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Borja Jimenez à San Valero de la Sierra

Borja Jiménez sera le premier protagoniste de la saison taurine 2025. Il inaugurera l’année dans le festival qui se tient chaque année à Valero dela Sierra le 29 janvier à l’occasion de ses fêtes de San Valerio. Il
affrontera deux astados de Garcia Jiménez. Borja Jimènez succède à Miguel Ángel Perera (2024) Daniel Luque (2023) et Morante de la Puebla (2022). A noter que depuis l’édition de 2014, avec Juan del Álamo, il n’y a plus eu aucun torero de Salamanca dans ce festival de la Province salmantine.

Ganaderias montoises

Charles Dayot, maire de Mont de Marsan, et Christophe Andiné, président de la commission taurine extra-municipale viennent d’annoncer les premiers éléments des cartels de la feria 2025 avec les élevages sélectionnés promettent des confrontations inoubliables…

La feria 2024 à peine terminée que la commission taurine extra-municipale (CTEM) et le mandataire des arènes du Plumaçon, Jean-Baptiste Jalabert, étaient déjà à pied d’œuvre pour offrir à l’aficion montoise une grande feria 2025. Alors que les cartels avec les grands toreros du moment sont encore en phase d’affinage, l’équipe est rentrée du campo avec beaucoup de satisfaction. Ce voyage a permis de confirmer les élevages qui feront le cœur de cette prochaine feria. Une sélection, fruit d’un travail rigoureux, basé sur l’observation, l’écoute, et surtout la passion, pour offrir aux aficionados du Plumaçon des moments de grande intensité.

« Notre objectif était de trouver un équilibre entre élevages reconnus torista et torerista, dans le respect de la philosophie du Plumaçon, pour satisfaire la demande de l’ensemble des aficionados tout en tenant compte de l’actualité taurine» explique Christophe Andiné, président de la commission taurine extra-municipale.

Le retour de deux ganaderías légendaires : Fuente Ymbro et Escolar Gil

Ces deux ganaderías ont marqué à jamais l’histoire des corridas montoises. Renommée pour ses toros athlétiques, braves et encastés, Fuente Ymbro reviendra pour la 8e fois dans la feria montoise, porteur de l’espoir d’un nouvel après-midi riche en émotions. Quant aux Escolar Gil, ils incarnent l’esprit du toro Albaserrada, avec des bêtes puissantes et imprévisibles qui demandent des toreros déterminés, au courage sans faille. Régulièrement programmée dans les arènes de Madrid, cette ganadería attire un public averti en quête d’émotions.

Victorino Martín : le toro mythique

Après cinq années de silence, la dernière feria a marqué le retour de ce grand élevage avec un spectacle à la hauteur de sa réputation. Un retour qui a rappelé que le toro de Victorino porte en lui une part de mystère et de défi, imposant une tension dans l’arène. En 2025, l’élevage mythique viendra poursuivre son histoire avec Mont de Marsan.

El Parralejo : l’émergence d’une nouvelle référence

En 2024, ce fer a marqué les esprits lors de sa présentation en novillada piquée. Après avoir prouvé son potentiel, El Parralejo sera présenté en corrida de toros, une évolution naturelle pour cette ganadería qui s’affirme comme l’une des plus prometteuses de la nouvelle génération.

Santiago Domecq : fleuron de la tauromachie actuelle

Depuis plusieurs temporadas, la ganadería rayonne par la qualité exceptionnelle de ses toros et s’impose comme l’une des plus respectées et recherchées du moment. Une demande si forte qu’il a souvent été complexe de pouvoir composer un lot conforme aux exigences de la feria montoise. Mais c’est aujourd’hui chose faite avec un lot qui suscite tous les espoirs et les attentes du public.

Les novillos de Philippe Cuillé : une promesse de bravoure

Après une présentation remarquable en 2023, les novillos de Cuillé seront à nouveau présents au Plumaçon, avec l’espoir de renouveler la même magie qui a séduit le public l’année passée. Leur force, leur vivacité et leur noblesse sont des qualités qui assurent des confrontations spectaculaires.

