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Valdemorillo, faena para el recuerdo de Juan Ortega

Plaza de toros de La Candelaria de Valdemorillo (Madrid). Deuxième de la Feria de San Blas. Lleno de ‘No hay Billetes.

Toros de Núñez del Cuvillo, .

• ALEJANDRO TALAVANTE, silence et silence

• JUAN ORTEGA, ovation et deux oreilles

• GINÉS MARÍN, ovation et silence

Saluts des banderilleros Javier Ambel (4ème) et Antonio Chacón (sixième).

Valdemorillo: puerta grande pour Samuel Navalon

Plaza de toros de La Candelaria de Valdemorillo (Madrid). Novillada. Première de la Feria de San Blas. Environ 2/3 d’arène.

. Novillos de La Cercada.

• ISMAEL MARTÍN, silence et ovation après avis

• NEK ROMERO, ovation après avis et ovation

• SAMUEL NAVALÓN, oreille et oreille.

Nack Romero pris par son second toro a subi une forte voltereta et il a été blessé à la main droite (pronostic menos grave).

La Madeleine: Marco Perez au Plumaçon pour la féria

 

Madeleine 2024
Le jeune prodige Marco Pérez présenté au Plumaçon

La Ville de Mont de Marsan et sa Commission taurine extra-municipale (CTEM) ont dévoilé le nom de l’un des novilleros qui officiera lors de la novillada piquée du 20 juillet prochain : Marco Pérez. Il s’agira de sa présentation dans le sud-ouest de la France. 

Âgé de tout juste 9 ans et élève de l’école taurine de Salamanca, Marco Pérez est repéré en  2016 par Jean-Baptiste Jalabert – alors matador en activité – lors d’un tentadero. Trois ans plus tard, celui qui est aujourd’hui prestataire des arènes de Mont de Marsan devient son apoderado et l’accompagne dans son évolution. Sens de la lidia et du sitio, corte torero au registre varié, le talent de Marco Pérez suscite un enthousiasme débordant auprès des aficionados, de la presse et du milieu taurin.En octobre 2022, à Séville, il envoûte la Maestranza pleine à craquer lors d’une démonstration que les Sévillans ne sont pas prêts d’oublier. Outre-Atlantique, il sort sur les épaules d’un César Rincón subjugué lui aussi. Enfin, en mai 2023, c’est un public très jeune et nombreux qui vient supporter ce phénomène lors d’une classe pratique à Madrid, d’où il repart avec 4 oreilles et une sortie en triomphe.Pour sa présentation dans le sud-ouest de la France, le jeune prodige a choisi Mont de Marsan. Un événement exceptionnel attend les aficionados du Plumaçon. 
(communiqué)

Un moment de convivialité lors de la présentation du cartel de la corrida de Gamarde

La peña Gamardaise a fait sa présentation hier soir dans la salle des fêtes de la commune, pour la présentation des cartels de la corrida de Gamarde qui aura lieu le 21 avril. Le public nombreux, dont beaucoup d’habitués, a pu profiter de la présence de deux toreros à l’affiche du cartel, le local de l’étape Clémente et d’El Rafi. La soirée de présentation commença par la diffusion d’un film montrant le lot de Castillejo de Huebra qui sera combattu le 21 avril.

De gauche à droite le maire de Gamarde , Clemente , El Rafi , Hervé Touya et François Lassalle

Le second tiers fut consacré aux toreros avec comme chef d’orchestre Hervé Touya. Le public présent eut droit à un message vidéo du chef de lidia (Diego Urdiales). Les deux Français ont répondu chacun leur tour à une série de questions. Le maire de Gamarde a clos la soirée avec un discours. L’affiche de la journée sera présentée ultérieurement. Corrida Si a profité de la soirée pour poser une question au président de la Pena Gamardaise ainsi qu’à Clémente et El Rafi.

