Mois : mars 2024 Page 6 sur 18

Victor Cerrato convainquant hier chez Alma Serena

MatinĂ©e trĂšs prenante ce samedi matin Ă  Cauna chez Alma Serena, le fer de la famille Bats. Une vache et deux novillos Ă©taient destinĂ©es au jeune Victor Cerrato qui a laissĂ© une trĂšs bonne impression aux deux clubs taurins qui s’Ă©taient unis pour rĂ©aliser cette brillante matinĂ©e: la Peña du Houga et la peña de Victor Cerrato. Au total une cinquantaine de personnes ont pu voir les qualitĂ©s d’un jeune homme solide, puesto et courageux.

La premiĂšre vache qui Ă©tait seulement tientĂ©e, est sortie noble, douce avec sans doute un manque de transmission qui a nuit. Bien Victor dans cette situation aisĂ©e qu’il a pris au sĂ©rieux, dĂ©livrant un trasteo engagĂ©, sans cĂ©der Ă  la facilitĂ©. Il montrait ainsi, d’entrĂ©e son savoir-faire et aussi sa volontĂ© de bien-faire, face Ă  une opposition qui ne restera pas dans les annales.

Une toute autre musique avec le premier novillo (sorti en second, donc) costaud, haut et surtout retors de bout en bout. Manso Ă  la pique, il se dĂ©fendit avec violence tout au long de la faena ne rompant qu’Ă  la fin du combat. A ce mauvais coucheur, Cerrato sut, en montant Ă  la corne contraire sans se dĂ©gonfler, imposer sa loi. Il termina Ă  mĂ s prenant tous les risques (et quelques coups) et terminant por uno por uno de maniĂšre Ă©mouvante montrant ainsi sa domination. Il tua Ă  la troisiĂšme rencontre. C’est dans les moments difficiles que l’on voit les caractĂšres vĂ©ritables; ici les capacitĂ©s mais aussi le sens des responsabilitĂ©s lĂ  oĂč beaucoup auraient pliĂ© les gaules…

Le dernier poussa au cheval pour une pique prise en brave. Victor montra ensuite sa variĂ©tĂ© Ă  la cape avec un original quite par farol inversĂ©. Il banderilla dans les rĂšgles, c’est Ă  dire dans les cornes avec ces capacitĂ©s physiques propres Ă  la jeunesse. Faena de haut vol, trĂšs engagĂ©e, menĂ©e des deux cĂŽtĂ©s par le bas avec un vrai sens du temple devant un animal qui ne s’en laissait pas compter. Une volontĂ© de faire le bon toreo dans les canons et une exposition risquĂ©e qui lui valut de se faire prendre Ă  deux reprises. Estoconazo sin puntilla pour terminer. Que demande le peuple ? On lui souhaite la mĂȘme rĂ©ussite Ă  Aire le 1er mai pour la novillada des Arsouillos.

GĂ©rard DucĂ©s, son apoderado nous annoncĂ© que Victor avait en prĂ©vision douze novilladas en Espagne avec Ă  la clĂ© une alternative de luxe dans une arĂšne historique. Il ne s’agit lĂ  encore que d’un projet… OjalĂ ! Comme on le dit tras los montes, car le jeune homme le mĂ©rite.

Pierre Vidal

Photos Roland Costedoat

La grande Romeria des Alpilles !

Le mercredi 08 mai ( jour fĂ©riĂ©) la ganaderia Valverde vous reçoit pour l’unique et seule festivitĂ© de l’annĂ©e 2024 au Mas de Coste-Haute… La grande Romeria des Alpilles !

Venez vivre cette journĂ©e unique, et soyez plongĂ©s au cƓur d’une vĂ©ritable Romeria.

10h00 : DĂ©but de la journĂ©e avec la grande Messe au sein mĂȘme des arĂšnes de la ganaderia accompagnĂ© par le groupe des Rocieros de France.

    Nous poursuivrons ensuite avec la procession au campo, avec les attelages ainsi que les cavaliers et amis de Freddy Coston.

    S’en suivra une tienta pĂ©dagogique, Ă  campo abierto.

