






Vendredi 13 septembre 2024 – 17h30 – Corrida.
6 toros de Jandilla pour Sébastien Castella, José María Manzanares fils et Lalo de María (qui prendra l’alternative).
Vendredi 13 septembre 2024 – 17h30 – Corrida.
6 toros de Jandilla pour Sébastien Castella, José María Manzanares fils et Lalo de María (qui prendra l’alternative).
Nouveaux indultos hier en Espagne. J’en ai repéré deux dont un par Talavante qui au coupé deux oreilles et la queue symboliques à Villanueva del Arzobispo d’un toro de Capea. Si mes comptes sont bons il n’y a eu que trois indultos en France depuis le début de la temporada, dont un seul, à Béziers avec un toro de Margé, a fait polémique. Ailleurs le mouchoir orange -dont tous les présidents sont dotés en montant au palco- est tombé sans que personne ne critique cette « chûte ». On voit donc du point de vue quantitatif que le débat reste très théorique car -sous réserve d’inventaire-, le nombre d’indultos ne semble pas avoir augmenré ni en France ni en Espagne. C’est un chiffre stable et infinitésable si on le compare aux nombre de toros lidiés (en hausse cette année). Moins de 0?5% pour donner un order d’idée et quasi inexistant dans les arènes de 1ère catégorie Néanmoins puisque la discussion existe poursuivons-là dans un esprit d’ouverture et de tolérance avec cet excellent article de notre ami Jean Yves Bloin sur son site facealacorne.fr.
PV
Cobradiezmos, toro de Victorino Martin, n°37 lidié à Séville, par Manuel Escribano, le 13 avril 2016. ©JYB archives
En 25 années d’aficion, j’ai assisté à une trentaine d’indultos. Pour la plupart ils ont été contestés même s’ils ont procuré beaucoup d’émotions au public qui s’est enthousiasmé: l’exemple le plus typique est celui du toro de Parladé gracié à Nîmes alors qu’il avait sauté au callejon et été ménagé à la pique, mais la gestuelle de Jose Tomas à ce toro avait emporté la décision d’un palco généreux.
A la réflexion, le seul Indulto qui m’ait semblé justifié a été celui de Cobradiezmos, n° 37 de Victorino Martin indulté en 2016 à Séville après sa lidia par manuel Escribano. D’ailleurs, la principale justification de cet indulto est que nombre de ses fils ont été brillants et récompensés (oreilles, vueltas) ces dernières années.
Mais plusieurs éléments récents viennent remettre la question de la grâce du toro sur le tapis de la discussion: il y a d’abord eu ce communiqué de la Fédération des Sociétés Taurines de France sous la plume de Daniel Garipuy:
Les indultos et la mort de la corrida.
Le RTMF mentionne l’indulto dans 2 articles, le 73-10 et surtout le 84 : “la grâce peut être accordée si le taureau a eu un excellent comportement dans les trois tiers“. L’ancienne mouture précisait “notamment en prenant les piques avec style et bravoure“.
Au-delà des aspects réglementaires la multiplication des indultos en Espagne (mais aucun dans les arènes de première catégorie) et malheureusement presque partout en France pose un problème majeur.
Sans la mise à mort le rite et le sens profond de la corrida sont perdus
La seule justification de l’indulto doit demeurer celle de préserver comme reproducteur un taureau absolument exceptionnel tout au long des trois tiers, un taureau puissant, brave, mobile, encasté. La grâce doit être rarissime à l’inverse des excès actuels qui ouvrent la voie, même si leurs auteurs n’en ont pas conscience, à une corrida qui dépourvue de la suerte suprême n’en serait plus une.
Nous devons dénoncer avec vigueur les excès actuels. C’est un combat essentiel à mener sans concession, en sachant qu’il va à l’encontre des intérêts des matadors, des éleveurs et des empresas.
Une proposition simple permettrait vraisemblablement de limiter le nombre des indultos : en l’absence de mise à mort, puisque la lidia n’est pas allée jusqu’au bout, pas de trophées pour les matadors hormis une vuelta al ruedo.
