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Critiques

A propos de la publication du bilan de la temporada signé Antonio Lorca, une lectrice régulière et souvent critique nous écrit:

Merci de partager ce long article sur l’état catastrophique de la corrida mais encore eût-il fallu le faire avec un traducteur parlant correctement l’espagnol.

Certains passages n’ont que fort peu de sens, la langue est régulièrement incorrecte même si on comprend ( pour l’avoir constaté !) l’esprit général de cet article.

Article par ailleurs ridicule qui fait reposer le monde de la tauromachie sur les épaules déjà et depuis longtemps bien fragiles de Morante! 

Des autres ? Pas un mot ! De l’omniprésence des Juan Pedro, pas un mot, du rôle fort peu glorieux joué par Casas dans ce déclin, pas une ligne etc…

Exemple de l’éternelle cécité du monde taurin, de la loi de quelques uns qu’on dénonçait déjà à la mort du Yiyo condamné à aller se faire tuer dans la vallée de la mort, archaïsme du monde taurin qui en fait le charme mais aussi la terrible faiblesse…

Je vais aux arènes depuis l’âge de 16 ans, j’en ai 74, mon mari partage ma passion qui nous a réunis mais l’évolution du mundillo finira par nous en dégoûter. Il m’a sauvée d’un dégoût précoce en me détournant de Nîmes et Arles pour m’ouvrir à Vic et Céret.

Le psychodrame de OneToro en est le dernier et grotesque avatar. Urtasun a encore de beaux jours devant lui…

M….. R…….

Mort d’une légende

Photo Salmanca al dia

Il est décédé à l’âge de 98 ans dans la résidence de Ciudad Rodrigo: Conrado Abad « El Eterno Maletilla ».  Il a quitté sa ville natale de Molezuelas de Carballeda (Zamora) à l’âge de 16 ans pour se rendre à Séville et tout au long de sa vie, il a gardé son rêve intact dans des milliers de capeas. Il était né le 28 octobre 1926 dans le village de Castrocontrigo malgré l’opposition familiale il est entré dans le circuit des maletillas à 14 ans pour jamais ne le quitter. Sa vie est racontée dans le livre Conrado. El Último Maletilla escrito por Ángel Sánchez Peinado.

RIP, torero

Julio Norte et Domingo Lopez Chaves à Los Toros de Mont-de-Marsan

Julio Norte triomphateur en 2024 accompagne de son Apoderado Domingo Lopez Chaves primé vendredi soir par la Pena Taurine a los Toros de Mont de Marsan se prepare cet hiver pour passer rapidement en Novillada piquee. Suerte a todos 

Belle assistance en compagnie de Jose Ignacio Sanchez Directeur Ecole Taurine de Salamanque. On pourra voir ou revoir ce grand espoir de la tauromachie du Campo Charro ce matin lors du festival de Rion des Landes.

Photos A. Lamouret

Rubén Amón au club taurin de Paris

Chers socios du Club taurin de Paris,

Le vendredi 29 novembre, nous recevrons Rubén Amón, journaliste et écrivain, ancien socio du Club taurin de Paris.

Il viendra échanger avec nous autour de son ouvrage La Fin de la Fête publié en 2022 au Diable Vauvert, traduction de l’ouvrage El fin de la fiesta publié l’année précédente en Espagne. 

Nous lui demanderons si trois ans après sa publication les thèses développées dans son livre sur la marginalisation de la tauromachie et le paradoxe de la résistance de celle-ci à la bien-pensance de la société contemporaine restent pertinentes pour expliciter les débats incessants que suscitent la corrida, comme les attaques renouvelées dont elle est continuellement l’objet.

 » Un livre très documenté, percutant, sans jargon, excitant, sur la tauromachie dans son rapport plus que conflictuel, antinomique, avec la société contemporaine noyée dans la bien- pensance ». Jacques Durand

Vous pourrez acheter cet ouvrage (22 €) et le faire dédicacer. 

