Mois : novembre 2024 Page 1 sur 7

Toromagie Ă  Bayonne c’est le 8 Decembre

Le rendez-vous incontournable de cette fin d’annĂ©e, « Toromagie, » promet une journĂ©e mĂ©morable. OrganisĂ© en soutien aux enfants de l’hĂŽpital de la CĂŽte Basque, cet Ă©vĂ©nement taurin et caritatif est une date Ă  ne pas rater pour tous les aficionados.

« Toromagie » clĂŽturera la temporada avant l’annĂ©e 2025 avec une cĂ©lĂ©bration unique alliant passion pour la tauromachie et gĂ©nĂ©rositĂ©. L’objectif est de recueillir des cadeaux pour les enfants hospitalisĂ©s, leur offrant ainsi des moments de joie et de rĂ©confort.

Les arĂšnes accueilleront des spectacles variĂ©s et la possibilitĂ© de se restaurer, permettant de savourer l’art taurin tout en participant Ă  une cause noble. Marquez vos calendriers et rejoignez-nous pour cet Ă©vĂ©nement inoubliable !

Nicolas Couffignal

AprĂšs l’Ă©chec de la PPL au SĂ©nat, une rĂ©action de lecteur

AprĂšs l’Ă©chec rĂ©cent de la PPL anti-corrida au SĂ©nat, cette rĂ©action nous a Ă©tĂ© adressĂ©e que nous voulons partager avec vous :

« Bravo et merçi aux sĂ©nateurs , Ă  A.VIARD et Ă  tous ceux qui oeuvrent pour la survie de nos libertĂ©s et de notre passion ! cette dame de 74 ans manifeste et communique son avis bravo aussi ; quant Ă  moi j’ai 82ans j’ai commençé avec Bienvenida , Benjumea, Chamaco ostos caceres et mĂȘme Ricardo Chibanga ; j’enmĂšne mes petits enfants aux arĂ©nes ; qu’ils aient 2O ans ou 5 ans ils n’en sortent pas traumatisĂ©s ; trois regrets : les cartels sont TOUJOURS composĂ©s des mĂȘmes toreros ; le Prado n’expose-t-il que Greco , Goya et Velasquez ! Et il y a de trĂšs bon toreros qui attendent : Morenito de Aranda , entre autres et mĂȘme le grand artiste curro diaz reste souvent dans les oubliettes ; je regrette aussi l’absence des jeunes ce qui n’est plus le cas en Espagne ; enfin les prĂ©sidences sont souvent en opposition avec le public ; bien sĂ»r il faut des connaisseurs mais surtout ne pas se couper de la base ».

FM

Merci cher François.

Alba de Tormes festival pour les victimes des inondations

Pampelune: les Ă©levages

La gnaderia de Domingo Hernadez ne revient pas. Seule nouveautĂ©: la devise d’Alvaro Nuñez qui fait ses dĂ©buts. La corrida de rejoneo sera confiĂ©e Ă  nouveau aux produits d’El Capea et la novillada Ă  la ganaderia locale sera de Pincha une fois encore.

Les ganadĂ©rias pour la fĂ©ria d’Hagetmau 2025

samedi  2 aout  : novillada non piquĂ©e avec des erales d’Alma Serena

dimanche 3 aout : novillada piquée avec des novillos de la ganadéria SAN ISIDRO (ex Gimenez Indarte , origine Marquis de Domecq , excellents à Algemesi et San Agustin de Guadalix qui, en 2024 ont fait leurs débuts en France en novillada.

Hagetmau 2024: Escolar Gil vu par Nicolas Couffignal

L’UNION DES BIBLIOPHILES TAURINS DE FRANCE SE REUNIT A PARIS.

Paris est quoi qu’en pensent certains, une ville d’aficion et de grande aficion. Il se dit mĂȘme qu’il y a plus d’aficionados Ă  Paris que dans bien des villes du midi de la France. Et cela ne date pas d’hier, ainsi qu’en tĂ©moigne le dernier livre de l’UBTF sous la plume de Marc Thorel remarquable historien et Ă©crivain de la corrida: « Toreros dans la ville lumiĂšre Â».