François Lassalle

“Est-ce que vous pensez avoir bâti l’un des cartels les plus originaux de la temporada?
Un cartel original, non. On a construit ce cartel en fonction de l’élevage. Ces taureaux vont permettre à ces toreros de pouvoir exprimer leurs talents et donner de l’émotion au public.

Clémente au micro

      Clemente

Après une temporada 2023 remplie de réussite, qu’attendez vous et qu’espérez vous au niveau des contrats en France et en Espagne ?

Pour la temporada 2024, ce que j’attends c’est consolider ce que j’ai fait en 2023. Je vais essayer de donner le meilleur de moi-même devant chaque taureau. J’aurais de nombreuses occasions de le prouver.
Actuellement, c’est l’hiver, pour l’instant il y a de beaux cartels qui sont sortis dont celui d’Istres et ce soir celui de Gamarde.
Des cartels avec des toreros prometteurs, mais aussi des figuras qui nous encadrent. Je trouve cela vraiment très bien. Maintenant, j’espère la saison un peu plus dense niveau contrat afin d’être dans une évolution. Sur le plan de la tauromachie, j’espère acquérir de la maturité, d’harmonie et de rythme en face du toro.

Concernant les contrats, j’espère pouvoir refouler les arènes ou j’ai triomphé l’an dernier en France et pourquoi ne pas m’ouvrir les portes de l’Espagne avec deux ou trois corridas. C’est vrai que cet hiver, j’avais pour objectif de confirmer à Madrid chose qui n’a pas pu se faire pour la San Isidro.
Je sais que la temporada est longue. L’an dernier, j’ai bénéficié malheureusement de places par suite de blessures de toreros. Il a fallu que je sois prêt à tout moment et je me dis cette année, cela risque peut-être d’arriver. Si ce n’est pas le cas, je dois mériter ma place afin de confirmer en automne ou l’année prochaine. La France commence un peu à me connaître dans les arènes de première catégorie ou j’espère y retourner dans d’aussi bonnes conditions.

El Rafi au micro

En 2024 qu’est-ce qu’El Rafi peut apporter de nouveau au public par rapport à la précédente temporada ?

Réponse de El Rafi : Par rapport à la précédente temporada toujours plus de progression et d’envie de bien faire. Je ne saurais pas dire quel détail en particulier. Je vais essayer de rester dans une ligne de progression afin de me prouver à moi-même que je peux mieux faire. D’émouvoir et transmettre des émotions aux gens qui viennent me voir.

Photo et Texte Nicolas Couffignal

Madrid, les cartels officiels

photo Plaza Uno

– M 01/05: Novillada picada. Jesús Moreno, Alejandro Chicharro, Juan Herrero (Différentes ganaderías de la Comunidad de Madrid)

 J 02/05: Goyesca. Fernando Robleño, Javier Cortés, Francisco José Espada (El Montecillo)

– D 05/05: Novillada. Jorge Molina, Álvaro Burdiel , Víctor Cerrato (Los Maños)

FERIA DE SAN ISIDRO 2024:

– V 10/05: Morante de la Puebla, Diego UrdialesGarcía Pulido -confirmación- (Alcurrucén y El Cortijillo)

– S 11/05: El Fandi, RománLeo Valadez (Fuente Ymbro)

– D 12/05: Calita, Francisco de ManuelÁlvaro Alarcón (Baltasar Ibán)

– M 14/05: Novillada. Diego Bastos, Nek RomeroSamuel Navalón (Montealto)

– M 15/05: Miguel Ángel Perera, Paco Ureña  Alejandro Fermín -confirmación- (El Parralejo)

– J 16/05: Sebastián Castella, José María ManzanaresTomás Rufo (Victoriano del Río y Toros de Cortés)

– V 17/05: Miguel Ángel Perera, Emilio de JustoGinés Marín (La Quinta)

– S 18/05: Pablo Hermoso de Mendoza, Lea Vicens, Guillermo Hermoso de Mendoza (Capea)

