Mois : mars 2025 Page 5 sur 18

Concours de capea Ă  Milhaud

LA COMMISSION TAURINE D’ORTHEZ RECOMPENSEE

Yves Charpiat prĂ©sident des vĂ©tĂ©rinaires taurins a remis le prix Ă  Nicolas PĂ©triat pdt de la commission taurine d’Orthez.

L’Association Française des VĂ©tĂ©rinaires Taurins a attribuĂ© le prix Pierre DELOUEDE 2024 Ă  la Commission taurine d’Orthez pour la prĂ©sentation et la corrida  proposĂ©es aux ArĂšnes du PesquĂ© en 2024.

Le trophée lui a été remis le samedi 22 mars à la ganaderia du Lartet.

Ce prix rĂ©compense le travail de fond et la persĂ©vĂ©rance des membres de la Commission taurine d’Orthez qui s’appuie sur une Ă©thique de la corrida oĂč le toro est au centre de sa philosophie

On les encourage à poursuivre leur travail intéressant et innovant.

ENHORABUENA

Madrid proteste contre la hausse des entrées

« Joselito ideó abaratar entradas

Plaza 1 ideó arruinarnos »

« Joselito voulait baisser les entrées

Plaza Uno veut nous ruiner « 

Fiesta Campera de la peña El Rafi

« TARDES DE SOLEDAD » UN VRAI GRAND FILM TAURIN QUOIQU’ ILS EN DISENT…

Tardes de Soledad , n’en dĂ©plaise aux tenants des retransmissions tĂ©lĂ©visuelles n’est pas un documentaire.  VoilĂ  la premiĂšre vĂ©ritĂ© qu’assĂšne ce film magnifique et dur.  Lors de la projection d’hier soir Ă  La Rochelle en prĂ©sence du rĂ©alisateur, on a vĂ©cu des moments d’une assez rĂ©jouiissante diversitĂ©: il y avait dans la trĂšs nombreuse assistance de quoi tracer des portraits d’aficionados proches de la caricature: »Monsieur votre film m’a Ă©normĂ©ment dĂ©plu dit l’un, la soixantaine bien tassĂ©e, j’ai vu beaucoup de corridas, ce n’est pas come ça qu’il faut voir la tauromachie, et puis d’ailleuirs je dĂ©teste Roca Rey… etc etc.

Une autre, j’ai filmĂ© pour la tĂ©lĂ©vision des corridas Ă  Bayonne et Ă  BĂ©ziers,j’ai vu aussi le 16 septembre 2002 Ă  Nimes la plus belle corrida possible et donc je ny vais plus…

Le malheureux Albert Serra était coi!

Alors que d’autres, enthousiasmĂ©s par l’Ă©mouvant montage, une bande son absolument formidable, pas de musique, le bruit la rumeur la fureur,la rĂ©pĂ©tition de scĂšnes impossibles Ă  prĂ©voir.. Allez donc monter un scenario pour diriger les deux acteurs, toro et torero. Vous me suivez?

Imaginez aussi que le RĂ©alisateur soit gĂȘnĂ© par les exigences supposĂ©es du Matador, qu’adviendrait il de ce film qui ne veut qu’une chose, montrer le rĂ©el, les coups du sort, tout le temps heureux, chanceux malgrĂ© des chocs effarants, dont un Ă©pinglage du toro sur Roca Ă  la barriĂšre pas loin du tendido 7 qui l’insulte et lĂ , la mort possible mais Ă©vitĂ©e, se taisent.

A un autre moment, merveille absolue de la tehnique sonore, tous les intervenants cuadrilla, torero, picador Ă©quipĂ©s de micros ultra sensibles cousus dans leur costumes, on entend, durant trois naturelles que l’on voit fort bien , rĂ©alisĂ©es un peu moins bien, on entend une fille hurler »Tenga miedo! »( Il a Peur) et aussitĂŽt en contrepoint, le regard fou de Roca qui se bat depuis un moment avec ce manso impossible comprend que la fille a raison non sur sa peur mais sur son toreo imparfait,et lĂ , il y a un grand plan sĂ©quence   ou, sans jouer , Roca est un acteur au sens propre du mot.Notons qu’on ne voit JAMAIS le public .