Car mĂȘme si la tradition taurine parisienne fut discontinue, elle a connu de grandes heures Ă  la fin du 19 Ăšme siĂšcle et au dĂ©but du 20 Ăšme.

A l’occasion de la sortie du livre, l’UBTF invite les aficionados Ă  une confĂ©rence de Marc Thorel qui se tiendra Ă  la salle paroissiale de l’église Saint SĂ©verin le 23 novembre Ă  14h30 : Le titre en sera ProspĂ©ritĂ© et dĂ©cadence de la Gran Plaza du Bois de Boulogne

Marc Thorel au Club Taurin de Paris le 29 janvier 2024. ©JYB

Une bonne occasion d’augmenter sa culture taurine et de complĂ©ter sa bibliothĂšque !

NOTA : pour ceux qui ne pourraient se dĂ©placer, il sera possible de commander le livre sur le site de l’UBTF :

https://ubtf.fr

Jean Yves Blouin https://facealacorne.fr/

Avec le Pablo Romero 2 jours d’aficion

El Molinero nouvel apoderado de Rafaelillo

Rafaelillo Ă  Mimizan. Photo Bruno Lasnier

El Molinero sera le nouvel apoderado du grand torero murciano Rafelillo qui a triomphĂ© partout dans la monde dans des corridas dures et qui a brillĂ© en France cette annĂ©e Ă  Mimizan oĂč il est sorti en triomphe aprĂšs une prestation remarquĂ©e. Il est intĂ©ressant de noter qu’El Molinero est en fait un matador nĂ© Ă  Paris avec la double nationalitĂ©.

Ricardo AguĂ­n Ochoa, plus connu sous le pseudonyme de El Molinero, nĂ© le 30 avril 70 Ă  Paris en France, a passĂ© toute sa jeunesse chez ses grands-parents, meuniers de leur Ă©tat, qui vivaient dans un petit village prĂšs de Saragosse. C’est de lĂ  qu’il tient son apodo : El Molinero (le meunier). Il a d’ailleurs fait ses Ă©tudes de tauromachie Ă  l’Ă©cole taurine de Saragosse. Son pĂšre a exercĂ© la profession de chaufferur de vedettes de cinĂ©ma notamment de Romy Schneider. Il a pris l’amternative Ă  Saragosse en 93, confirmĂ© Ă  Madrid en 1995. Il a combattu de nombreuses corridas dures comme celles Miuras avant de faire sa desĂȘdida en 2004. C’est un retour inattendu que celle de cette figure aragonaise au cĂŽtĂ© du matador Murciano exemple de courage et de pundonor.

CT de Paris : BILAN DE LA TEMPORADA POINTU ET BRILLANT PAR MARC LAVIE !

À l’issue de son assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale oĂč fut dĂ©cernĂ© le prix de la Rencontre ( nous y reviendrons), Le CTP recevait Marc Lavie, rĂ©dacteur en chef de Semana Grande, pour le traditionnel bilan de la temporada 2024.

AprĂšs avoir Ă©voquĂ© quelques bons souvenirs d’une invitation au Club, il y a une trentaine d’annĂ©es, avec __ Arevalo, il entrait dans le vif du sujet :

LES DONNEES :

Il y a eu en France et en Espagne 498 corridas dont 15 mixtes soit 5 de plus qu’en 2023, et 312 novilladas, soit 20 de plus que l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Certes, il y a 50 ans les chiffres Ă©taient supĂ©rieurs, (653 corridas, 394 novilladas), mais cette temporada s’annonce de ce point de vue comme un bon cru.

L’annĂ©e a vu 25 novilleros prendre l’alternative, dont certains ont certainement un brillant avenir dans la profession. Il ne faut pas oublier que depuis le COVID, 70 matadors ont pris l’alternative, ce qui peut expliquer la bousculade inĂ©vitable face aux postes disponibles.

Il y a eu 21 indultos dont un seul en arĂšne de premiĂšre catĂ©gorie espagnole, c’est un peu moins que les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes.

