Arènes de Teruel . Avant-dernière corrida de la Feria Taurine d’Ángel À moitié pleine. Taureaux de Murteira Grave. Sérieux, bien présentés et globalement de bonne conformation Les troisième, cinquième et sixième se sont distingués par leur excellent jeu.
ANTONIO FERRERA, applaudissements et silence
SÁNCHEZ VARA, tVuelta et oreille
JESÚS ENRIQUE COLOMBO, deux oreilles et une oreiille
Plaza de toros de Pampelune, Navarre . Septième de la Feria de San Fermín 2025. Lleno. Toros de Jandilla y Vegahermosa (2º), bien présentés, dans une corrida qui n’est pas exagérée mais inégale. Le troisième « Historico », applaudi à l’arrastre. Bon le deuxième, même s’il manquait de profondeur. Le premier est également bon, avec beaucoup de classe sur le piton droit. Le sixième terne. Le quatrième avait un problème de vision.
• JUAN ORTEGA, silence et silence
• ROCA REY, silence après deux avis et silence après avis
Sprint des Jandilla qui ont parcouru le recorrido en 2 minutes 19. C’était un encierro très attendu parce que souvent à émotions et aussi fauteur de drames. Cette fois pas de blessé par cornes à déplorer mais 5 contusions dues à des chûtes et des bousculades. Les toros ont couru en file indienne permettant de très belles courses des mozos, certains s’empoignant vivement pour se faire une place au milieu de la manade. Grande noblesse de l’ensemble qui n’a manifesté aucune agressivité particulière.
Une réaction de Michèle, une de nos fidèles lectrices:
Je me répète mais je voudrais vous parler encore d’Andrès Roca Rey…
J’ai cru très fort en lui en tant que torero, encore plus en tant qu’homme, beau, élégant, évolué, à l’aise et passionnant dans ses interviews…Mon mari était plus réservé et m’alertait sur son choix de plus en plus évident d’élevages complaisants, sur sa tendance à toréer de plus en plus en parallèle etc…
Alain est mort à Noël et… s’il avait eu raison et pressenti ce que je refusais de voir ?
Pour bien des raisons il a aujourd’hui échoué a Pamplona qui l’aimait tant… Je n’ai pas vu ses faenas mais je me demande depuis un moment s’il gère bien sa carrière : il a longtemps insisté sur ses racines péruviennes et fêtera par une encerrona ses 10 ans d’alternative à Lima; c’est beau mais c’est une erreur quand on torée pour un public espagnol qui ne voit que par Seville, Triana, calle Pureza etc…
Il s’est séparé de Roberto Dominguez : grave erreur à mon avis et je sais que ce n’est pas le vôtre; il papillonne avec les influenceuses et les infantes…
Est-il grisé ? J’étais si heureuse quand il est sorti par la Puerta grande à Madrid; je descendais de nos gradas avec Alain comme sur un nuage…Madrid l’aimait et mes voisins étaient exaltés !
Rufo m’ennuie, Perera m’endort… Tout est Morantista aujourd’hui et je ne le suis plus…