On est tout le temps dans le rĂ©el si dur, si fort, que peut ĂȘtre m’a t il manquĂ© et je l’ai dit Ă  Albert Serra, d’avoir montrĂ© un peu plus l’oxymore taurin par excellence,la douce violence.

Mais revenons Ă  notre sujet, il faut aller voir ce film en cinĂ©phile et si on y va en aficionado Ă  los toros il  faut accepter le parti pris de ce qu’ implique le cinĂ©ma, une construction, un montage, une bande son une esthetique superbe , une impudeur totale, et d’ailleurs Roca Rey avait laissĂ© toute libertĂ© Ă  l’quipe de tournage.

On voit la fraternitĂ©, l’amitiĂ©, l’admiration et la grossiĂšretĂ©  » Ă  l’espagnole », des dialogues  de PUTA MADRE! de Hijo de puta, 

On n’est Ă  aucun moment dans une acadĂ©mie de danse! On torĂ©e, on risque la MORT, on la donne, plus ou moins bien, En Public, Scandale assumĂ©, Fermez le banc.

Ce film a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© en Espagne par les taurins. 

Jean François NeviÚre avec Albert Serra hier à La Rochelle, en ouverture du festival du documentaire.

Favoriserait il les positions anti corrida, et les Opposants Ă  cet Art se sentiront ils  confortĂ©s dans leur jugements?  En aucun cas , ils ont dĂ©jĂ  trichĂ© pour parler de notre passion et la plus claire argumentation favorable Ă u film consiste Ă  dire, comme son rĂ©alisateur: «  Jai fait un film sur le dĂ©roulement de cinq corridas,  Madrid, SĂ©ville, etc…Je ne suis ni pour ni contre la corrida, j’ai filmĂ© avec mon regard neutre un ĂȘtre quelquefois si seul qu’il en est transparent, pas de fiction, la rĂ©alité » .

Contrairement Ă  ce que j’ai pu lire ici sur ce film, on a des sĂ©ries de naturelles entiĂšres, au ras des cornes, peu de cape, Ă©viter l’ envol vers le joli, des costumes rouge et Azabache seul choix guidĂ© par le cinĂ©aste, des sorties des arĂšnes sans triomphe  mais aprĂšs passage Ă  l’infirmerie en tenue de pyjama hospitalier, les larmes de certains peones, leur admiration pour ce torero qui a les couilles plus grosses que l’arĂšne toute entiĂšre .(Dixit Viruta, banderillero)

Mais, Ă©videmment , si vous ĂȘtes assez sots pour dĂ©tester Roca Rey comme Madrid le fait et l’a fait naguĂšre pour Juli ou d’autres… N’ y allez pas, mais tant pis pour vous.

Grand FILM, pas pour grand public , et encore, justement, je me trompe peut-ĂȘtre.

Jean François NeviÚre

Castellón, Ferrera gracie « Nightingale » de La Quinta

Vuelta de Ferrera, des ganaderos Conradi et du mayoral de La Quinta 1er toro graciĂ© dans l’histoire des arĂšnes de Castellon.

ArÚnes de Castellón . PremiÚre corrida de la Féria de la Magdalena Environ à moitié plein.

Taureaux de La Quinta, bien prĂ©sentĂ©s et gĂ©nĂ©ralement bons. Le quatriĂšme de l’aprĂšs-midi, nommĂ© « Nightingale », n° 34, a Ă©tĂ© graciĂ©. Le troisiĂšme de l’aprĂšs-midi, noble fut applaudi. Le troisiĂšme, applaudi Ă  l’arrastre aussi.

  • ANTONIO FERRERA , une oreille et deux oreilles et queue symboliques
  • EL FANDI , oreille et ovation aprĂšs avertissement
  • MANUEL ESCRIBANO , oreille et le silence

Madrid, grave blessure de Damian Castaño

Plaza de toros de Las Ventas (Madrid). Premier spectacle de la temporada. 13.881 spectateurs.