Parmi les nombreuses blessures de l’annĂ©e, 16 ont Ă©tĂ© graves dont 4 trĂšs graves.

Derechazo à genoux de Roca Rey à Soplon, n°48 de Fuente Ymbro, à Madrid, le 6 octobre 2024. ©JYB

L’escalafon des matadors est dominĂ© par Roca Rey avec 70 cartels, devant Talavante 68, et Luque et Castella avec 52 contrats. Chez les novilleros, c’est Marco Perez avec 38 novilladas qui est en tĂȘte. Il est d’ailleurs annoncĂ© pour une despedida de novillero, en seul contre 6 Ă  Madrid pendant la San Isidro, le 30 mai.

Nek Romero cite pour une passe de Las Flores le becerro n°20 de Pages Mailhan, à Arles le 11 septembre 2022 matin. ©JYB

L’escalafon est vieillissant avec des leaders ayant plus de 20 ans d’alternative, mais l’escalafon des novilleros est plus intĂ©ressant : parmi les noms Ă  citer El Mene qui n’a lidiĂ© que 10 novilladas mais est trĂšs prometteur au milieu de nombreux bons toreros, comme Jarocho, Mario Navas, IsraĂ«l Martin, Nek Romero, Samuel Navalon.

On craignait une pénurie de toros, mais cela a été résolu, parfois en transformant les corridas classiques en défis ganaderos.

Il apparait une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’aficionados qui rĂ©agissent plus aux provocations des antitaurins et des politiques ce qui a un effet rĂ©gĂ©nĂ©rateur sur la communautĂ©.

Les problĂšmes : certaines plazas sont en crise notamment Bilbao, mĂȘme si le vide des gradins existait dĂ©jĂ  il y a 30 ou 40 ans, mais la mairie tourne le dos aux arĂšnes. La tĂ©lĂ©vision : la corrida est soutenue par les tĂ©lĂ©visions rĂ©gionales mais One Toro a un modĂšle Ă©conomique qui ne lui permettra sans doute pas de survivre longtemps. Enfin, les critiques et les questions se font jour en Espagne sur le systĂšme de santĂ© et de gestion des infirmeries en France.

BILAN ARTISTIQUE :  LES TOREROS .

Véronique de Morante devant le toro n°65 de Domingo Hernandez, à Séville le 15 avril 2024. ©JYB

Le fait marquant est l’absence de Morante malgrĂ© ses 35 corridas ; on a vu lors de ses derniers cartels Ă  Azpeitia ou Santander que son corps continuait Ă  torĂ©er, mais son visage Ă©tait ailleurs !

Les figuras ont connu leurs lots de succĂšs, mais d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale sans se maintenir au niveau auquel elles nous avaient habituĂ©.

Roca Rey avait atteint un sommet lors de son triomphe hĂ©roĂŻque de Bilbao en 2022, mais semble avoir du mal Ă  rester Ă  ce niveau. Mais c’est le seul Ă  remplir les arĂšnes !

Talavante a semblé privilégier la quantité sur la qualité.

Statuaire à la talanquÚre de castella, au toro n°12 de Margé, à Nßmes, le 14 septembre 2024. ©JYB

Castella a Ă©tĂ© en dessous de 2023, malgrĂ© la nouvelle profondeur de son torĂ©o et la beautĂ© de ses lances Ă  la cape. Mais il a connu des problĂšmes Ă  l’épĂ©e.

Pecho de Luque, à Herrador, n°7 de La Quinta, à Nßmes, le 14 septembre 2024. ©JYB

Daniel Luque a eu quelques Ă©clairs dans une temporada un peu grise.

Véronique de Juan Ortega à Terremoto, n°17 de Garcia Jimenez, à Séville, le 29 septembre 2024. ©JYB

Le soleil est venu de Juan Ortega, le meilleur artiste actuellement. Mais ce n’est pas un torero de grand public ni sans doute un torero pour la France.

