Programme complet de « Toros en Garlin » le 13 avril…
Raquel Martín et Martín Morilla se disputeront en matinée le troisième poste de la tarde…
La Peña Taurine Garlinoise (Pyrénées-Atlantiques) a bouclé le programme de sa traditionnelle Journée Taurine de Printemps en finalisant son choix quant aux deux prétendants au troisième poste de la 23ème Novillada de Printemps, du dimanche 13 avril prochain à GARLIN.
Ainsi, la salmantina Raquel MARTÍN, première femme-torera à pied à fouler les arènes de la Porte du Béarn, et le sevillano Martín MORILLA, particulièrement remarqué à la Maestranza en 2024 (oreille, ovation) en découdront lors de la Fiesta Campera matinale, où le public décidera lequel de ces deux espoirs complètera le cartel de la tarde.
Aarón PALACIO et Julio NORTE, déjà engagés et annoncés pour la Novillada de 16h30, seront donc rejoints par une présentation dans le Sud-Ouest dans la catégorie !
GARLIN 13 AVRIL 2025 – PROGRAMME COMPLET :
9h30 : Casse-croûte béarnais – sur réservation
11h: Fiesta Campera de l’Opportunité
2 Toros-Novillos de DOMECQ NUÑEZ 2, pour :
Raquel MARTÍN
Martín MORILLA
Au vote du public pour désigner le troisième nom de l’après-midi.
Entrée OFFERTE aux possesseurs d’un billet pour la Novillada
13h: Grand Repas de l’Aficion « Festi’Garbures »
16h30: 23ème Novillada de Printemps
6 Toros-Novillos de DOMECQ NUÑEZ 6, pour :
Raquel MARTÍN ou Martín MORILLA
Aarón PALACIO
Julio NORTE
Les réservations (sans frais) pour cette grande journée taurine débuteront le LUNDI 31 MARS, par téléphone au 07 72 26 42 45 ou directement au Bureau de location 14 cours de la République à Garlin, de 10h à 12h et de 16h à 19h.
Ronda attire les touristes pour ses paysages vertigineux, son Ponte Nuevo d’où les prisonniers nationalistes furent jetés dans le vide pendant la guerre civile, mais aussi et surtout pour ses arènes mythiques.
Les calèches sont une des marques de la féria: d’ailleurs, pour la corrida goyesque, les toreros arrivent aux arènes en calèches et sont précédés par un concours, le plus renommé d’Espagne peut-être avec celui de Séville, qui ouvre les cérémonies.
On sait qu’il n’y aura pas de féria à Ronda pour la deuxième année consécutive en 2025. Les travaux de mise aux normes de la plaza ne sont pas terminés et la toiture de tuiles a elle aussi besoin d’une rénovation. En attendant, on ne peut que visiter les arènes pour en découvrir certains caractères très spécifiques.
On sait par exemple qu’Antonio Ordonez demanda que ses cendres soient enterrées dans la plaza de Ronda, ce qui fut fait, symboliquement, devant la porte du toril. Mais on ignore qu’un autre torero Curro Guillen, mortellement blessé par la corne d’un toro de Cabrera, en 1820, fut lui aussi enterré dans les arènes. Le guide local affirme que son tombeau se situe dans le couloir des chiqueros, juste avant la sortie, d’autres (Wikipédia) que ses restes ont été découverts sous le sable à l’occasion de travaux.
Parmi les caractéristiques des arènes, il y a ces talanquères, à moitié en pierre, à moitié en bois, peintes d’un gris qui échappe à la tradition du rouge habituel, et décorées de frises ou du sigle de la Reale Maestranza de Caballeria de Ronda.
Les places les plus recherchées par les spectateurs sont celles du premier rang, même si elles présentent un risque au cas où un toro réussirait à sauter dans le callejon. Mais le risque est faible, compte tenu de la hauteur des talanquères.
Sous les gradins, un musée très bien conçu et riche en détails de grande valeur permet d’évoquer le souvenir des toreros ayant combattu en ces lieux depuis la création des arènes au 18 ème siècle.