– D 19/05: Rafael Rubio ‘Rafaelillo’, Juan de Castilla,  Jesús Enrique Colombo (Miura)

– M 21/05: Novillada. Alejandro Peñaranda, Ismael MartínJarocho (Fuente Ymbro)

– M 22/05: David Galván, Álvaro LorenzoÁngel Téllez (El Torero)

– J 23/05: Alejandro Talavante, Juan Ortega, Tomás Rufo (El Puerto de San Lorenzo)

– V 24/05: Cayetano, Roca ReyJorge Martínez -confirmación- (Conde de Mayalde)

– S 25/05: Sebastián Castella, Daniel Luque , Christian Parejo -confirmación- (La Ventana del Puerto)

– D 26/05: Diego Ventura, CayetanoGinés Marín (Capea y Montalvo)

– M 28/05: Novillada. Lalo de María, Pepe Luis CirugedaAlejandro Chicharro (Guadaira)

– X 29/05: Morante de la Puebla, Alejandro TalavantePablo Aguado (Juan Pedro Domecq)

– J 30/05: José María Manzanares, Daniel Luque et Víctor Hernández -confirmación- (Alcurrucén y El Cortijillo)

– V 31/05: Uceda Leal, Alejandro TalavanteBorja Jiménez (Santiago Domecq)

– S 01/06: Rui Fernandes, Sergio Galán, Diego Ventura (Los Espartales)

– D 02/06: Juan Leal, Francisco José Espada et Isaac Fonseca (Pedraza de Yeltes)

– M 04/06: Fernando Robleño, Gómez del Pilar , Damián Castaño (José Escolar)

M 05/06: Corrida de la Prensa. Paco Ureña , Borja Jiménez, mano a mano (Victorino Martín)

– J 06/06: Antonio Ferrera, Manuel Escribano , José Garrido (Adolfo Martín)

– V 07/06: Emilio de Justo, Roca Rey , Borja Jiménez (Victoriano del Río y Toros de Cortés)

– S 08/06: Diego Urdiales, Juan Ortega , Pablo Aguado (Román Sorando)

– D 09/06: Corrida de la Beneficencia. Morante de la Puebla, Sebastián CastellaFernando Adrián (Garcigrande)

– D 16/06: Corrida In Memoriam. José María ManzanaresAlejandro Talavante , Paco Ureña (Jandilla y Vegahermosa)

Les cartels ont été présentés ce jeudi soir à la presse. Quatre français Castella cité trois fois au total, Juan Leal avec la corrida de Pedraza de Yeltas, la cavalière Léa Vicens avec les Mendoza père et fils. et le novillero Lalo de Maria. A noter aussi la confirmation du Chiclanero attaché à Béziers, Christian Parejo. Présence aussi des mexicains Fonseca Calita et Valadez, du cavalier portugais Rui Fernandes et du matador vénézuélien Colombo. le franco-espagnol Roman sera là lui aussi.

Le cartel ((magnifique) signé Cayetana Rivera

SUPER SOIRÉE AU CLUB TAURIN DE PARIS !

La salle du restaurant était presque trop petite pour accueillir la cinquantaine de membres du CTP réunis pour écouter Marc Thorel et Araceli Guillaume Alonso évoquer les origines et l’évolution (les progrès) de la corrida au 18 ème siècle. Aficionados et passionnés de l’histoire s’étaient rassemblés dans la grande tradition du CTP où la culture a toujours été partie prenante de la corrida.

Marc Thorel et Araceli Guillaume au Club Taurin de Paris. ©JYB

Le sujet s’appuie bien entendu, sur la lettre de Moratin au duc de Pignatelli, qui a donné son titre à la réunion. Cette lettre a été publiée en novembre dernier, pour la première fois en Français, par l’UBTF (Union des Bibliophiles Taurins de France), dans une édition remarquable bilingue avec des commentaires et des analyses pertinents et très enrichissants du texte originel.