Daniel Garipuy
J’aime beaucoup la proposition finale de Daniel Garipuy: pas de trophées pour le torero: certes il s’est montré a gusto avec un grand toro, mais la grâce est accordée aux qualités du toro et non à celles du torero. Mais revenons à la base, c’est à dire au règlement taurin. Il aborde la question dans 2 articles qui ont été modifiés dans la nouvelle version qui vient d’être publiée et qui est analysée par l’excellent site tertulias.fr:
Article 72 Alinéa 10
Ancien règlement : Aucun toro ne pourra obtenir la vuelta al ruedo (tour de piste post mortem) ou l’indulto (grâce du président) s’il n’a pas fait preuve d’une bravoure suffisante à la pique.
Nouveau règlement : Pour obtenir les honneurs de la vuelta posthume ou l’indulto (grâce), le taureau devra avoir démontré sa bravoure lors des trois tiers.
Commentaire (de tertulias) : Rééquilibrage entre les trois tiers pour accorder une vuelta ou indulto. Le toro ne pourra faire la vuelta ou obtenir la grâce sans démontrer sa bravoure lors des deux derniers. Comment définit-on et mesure-t-on la bravoure au second et troisième tiers?
Rajoutons à ce commentaire: Le problème des indultos à répétition est d’abord que le public qui crie ou agite ses mouchoirs a oublié ce qui s’est passé au premier voire au deuxième tiers. C’est l’honneur des présidents de résister à cette pression, même si certains ont avoué avoir cédé par crainte d’un déferlement de violence.
Article 85
Ancien règlement : Lorsqu’un animal aura mérité d’être gracié en raison de son excellent comportement dans toutes les phases du combat sans exception, notamment en prenant les piques avec style et bravoure, le Président pourra dans les circonstances qui suivent, accorder cette grâce afin que l’animal puisse être utilisé comme semental après les soins nécessités par son état physique et ses blessures, et participer ainsi à la préservation et l’amélioration de la race et de la caste de l’espèce.(…).
Nouveau règlement : Lorsqu’un taureau a mérité́ la grâce en raison de son excellent comportement dans les trois tiers de la lidia, le Président peut l’accorder afin qu’il puisse être utilisé comme reproducteur et participer ainsi à l’amélioration de l’espèce. (…).
On peut contester ce nouveau règlement trop imprécis même s’il mentionne le comportement dans les 3 tiers. Là encore c’est le rôle du torero qui devient primordial, d’autant qu’il participe ou provoque la demande de grâce, au détriment de la bravoure et de la caste du toro. Rappelons aussi que l’usage veut que l’avis de l’éleveur soit demandé avant de sortir le mouchoir orange. On a vu des éleveurs demander l’indulto pour préserver une lignée qui allait disparaître de leur élevage (Margé à Béziers cette année); mais on en a vus aussi refuser l’indulto, car le toro gracié n’apportait rien comme semental à leur élevage; on en a vus aussi qui après le retour du toro à la ganaderia, le faisaient discrètement conduire à l’abattoir car l’indulto, synonyme de publicité, permet d’augmenter ses prix pour la temporada suivante..
Reste que d’autres discussions sont dans l’air et d’autres propositions s’installent: le nouveau projet de règlement régional de Castilla y Leon fait preuve d’originalité:
Une nouveauté concernant l’indulto est proposée. Lorsque la grâce est demandée, le président suspend le temps de la faena et demande l’entrée du picador de turno. Le toro reviendra alors au cheval et le président décidera de sortir ou non le mouchoir orange.
C’est remettre la bravoure et la caste au centre de la décision d’indulto ce qui va dans le bon sens (avec un seul inconvénient rallonger encore la durée des corridas, mais dans ce contexte, il n’a que peu de poids..)
A suivre…
J.Y. Bloin in http://facealacorne.fr
Arènes d’Albacete . Deuxième de la féria. Environ deux tiers.
Novillos de Montealto,
MANUEL CABALLERO , oreille et oreille
SAMUEL NAVALÓN , deux oreilles et oreille
JAVIER ZULUETA , silence et silence après deux avertissements
Arènes de Villaseca de la Sagra , Tolède – Défi d’élevages. Novillada. Avant-dernière de l’Alfarero de Oro 2024. Plus des trois quarts d’entrée.
.Novillos, par ordre de combat, de Barcial, El Añadío (4e bis), Partido de Resina, Saltillo, Conde de la Corte et Concha y Sierra,
EDUARDO NEYRA , silence après avertissement et silence
MARIO ARRUZA , silence et silence après avertissement
EMILIANO OSORNIO , ovation et ovation
Arènes d’ Arganda del Rey , Madrid – Première de la féria. Complet.