Plus d’infos :

Ouverture des abonnements à partir du 10 mars 2025 à la Régie des Fêtes et Animations.

479 av. du Mal Foch 40000 Mont de Marsan | 05 58 75 39 08

montdemarsan.fr

(Communiqué)

BRINDIS D’OR (épisode 1)

Ce 2 décembre se célébrait à Paris la première cérémonie des Brindis d’Or. Pourquoi Paris ? Parce que c’est la capitale et que la tauromachie est une culture nationale, même si, de par la loi, elle ne s’exprime aujourd’hui que dans le Midi de la France. C’est ce qu’expliquait Julien Lescarret dans un récent interview à revoir ici :

https://www.tertulias.fr/brindis-dor-dans-linteret-de-tous

600 spectateurs dans la salle du théâtre du Gymnase. ©JYB

Dans un superbe théâtre à l’italienne, au décor superbe, plus de 600 personnes étaient réunies, pas seulement des aficionados parisiens, pourtant nombreux, mais aussi, venant de toute la France, des amoureux de la tauromachie et du toro brave, sans compter les personnalités invitées. Quelques antis, 14 si j’ai bien compté, avaient apporté leur banderole mais ne pouvaient pas faire le poids.

Arnaud Agnel superbe présentateur souvent très ému de cette soirée des Brindis d’or. ©JYB

Le maître de cérémonies, Arnaud Agnel rappelle en introduction que lors de la proposition de loi de 2022, pour la première fois la tauromachie se fait entendre : toreros, éleveurs, tout le monde taurin se mobilise, avec des discours jamais entendus, une pensée tolérante et une visibilité nationale qui interpelle tous ceux qui ne la connaissent pas. Les arènes se remplissent à nouveau, plus que jamais, avec une nouvelle génération de jeunes aficionados et même des antis repentis. Cette renaissance marque que nous participons à un volet important de la Culture en France, ce qui méritait bien un trophée national.

Enchainant sur sa culture théâtrale, Arnaud Agnel présentait les Brindis à la manière de Cyrano et de la tirade « du nez » : brindis rempli de fougue, brindis discret, brindis à l’ami, etc..

Eric Lartigau dans son pregon de lancement des Brindis d’or. ©JYB

Le pregon d’introduction est prononcé par Éric Lartigau qui se reconnait novice voire cancre en matière de corrida, mais qui évoque ses souvenirs d’enfance à 12 ans, quand, dans une crèche bretonne, il allait nourrir les 12 toros (mansos, élevage pour la viande), qui le laissaient circuler entre eux, mais dont la seule forte tête lui bloquait inéluctablement la sortie. Rien n’y faisait, ni les regards, ni les essais de communication dans plusieurs langues : ses yeux restent aujourd’hui encore gravés en lui et sont la source de son admiration pour le courage des professionnels du monde taurin.

8 ans plus tard, il assistera à une corrida aux arènes de Dax et souligne que le lieu efface toute référence à la ville et qu’il ne reste que le ciel et le soleil pour un spectacle enivrant notamment l’entrée du toréador dans son habit de lumière. Un voisin aficionado lui expliquera le déroulement de la lidia.

Sa conclusion : ces émotions sont source d’inspiration et c’est pourquoi, personne n’a le droit d’interdire l’exception culturelle.

Gael Tchakaloff, auteur d’un superbe livre sur sa rencontre avec Léa Vicens, était toute désignée pour accueillir Léa. ©JYB

Passant à l’objet de la cérémonie, Arnaud Agnel invitait Gael Tchakaloff et Dominique Coubes, directeur du théâtre du Gymnase et hôte du jour à venir remettre les deux brindis d’honneur.

Gaël Tchakaloff prononçait un éloge vibrant de Léa Vicens. Elle soulignait que sa fille de 16 ans avait déclaré : « je voudrais être réincarnée dans un cheval de Léa ».