La lettre de Moratin, publiée en Français, par l’UBTF en novembre 2023.

On sait que cette lettre a eu un impact énorme sur toutes les générations d’historiens qui se sont intéressés à l’art taurin. Cet impact a été augmenté par l’œuvre de Goya dont 12 des planches de sa Tauromaquia (les premières) sont des illustrations directes de la lettre de Moratin.

Or comme le souligne Araceli Guillaume qui a traduit la lettre en partenariat avec Marc Thorel, c’est un texte difficile, assez obscur d’une part en raison de la langue du 18 ème siècle, d’autre part parce qu’il fait aussi des emprunts à des textes antérieurs notamment du 16 ème et 17 ème. De ce fait le crédit que l’on a fait pendant plusieurs siècles aux qualités d’historien de Moratin peut se discuter car s’il s’est certes appuyé sur ses connaissances de la tauromachie à l’époque, il a aussi emprunté à la littérature des siècles précédents.

Araceli Guillaume au Club Taurin de Paris le 29 janvier 2024. ©JYB

C’est ainsi que Pour définir les origines de la corrida, il évoque d’abord les romains. Or, il est certain que même s’ils organisaient dans les arènes des « chasses » aux animaux sauvages, les romains n’ont jamais pratiqué une forme de tauromachie se rapprochant de la corrida : Moratin en est lui-même conscient puisqu’il cherche d’autres sources. Parmi celles-ci, les Maures. Or aucune preuve historique ne permet de penser que les Maures ont pu combattre les taureaux en champ clos. Tout au plus, certains, même si ce n’était pas une préparation à leurs modes de combat différents de ceux des chrétiens, ont-ils pu imiter les chevaliers espagnols qui poursuivaient les taureaux pour les tuer à la lance.

 Enfin, l’expression « Progrès » dans le titre de la lettre exprime bien la sensibilité de l’auteur à son temps : au siècle des Lumières, il veut montrer que l’évolution de la corrida place la tauromachie dans l’idée globale d’un progrès de l’humanité.

De son côté, Marc Thorel éclaire la lettre de Moratin en définissant, par l’image, ce qui disparait dans la deuxième moitié du 18 ème siècle, ce qui subsiste encore et ce qui est nouveau :

CE QUI A DISPARU.

On ne voit plus des chevaliers tuer des toros à la lance : la planche de Goya représentant le Cid tuant un toro est sans doute une « fake news », même si elle a été reprise jusqu’au 20 ème siècle, notamment pour des motifs politiques ou nationalistes.

On ne voit plus que très rarement les toros livrés à la foule après le travail des nobles qui utilisent maintenant un javelot – un rejon -. Donc disparait aussi peu à peu la media luna qui servait à couper les jarrets du taureau et les banderilles qu’on lançait sur le toro n’importe où sur son corps ; disparaissent aussi les chiens, les dogues que l’on lançait sur le taureau avant de le mettre à mort.

Bien sûr, tous ces éléments d’une tauromachie ancienne mettent un certain temps à disparaître : l’évolution des traditions ne se fait pas au même rythme sur les plazas majores où les corridas disparaissent également faute de soutien de la royauté et dans les villages où le peuple tient à ses fêtes votives et aux spectacles taurins qui leur sont associés.

Marc Thorel au Club Taurin de Paris le 29 janvier 2024. ©JYB

CE QUI APPARAIT

On voit apparaitre les assistants des cavaliers qui vont prendre au cours du siècle de plus en plus d’importance, au fur et à mesure que les nobles vont se retirer de l’art taurin. Parmi eux apparaît aussi le picador, qui devient un professionnel.

Surtout à partir de 1749 se met en place la scénographie de la corrida avec les 3 tiers. Jusque-là, seuls les cavaliers défilaient au paseo, les piétons étant consignés dans le callejon. Or ceux-ci, avant l’invention de la muleta à la fin du siècle pratiquent le recorte en utilisant leur vêtement traditionnel : la cape.