Doblon de Borja Jimenez à Enamorado, n°116 de Victoriano del Rio, à Madrid, le 5 octobre 2024. ©JYB

Borja Jimenez a donnĂ© la meilleure faena de la San Isidro mais a perdu des oreilles Ă  l’épĂ©e. Il progresse Ă  chaque sortie, mais attaque beaucoup ses adversaires ce qui nĂ©cessite pour lui des toros trĂšs encastĂ©s.

Fernando Adrian a triomphĂ© Ă  Madrid en 2023 et 2024. Mais lors de la corrida de Victoriano Ă  la fĂ©ria d’automne, le public a pris parti pour Borja et lui ne s’est pas montrĂ© Ă  la hauteur.

Derechazo Ă  genoux de Perera Ă  Oloroso, n°66 d’El Parralejo Ă  SĂ©ville, le 10 avril 2024. ©JYB

À SĂ©ville une seule Porte du Prince mĂ©ritĂ©e, celle de Miguel Angel Perera qui est plus que jamais une valeur sure.

Emilio de Justo a Ă©tĂ© bon Ă  SĂ©ville comme Ă  Bilbao, mais il n’impacte pas !

David Galvan est un styliste inspirĂ©, mais il a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’ĂȘtre associĂ© Ă  Ponce.

Doblon de Rufo, à Fardero, n°97 du Puerto de San Lorenzo, à Madrid, le 4 octobre 2024. ©JYB

Tomas Rufo semblait parti en 2022 pour perturber l’escalafon, mais il est devenu plus prĂ©cautionneux. Sa force Ă©tait aussi ses apoderados (les Lozano), cependant, sans El Juli ils ont eu moins de poids. Mais Ă  la fĂ©ria d’automne, il a trĂšs bien commencĂ© sa faena Ă  droite avec beaucoup de ligazon ; le tendido 7 ayant protestĂ© parce qu’il ne se croisait pas assez il a Ă©coutĂ© et le toro s’est dĂ©composĂ© : il est difficile voire impossible de lier en se croisant en permanence (il faut se replacer).

Pecho de Clemente, à Hadrien, n°120 de Margé, à Nßmes, le 14 septembre 2024. ©JYB

Parmi les Français, seul Clemente semble avoir une chance de percer en Espagne mĂȘme si ses premiĂšres tentatives n’ont pas Ă©tĂ© couronnĂ©es de succĂšs et oĂč il reste inconnu. Les autres matadors français, sans l’appui de grandes maisons et sans triomphes susceptibles d’impacter de l’autre cĂŽtĂ© des PyrĂ©nĂ©es n’ont que peu d’opportunitĂ© malgrĂ© la garantie que leur apporte le circuit français.

Juan de Castilla, à genoux dans la boue en entame de faena devant Ranchero 2, n°941 de Pages Mailhan, à Vic le 19 mai 2024. ©JYB

Les toreros sud-amĂ©ricains en Espagne sont actuellement assez nombreux : 6 ou 7 novilleros parmi lesquels Bruno AloĂŻ Ă  suivre et chez les matadors Juan de Castilla aurĂ©olĂ© de sa double journĂ©e Ă  Vic et Madrid, Isaac Fonseca qui tient bien sa place et Jesus Enrique Colombo qui fait le spectacle et tue bien.

Diego Ventura sur Bronce pose les banderilles sans rĂȘnes, Ă  Saragosse, le 13 octobre 2024. ©JYB

En ce qui concerne le rejon, l’escalafon est lĂ  aussi vieillissant : Ventura domine.

LĂ©a est une cavaliĂšre extraordinaire mais a perdu des trophĂ©es Ă  l’épĂ©e car il lui manque un cheval de muerte (trĂšs rare et difficile Ă  former).

Guillermo Hermoso de Mendoza va perdre le soutien de son pÚre et devra bùtir sa carriÚre sur ses seules qualités.

LES GANADERIAS :

AprĂšs la dure pĂ©riode des annĂ©es 80 Ă  2000 oĂč les toros chutaient, on constate aujourd’hui qu’ils ne tombent plus. Peut-ĂȘtre parce qu’on les fait courir, mais sans doute plus spĂ©cifiquement parce qu’ils sont mieux suivis sur le plan sanitaire : il y a aujourd’hui une mĂ©decine vĂ©tĂ©rinaire du sport qui s’applique aux toros !

