La peña jeune aficion allie en ce jour estival une capéa avec des élèves de Richard Gwen Ezkar et Maxence et du jeune Clovis Germain venus du Sud-Est. Il y a trois vaches de vert Galant
La première plus petite des trois permet à Maxence, dernier élève, de s’exprimer. Gwen, Eskar et Clovis font quelques séries à la cape. La vache manque un peu de force.

Maxence


La seconde avec plus de trapio permet aux trois élèves de Richard ainsi qu’à Clovis de s’exprimer. Clovis donne le plus d’alegria.

Clovis Germain
La troisième vache est un peu plus volumineuse que la précédente. Elle ne pose aucune difficulté. Gwen a une tauromachie trop brusque, selon Richard.

Gwen

Le cloître de son ruedo provisoire permet d’exprimer les graines de matador et dans l’ancienne chapelle propice à se laisser envoûter par la peinture et sculpture taurine.
Delphine Lespes est d’origine parisienne. Elle découvre la tauromachie en arrivant à Nîmes, la lumière la couleur lui font exprimer une nouvelle vision de l’art pictural taurin.
Jean-Claude Causse ces sculptures expriment à la fois une modernité avec une référence primitive.
Antonelo Collantes peintre sévillan expose pour la première fois en France. La tauromachie est une source inespérée.

Yves Duffour commence à huit ans à peindre. Il utilise des couleurs vives, maîtrisent la fugacité de ces moments
Cedric Lavaud originaire du sud-ouest principalement le noir et blanc dans ses tableaux est parfois la couleur. Une peinture assez réaliste et dépouillée.
Jorge urizar Urraza, peintre autodidacte est basé sur l’esthétique et le rite taurin. Il a fait plusieurs affiches avec une première pour Olivenza en 2015, puis Bilbao. La dernière affiche est celle d’Azpetia en 2023

Texte EC et photographie Nicolas Couffignal