Toros de Adolfo MartĂ­n, 

‱ RAFAEL DE JULIA, pitos et bronca

‱ DAMIÁN CASTAÑO, ovation et blessure (son toro a Ă©tĂ© tuĂ© par Rafel de Julia)

‱ ADRIÁN DE TORRES, silence aprĂšs avis et silence aprĂšs avis

L’aprĂšs-midi de DamiĂĄn Castaño Ă  l’ouverture de la saison de Madrid a Ă©tĂ© de verdad du dĂ©but Ă  la fin. Avant le cinquiĂšme de l’aprĂšs-midi, le diestro de Salamanque s’est retrouvĂ© avec un taureau qui rĂ©pondait violemment Ă  ses attaques. L’animal l’attrapa violemment. Le torero a Ă©tĂ© blessĂ© en tombant au sol et a Ă©tĂ© rapidement transportĂ© Ă  l’infirmerie. Sa cuadrilla a Ă©tĂ© ovationnĂ©e. Cornada de deux trajectoires sur la cuisse gauche de 15 et 10 cms de profondeur. Pronostic grave.


Arnedo: succÚs de David Guitérrez au Zapato de plata

Arnedo (La Rioja). XXIIĂšme Zapato de Plata. Plus de 1/2 arĂšne.

Erales de GalbarĂ­n.

Javier Torres “Bombita”, (E.T. de Ubrique): Ovation et saluts et oreille aprĂšs avis. 

Diego Mateos, (E.T. de Salamanca): Oreille et silence aprĂšs avis.

David Gutiérrez, (E.T. de Badajoz): Oreille avec pétition de la seconde aprÚs avis et vuelta al ruedo aprÚs pétition et avis.

David Gutierez, Ă©lĂšve de l’école taurine de Badajoz reviendra Ă  Arnedo, en septembre en novillada piquĂ©e. Dimanche face Ă  des novillos de Galbarin il s’est imposĂ© devant Javier Torres « Bombita » et Diego Mateos. DĂšs sa premiĂšre sortie avec le troisiĂšme Galbarin de la course il a dĂ©montrĂ© ses qualitĂ©s Ă  la cape dessinant une longue sĂ©rie de vĂ©roniques, lentes et profondes. Sa faena fut marquĂ© de belles suites sur les deux mains mĂȘme si par instant il se laissa aller Ă  torĂ©er le public. Une oreille aprĂšs un avis. Mais il allait livrer tout son savoir avec « Corresantos », le dernier Galbarin. Il fut obligĂ© de se battre Ă  la cape avant de pouvoir offrir une longue sĂ©rie de chicuelinas. A la muleta il poursuivit un combat contre l’animal et s’imposa sur les deux mains avec des changements frĂ©quents. Une tauromachie efficace et conquĂ©rante. David avait les deux oreilles au bout de l’épĂ©e et un triomphe majeur. Mais avec l’acier les choses se passĂšrent mal. Un premiĂšre voltereta Ă  la premiĂšre tentative d’entrĂ©e Ă  matar. Il dĂ» terminer en deux phases. Mas public et jury avaient compris qu’il y avait lĂ  de l’excellente graine de torero. Quelque heures plus tard le prĂ©sident du club taurin lui remettait le cĂ©lĂ©bre soulier d’argent
 qui doit permettre de franchir les chemins de la rĂ©ussite taurine.

Javier Torres « Bombita » avait ouvert la course sur un mode un peu brouillon, parfois Ă©clairĂ© par de belles sĂ©ries. Il Ă©choua Ă  la mort mais se rattrapait Ă  sa seonde sortie illuminĂ©e par quelques faroles Ă  genoux et d’immenses vĂ©roniques. Il donna ses premiĂšres passes de muleta assis sur une chaise
 Mais il ne parvint jamais Ă  trouver un style agrĂ©able.