    La matinĂ©e sera clĂŽturĂ©e par la cĂ©lĂšbre encierro des toros sur notre                Torodrome long de 2,5 kilomĂštres !

12h00 : ApĂ©ritif (bar payant) – Repas tirĂ© du sac et Food Truck prĂ©sent sur place – Ambiance musicale

15h00 : 2 Toros de Valverde pour le torero Sanchez Vara

Réservations : 06-29-42-36-70 / 06 08 18 20 86  ou sur : https://www.billetweb.fr/la-grande-romeria-des-alpilles

THOMAS THURIES AU CLUB TAURIN DE PARIS : CONFERENCE PASSIONNANTE !

Auteur du site Terres de Toros, Thomas Thuries Ă©tait au Club Taurin de Paris pour exposer ses sentiments sur l’uniformisation des encastes : ProblĂšme qui soulĂšve bien des controverses aujourd’hui !

Cette uniformisation ne date pas des derniĂšres annĂ©es mais a dĂ©butĂ© au dĂ©but du 20 Ăšme siĂšcle ce qui permet d’en dĂ©finir l’historique et les fondements.

Mais auparavant qu’est-ce qu’un encaste ?

Selon la dĂ©finition de l’UCTL (Union de Criadores de Toros de Lidia, Union des Ă©leveurs de toros de combat) les points suivants sont indispensables pour dĂ©finir un encaste :

2 critÚres génétiques se reproduisant sur au moins 5 générations

Des caractéristiques communes de morphologie (trapio) et de comportement.

A partir de ces deux principes, l’UCTL a dĂ©fini 23 encastes regroupĂ©s historiquement.

En se basant sur une Ă©tude de l’ADN des toros de combat par Javier Canon, on peut en fait dĂ©finir 29 encastes. Mais les Ă©tudes sur la gĂ©nĂ©tique et le comportement sont confidentielles et rĂ©servĂ©es aux ganaderos.

Dans ce cadre, la notion d’encaste est scientifique et il constate entre 2 encastes un Ă©cart 3 fois supĂ©rieur Ă  celui de 2 races bovines diffĂ©rentes ! Il y aurait donc plus de lĂ©gitimitĂ© Ă  parler de race des toros de combat que d’encaste.

Arbre d’encastes: les diffĂ©rences gĂ©nĂ©tiques sont marquĂ©es par la distance entre les races.

A partir de ces travaux on peut Ă©tablir une sorte d’arbre illustrant l’écart d’ADN entre les diffĂ©rents encastes.

Mais bien entendu, ce qu’on voit aux arĂšnes c’est un encaste dominant : en 2023, 62% des toros lidiĂ©s en corrida Ă©taient d’encaste Domecq !

Thomas Thuries apporte ici un Ă©lĂ©ment personnel : Ă  cĂŽtĂ© des encastes il a Ă©tudiĂ© le nombre de toros lidiĂ©s de chaque encaste au cours de quelques annĂ©es significatives et peut ainsi affiner l’évolution au cours des annĂ©e de la deuxiĂšme moitiĂ© du 20 Ăšme siĂšcle, ce qui le conduit Ă  une approche purement historique jusqu’à la guerre d’Espagne puis Ă  s’appuyer sur les statistiques de ces quelques annĂ©es significatives.

Premier fait important pendant la guerre civile espagnole, 1/3 des Ă©levages disparait. Mais Ă  partir de lĂ , les mĂ©thodes d’élevage se figent : tienta, et conservation des Ă©talons. De plus on supprime ou allĂšge l’obligation de poids et d’ñge en raison du manque de toros. Cela dure en matiĂšre d’ñge jusqu’en 1973 et l’obligation du guarismo !

DĂšs cette Ă©poque, le Vistahermoza est l’encaste fondamental, tous les encastes historiques ayant disparu. Un peu d’histoire.

L’élevage de Vistahermoza nait en 1770 Ă  Utrera Ă  partir de l’élevage des frĂšres Rivas. En 1823 il est cĂ©dĂ© au Barbero de Utrera puis Adrian de Saavedra. En 1863, les toros tombent aux mains des Murube. Et en 1884, l’élevage est acquis par Eduardo Ybarra qui fait Ă©voluer le type vers un toro plus lourd, avec une sĂ©lection intransigeante qu’il peut se permettre grĂące Ă  sa richesse.