La réunion aura lieu à 20h au restaurant Loubnane, 29 rue Galande, 75005 Paris.

Merci de vous inscrire par retour de mail ou le plus rapidement possible à l’adresse habituelle clubtaurindeparis@gmail.com


En cette occasion, vous pourrez régler votre cotisation pour l’exercice en cours, qui demeure fixée à 60 euros.
Prix de la soirée : membres du Club à jour de cotisation : 32 euros ; jeunes de moins de 25 ans : 15 euros ; hôtes de passage : 40 euros.

Tomas Rufo quitte la casa Lozano

Après 4 ans de travail en commun, Tomas Rufo et le casa Lozano ont décidé de se séparer d’un commun accord.

ANTONIO LORCA: ILLÉGALITÉS, MALAISES ET INJUSTICES DE LA TEMPORADA 2024

Voici le bilan de la temporada selon le grand critique taurin du « Pais » Antonio Lorca. Ce n’est qu’un point de vue mais par certains aspects proche de la vérité:

« Le déclin du taureau, le retrait temporaire de Morante, l’anti-corrida du ministère de la Culture et la ruine d’Onetoro, parmi les nouvelles inquiétantes de l’année.

La saison taurine 2024 a également été caractérisée par des moments de malaise, des retraits qui touchent l’âme, des illégalités manifestes, un ennui sonore et des injustices indicibles.

Il devrait y avoir de tout dans une année taurine, mais ça fait mal que la fiesta soit incapable, par exemple, de se renouveler, de rattraper son retard, de se moderniser, et que le spectacle – le business – continue
d’être régi par les mêmes paramètres. comme il y a de nombreuses années, de nombreuses années.

Il est surprenant que, tandis que les dirigeants de toute autre industrie culturelle ou sportive se creusent la tête pour l’adapter aux nouveaux goûts et besoins de leurs clients, la tauromachie est chaque nouvelle
année une copie conforme de la précédente sans se soucier des préoccupations de ceux-ci. qui passent par la billetterie.

Il est vrai qu’il n’existe aucune organisation qui intègre le secteur, la plus désunie de celles connues (la Fondation Toro de Lidia va dans un autre sens, elle prétend sans raison représenter tout le monde et depuis sa naissance elle est restée à l’écart des problèmes quotidiens de le spectacle, la corrida), et les réglementations légales, nationales et régionales, dépendent de l’administration publique, qui se distingue par des sourires et de bonnes paroles – celles qui se vantent de défendre les taureaux et peu d’œuvres. (Sous la direction du conseiller Antonio Sanz , le Gouvernement andalou est sur le point d’approuver une modification substantielle de la réglementation taurine, mais il n’est pas du tout clair
qu’elle représente un pas en avant dans la défense de la pureté, de l’intégrité et de l’émotion de la tauromachie. célébrations). Il est frappant qu’aucun torero ni aucune autorité ne s’inquiète de la situation actuelle du taureau de combat.

Ni l’absence d’organisation ni la réglementation fiscale n’empêchent les hommes d’affaires, les éleveurs et les toreros de conclure des accords qui accélèrent le spectacle et favorisent la tension inhérente à la corrida. Mais non ; Il ne semble pas possible que ceux qui sont au au pouvoir s’assoient un jour et manifestent, au moins, leur préoccupation pour le présent et l’avenir de la fête taurine. Ils défendent des intérêts différents, voire contraires, et semblent se soucier très peu du taureau,de l’ennui de tant d’après-midi ou des injustices dont sont victimes de nombreux toreros.

Alors, que cette réflexion – la passivité ou l’irresponsabilité du secteur –soit la première note négative de la saison qui s’achève ; mais il y en a ‘autres, et certains d’entre eux pourraient être les suivants :


– Le déclin du taureau bravo. Il est frappant qu’aucun torero ni aucune autorité ne s’inquiète de la situation actuelle du taureau de combat. Il y en a eu, le moins, qui se sont distingués par leur force,
leur cupidité, leur bravoure, leur noblesse, leur classe… mais la grande majorité du bétail combattu a été une référence pour la pourriture dans laquelle s’est installée la cabaña brava. L’absence de caste est le dénominateur commun du taureau actuel, avec le handicap et l’incapacité d’être en vie dans les trois
tiers de la corrida ; Bien entendu, la responsabilité incombe aux éleveurs (les organisations d’élevage de taureaux ne disent rien) et aux toreros qui, par leur impudeur, pour transformer la faena de la muleta en un somnifère.