On sait que les arènes de Ronda sont un fief torériste et que ne s’y produisent que les toreros choisis par les descendants de la famille Ordonez qui en a la gestion. Les plus grands noms y ont donc toréé, dont Léa Vicens qui a participé à la traditionnelle corrida de rejon de la féria. Car dans les dépendances des arènes figure aussi une école d’équitation renommée et, comme dans toute l’Andalousie, le cheval est roi comme le toro.
Pourtant les corridas de Ronda présentent quelques spécificités techniques: d’abord il n’y a aucun affichage des caractéristiques des toros dans l’arène: ni poids, ni âge, ni numéro d’identification: ici, c’est la tradition, et le public vient pour les toreros, pas pour les toros!
Autre caractéristique de la plaza, le sortéo est ici intégral: on ne crée pas de lot après de longues discussions entre banderilleros de confiance, mais on tire simplement au sort l’ordre de sortie des toros: les 6 numéros des toros inscrits sur les traditionnelles feuilles de papier à cigarette sont mis dans le sombrero du mayoral et chaque « confiance » à tour de rôle tire un des papiers.
Le grand jour est arrivé : le Club Taurin Carlos Olsina ouvre ses portes ! Pour célébrer cet événement, nous vous invitons à nous rejoindre le samedi 22 mars à 18 h 30 au restaurant La Terna, lieu emblématique de la culture taurine à Nîmes. Au programme : • 18h30 : Apéritif convivial et présentation du club Pourquoi rejoindre le Club Taurin Carlos Olsina ? Notre association a pour objectif de soutenir activement la carrière du torero Carlos Olsina à travers différentes actions : • Suivi et information : nous vous tiendrons informés de l’actualité et des performances de Carlos Olsina. • Culture et réflexion : nous organiserons des réunions et des débats sur la corrida, sa philosophie, son histoire et ses enjeux. • Convivialité et traditions : nous partagerons des moments de convivialité autour de soirées aux couleurs de l’Espagne, avec bodegas, gastronomie et danses sévillanes. • Spectacles et émotions : nous assisterons à des capeas, des fiestas camperas et d’autres événements taurins. • Solidarité : nous organiserons des événements caritatifs pour soutenir des causes qui nous tiennent à cœur. • Rencontres et voyages : nous vous proposerons des sorties et des déplacements pour aller à la rencontre de Carlos Olsina et découvrir les hauts lieux de la tauromachie. Ensemble, soyons plus forts ! Votre soutien est essentiel pour nous permettre de financer l’achat de bétail pour l’entraînement de Carlos Olsina, une action essentielle pour sa progression et pour vous offrir des moments privilégiés lors de tientas ou autres événements. En partenariat avec la Peña de Béziers Nous travaillons en étroite collaboration avec la Peña de Béziers et envisageons de mettre en commun certaines actions.
Nous vous attendons nombreux le 22 mars à 18 h 30 à Nîmes, au siège du club, 6 Grand Rue, 30000 Nîmes, au restaurant La Terna. Bien amicalement, Gilles Nubla
L’affiche des Fêtes de Bayonne 2025 a été dévoilée ce midi. Elle est l’œuvre de Julie Alenda et a généré 31,21 % des votes des internautes. ▪︎ 2 corridas seront au programme : – vendredi 11/07 : Corrida blanche des Fêtes – samedi 12/07 : Corrida à cheval.
Chez Soto de la Fuente, dans une brume épaisse, une vache jeune et noble mais sans transmission, lui a permis de s’échauffer et de mener une longue faena allant a mas. On sent que son répertoire s’est enrichi et qu’il maîtrise mieux la lidia, ce qui sera confirmé dans les autres élevages.
Chez Murube, on entre dans une autre catégorie : 2 vaches plus âgées sans doute 2 ans bien tassés, la première allant au cheval sans rechigner, mais sans bravoure excessive. Christian Parejo l’accueille par des doblones de grand son puis enchaine des derechazos et des naturelles tirés au plus loin.
Quelques adornos et passes circulaires plus tard et la vache a donné tout ce qu’elle avait : pour les spectateurs, c’était une vache « sur le fil », qui aurait pu être mère ; mais pour l’éleveur qui prend en compte la lignée de la vache et celle des sementales (pour éviter la consanguinité surtout dans un élevage d’encaste propre), elle n’était pas assez exceptionnelle.
