Mois : juillet 2024 Page 1 sur 18

N.S.P. Du Puerto : à boire et à manger

Belle entrée au Puerto pur la sans piquée. Photo R. Valenzuela

Il y avait un peu moins de talent que lundi soir dans la novillada sans picadors de ce mardi au Puerto de Santa Maria et les Santa Coloma d »Ana Romero ont posé pas mal de difficultés aux apprentis toreros qui ont pour certains suppléé leur déficiences par un trémendisme de mauvais aloi.

Six pensionnaires erales de la ganaderia d’Alacala de los Gazules bien présentés dans le type de l’encaste à part le premier léger, de comportement variable mais pouvant servir pour :

Antonio Santana (E.T. Campo de Gibraltar) une oreille

Joselito de Cordoba (E.T. De Granada) deux oreilles

Gabriel Garcia (E.T de Chiclana) deux oreilles

Miguel Vasquez ‘ (E.T. El Volapîe de Sanlucar) deux oreilles

Juan Jesus Rodriguez (E.T. La Linea) ovation

Pedro Rufo (E.T. De Tolède) ovation

Le premier novillo et un petit modèle sans complication particulière Antonio Santana l’attend à la porte du toril pour une larga de rodillas mais ne réussit pas à fixer l’animal en sortie. C’est aussi à genoux au centre qu’il débutera son travail à la muleta par des changées dans le dos et une série à droite à la troisième passe le novillo s’arrête à hauteur de sa tête et suit un instant d’émotion avant que le novillo ne poursuive dans la muleta. A gauche, la faena est compliquée et le jeune homme reprend la main droite beaucoup plus exploitables. Il rentrera à matar sans muleta pour pincher dans un premier temps puis une entière en arrière. Le public abusé réclamera deux oreilles la présidence n’en accordant qu’une.

Le comble de la vulgarité revient à Joselito de Cordoba Certes son novillo est distrait il il ne fit vraiment rien pour l’intéresser au combat, toréant la plus part du temps sur le voyage le novillo demandant à être dominé. Heureusement pour lui lla noblesse innocent de l’animal lui permit quelques pitreries de mauvais goût. L’estocade sera le meilleur de sa prestation et le public très jeune et festif réclamera et obtiendra deux oreilles.

Très sérieuse, à contrario, fut la prestation de Gabriel Garcia. Face à un toro encasté brave et noble il entreprit une faena dominatrice qui lui permit toréant de face de donner des série profondes et templées tant à gauche qu’à droite. Il tenta les adornos à la mode mais l’animal toujours sérieux l’avertit et c’est par doblones qu’il clôturera avant un pinchazo profond suffisant le gratifé de deux oreilles de poids.

L’adversaire de Miguel Vasquez est loin d’être commode, difficile à fixer au capote, il se montre coriace à la muleta disposant d’une charge très courte. Vasquez réussira à allonger le voyage et à tirer quelques bonnes séries. Malheureusement il fallut revenir aux passes de une à une pour que le torero se replace correctement. Le final sera par des aidées par le haut avant une estocade à l’encuentro entière et en bonne place deux oreilles ici aussi pour gratifier un toréo sérieux.

L e cinquième, certainement le plus compliqué du lot restera au dessus de Juan Jesus Rodriguez qui ne parviendra qu’à de rares exceptions à tirer des masses correctes. Certes il essaye de solliciter le public qui loin de voir la complication l’ a un peu abandonné et comme de plus la mise à mort sera compliquée il se contentera d’une ovation.

Le jeune Pedro Rufo restera lui aussi au dessous de son adversaire qui a rapidement appris le grec et le latin beaucoup plus vite que le jeune torero qui fait encore ses classes. La mise à mort sera plus que laborieuse.

Final donc pour cette temporada d’été pour les jeunes samedi les vétérans reviennent dans la plaza réal pour la depetida de ponce devant les Garcigrande en compagnie de Luque et David Galvan.

