
Au Mexique la justice est à géométrie variable et l’avenir de la tauromachie dépend maintenant des décisions prises dans chaque état dans un pays décentralisé mais rongé rappelons-le par la corruption et la puissance des Narcos présents non seulement sur le terrain mais dans l’appareil d’Etat à tous les degrés. Une bonne nouvelle cependant : La Cour suprême autorise le retour des mineurs à la corrida à San Luis Potosí.