Dalia, n°15 de Victoriano del Rio, lidié à Séville le 27 septembre 2024 par Alejandro Talavante. ©JYB

Les 3 fers pour les vedettes sont restĂ©s sur leur position dominante : Victoriano del Rio, Nunez del Cuvillo et Garcigrande. Victoriano se dĂ©tache car ses bons lots ont la noblesse, la caste et une certaine exigence. Nunez del Cuvillo et Garcigrande, moins rĂ©guliers et moins brillants sont en baisse.

De son cĂŽtĂ© Juan Pedro Domecq (qui reste en tĂȘte de l’escalafon ganadero) a eu une temporada inĂ©gale.

Plantavinas, n°90 de Victorino Martin, lidié à Séville le 13 avril 2024 par Andres Roca Rey. ©JYB

Parmi les ganaderias encastées, Victorino Martin domine incontestablement. Victorino est un grand ganadero car il a su adapter ses toros à la toreria actuelle sans perdre leur caste.

Pellea de toros de Santiago Domecq à la ganaderia , le 18 février 2024. ©JYB

Santiago Domecq a Ă©tĂ© rĂ©gulier et sorti des lots exigeants et mobiles. Il est Ă©tonnant qu’il soit nĂ©gligĂ© par les leaders de l’escalafon.

La Quinta n’a pas eu le rendement du passĂ© mĂȘme si l’élevage a sorti une grande corrida Ă  Madrid et un trĂšs bon toro Ă  SĂ©ville.

Pijotero, novillo n°67 de Fuente Ymbro, lidié à Madrid le 3 octobre 2024 par Alejandro Chicharro.©JYB

Fuente Ymbro a sorti 2 bonnes corridas Ă  la San Isidro et Bilbao et beaucoup de bonnes novilladas. Roca Rey l’a affrontĂ© Ă  2 reprises, mais il n’est pas sĂ»r qu’il renouvelle l’expĂ©rience.. On espĂšre revoir ces toros en France l’an prochain.

Jules César, toro n°278 de Margé, à Nßmes, le 14 septembre 2024. ©JYB

Il faut rajouter Ă  ce groupe MargĂ© qui a sorti des lots exceptionnels Ă  Dax et BĂ©ziers (sans oublier NĂźmes oĂč le vent a empĂȘchĂ© des triomphes attendus). L’élevage devrait sortir Ă  nouveau en Espagne (Madrid) en 2025.

Retrirado, n°12 de Sobral, à Céret, le 6 juillet 2024. ©JYB

Les ganaderias toristes ont moins d’aura qu’il y a 30 ans : Dolores Aguirre reste la plus rĂ©guliĂšre. Los Manos a sorti un bon lot Ă  Vic. La nouveautĂ© viendra des Ă©levages portugais qui montent en puissance : Murteira Grave Ă  nouveau triomphateur d’Azpeitia, Sobral Ă  CĂ©ret.

Compte rendu et photos de Jean Yves Blouin https://facealacorne.fr/

En Amérique, dimanche

Mexico Monumental, &/3 d’arĂšne 14 000 spectateurs. Corrida de rejoneo

Jorge HernĂĄndez GĂĄrate vuelta et silence
Guillermo Hermoso de Mendoza , oreille et oreille
Javi Funtanet , vuelta aprĂšs avertissement et applaudissements
Les pegas ont Ă©tĂ© menĂ©s par les forcados de diffĂ©rents groupes, tant du Mexique que du Portugal.JosĂ© MarĂ­a Cairo, a rĂ©ussi l’exploit dĂšs la deuxiĂšme tentative.

Latacunga Equateur dimanche festival virgen esperanza de triana, un tiers d’arĂšnĂš taureaux d’Ortuño et Triana.

Álvaro Mejía , silence
El Fandi , vuelta
Manuel Escribano , oreille
Borja Jiménez , oreille
Paco Cortez , oreille
José Andrés Marcillo , oreille

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