Diego Mateos accueillit ses deux adversaires Ă  « porta gayola » mais il ne les transforma pas par une bonne domination de cape. Sa premiĂšre faena, sans grand originalitĂ© fut acceptable et l’épĂ©e lui permit d’empocher un pavillon. Son deuxiĂšme combat, fut marquĂ© par une belle sĂ©rie de droite, mais il ne parvint pas Ă  imprimer de la profondeur Ă  sa tauromachie. C’était plutĂŽt parfait mais on espĂ©rait mieux. L’épĂ©e ne lui permit pas de renouveler son prĂ©cĂ©dent succĂ©s.

Des novillos intéressants, une course entretenue et un beau vainqueur pour ce nouveau zapato de plata.

Jean-Michel Dussol

Le jury a déclaré David Guitérrez vainqueur du XXIIÚme zapato de plata.

Cliquez sur la photo ci-dessous pour voir la galerie de Philippe Gil Mir

0000 - 2101 Arnedo 23-03-2025 Erales de Galbarin © Philippe Gil Mir

PARIS, JUAN LEAL À CULTURAFICION.

Juan Leal Ă©tait l’invitĂ© de Culturaficion cette semaine : il Ă©tait dĂ©jĂ  venu au Ruedo Newton il y a 3 ans (voir ci-dessous) mais a dĂ©voilĂ© d’autres aspects de sa personnalitĂ© et de son art.

Son parcours est connu, mais rappelons-le : il est nĂ© Ă  Paris, mais n’y a pas vĂ©cu puisque sa famille est retournĂ©e en Arles quelques semaines plus tard. Il vit sa jeunesse au milieu d’une lignĂ©e de toreros dont il constitue la 5 Ăšme gĂ©nĂ©ration. Il confirme que s’il souhaite que son fils soit aficionado, il ne veut pas qu’il devienne torero de la 6 Ăšme gĂ©nĂ©ration des Leal. Il a pu profiter de leur expĂ©rience et de leur entourage jusqu’à 14 ans, Ăąge auquel il est parti en Espagne Ă  l’école taurine d’El Juli. Il est encore surpris que ses parents aient approuvĂ© et accompagnĂ© sa dĂ©cision : « depuis que je suis pĂšre, je ne trouve pas ça normal Â».

Superbe arrucina de Juan Leal à un toro de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

InterrogĂ© sur l’évolution de son torĂ©o, il reconnait qu’il n’a pas encore atteint ce qu’il veut faire de son style.

« La tauromachie est un art et l’artiste doit avoir sa propre personnalitĂ©. Bien entendu, cela nĂ©cessite une expĂ©rience technique. Â»

Au dĂ©part il voulait surtout prĂ©senter quelque chose de diffĂ©rent, mais n’arrivait pas Ă  l’exprimer : il devait chercher autre chose en se dĂ©marquant ou plutĂŽt en Ă©tant lui-mĂȘme. Donc, il n’avait pas rĂ©ellement de modĂšle mĂȘme s’il admirait la façon de torĂ©er de Damaso Gonzalez ou Paco Ojeda.

Car « ĂȘtre proche de l’animal met en valeur le travail du torero : il contrĂŽle la charge au lieu de l’accompagner ce qui permet un dialogue avec l’animal et une relation intime. Â»

Juan Leal dans un desplante risquĂ© face au toro n°187 de Fuente Ymbro, Ă  NĂźmes, le 13 juin 2021. ©JYB archives

Sur une question : quid du courage ?

On sait qu’il s’expose beaucoup, mais le courage est le simple fait de dominer sa peur et face au toro, tous ont peur. Mais il faut se donner Ă  100% par respect pour l’animal et par respect pour le public. Le pire, c’est quand le public ne ressent rien n’a pas d’émotion et sort dĂ©senchantĂ©.

Naturelle de Juan Leal au toro n°62 de Miura, à Bilbao, le 26 août 2018. ©JYB archives

Q : Il a toréé des ganaderias trĂšs diffĂ©rentes ?

Au moins une soixantaine : « Le fait d’affronter des Ă©levages si diffĂ©rents permet d’ajuster les paramĂštres de son logiciel. Â» Par paramĂštre, il entend la solution technique Ă  choisir ; c’est pourquoi affronter des fers diffĂ©rents est ce qui enrichit. Pour lui, c’est un choix et non une obligation : ainsi la premiĂšre fois qu’il a affrontĂ© les Miura de Bilbao, cela lui a Ă©tĂ© imposĂ©, mais aprĂšs son succĂšs, l’annĂ©e suivante, c’est lui qui les a choisis. Devant les Miura, les choses se sont toujours bien passĂ©es y compris Ă  Madrid.

