtrisant sa faena avec temple. La musique retentit enfin. Les naturelles, pleines d’alegría, se concluent par une trincherilla. L’épée caida déclenche les applaudissements du public et la pétition d’oreille.
La série de véroniques de Julio mendez manque d’audace comparée à la précédente. Le novillo pousse sur ses deux engagements au cheval. Début de faena engagé, le novillero aspire à sortir a hombros. Applaudissements pour des derechazos profonds et templés, où il déploie sa palette de passes. Pinchazo à la première tentative, la seconde est de côté.
Texte Nicolas Couffignal et photo Roland Costedoat