En 1904, Ybarra vend la moitiĂ© de son Ă©levage Ă  Fernando ParladĂ© qui avait un Ă©levage d’origine Vazquena, mais avait subi un gros Ă©chec Ă  SĂ©ville et avait dĂ©cidĂ© de changer d’encaste en choisissant les Vistahermoza : il achĂšte donc 400 vaches et les tiente toutes en Ă©liminant 150 d’entre elles.

C’est Fernando ParladĂ© qui va commencer l’expansion de l’encaste dans le monde taurin : en effet, ayant de gros besoins d’argent, il vend des vaches chaque annĂ©e Ă  d’autres Ă©leveurs. Cela se traduira par une Ă©volution du marchĂ© qui est frappante jusqu’à nos jours :

En 1940, les Ă©levages d’origine ParladĂ© reprĂ©sentent 20% du marchĂ© ; en 1950 25% ; en 1970 30% ; en 2004 86% ! Car les ParladĂ© se sont ramifiĂ©s en

Correa : Pedrajas cet encaste restera modeste.

Rincon : encaste Carlos Nunez avec aujourd’hui Alcurrucen et Jose Luis Pereda.

Tamaron : qui Ă©voluera en Conde de la Corte puis Domecq – Atanasio Fernandez.

Au total ce sont 7 encastes majeurs qui sont nés de Parladé.

Parmi eux Atanasio Fernandez qui a hĂ©ritĂ© d’un Ă©levage d’origine Conde de la Corte : Il ne sĂ©lectionne ses toros que sur la noblesse anticipant les goĂ»ts du public du 20 Ăšme siĂšcle aprĂšs la rĂ©volution belmontine : et il vend ses vaches, beaucoup, amplifiant l’envahissement de l’encaste dans le monde des Ă©leveurs. Mais les toros d’origine Atanasio (Charro de Lien, Perez Tabernero, Sepulveda, El Sierro)  fracassent Ă  partir des annĂ©es 2000 et cĂšdent peu Ă  peu la place aux Domecq : il ne reste aujourd’hui, pratiquement que Lisardo Sanchez et Atanasio-La Corte.

Le mouvement d’envahissement sera encore dĂ©veloppĂ© par la famille Domecq, dont le sens commercial fait merveille ! Non content de vendre des vaches, elle propose des sementales avec l’option (si les produits ne sont pas conformes) de les Ă©changer gratuitement contre un autre toro reproducteur ! On en arrive ainsi au schĂ©mas ci-dessous qui prĂ©sente la filiation du ParladĂ© et son poids dans les corridas d’aujourd’hui.

Poids des différentes branches du Parladé dans les cartels du 20 Úme et 21 Úme siÚcles.

On comprend que l’encaste Domecq reprĂ©sente 62 % des toros lidiĂ©s aujourd’hui
Une explication peut ĂȘtre Ă©galement trouvĂ©e dans ce qu’affirmait Curro Romero : « je prends du Domecq parce que le mauvais toro de Domecq n’est pas gĂȘnant ou difficile. Â» (verbatim non garanti)

Pourtant il reste d’autres encastes que celles descendant de ParladĂ© : notamment Saltillo et Santa Coloma.

origines du Santa Coloma

En 1905 le Conde de Santa Coloma a rachetĂ© l’élevage de Eduardo Ybarra mais a donnĂ© la prioritĂ© dans son Ă©levage Ă  l’origine Saltillo.

Le Santa Coloma a essaimé en Buendia, Coquilla, Graciliano, Albaserrada.

Saltillo existe toujours, mais est en danger d’extinction depuis 80 ans !

De leur cĂŽtĂ©, Miura et Cuadri qui sont 2 encastes propres, n’ont jamais essaimĂ© car les ganaderos n’ont jamais voulu vendre leurs vaches ni leurs sementales. Victorino Martin se trouve dans le mĂȘme cas.