Novillos d’ Adelaida Rodríguez, avec une bonne présentation et un jeu généralement terne, manquant de race et de transmission.
SERGIO SÁNCHEZ , applaudissements et silence après deux avertissements
BRUNO ALOI , ovation et ovation
CID DE MARÍA , silence et silence
Arènes de Navalcarnero , Madrid – Première de la féria. Complet.
Taureaux Flor de Jara , avec une présentation variée et un jeu varié, le 3 ème, applaudi dà l’arastre.
DIEGO VENTURA , deux oreilles et deux oreilles et une queue
ROMÁN , oreille et silence
DAVID DE MIRANDA , ovation et ovation
Voici le programme de la journée taurine du samedi 14 septembre 2024 à Eauze
9h petit déjeuner gascon
11h novillada sp du Lartet pour Goncalvo Alves et Pablo Hernandez
13h repas de l’aficion
17h corrida 6 toros de Pagès Mailhan pour Dorian Canton, El Rafi et Yon Lamothe.
20h Repas moules-frites
Locations salle Marpoy à la mairie d’ Eauze à partir du 2 septembre de 9h à 18h
Renseignements et réservations au 06.80.06.38.38 ou sur le site de la mairie d Eauze.
Plaza de toros de Dax – Dernière de temporada. Casi lleno. Mano a mano.
Toros de Jandilla.
SEBASTIÁN CASTELLA, silence, palmas après avis et palmas après deux avis
DANIEL LUQUE, oreille, deux oreilles après avis et ovation.
Iván García a salué au second.
Sobresaliente Miguel Angel Garcia.
Terne corrida de Jandilla dont Daniel Luque a su exploiter avec habileté les côtés positifs. Le torero de Gerena plébiscité par le public a renouvelé son crédit dans la cité thermal et il a pris un net avantage sur Sébastien Castella maladroit à l’épée, dans ce qui était une des affiches les plus attrayantes de la saison.
Correctement présenté le lot de Jandilla, dans le type, avec un trapio conforme et des défenses sérieuses sans excès. Nobles dans l’ensemble mais souvent juste de force, ils ont été modestes sous le cheval bien que causant deux batacazos -liés plus au déséquilibre du cheval, qu’à l’engagement réel du cornu. Par la suite ils ont fait preuve de bonté pour le premier soso et juste de force, le second plus encasté, le troisième manquant de transmission, le quatrième plus complet, le cinquième violent et compliqué, le dernier décasté et vite éteint.
Sébastien Castella plongé en plein marathon avec un nombre important de dates à honorer n’était pas hier dans son assiette. Il n’eut donc pas son rendement habituel. Souvent accroché par le premier qui semblait sans difficultés majeures, il ne put faire preuve de cette autorité et de ce goût de la perfection qui sont sa marque de fabrique.
Ses déboires à l’épée débutèrent avec ce tambour-major: deux pinchazos et une entière tombée. Il ne s’accorda pas non plus avec le suivant qui manquait de chispa et de force. Distant, froid son travail n’eut pas d’écho sur les étagères : trois pinchazos et un descabello. On retrouva le Sébastien que l’on aime face au cinquième, violent, réservé et se livrant qu’avec parcimonie. Le bitterois se retroussa et tenta, avec une réelle entrega, d’entreprendre le Jandilla sur les deux bords. Il imposa sa loi avec difficulté et tua d’un bajonazo et d’un descabello après avoir entendu les deux avis, échappant de justesse à la correctionnelle…
Très à son aise Daniel Luque devant un public conquis d’avance. Il fit tout pour satisfaire ce conclave acquis à sa cause en grand professionnel qu’il est. Il fut pour cela aidé par le sorteo, héritant des deux meilleurs du lot : le second (sobrero) qu’il tua d’une entière desprendida et le quatrième surtout avec lequel il s’accoupla parfaitement, construisant une faena qui ira de menos à màs.
Le final encimiste, engagé et original fit rugir les tendidos enthousiastes. Il tira tout ce qui était possible de son adversaire capté par sa muleta précise et élégante. Une demie-épée en place et malgré quelques réserves présidentielles le second mouchoir finit par tomber consacrant les bonnes manières du torero de Gerena. Il abrégea face au dernier qui ne valait pas tripettes concluant d’une entière habile.