La seconde va s’avérer mansa dès l’entrée en piste : recherchant la porte du toril et fuyant les capes et le piquero. Elle va être lidiée très intelligemment par Parejo qui réussit à l’intéresser et à la garder au centre pendant plusieurs séries. Finalement elle réussit à s’échapper et les dernières passes se donnent devant le toril. Bien entendu, elle est destinée au matadero…
Chez Gabriel Rojas, on enchaine sur du bétail d’origine Nunez, en principe sérieux, qui reste dans la muleta. 3 vaches sont tientées successivement, la première très bonne, encastée et humiliant bien. L’accueil à la cape montre qu’elle serre sur la corne droite et peut mettre le torero en difficulté. Mais bien contrôlée, la faena est de très bon goût, entamée par doblones dominateurs et poursuivies par des séries templées où la vache se rend.
Thomas Cerqueira qui sort de second apprécie lui aussi cet adversaire de qualité et retrouve les réflexes de son passé. Tout au long des 3 jours, le directeur de l’école taurine de Béziers aura fait la preuve de la justesse de son jugement et montré ses énormes qualités de pédagogue, non seulement au profit de Christian Parejo, mais aussi des jeunes qui sont sortis de second.
Les deux autres vaches seront moins bonnes et partiront pour l’abattoir, la 3 ème ayant un fond de mansedumbre. Bien qu’elle se soit employée à la pique, la seconde n’a pas montré les qualités nécessaires pour devenir mère : entamée par statuaires, la faena comportera quelques scories malgré de très bons passages.
Christian Parejo commencera à préparer sa temporada 2025 dans les arènes de Béziers,comme les éditions précédentes qui furent un vrai succès, vous aurez l’occasion depuis le callejon de participer à la préparation d’un torero.
LES :
8 mars devant des Toros de Chamaco
12 avril devant des Toros de Malaga et Fernay. On vous attend heureux et nombreux.
Réservation à partir du 10 février à la billeterie des arènes de Béziers.
Très bon choix du club taurin de Villeneuve de Marsan que celui de donner une corrida intégrale du Camino de Santiago. On ne dira jamais assez que Jean Louis Darré, le ganadero de Bars est un pionnier et qu’il est le seul dans le sud-ouest à être allé au bout du destin de ganadero de bravo c’est à dire jusqu’à élever un toro de quatre ans. Reconnu en Espagne où il a lidié de nombreuses corridas avec succès, il a été ignoré en France, du moins au niveau des corridas, car nul n’est prophète en son pays. Il y eut une exception heureuse et brillante: Mimizan où il fut répété avec succès les trois premières années des « arènes du Courant ». Le voilà de retour sur ses terres gasconnes à Villeneuve -où il fut déjà présent- le 5 août prochain, une date à ne pas manquer !
La plateforme One Toro n’est pas morte: elle diffusera quatre des spectacles donnés dans le cadre des fallas de Valence.
● J 13 mars à 16:30: Novillada con picadores. Novillos Fuente Ymbro : El Mene, Javier Zulueta, Simón Andreu.
● V 14 à 16:30: Corrida de toros. Toros de El Parralejo para Miguel Ángel Perera, Paco Ureña y Fernando Adrián.
● S 15 à 16h30 Corrida de toros. Toros de Victoriano del Río / Toros de Cortés: Talavante, Roca Rey, Alejandro Chicharro (alternative).
● D 16 à 16:30: Corrida de toros. Toros de Jandilla / Vegahermosa: Manzanares, Roca Rey , Tomás Rufo.
Le même jour Castilla la Mancha Media TV qui a télévisé l’an dernier 71 spectacles taurins avec des scores remarquables annonce qu’ elle va téléviser désormais 17 spectacles taurins de la San Isidro. Cela lève l’hypothèque de Télé Madrid qui va téléviser elle aussi la San Isidro sans que l’on sache si cela sera en mode ouvert pour tous les téléspectateurs ou réservé aux madrilènes.
Reste Séville, Ramon Valencia, le patron de Pagés, ne peut -ou ne veut- rien dire sur le sujet. Il y a des négociations en cours néanmoins. Canal Sur est sur le coup c’est une bonne chose car les retransmissions en direct y battent tous les records : une moyenne de 4 millions de personnes.