Reste un point important : tous ces schĂ©mas (ils ne sont pas tous prĂ©sentĂ©s ici) qui montrent la diminution des autres encastes par rapport au Domecq, ne portent que sur les toros lidiĂ©s en corrida. Or si un encaste est en danger quand il tombe en dessous de 1000 tĂȘtes de bĂ©tail, on constate en fait qu’il existe au campo, nombre d’élevages qui ne vendent jamais en corrida, mais se maintiennent grĂące aux spectacles mineurs (becerradas, novilladas) et aux spectacles populaires. Mais si l’encaste Domecq a 35000 vaches dans plus de 150 Ă©levages et Nunez environ 6000, 17 encastes ont moins de 1000 vaches au campo et sont donc en danger d’extinction. Le phĂ©nomĂšne est encore aggravĂ© par le fait que nombre de ces Ă©levages n’ont pas de possibilitĂ© de rafraichissement (cela peut mĂȘme concerner des encastes comme Albaserrada qui avec seulement 3 Ă©levages est sur la corde raide).

Il existe donc encore une belle diversitĂ© d’encastes, mais le fait est qu’en tant qu’aficionado, on n’en profite pas dans les arĂšnes. Or ce manque de diversitĂ© ne vient pas de l’inadaptation du toro actuel car ils descendent tous du Vistahermoza !

Le temps a un peu manqué pour que le conférencier puisse développer tous ces sujets, mais la conférence était passionnante!

Jean-Yves Blouin https://facealacorne.fr/

Pour ceux qui seraient intéressés, la plupart de ces éléments pourront se retrouver sur le site

https://www.terredetoros.com/

JUAN ORTEGA VU PAR EXIR

Effectivement comme le soulignent les chroniqueurs la saison s’annonce trùs bien avec des arùnes trùs bien remplies, voire pleines quand Roca Rey est à l’affiche, Castella en pleine forme et
.Juan Ortega.
Nous avions fait le dĂ©placement Ă  CastellĂłn pour assister au grand cartel andalou du 9 mars Morante-Ortega-Aguado, toros de Domingo Hernandez, un cartel rarissime, voir inĂ©dit. Et bien nous n’avons pas Ă©tĂ© déçu du tout : D’abord les arĂšnes Ă©taient remplies aux trois quarts, et surtout remplies de l’aficion au toreo d’art. Chaque frĂ©missement d’une cape ou de l’étoffe rouge par l’un des trois artistes crĂ©ait une attente attendrie et des OlĂ©s venant des profondeurs. Bien sĂ»r les taureaux n’étaient pas ceux de CĂ©ret ou de Vic, bien sĂ»r ils n’offrirent que peu de jeu, mais nous en avons un peu assez de lire toutes ces jĂ©rĂ©miades sur le comportement des taureaux en piste. Ce sont des ĂȘtres vivants sauvages et Ă  ce titre ils font ce qu’ils veulent en piste.
S’ils ont envie de se battre, ils se battent, s’ils ne le sentent pas, ils ne se battent pas. S’ils n’ont pas envie de suivre inlassablement l’étoffe rouge, ils ne la suivent pas inlassablement. Il faut respecter les taureaux comme nous respectons les toreros, ce ne sont pas des automates. Et puis les Domingo Hernandez n’ont jamais eu la rĂ©putation d’ĂȘtre des batailleurs.
Morante n’a pas Ă©tĂ© au rendez-vous, lui qui trĂŽne depuis la derniĂšre feria de SĂ©ville en haut du mont Olympe. Trois vĂ©roniques et puis basta. Morante de tous les jours, comme il y a deux ans et l’annĂ©e derniĂšre c’est fini. Il faut maintenant lui souhaiter une fin de carriĂšre Ă  la Curro Romero. Trois passes de cape par an et une grande faena tous les trois ans suffiront Ă  notre souvenir.
Le GĂ©nie de La Puebla versus le Pharaon de Camas, cela sonne bien.
Puis Juan Ortega : Une cape exigeante, contraignante Ă  son second taureau, terminĂ©e par une cape artistique en « arrĂȘtant le temps Â». Et puis un dĂ©but de faena par trincherillas marchĂ©es pour amener le taureau au milieu de la piste. Public dĂ©but. Cela fait longtemps que je n’avais vu un aussi beau dĂ©but de travail Ă  la muleta.
AprĂšs, malheureusement, Juan n’arrive pas Ă  dominer ses taureaux, ce qui rend ses faenas dĂ©cousues, et simplement de dĂ©tails. Dommage. Y arrivera-t-il un jour ? sans doute jamais disent certains spĂ©cialistes car il n’a pas en lui cette volontĂ© quasi animale de rĂ©duire le taureau Ă  sa propre volontĂ©. Sa tauromachie est trop douce, le taureau sent cette fragilitĂ© et, au fur et Ă  mesure, lui « monte dessus Â» comme l’on dit.
Ce n’est pas une question de sitio, c’est une question de dominio car ce n’est pas facile de caresser le visage du taureau avec sa cape comme VĂ©ronique l’a fait avec celui de JĂ©sus, pour aprĂšs le rĂ©duire afin de mieux le tuer. Seul Morante des grands jours sait le faire.