Léa Vicens très inspirée lors de la remise de son Brindis d’or d’honneur. ©JYB

En recevant le trophée, une montera bleue et or, Léa soulignait qu’il représentait une passion sans limites. « Chaque instant passé à regarder le toro est un moment de communion, d’harmonie et de sincérité ».

Dominique Coubes directeur du théâtre du Gymnase. ©JYB

Dominique Coubes accueillait Sébastien Castella, mais aussi tous les spectateurs présents dans la salle.

Sébastien Castella, ému durant son hommage aux figures du passé et du présent lors de la soirée des Brindis d’or. ©JYB

Sébastien Castella, très ému, évoque le souvenir du sacre de Napoléon, le 2 décembre 1805, (mais en oubliant le soleil d’Austerlitz 1 an avant) qui appelle à célébrer la passion et la détermination, à défendre des valeurs merveilleuses ce qu’il rectifie en appelant à les faire connaitre plutôt que les défendre. Pour lui, ces brindis sont un hommage à l’esprit collectif de la communauté taurine dont les membres sont des bâtisseurs de l’avenir : célébrons ce que nous allons créer ! Et après les remerciements traditionnels et les hommages à Nimeno et aux toreros qui ont ouvert la voie, ainsi qu’à Simon Casas dont il loue la vision, il poursuit son appel par une citation de Shakespeare :

« Nos doutes sont des traitres qui nous font perdre la bataille que nous pensions gagner. »

Jean Yvles Bloin https://facealacorne.fr/

« Luisito » nouvel apoderado de Daniel Crespo

Le matador retirè français Luisito prendra en charge la carrière du diestror Daniel Crespo. C’est ce que le Français a communiqué sur ses réseaux sociaux avec ces quelques mots : « Comme c’est impossible, nous allons essayer… Encore une fois ! Quand un torero est capable de faire de la tauromachie comme lui. Que ses dernières performances ont été des triomphes et que pour une raison quelconque, il reste à la maison, je prends comme un devoir de lui donner un coup de main. Pour ces raisons, Daniel Crespo et moi avons décidé de joindre nos chemins. Se plaindre du système n’est pas la solution. S’entraîner, travailler mais aussi ressentir et profiter seront nos armes. Nous aurons besoin du soutien, que ce soit de la part des fans, des éleveurs et des hommes d’affaires qui considèrent, comme moi, que Daniel mérite une opportunité ».

Ludovic Lelong « Luisito » ancien matador de toro né à Cherbourg vit à Sanlucar de Barrameda depuis de nombreuses années. Il a apodéré: Pablo Aguado à ses débuts, puis Emilio de Justo, Thomas Dufau et Solalito jusqu’à son alternative, notamment. De son côté Daniel Crespo est son voisin du Puerto de Santamaria où il a triomphé à plusieurs reprises. Il se retrouve en panne depuis plusieurs années malgré des qualités unaniment reconnues. Un beau challenge pour Ludo…

Suerte à tous les deux.

PV

Madrid, Vistalegre: « rien de vulgaire, rien de commun »

Cet après midi à Madrid, devant des gradins remplis à rabord s’est déroulé un magnifique festival taurin de bienfaisance pour les malheureuses victimes des inondations de la région de Valence.

Sept vedettes de la tauromachie avaient répondu présent et une jeune femme novillero nommée Olga Casado. Atmosphèreebtrès recueuillie dans les arènes, émotion palpable tout au long de la soirée.

Comment ne pas être ému devant les larmes du vieux maestro El Soro dans son fauteuil roulant ( si je ne m’abuse il en est à sa  cinquantième opération chirurgicale de ses foutus membres fracassés à de nombreuses reprises. Il joua de la tropette comme il le fait toujours dans les gradins de Valence, puis le paseillo se déroula pour former une seule lignes avec d’un bord à l’autre Ponce, Castella, Manzanares, Talavante, Fernando Adrian, Roca Rey et Olga Casado.