Ainsi s’achève une temporada dacquoise qui fera date : on se souviendra longtemps en effet de la corrida de Santiago Domecq donnée pendant les fêtes et de celle de Robert Margé célébrée samedi. « Merci Robert » c’est ce qu’une main anonyme avait écrit sur une banderole pendue aux gradas de sol dimanche. Oui merci !
Pierre Vidal
Photos Bruno Lasnier
L’unique oreille pour Colombo au terme d’une corrida sérieuse et âpre…Ciel couvert, la pluie ayant finalement épargné les débats. Un tiers environ.Une minute d’applaudissements a été observée à la mémoire de l’arenero Jacques Gracia, ainsi que pour tous les professionnels et aficionados qui nous ont quittés cette année.Six toros de Valverde bien présentés, dans le type, formant un lot sérieux, exigeant, varié au mental.Juan de Castilla : applaudissements et silence.Jesús Enrique Colombo : vuelta et oreille.Maxime Solera : saluts et vuelta.Les gradins, particulièrement bien remplis la veille, ont laissé place ce jour à une vision plutôt squelettique ! Un bien singulier contraste… Et pourtant, il y avait des toros ! ![]() Juan de Castilla brinda une première faena à l’assistance après deux piques applaudies, la seconde de loin, puis un début arrodillado au centre en donnant la distance. Face à un toro bien décidé à ne pas se laisser dominer, le Colombien y parvint tout de même petit à petit, notamment à bâbord, mais le tout a été totalement réduit à néant après entière au second envoi, suivie d’un chapelet de descabellos (9 !). Une bien belle occasion de se distinguer venait de s’envoler ! Le quatrième, au demeurant superbe, eut quelques difficultés à tenir la distance ce qui fit qu’à la faena, le labeur de Juan n’a pas été valorisé comme il aurait pu l’être, la ferraille n’arrangeant rien. Sans pouvoir parvenir à ses fins, Juan de Castilla aura toutefois laissé une bonne impression pour son abnégation. Mais c’est vrai aussi que les toros, il faut les tuer, et bien de préférence… Jesús Enrique Colombo a eu lui aussi ses mérites. Dans son style bouillonnant, un jeune diestro complet dans les trois tercios qui ne plaint pas sa peine. Avec son premier, reçu par larga de rodillas puis plus tard piqué en deux fois sans grande réussite, le Vénézuélien se fit remarquer sur un quite par zapopinas avant d’assurer un second tercio enlevé bien soutenu par les tendidos. La faena brindée au respectable s’étira par mouvements méritoires, mais la conclusion par pinchazo puis une seconde entrée a matar après avoir jeté la muleta au sol, et enfin une entière réussie, a fait quelque peu retomber la note, la pétition n’étant pas suivie d’effet. Jesús eut ensuite affaire à un quinto charpenté qui s’avéra assez rapidement violent, notamment aux banderilles. A la muleta, après brindis au public, son trasteo a été abordé avec une certaine prudence, et il y avait de quoi ! Le danger était permanent et face à l’âpreté de son opposant, il dut se résoudre à conclure, ce qu’il fit en se jetant sans retenue, avec à la clé un choc très violent dans le buffet ! Jesús tomba raide sur le sable, un peu plus tard le Valverde en fit de même au grand soulagement général ! Pour cet acte de vaillance diversement apprécié, il reçut la seule oreille de la tarde quelque peu contestée par une partie des étagères. De là, il passa à l’infirmerie, d’où il ressortit un peu plus tard, apparemment sans trop de dégâts. Mais quel valiente ! Et pas que… Pour Maxime Solera, le challenge n’était pas mince dans la mesure où le Fosséen n’avait pas touché le moindre toro en public depuis l’année dernière ! Compte tenu de ce contexte, on peut dire que sans triompher, il a fait bonne figure. Son premier avait un fonds de noblesse, mais aussi de mansedumbre, que Maxime a exploité par bribes avec succès, mais hélas, un bajonazo est venu tiédir l’effet produit. Avec l’ultime, il fit encore un bel effort. A noter qu’il alla à quatre reprises au cheval, la quatrième rencontre en partant de loin étant la meilleure de l’après-midi où il y eut un peu de tout dans ce domaine. Ensuite, Thomas Ubeda salua au second tercio puis après un brindis à l’auditoire, Maxime s’est arrimé, faisant fi du danger, le bicho étant davantage doté de sentido que de bonnes intentions, ayant en outre tendance à fuir sur la fin. Après une estocade tombée, la pétition enfla, mais l’oreille n’a pas été accordée, Maxime concluant sa tarde par une vuelta bien chaleureuse… alors que tombaient les premières gouttes !En définitive, la course est restée sérieuse de bout en bout, âpre pour les hommes face à des toros somme toute fidèles à leur réputation. Bien sûr, il y eut un peu de tout, mais surtout face à eux trois valientes venus se la jouer, et rien que pour ça, ça mérite selon moi le respect… |
Barbastro (Huesca) España –
Toros de Camino de Santiago
Serafín Marín, palmas et ovation;
Imanol Sánchez, oreille et deux oreilles;
André Lagravere ‘El Galo’, oreille et deux oreilles.