-Morante de la Puebla a suspendu la saison le 11 septembre en raison d’un problème de troubles de la personnalité et depuis, on n’a plus eu de ouvelles du torero. Ce n’était pas la première fois cette année : il a nnulé ses représentations du 17 mars jusqu’au dimanche de Pâques ; Il a rechuté le 7 juin et est réapparu le 23 juillet à Santander, et la maladie l’a obligé à se remettre à nouveau entre les mains des médecins. Son absence est sans aucun doute une mauvaise nouvelle pour le parti.
-L’année taurine 2024 est passée et la Communauté de Madrid n’a plus dit un mot sur la réhabilitation annoncée et nécessaire de la Plaza de Las Ventas , dépendant du conseiller Carlos Novillo. Le projet approuvé par le précédent gouvernement de Díaz Ayuso a été annulé et nous attendons toujours qu’une nouvelle entreprise présente un autre rapport.

–Ernest Urtasun, ministre de la Culture , a été et continue d’être le cauchemar de la corrida. La suppression du Prix National taurin est une illégalité manifeste, inappropriée pour un haut représentant de l’État ; son camouflet à la Casa de Misericordia de Pampelune et El Juli, devant les Rois, une démonstration palpable de sa piètre qualité humaine.

José Espada parmi les toreros qi méritent mieux.

-Un grand groupe de toreros qui ont démontré leurs qualités pour être pris en compte sont encore kidnappés par le système : Calerito, Ángel Téllez, Jorge Martínez, Ángel Jiménez, Manuel Diosleguarde, Juan de Castilla, Adrián de Torres, Manuel Perera, Francisco José Espada, Álvaro Alarcón, Sergio Serrano, Javier Cortés, David de Miranda, Damián Castaño et Fernando Robleño, entre autres. Est-ce que quelqu’un sait où ils sont ? Pourquoi sont-ils apparus sur si peu d’affiches en 2024 ? Un groupe important de toreros qui ont démontré leurs qualités pour être pris en compte sont toujours kidnappés par le système
– Le 28 août, Morante de la Puebla et José María Manzanares ont décidé de ne pas participer à la corrida à Linares en raison d’une prétendue discussion avec les autorités concernant l’approbation
ou non d’un couple de taureaux ; Au moment du tirage au sort, ils se perdent sur la route et demandent à deux médecins de signer des rapports de maladie séparés pour justifier leur frayeur . Le gouvernement andalou a ouvert un dossier contre eux dans lequel il propose une amende de 12 000 euros pour chacun d’eux, mais il n’est pas du tout clair que l’infraction grave sera finalement punie. On le verra. L’Ordre des médecins de Séville a-t-il demandé des explications aux médecins signataires des rapports ? Pas un mot.

-Et la ruine d’ Onetoro . La surprise était incroyable. La plateforme de télévision a annoncé en septembre qu’elle ne diffuserait pas les ferias de San Miguel et d’Automne car elle encourait des pertes de 12 millions d’euros et que seule une minorité de ses téléspectateurs côtisaient. Ils viennent d’annoncer il y a quelques jours qu’ils avaient entamé des négociations avec des hommes d’affaires et des toreros dans le but de maintenir l’offre télévisuelle si le secteur acceptait de réduire ses prétentions économiques en matière de droits à l’image et que celles-ci soient évaluées en fonction de l’audience réelle. J’espère que le dialogue sera fructueux pour le bien, avant tout, de l’aficion.