Tous les brindis furent d’une tenue et d’une authenticité touchante, Ponce aux habitants de sa région, Chiva petite ville près de Valence dot il est originaire a été particulièrement abimée par les fleuves de boue, perdans de nombreux habitants, Castella  brinda au ciel avec pudeur et  l’élégance naturelle qu’onlui connait. Tous les torerosse donnèrent dans des faenas où ils ne se ménagèrent pas, m^me si le bétail offert par des élevages sans trop d’aspérité permit souevnt des gestes de grande valeur. Et à aucun moment nous ne vîmes de triomphalisme facile ou vulgaire, tout fut offert en retenue et grâce à  leur distinction peronnelle, les vueltas furent d’honneur au drapeau valencien et non aux toreros triomphants. 

Rien jamais rien de commun ou de vulgaire à aucn moment. Un drapeau portait cette belle expression, comme pour marquer labsence des politiquesnationaux ou valenciens: le peuple soutient le peuple.

Et en effet, le peule était là, de Madrid ou d’ailleurs, digne et ému .

Aucun membre du gouvernement régional, aucun du gouvernement de Pedro Sanchez qui se serait sans doute fait huer, évidemment pas le ministre de la culture qui fait tout pour combattre la corrida.En revanche, en barrera Isabel Diaz Ayuso la présidente de la communauté de Madrid(région), l’infante Elena toujours là, des célébrités du sport, des enfants et des jeunes en grand nombre, tout n’est donc pas perdu.

Alors dans ces conditions et compte tenu des circonstances, les critiques qui pourraient venir ternir cette tarde de toros seront méprisées ou considérées comme méprisables. Et d’ailleurs qu’aurait- on à reprocher? Castella fit de choses superbes au capote et en première partie de sa faena, Talavante nous offit sa personnalité et une gaonera enchainée par une saltillera a vous faire frissonner, Fernando Adrian qui avait hérité d’un toro toro de cinq ans se joua la vie comme si son avenir en dépendait.

Roca Rey fut mal servi par un toro soso, mais…Olga qui clôturait le bal toute de blanc vétue mit le feu aux poudres, faena complète, estocade parfaite… Le seul qui nous déçoit chaque fois qu’il sort maintenant, comme s’il avait perdu le sitio ou l’envie, c’es  JMM…In fine, des toros ou novillos bas mais de bon jeu, braves les 4, 5 et 7.

On a vibré, pensé aux victimes des inondations, compris que la solidarité n’est pas un vain mot,.

L’Espagne tient par les toros, n’en déplaise aux animaliste.

Jean François Nevière

Castella critique Onetoro tv durant le festival

Dures déclaration de Sébastien Castella au micro de Onetoro tv durant le festival : « Je suis heureux que la télévision soit également là et j’espère que tout l’argent arrivera comme il se doit, car c’est le moment aujourd’hui et je suis désolé pour ce que je vais dire. Les dirigeants de Ontetoro doivent avoir honte d’être ici pour télédiffuser la fête alors qu’ils doivent beaucoup d’argent aux taurins, aux professionnels et aux hommes d’affaires. Je suis désolé mais c’est comme ça. J’espère que l’argent d’aujourd’hui provenant de la télévision -OneToro- parviendra aux personnes qui en ont vraiment besoin. »

Quelques minutes plus tard la direction de la chaîne répondait dans un communiqué: « Nous respectons les paroles de Maestro Castella même si nous regrettons que ce ne soit ni le lieu ni le moment où nous avons fait un effort important pour diffuser le festival et donner une somme importante aux victimes de Dana. En deux saisons, nous avons investi plus de 20 millions d’euros en droits sur près de 200 manifestations taurines dans le monde taurin. Nous sommes en attente de régler une partie de l’argent des 20 dernières célébrations de la saison 2024 et il existe un plan de paiement avec les entreprises respectives, qui est strictement respecté. Depuis OneToro TV, nous continuerons à nous battre pour la corrida, quels que soient les obstacles que nous rencontrerons en cours de route, même au sein du secteur lui-même ».