Arènes de Valladolid – Dernière de la Féria de la Vierge de San Lorenzo 2024. Trois quarts.
Toros d’Antonio Bañuelos (4e bis), avec une bonne présentation générale le sobrero quatrième de l’après- midi, appelé ‘Convocado’, récompensé par un tour de piste.
EL FANDI , ovation après avertissement et deux oreilles
MANUEL ESCRIBANO , oreille et ovation
ISMAEL MARTÍN , deux oreilles et une oreille
Arènes d’Albacete . Première de la féria
Taureaux de Samuel Flores (2ème, 3ème et 5ème) et Isabel Flores (1ère, 4ème et 6ème).
ANDRÉS PALACIOS, ovation et silence
DAVID GALVÁN , blessé et silence
ISAAC FONSECA , oreille et silence
Arènes de Calasparra , Murcie – Dernière de la Féria du Riz 2024 Presque plein.
Taureaux Francisco Galache.
JORGE MOLINA , ovation et ovation
JOSÉ MARÍA TRIGUEROS, oreille et silence
DIEGO BASTOS , retour sur le ring et silence
Arènes de Navaluenga , Ávila – Deuxième de la féria.
Taureaux de Montalvo.
CAYETANO , applaudissements et oreille
GINÉS MARÍN, deux oreilles et deux oreilles et queue
JAROCHO, deux oreilles et oreille
Arènes de Santoña , Cantabrie . Plein.
Taureaux de Torrealta.
ROMÁN, ovation et applaudissements.
ANDRÉS ROCA REY, oreille et deux oreilles.
JOAQUÍN GALDÓS, ovation et deux oreilles
Arènes de Villanueva del Arzobispo, Jaén . Corrida.
Toros de Montalvo (1er) et El Capea , avec une présentation variée et un bon jeu en général, le cinquième de l’après-midi, nommé « Botinero », numéro 12, indulto.
CURRO DÍAZ, oreille et deux oreilles
TALAVANTE , ovation et deux oreilles et queue symboliques
JUAN ORTEGA , ovation et ovation
Arènes Don Benito , Estrémadure . Corrida . Trois quarts d’entrée.
Taureaux Soto de la Fuente (1er et 5ème) pour rejones et Virgen María, bien présentés et variés dans le jeu dans l’ensemble.
DIEGO VENTURA, oreille et deux oreilles.
ANTONIO FERRERA, ovation et deux oreilles.
MIGUEL ÁNGEL PERERA, ovation et ovation.
Andorra (Teruel)
Taureaux de Hnos Cambronell pour
Sánchez Vara , oreille et silence ;
Javier Castaño , paumes et silence
Diego Peseiro, qui prenait l’alternative deux vueltas dans les deux cas.
Peralta (Navarre)
Taureaux de Pedraza de Yeltes pour
Valentín Hoyos , silence et oreille ;
Fabio Jiménez, oreille et oreille ;
Cristiano Torres, oreille et silence
Ondara (Alicante)
Novillos Albarreal pour
Santiago Esplá, oreille et oreille ;
Nek Romero, silence et ovation ;
Alejandro Chicarro ; deux oreilles et une oreille.
Arles. Dimanche matinale. Novillada sans picadors.
Erales de Jacques Giraud. Le sixième vuelta al ruedo avec les ganaderos et de Mathieu Sauvaire.
Juan Alberto Torrijos: Oreille.
Hugo Casado: Ovation et saluts.
Ruiz de Velasco: Vuelta al ruedo après deux avis
Luis Torres: Vuelta al ruedo après avis.
Ian Bermejo: Vuelta al ruedo.
Mathias Sauvaire : Oreille.
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