Ce ne sont là que quelques aperçus des moments sombres de la dernière année taurine ; et bon nombre d’entre eux ont une solution dans la volonté des taurins. Le véritable dilemme est leur attitude face aux
problèmes : s’ils sont capables d’y faire face de plein droit ou s’ils préfèrent cacher leur tête sous leurs ailes.

Antonio Lorca El Pais- 01/11/24

Communiqué de la FSTF

Organisé par l’association culturelle taurine espagnole  CHENEL Y ORO s’adresse aux jeunes de moins de 30 ans et aux associations de jeunes Les candidatures sont à déposer à l’aide du formulaire

Décision du jury international le 15 décembre (diffusion en direct pour tous les pays participants)

Contact pour la France (FSTF 0643219020, mailfstf@gmail.com)

communiqué de la Fédération des Sociétés Taurines de France

FSTF

Le drame de Valence

La catastrophe qui touche nos voisins valenciens, nous émeut fortement, nous voulons en premier lieu leur apporter toute notre leur sollicitude et partager leur chagrin. Ils ont vécu des heures horribles, nous prenons part à leurs deuils et compatissons à leurs souffrances. Plus de 220 morts, des dizaines de disparus qui vont alourdir ce bilan, des richesses durement acquises détruites en quelques heures et l’angoisse de revivre un jour ce traumatisme brutal. Que l’on ne vienne pas faire le discours sur la résilience : le drame reste le drame, la souffrance et l’absence aussi…

Reste le pourquoi. C’est une question bien naturelle. Il faut la poser. La réponse des médias français -des journalistes plutôt que des spécialistes- : c’est le réchauffement climatique. La formule magique qui explique tout, désormais. Même si nous ne saurions contester ce que des centaines de scientifiques ont établi depuis plusieurs années, cela semble un peu court : Le réchauffement climatique est réduit à une commodité de langage qui empêche de penser la complexité, une injonction puérile comme on a pu le voir lors d’une émission « C’est à vous » consacrée à ces inondations.

Des scientifiques plus avertis que ces jeunes journalistes frais émoulus de ces écoles de formatage des esprits qui ont sévi dans l’émission, des architectes, des urbanistes ont montré les errements d’une urbanisation sauvage non maîtrisée, le scandale d’une pauvreté cachée mais endémique, l’absence de prévision des risques naturels et un défaut d’éducation à ces risques naturels sont à l’origine de l’ampleur de la catastrophe. Le drame de Biescas en 1996 avec 87 morts sur quelques dizaines de mètres carrés après qu’un pan de montagne se soit effondré sur un camping placé-là sans évaluation du danger aurait dû faire réfléchir…

Aucun pays du sud de l’Europe n’est à l’abri d’une catastrophe équivalente à celle de l’Espagne, mais le recul de l’Etat chez nos voisins est à la base de la catastrophe : le développement anarchique d’une prospérité nouvelle fondé sur la mono-industrie touristique polluante supportée de plus en plus mal par la population. Ce n’était pas mieux avant, non certainement pas mais l’hyperconsommation, les déréglementations tous azimuths et le développement touristique forcené qui ont succédé aux privations de da dictature n’ont pas eu que du bon.

Le traitement « politique » du drame est maintenant sur la table. L’incompétence de la Région de Valence est patente. L’alerte a été donnée avec retard et les premiers secours ont été étiques pour ne pas dire chaotiques. Cela montre les excès d’une décentralisation poussée à l’extrême qui a favorisé la corruption et conforté l’incompétence. Potiche sympathique le Roi n’a rien pu faire à part bien parler et adoucir les peines -c’est déjà pas mal. Celui qui aurait pu agir c’est le premier ministre Pedro Sanchez dont le cynisme n’a pas de limite. « J’enverrai de l’aide si on me le demande » a-t-il dit alors que les habitants se débattaient dans des fleuves de boue. Ainsi les victimes du fléau se retrouvèrent sans secours durant plusieurs jours. Ces manœuvres dilatoires coûteront cher au danseur de corde icône des élites Bruxelloises