N’empĂȘche, on a retrouvĂ© en Juan Ortega un immense capeador, digne de Rafael de Paula. Il vaut le voyage comme dirait le guide Michelin Vert. Viva la Esperanza de Triana. Et puis Pablo Aguado, sans doute le plus complet, le plus douĂ© pour le temple, aussi bien Ă  la cape qu’à la muleta, mais aussi sans doute celui des trois qui prend le plus de prĂ©cautions en torĂ©ant trop de profil, ce qui est dommage.
Il sait torer de cape, il sait dominer les taureaux. Il sait templer. Il sait tuer. Un jour il se centrera. Il fera on l’espĂšre de grandes et belles choses andalouses, ces faenas dominatrices avec quelques dĂ©tails mouvants inspirĂ©s par la Macarena. Nous attendons tous sa rĂ©surrection.
C’est la bonne semaine. Saura-t-il en profiter ?
En attendant ce jour nous irons voir torĂ©er Juan Ortega toujours et partout, nous iront tous les trois ans voir Morante Ă  SĂ©ville pour son mano a mano nostalgique avec Curro, et nous irons voir Pablo Aguado de temps en temps pour savoir oĂč il en est.

EXIR


PS La semaine suivant Castellon Juan Ortega a été, à Valence, une nouvelle fois grandissime à la cape.

Raquel Martin s’annonce

Pau, prĂ©sentation du livre “Vamonos sur les chemins du Rocio”, le 6 avril

Les cartels de Boujan

Nouvelle absence de Morante dimanche

Alejandro Talavante remplacera Morante de la Puebla ce samedi Ă  Almendralejo aprĂšs que le diestro sĂ©villan ait prĂ©sentĂ© un rapport mĂ©dical, assurant qu’il est toujours en convalescence. Le torero d’EstrĂ©madure fera ainsi le paseĂ­llo avec Emilio de Justo et Juan Ortega avec une corrida de Juan Pedro Domecq.

Clemente Ă  Saragosse

L’entreprise ZĂșñiga y Toros, gestionnaire des arĂšnes de La Misericordia Ă  Saragosse, a prĂ©sentĂ© ce jeudi les affiches officielles de la feria de San Jorge. Une sĂ©rie qui a Roca Rey comme grand Ă©picentre de la corrida du dimanche 21 avril et qui compte Ă©galement d’autres noms de grande importance tels que El Cid, Talavante, Juan Ortega, Borja JimĂ©nez…

L’évĂ©nement, auquel a assistĂ© l’homme d’affaires Carlos ZĂșñiga, s’est dĂ©roulĂ© dans la salle culturelle de La Misericordia devant les mĂ©dias. Les affiches, dans lesquelles le novillero Fran Fernando fera ses dĂ©buts avec les chevaux, sont les suivantes :

20 avrilNovilllos de. JimĂ©nez Pasquau pour TristĂĄn Barroso, Cristiano Torres et Fran Fernando, qui fera ses dĂ©buts avec les chevaux.

21 avril : toros d’Álvaro NĂșñez et Daniel Ruiz pour Alejandro Talavante, Juan Ortega et Roca Rey

23 avril : Toros d’Ana Romero pour El Cid, Borja JimĂ©nez et Clemente

JUAN MORA AU FESTIVAL DE RICLA

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