J. Dupin

Madrid: septembre toriste

 D 01/09. Desafío ganadero. Sánchez Vara, Rubén Pinar et Damián Castaño (Saltillo y Valdellán)

– D 08/09. Desafío ganadero. Pepe Moral, Miguel de Pablo et Luis Gerpe (Dolores Aguirre y Sobral)

– D 15/09. Corrida concurso de ganaderías. Rafael de Julia, Ángel Sánchez et Amor Rodríguez (Concha y Sierra, Palha, Partido de Resina, Castillejo de Huebra, Pedraza de Yeltes y Salvador Gavira García)

Solidaires du peuple du Venezuela !

De plus en plus de nos lecteurs -je le vois à la lecture de nos statistiques-estiment que l’on ne peut pas déconnecter la tauromachie du monde qui l’entoure ou, pour employer une expression moderne, il est nécessaire de la contextualiser. Et ils ont raison ! En effet, on le voit bien, la tauromachie est souvent une valeur d’ajustement politique le plus souvent de la part de forces d’extrême gauche. On l’a constaté récemment au Mexique où la Monumental de Mexico a tremblé, en Colombie où le président Petro ex-guerillero lié au narcos  l’a purement et simplement abolie d’un trait de plume, on le voit aussi en Espagne où le ministre de la culture Ernest Urtasun (Sumar, extrême gauche) ne manque pas une occasion d’humilier les taurins ou en France où les attaques viennent de Caron lié à LFI.

Tous, j’ai le regret de l’écrire, et Petro en particulier sont des amis de Jean Luc Mélenchon et de ses proches. Tous ont des théories plus ou moins inspirées du bolivarisme dont ils se revendiquent. Avec Cuba le bastion du Bolivarisme, ce communisme autoritaire et brutal mis à la sauce populiste, c’est le Venezuela. Un grand pays riche en matières premières et plongé dans la misère, dont la population se bat pour la démocratie : une bataille menée à main nue contre une armée féroce dans le silence de nos médias pourtant prompts à s’enflammer sur d’autres continents.

Le Venezuela c’est loin mais c’est une grande nations taurine, la plus grande peut-être potentiellement avec des infrastructures immenses comme les arènes de Caracas ou Maracay. Un pays qui a un long passé avec de véritables héros populaires comme les frères Gijon qui ont connu une gloire mondiale. Un pays qui a aussi de jeunes et beaux espoirs comme Colombo qui fait vibrer les tendidos par son enthousiasme. Un pays où la tauromachie est bridée par des mesures sectaires et autoritaires et une « politique »conduite par la violence et la brutalité. Nous voulons dire ici notre solidarité avec le combat des vénézuéliens pour la justice, car tout ce qui touche aux libertés nous concerne nous les taurins.

Pierre Vidal   

Début d’Azpeitia aujourd’hui

La féria d’Azpeitia débute aujourd’hui avec de magnifiques cartels: Trois ganaderias de tout premier plan; notamment la troisième, Muteira Grave qui revient cette année après son triomohe passé; la présence de Morante de la Puebla dont ce sera le premier paseo dans le nord; de Luque le triomphateur de l’an dernier, doublé, et des triomphateurs de Tyrosse: Colombo et le français Clemente qui fera ses débuts dans le coso basque. Azpeitia c’est aussi une ambiance très particulière: une lmière, une attention, une série de traditions soigneusement conservées qui en font le bastion de la tauromachie en Pays Basque. Cette année on annonce trois llenos, une première. Nous aurons nos envoyés spéciaux à cette féria qui se tient à un jet de pierre de la frontière et qui concerne l’aficion française.

PV

In memoriam Jacques Cathalaa

Jacques Cathalaa dans le callejon de Mont-de-Marsan vu par Bertrand Caritey

L’hinumation du grand photographe taurin orthézien Jacques Cathalaa fera l’objet d’une cérémonie religieuse aujourd’hui à 10 heures en l’église de Castétarbe à Orthez. Jacques Cathalaa fut non seulement un précusreur dans le domaine de la photographie taurine avec le regretté Gilles Cattiau notamment. Il faut aussi à l’origine de la revue Callejon qui retraçait al temporada taurine dans le sud-ouest réalisée en compagnie de Bernard Hirribaren et dont le premier numéro date de 1980. Cette revue connut un grand succès. Il fut aussi longtemps l’organisateur des corridas orthézienne. Dernier hommage ces photos de Bertrabd Caritey.