En quoi cela nous concerne-t-il ? Me direz-vous. Et bien d’abord nous ne sommes ni bêtes ni idiots comme on voudrait le faire croire la marche du monde nous concerne au premier chef et nous sommes solidaires de la détresse de nos amis. Ensuite Pedro Sanchez est l’ennemi assumé de la tauromachie qu’il veut annihiler au nom de sa vision de la modernité. Son incompétence, son cynisme et son irresponsabilité sont désormais patents. Enfin parce que nous sommes les défenseurs acharnés d’un environnement sain, d’une biodiversité protectrice, d’une nature intacte préservée, en dernière analyse, par le toro bravo. La disparition de cet animal totem, comme le souhaite les émules de Sanchez, ne ferait qu’accroître les outrages faits à notre mère la Terre.

Pierre Vidal

P.S. Du grand écrivain espagnol progressiste Arturo Perez-Reverte ce soir sur X: « J’ai aimé le roi aujourd’hui : tempérant et courageux, endurant et montrant son visage tandis que Sánchez partait et que Mazón, comme il est petit, ne pouvait pas être vu. »

Gimeaux

Du sérieux avec les « Riboulet »…

Le ganadero étant appelé à saluer à la fin de cette fiesta campera. Si Jesús Martínez put bien s’entendre avec un noble toro marqué du fer du « Scamandre », Alejandro Morilla et Clément Hargous eurent plus de mal à trouver la clé des « Sol » face à deux toros braves et pas évidents à embarquer dans les leurres pour des garçons qui toréaient si peu…

Le 1er mit un bouchon au groupe équestre sans s’y être fait prier, le poussant longuement. Il y retournera deux fois en s’employant et restant dans le peto sous le fer. Alejandro Morilla se verra confronté à un toro de peu d’allant et court de charge mais qui répondit présent quand la muleta s’imposa, sur quelques séquences droitières, l’autre corne s’avérant bien plus compliquée. Le torero de Cádiz conclut d’une lame plus efficace qu’orthodoxe.

Jesús Martínez hérita d’un toro du Scamandre qui poussa à la première rencontre, mettant moins d’entrain pour la répétition après une vuelta de campana. Noble et mobile, il répètera dans la muleta du Madrilène sur les deux côtés et arrivera à en tirer une faena enlevée mieux liée à droite. Conclusion en deux coups d’épée, le puntillero relevant un toro gardant la tête haute et qui ira se coucher en deux autres endroits du ruedo, obligeant El Chino à user de métier pour parvenir à ses fins…

Il y avait trop de toro pour Clément Hargous qui débuta avec picador en septembre et qui faisait son second paseíllo. Brave en trois rencontres et y allant a más, le toro de « Sol », puissant et fort, s’avéra trop exigeant pour le néo-novillero qui se laissa prendre le dessus le plus souvent, mais qui parvint à montrer quelques séquences quand il trouva un peu de sérénité. Le final de la faena sera plus compliqué, tout comme la suerte suprême…

Trois toros sérieusement présentés, solides, deux de la ganadería Sol, les 1er et 3°, et un du Scamandre de meilleure composition.

Alejandro Morilla : Deux oreilles !!!

Jesús Martínez : Oreille

Clément Hargous : Vuelta.

Trophées à l’improvisation. Pst : D. Caparros. Belle après-midi d’automne avec un public qui se réduit de plus en plus sur les étagères ! Une minute de silence pour les sinistrés espagnols et pour les taurins et aficionados qui nous ont quittés récemment, particulièrement Didier Volle disparu il y a peu…

Thierry Llopir torofiesta.com

Lima despedia de puerta grande pour Enrique Ponce

Plaza de toros de Acho, Lima. Mano a mano. Troisièmeo de la Feria del Señor de los Milagros 2024. Trois quart.

Toros de El Pilar (6º bis), 

ENRIQUE PONCE, silence, silence et deux oreilles

JOAQUÍN GALDÓS, ovation et oreille et ovation

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