Mais ce sont 3 grands toreros, Costillares, inventeur de passes, Pedro Romero, dominateur et Pepe Hillo qui vont faire évoluer la tauromachie : Pepe Hillo publie le premier traité de tauromachie et à partir des années 1760, leur salaire devient supérieur à celui des cavaliers !

Traité de tauromachie de Pepe Hillo publié en 1796.

C’est aussi l’époque où se construisent les premières arènes en dur ( Puerta de Alcala à Madrid, Ronda, etc) qui sont payées par le roi mais confiées à des organisations charitables ou aux hôpitaux, ce qui permet aux alcades locaux d’esquiver les interdictions ultérieures de la corrida au motif qu’elles bénéficient aux pauvres et à la population !

Les membres du Club Taurin de Paris sont ressortis enchantés de cette soirée où la valeur des explications et des informations a été à la fois intéressante et passionnante.

Jean Yves Bloin https://facealacorne.fr/super-soiree-au-club-taurin-de-paris/

Sébastien Castella : plus qu’ « incontournable »

Par Antonio Arévalo


Certains toreros, en particulier les figuras, ont acquis un statut qui leur permet, si les négociations aboutissent, d’être présents dans les ferias les plus importantes. Et quand, en plus de cela, le torero se retrouve partout sur la planète taurine à l’affiche des cartels phares, c’est qu’il est considéré comme l’un des toreros majeurs de notre temps.
Sébastien Castella sera le 4 février pour la réouverture si attendue des arènes de Mexico, les plus importantes du pays, à la corrida de l’Anniversaire, celle dont rêve tous les toreros. Il sera accompagné de deux matadors mexicains. On l’annonce également pour le Dimanche de Résurrection à Séville, autre date
emblématique du calendrier taurin, où il partagera l’affiche avec Morante de La Puebla et Roca Rey devant des toros de García Jiménez . Un cartel explosif, au sommet. Comme le sera sans doute la corrida de Beneficiencia à Madrid, où Sébastien retrouvera Morante et un torero triomphateur de la San Isidro.
Bien entendu Castella sera à Castellón, le 10 mars avec Manzanares et Talavante devant des toros du Puerto de San Lorenzo et à Valence, le 16 mars confronté à Roca Rey et Pablo Aguado.
Pour la San Isidro madrilène l’attente est immense et à priori il confirmerait l’alternative du torero de Chiclana, ayant élu domicile à Béziers, Christian Parejo. D’autres dates sont encore à confirmer. En France une corrida attire particulièrement mon attention : 23 juin à Saint-Sever, Sébastien Castella fera le paseo avec Daniel Luque et Fernando Adrián devant des toros de Santiago Domecq.
La temporada du torero biterrois s’annonce passionnante. Jamais auparavant un matador français n’avait été programmé de la sorte, preuve de la reconnaissance du public et des organisateurs pour un torero qui est loin d’avoir dit son dernier mot et qui ne lâchera rien, quel que soit le toro ou la figura auxquels il sera confronté.

Lalo de Maria à Madrid

Voici les cartels des novilladas madrilènes selon mundotoro.com :

M01/05: Jesús Moreno, Alejandro Chicharro  et  Juan Herrero (Différentes ganaderías de la Comunidad de Madrid)

– D 05/05: Jorge Molina, Álvaro Burdiel et Víctor Cerrato (Los Maños)– 

M 14/05: Diego Bastos, Nek Romero et Samuel Navalón (Montealto)

– M 21/05: Alejandro Peñaranda, Ismael Martín et Jarocho (Fuente Ymbro)

M 28/05: Lalo de María, Pepe Luis Cirugeda et  Alejandro Chicharro (Guadaira)

Onetorotv 117 spectacles télévisés: Séville, Madrid, Valence, Pampelune, Bilbao, Béziers, etc.