Jacques Cathalaa avec la légende madrilène Frascuelo Photo B. Caritey

LE PHOTOGRAPHE JACQUES CATHALAA NOUS A QUITTE

Jacques photographié en 2015 avec Manolo Cortes aux arènes de Dax. Photo C. Vidal

C’est une figure du callejon qui vient de nous quitter, le photographe Jacques Cathalaa, parti un jour de corrida dans sa ville d’Orthez. Comme le dit le photographe et ami Cyrille Vidal;  » Ses photos en noir et blanc resteront pour l’éternité. »

A sa famille, à ses amis nos sincères condoléances.

Graines de talents à la sans chevaux du Puerto de Santa Maria

Un quart d’arène ce qui au Puerto fait déjà beaucoup de monde s’est déplacé hier soir pour la novillada sans picadors organisée par l’école taurine de la Galosina. Six erales de Torrealta, bien présentés (Peu- être un peu trop épointés même si cela est toléré par le règlement), tous donnant du jeu et permettant aux apprentis de s’exprimer, pour :
« El Esquisito (E.T. de la Puebla del Rio) une oreille

Angel Perez (E.T. D’Ubrique) une oreille

Javier Ragel (E.T. La Galosina el Puerto) une oreille après avis

Jaime Padilla (E.T la Galosina ) deux oreilles

Olga Casado (E.T. Jose Cubero El Yiyo) deux oreilles

Jorge Hurtado (E.T. Badajoz) deux oreilles

Il revenait à Manuel Luque « El Esquisito » d’ouvrir les débats de cette première novillada non piquée du cycle estival du Puerto de Santa Maria . Il commença par un bon salut capotero par véroniques suivi d’un quite par chicuelinas très serrées d’Angel Perez auquel il répliqua par delantales. Il faut noter que tout au long de la soirée les jeunes ont joué le jeu des quites et répliques auquel les novillos se prêtaient parfaitement. El Esquisito devra dompter la fougue de son adversaire avant de servir à la muleta, tant à gauche qu’à droite de bonnes séries templées et d’une certaine profondeur. La mise à mort se fera en deux temps un pinchazo suivi d’une entière tombée et en avant qui lui valurent toutes fois la première oreille de la soirée.
Angel Perez débute par véroniques auxquelles l’éral répond avec noblesse. Quite par chicuelinas et réplique par tafalleras. La faena débute par de bonnes statuaires alternées d’inversées dans le dos. Par la suite le novillo montre d’excellentes dispositions sur sa corne gauche qu’utilisera bien Perez en donnant de bonnes séries naturelles. Retour à droite pour pour les sempiternelles circulaires inversées qui à mon avis n’apportent rien mais plaisent au public. Le final se fera à genoux, il faut dire qu’Angel Perez est très grand et ce final de rodillas le met à hauteur de l’animal. La mise à mort est compliquée et réduira l’octroi de trophées.
Javier Ragel torée à domicile ce qui lui facilitera bien les choses. Discret au capote il laissera briller Jaime Padilla au quite auquel il ne donnera pas la réplique. Le novillo est le plus léger et le plus faible de la soirée. La faena sera essentiellement d’une a une avec toutefois de bons gestes. Ici les circulaires inversées finales se feront de la main gauche. La mise à mort est pour le moins délicate et l’oreille sera celle de la terre.
Jaime Padilla qui se présente ce soir au Puerto ira en digne Padilla à la porte de la peur attendre son adversaire, La bonne larga cambiada sera suivie d’une série de véroniques fermes à un novillo encasté et noble. Le quite d’Olga Casado se clôturera par un désarmé la réplique de Padilla par chicuelinas est ferme. C’est accoudé aux planches que Jaime entame sa faena. Les premières séries à droites sont templées . A main gauche les choses sont plus compliquées le novillo lorgen les molets et Padilla finit par se faire crocheter sans mal. Il reprend sur le bord droit et termine par de bonnes manoletinas au plus prés. L’estocade est portée en rentrant droit mais résulte contraire et sera un peu longue d’effet, ce qui n’empêchera le jeune jérézano de couper deux oreilles.
Olga Casado est nouvelle venue en terre gaditana et il faut bien dire que cela fait toujours plaisir de voir toréer de nouvelles jeunes filles surtout quand elles allient élégance et courage. Olga ne manque ni de l’un ni de l’autre. 2Légance dans le dessin de ses muletazos bien liés et templés courage lorsque trop souvent bousculée et jetée au sol par un novillo fort et encasté elle se relève pour repartir au combat comme si de rien n’était. Visiblement blessée au poignet droit lors d’une de ses volteretas, la bombe magique bien cornue des rugbymans est de sortie, elle tuera en deux temps et recevra les deux oreilles du courage.
Jorge Hurtado est discret au capote mais commence une faena dominatrice. Son toreo est très classique mais d’une sobre efficacité. Il entreprend le noble Toréalta des deux bords dans un dans un travail bien construit et élégant. Le final permettra dans une circulaire inversée avec changement de main de prolonger la passe à l’infini, ici oui la circulaire inversée apporte quelque chose. Quant à l’estocade ce sera celle de la soirée et vaudra à son auteur les deux oreilles du triomphe mérité.
Ce soir nous avons de nouveau rendez-vous au Puerto pour peut-être découvrir de nouveaux talents et parmi eux un certain Rufo frère de Tomas qui paraît il est prometteur.