Marc Serrano: plus de 18 000 euros récoltés au festival de Méjanes

De Marc Serrano:

« 2024 est la 3eme édition du festival « Un Toro pour un Rêve d’Enfant » au Domaine de Mejanes, avec comme parrain Claude Viallat.

Grace à vous tous, cette année, nous avons pu donner 18.179€, ce qui représente plus de 56.000€ en trois ans.

Encore un grand Merci !« 

Madrid avec Valence

Un beau dimanche à la télé…

➡️ Dimanche 1 Décembre de 2024 (17:00 en España)  Telemadrid et  Onetoro Madrid.

Palacio Vistalegre. Festival Taurino festival au bénéfice des victimes de la “Dana”. «Madrid torea por Valencia». Reses de diferentes ganaderías pour Enrique Ponce, José María Manzanares, Sebastián Castella, Alejandro Talavante, Fernando Adrián, Roca Rey et la novillera Olga Casado. 

(VEA EL FESTEJO EN DIRECTO EN LA WEB DE TELEMADRID PINCHANDO AQUÍ) (ACCEDA AL ENLACE DE ONETORO PLATAFORMA DE PPV)

➡️ Dimanche 1er (18:00 en España)  Canal Sur Televisión Toros El Bosque (Cádiz) Becerrada Extraordinaria en Hommage aux victimes DANA en Valencia. Novillos de Los Millares pour: Rojas Ramírez, (E.T. Ronda); Alfonso Morales, (E.T. Jaén); Manuel Domínguez, (E.T. Sevilla); Juan Manuel Viruez, (E.T. Ubrique); Mario Torres, (E.T. Ubrique); y Armando Rojo, (E.T. Sevilla). 

(VEA EL FESTEJO EN DIRECTO EN LA WEB DE CANAL SUR CANAL PINCHANDO AQUÍ)

➡️ Dimanche 1er décembrede 2024 (16:30 México, 23:30 en España)  

Unicable 

Toros depuis México. Monumental Plaza México.

Toros de Montecristo para Juan Pablo Sánchez, Diego Silveti y Juan Ortega (Confirmation).

OntoroTv annonce la retransmission samedi prochain en direct de Lisbonne du gala taurin et le lendemain du festival de Villaseca de la Sagra.

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Les bodegas locas sont là !

Les BODEGAS LOCAS sont là !!! Avec aussi de Revivre du Rallye…

De retour en 2025, pour une nouvelle déambulation taurinœnologique et bodegastronomique !

Nous vous attendons nombreuses et nombreux avec vos amis, vos proches et votre bonne humeur en clôture du festival off de Flamenco, en partenariat avec les Costières de Nîmes et la Ville de Nîmes.

Rendez-vous le 19 janvier 2025 pour un départ à travers la ville entre 11h45 et 13h15.

N’hésitez pas à constituer un groupe et à y donner un nom afin de vous retrouver et de déambuler ensemble.

Préventes lors du Café-Toro du 30 novembre de 10h à midi avant ouverture de la billetterie en ligne le dimanche 1er décembre à midi.

REVIVRE DU RALLYE

Nous serons très heureux de vous retrouver pour revivre notre journée du Rallye 2024,
le vendredi 29 novembre 2024 au Foyer SAMUEL VINCENT (42, Rue Sergent Triaire à Nîmes).

Venez partager ce moment de convivialité autour d’un verre et d’un repas préparé par nos soins.

Le prix de la soirée est de 20€ (apéritifs, tapas et repas). Notez dès à présent la date sur votre agenda et pensez à vous inscrire au 06 11 55 65 12 ou sur rallye@cctng.fr jusqu’au mardi 26 novembre dernier délai.

Nous revivrons tous ensemble une journée festive grâce au film et photos que nous a préparés notre ami Michel CHAUVIERRE.

In torofiesta.com

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