Communiqué

OneToro TV présente une offre inédite d’émissions taurines. La plateforme a déjà cconclu un total de 117 retransmissions pour ce début d’année 2024. De plus, les abonnés pourront profiter de toutes les foires taurines du « grand chelem ». À cela s’ajoutent les spectacles en direct de Valence, avec la Foire des Fallas et les célébrations du mois d’octobre, dont le grand événement d’adieu au maestro Enrique Ponce. Dimanche de Pâques à Séville avec toute la Foire d’avril et celle de San Miguel, la Foire de San Isidro et la Foire d’Automne, la Foire complète des taureaux de Pampelune et la Foire de Bilbao en août.

De plus, OneToro TV a fait un gros effort pour compléter son offre avec les foires les plus intéressantes et pour la première fois vous pourrez voir toute la Foire de Santander, tout le cycle de Béziers (France) et la Foire de Salamanque, en plus à la Foire de Tarazona, en pleine expansion, en Aragon. Dans cette saison historique, OneToro TV ne veut pas non plus oublier la cantera et tout au long de l’année, elle diffusera 18 novilladas, en soulignant le concours de Villaseca de la Sagra, où les caméras de notre plateforme seront présentes pour la première fois. . Concrètement, les retransmissions en Espagne débuteront avec le concours de toreros « Kilómetro Cero » qui aura lieu les 24, 25 et 26 février au Palacio de Vistalegre de Madrid.

Nous n’oublierons pas non plus les autres corridas et au cours de l’année 2024, OneToro lancera son premier circuit OneToro/Tauroemoción Trims, où, au cours de six festejos, les meilleurs spécialistes se rencontreront au milieu d’une couverture unique jamais vue dans ce type de compétitions. Avec plus de 40 000 euros de dotations, dont 10 000 reviendront au gagnant. Les aficionados du monde équestre auront également leur place, avec huit célébrations en live avec les meilleurs rejoneadors du moment.

Toute cette intense programmation en direct est complétée par la diffusion de la traditionnelle Corrida de Gala Antigua Portuguesa qui aura lieu le 9 août à Lisbonne.Sans perdre aucun détail de nos propres productions, déjà diffusées et très appréciées du public taurin comme « En Corto y por Derecho », « A Toro Pasado », « El Esportón de Historias » et « Va por tú ». en plus d’autres espaces qui arriveront sur notre plateforme comme « Caballo Bravo », dédié au monde du cheval et de la tauromachie et « Hoy tauromachie I », un nouveau format innovant où des personnalités d’autres disciplines vivront des expériences taurines. encore plus, en juillet vous trouverez Nous confirmerons les célébrations de la saison américaine.

Aire

Annonce de la ganadería pour la Corrida des Fêtes du 16 juin…

À la suite du grand succès rencontré lors de l’édition 2023, notre association, « Audaz Production », a été choisie afin d’organiser la corrida des Fêtes d’Aire-sur-l’Adour pour les trois prochaines années. À ce titre, nous remercions la municipalité et la commission taurine pour leur confiance.

En 2024, la corrida des Fêtes d’Aire-sur-l’Adour aura lieu le dimanche 16 juin.

À cette occasion, l’élevage mythique de Peñajara effectuera sa grande présentation dans le Sud-ouest avec un lot de toros intégral. Cette présentation constitue à elle seule un événement pour tous les passionnés de toros.

Peñajara21k

Ganadería unique parmi les derniers représentants de la caste Jijona, les légendaires “peñajaras” sont célèbres à Madrid. Cet élevage a notamment remporté le prix de la meilleure corrida de la Feria de San Isidro, avant de signer une saison très encourageante, matérialisée par une corrida notable à Céret et un lot de triomphe à Teruel…

Renseignements : OFFICE DU TOURISME AIRE SUR L’ADOUR

05 58 71 64 70 ou accueil@tourisme-aire-eugenie.fr 

  Page Facebook : Arènes d’Aire sur l’Adour

Une tarification à -50% sera proposée aux moins de 25 ans.

(Communiqué)

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