Jean Dupin

Décès de Paco Camino

On vient d’apprendre le décès de Paco Camino à l’âge de 83 ans, un des toreros les plus importants du siècle dernier qui avec Curro Romero et Diego Puerta a formé un trio sévillan inoubliable auquel il faut ajouter El Viti le salmantino qui formaient un carré d’as. Il était né à Camas en 1940 et pris l’alternative en 1960n des mains de Jaime Ostos avec Mondeño comme témoin.

Il avait reçu une greffe du foie en 2007 et depuis il vivait une vie paisible dans sa finca du campo Los Caminos sur la commune de Madrigal de la Vera, (Avila) . Paco Camino, el niño sabio, c’est la toreria, l’élégance dans le maniment du capote notamment avec de magnifiques chicuelinas de su sello mais aussi un lidiador capable et enfin un grand tueur dans l’éxécution parfaite du volapîé. Très aimé en France, il fut adulé en Amérique du sud et notamment au Mexique. Il fut plus célébré dans les plazas du nord comme Bilbao, Pampelune ou Madrid que dans son sud natal où il était respecté certes mais sans obtenir cette adoration portée à Curro Romero.

Photo Yvon Pagés

Paco Camino était aussi le parrain d’alternative du torero français Richard Milian la cérémonie s’est déroulée à Dax avec El Cordobés comme témoin un jour de no hay billetes. Le camero avait coupé l’oreille de son premier toro. Rolland Agnel précise: « il y a eu 43 ans le 5 juillet dernier. C’est la seule alternative donnée à un torero français ». Ce jour-là Richard avait coupé lui aussi une oreille.

Paco Camino s’est habillé de lmière pour la dernière fois à Nîmes le 26 septembre 1987. Cet après-midi-là, avec le vétéran Miguel Báez « Litri », ils ont donné l’alternative à leurs fils respectifs, Miguel Báez Litri et Rafi Camino, taureaux Jandilla. Paco Camino, qui comme Litri a estoqué un seul taureau, a été vraiment bon, avec notamment une série de chicuelinas les pieds enfoncés dans le sable, jouant très bien des bras et faisant chauffer l’arène. Il a coupé une oreille, la dernière de sa longue carrière, et ils est reparti sur les épaules avec ses compagnons.