Véronique à pieds joints, de Juan Leal au toro n°88 de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

Les toros devant lesquels il se sent le plus a gusto sont ceux de Fuente Ymbro, car ils possĂšdent un Ă©quilibre entre transmission, torĂ©abilitĂ©, et possibilitĂ© de s’exprimer. Mais il s’entraĂźne dans une trentaine de ganaderias avec lesquelles il a une relation de confiance rĂ©ciproque, de Miura Ă  Garcigrande en passant par Cebada Gago, Luis Algarra, ou Torrealta etc.

Estocade de Juan Leal au toro n°62 de Miura, Ă  Bilbao le 26 aoĂ»t 2018. On remarquera que malgrĂ© le saut pour enfoncer l’épĂ©e, la jambe droite du maestro est toujours en face de la corne droite du toro (mĂȘme si celui-ci n’a pas suivi la muleta), ce qui prouve qu’il est entrĂ© droit dans son estocade. ©JYB archives

Q : L’estocade ?

Le fait de faire un saut en portant l’épĂ©e a pu lui jouer quelques tours (il est moins facile de viser la cruz quand on n’a pas les pieds au sol), mais il a retrouvĂ© confiance en Ă©quateur oĂč il a trĂšs bien tuĂ©.

Q : Ses publics prĂ©fĂ©rĂ©s : exigeants ou festifs ?

Incontestablement les publics des arĂšnes de premiĂšre catĂ©gorie, aussi parce que c’est en lien avec un toro plus important. Donc : NĂźmes, bien sĂ»r, Bilbao, Albacete, Bayonne.

Saltillera de Juan Leal au toro n°155 de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

Q : À propos du film d’Albert Serra que pense-t-il des toreros qui parlent des toros en les insultant ?

C’est peut-ĂȘtre la peur ou le soulagement. C’est peut-ĂȘtre une rĂ©action de la cuadrilla qui veut protĂ©ger le moral du torero. Les toreros ont tous de l’admiration pour le toro. L’aficionado doit se rendre compte du niveau de danger et de peur et ça excuse surement certains propos du film.

Q : sa temporada 2025 ?

Il est allĂ© en Equateur, retournera au PĂ©rou en juin, Ă  ce stade ont seulement Ă©tĂ© annoncĂ©s ses cartels de Madrid et Arles (Riz), mais il y en aura d’autres, mĂȘme s’il ne peut pas les dĂ©voiler.

Q : sa relation avec les jeunes ?

Il continuera Ă  rester impliquĂ© auprĂšs des jeunes car ils mĂ©ritent de se faire leur propre opinion de la tauromachie. Il va de ce fait relancer la Fragua (la forge) oĂč il donnait leur chance Ă  des jeunes d’écoles taurines.

Juan Leal avec l’équipe de Culturaficion, Ă  Paris le 18 mars 2025. ©JYB

AprĂšs avoir posĂ© pour la photo souvenir et signĂ© la cape « livre d’or Â» de Culturaficion, Juan Leal a reçu le trĂšs beau livre de Marc Thorel Toreros dans la ville lumiĂšre en souvenir de son passage chez Culturaficion.

JY Blouin (texte et photos) https://facealacorne.fr/juan-leal-a-culturaficion/

« Tous les vivants ne se valent pas » avec Francis Wolff sur France Inter

« La vie a-t-elle une valeur ? » C’est la question posĂ©e par le philosophe Francis Wolff dans son dernier ouvrage. Pour le professeur Ă©mĂ©rite Ă  l’École normale supĂ©rieure, ce n’est pas la vie qui a une valeur absolue, c’est chaque vie humaine. Pas le vivant, mais les ĂȘtres humains. DĂ©bat.

ttps://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-grand-face-a-face/le-grand-face-a-face-du-samedi-22-mars-2025-7237430

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