C’est une figure majeure de l’histoire de la tauromachie qui disparaît; à sa famille, ses amis nos condléances sincères.

PV

La ville de Camas a déclaré une journée de deuil en méoire de su Hijo predilecto.

Avec Tibo Garcia

Dans le cadre de la grande corrida du 10 Août à Socuéllamos, nous organisons un voyage sur 3 jours du 9 Août au 11 Août pour soutenir notre matador et ainsi vivre une expérience unique. Nous vous proposons un trajet en minibus, 2 nuits en hôtel 3 étoiles avec petit déjeuner, la place pour assister à la corrida et une soirée convivial et chaleureuse autour de Tibo à un prix très avantageux !!

Grâce à cet engouement, un premier minibus est déjà bouclé et fait le déplacement, nous avons donc décidé d’organiser un second minibus.(sous réserve d’avoir suffisamment de réservations). Pour les personnes intéressées contactez nous soit par Messenger, soit au 06.12.52.63.24.

A vos réservations !! La Peña Tibo Garcia.

https://www.facebook.com/tiibo.garcia

RISCLE, CORRIDA CONCOURS 100% FRANCAISE SAMEDI

Camino de Santiago
La Suerte
Pagès-Mailhan
Cuillé
San Sebatian
Turquay

À la suite du succès de la corrida de l’an passé, le « Tendido Risclois » a décidé de proposer à nouveau une competencia ganadera composée de six élevages français :

Turquay, Cuillé, Pagès-Mailhan, Camino de Santiago, San Sebastián et La Suerte (présentation en corrida dans le sud-ouest de 3 ganaderia Françaises !).

Au cours des dernières temporadas, ces élevages français ont été en constante progression.

Les arènes de Riscle proposeront à l’aficion un cartel de qualité avec trois matadors présents dans les plus grandes férias françaises.

Tout d’abord nous compterons avec le héros incontestable de Vic 2023, grand lidiador avec une tauromachie classique élégante : Morenito de Aranda qui vient de couper deux oreilles aux toros de Victorino Martin à Mont de Marsan et qui a triomphé aussi à Aire-sur l’Adour. Le numéro un du sud-ouest cette année, on peut le dire.

Il sera accompagné du grand triomphateur de l’an passé, un matador d’un engagement irréprochable:  Alberto Lamelas très populaire dans le sud-ouest.

Le cartel sera complété par une des grandes révélations françaises 2023 : El Rafi qui vient de couper une grosse oreille à Mimizan et qui est un des triomphateurs de la dernière féria dacquoise.

Cette journée taurine, qui sera entièrement fournie par du bétail français, débutera par une novillada sans picador matinale de 4 novillos à 11h, avec les fers de La Suerte et Barcelo , suivie par le traditionnel apéritif et repas convivial thon piperade.

INFORMATIONS ET TAQUILLA :

RESERVATION :

De 10h00 à 12h00  et de 15h00 à 19h00, de lundi 22 Juillet 2024 jusqu’au Vendredi 02 Août 2024

  • A la taquilla à Riscle, même horaires, à l’adresse suivante :         

              TENDIDO RISCLOIS rue du RIEUTORT – 32400 RISCLE

  • Pour les nuitées : Plusieurs possibilités : hôtel, Gites, chambres d’hôtes, etc.   

Vous pouvez faire votre demande par mail à : contact@tendido-risclois.comnous vous trouverons une solution

  • Places offertes à 200 jeunes de moins de 25 ans !

  • Riscle est historiquement une placita de formation, et garde son ADN avec la novillada sans piqué, mais aussi avec la corrida, avec 3 élevages qui feront leur présentation dans le sud-ouest en corrida.
  • Nous vous assurons une journée de convivialité et de sincérité.
  • Coté restauration, le midi vous serez servis assis et à l’ombre, avec un climatiseur naturel exceptionnel ! (le fleuve Adour d’un côté, le repas sous les tilleuls, et le canal Rieutort de l’autre)
  • Notre journée à lieu en pleine fête patronale, et nous vous assurons une Week-end Torogastroéconomique !

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