Le torero Marc Serrano organise, pour la troisième année consécutive un Festival taurin caritatif dans les Arènes de Méjanes, dont les bénéfices seront reversés à des organismes caritatifs.
Une journée placée sous le signe de la convivialité et de la solidarité !
En matinée, Bolsin des écoles taurines et l’après-midi, grand festival taurin.
Tarifs, informations et réservations : 06 59 90 44 15 ou à 1toro1revedenfant@gmail.com
Réservation :
Date : 20 oct. 2024 10h30
Durée : 1 jour
Tarif adulte : 25.00€
Tarif enfant : 0.00€
Réservation : Obligatoire
10h30 : Bolsin de qualification des écoles taurines de Béziers, Arles, El Yiyo (Madrid) et l’AFAP – Elevage La Pampa. Le vote du public déterminera l’élève qualifié pour le festival de l’après-midi.
15h30 : Grand Festival taurin avec Ximena y Cuac Ayala (rejon), Marc Serrano, Javier Cortès, Gomez del Pilar et Andy Younes, face aux toros des ganaderias Valverde, Cuillé, Turquay, El Campo et Pages-Mailhan
au profit des associations Les Capitelles Nîmes & CAMSP du Centre Hospitalier d’Arles
En tant que Maire de la Ville d’Arles, je souhaite exprimer ma profonde préoccupation face à la proposition d’interdire la corrida aux mineurs de moins de 16 ans.
Cette initiative constitue une véritable attaque contre la tauromachie, inscrite dans l’ADN de notre ville. La culture taurine fait en effet partie de notre héritage, de notre identité, et a contribué à façonner nos paysages.
Au-delà de la défense de notre patrimoine, cette proposition porte atteinte à la liberté d’éducation des parents. Chaque famille doit avoir le droit de faire découvrir à ses enfants les traditions de notre culture locale, sans être restreinte par des réglementations.
Je crains que cette mesure ne soit tout simplement qu’un prétexte pour aboutir à l’interdiction totale de la corrida. Maire d’une ville taurine, je m’y oppose.
Si dans les semaines et mois qui viennent, un débat s’ouvre entre parlementaires, élus locaux, associations taurines et plus largement aficionados sur l’amélioration des pratiques et de la sécurité dans les événements taurins, je serai particulièrement vigilant à que cela ne se fasse pas au détriment de notre culture ni de la liberté d’éduquer nos enfants.
De nouveau, je réaffirme mon engagement à défendre la tauromachie et à préserver nos traditions.
Fance Bleu Pays Basque vient de l’annoncer ce mercredi soir:
Les Fêtes de Bayonne se dérouleront du 9 au 13 juillet 2025, celles de Mont-de-Marsan restent du 16 au 20 juillet 2025 de la même année. Les municipalités se sont mises d’accord sur des dates pour 2026.
Coup de théâtre à Bayonne : les Fêtes se dérouleront du 9 au 13 juillet 2025 et non plus du 16 au 20 juillet comme annoncé. Les Fêtes de la Madeleine à Mont-de-Marsan quant à elles restent prévues du 16 au 20 juillet 2025. Les deux maires se sont rencontrés ce mercredi 16 octobre. Dans un communiqué commun, les maires expliquent qu’ils souhaitent un « apaisement » ainsi qu’une « pacification des deux manifestations qui rassemblent plusieurs milliers de personnes ».
Les deux municipalités expliquent aussi qu’elles ne souhaitaient pas « priver les aficionados de corridas organisées dans une de ces deux villes ». Par ce choix, la ville de Bayonne réaffirme sa volonté de « réduire l’affluence des festayres présents durant cinq jours dans un centre historique particulièrement contraint du fait de sa trame urbaine » tout en évitant « le positionnement des fêtes le dernier week-end de juillet ».
De son côté, la ville de Mont-de-Marsan se félicite du respect de « l’histoire et la tradition culturelle des fêtes patronales de la Madeleine » ainsi que du maintien des « fêtes à des dates les plus proches possibles de la Sainte-Marie-Madeleine, patronne de la Ville ». Dans ce communiqué publié ce mercredi, les deux villes disent vouloir réaliser des fêtes dans « l’apaisement » et « ne pas obliger les acteurs et festayres à faire des choix entre ces deux fêtes ». Avec ce choix, la ville de Bayonne entre en concurrence, désormais, avec les fêtes de Pampelune. Pourtant, sur France Bleu Pays Basque, le maire de Bayonne avait affirmé qu’il fallait « éviter » les dates « entre le 7 et 14 juillet, date invariable de la fête de San Fermin » (Fêtes de Pampelune, jumelée avec Bayonne, ndlr).
Vox et le Parti Populaire sont parvenus à un accord lors de la Commission des Affaires Institutionnelles et Générales du Parlement tenue ce mercredi, dans laquelle le parti de Santiago Abascal a accepté l’amendement proposé par le PP pour que les moins de 16 ans puissent assister aux corridas. (…) Avec cette nouvelle modification de la loi, le fait pour les mineurs de moins de 18 ans d’assister à des spectacles taurins ne sera pas considéré comme un délit, à condition que les mineurs de moins de 16 ans le fassent accompagnés d’un adulte ou d’un tuteur légal. Cet avis sera à nouveau débattu et voté en séance plénière du Parlement.
Il s’agit d’un changement de pied essentiel. Le Parlement des Baléares si cet avis est suivi par l’assemblée régionale en réunion plénière, abolira la loi interdisant au moins de 18 ans de se rendre aux arènes. Il est important de noter que les socialistes se sont abstenus en commission et ont donc favorisé l’adoption de cet avis. Le bémol vient du PP qui préconise l’entrée de moins de 16 ans à condition d’être accompagnés par un adulte.
Inutile de le dire ce revirement d’un Parlement très lié à l’exécutif Catalan -où les décisions sont notifiées en Catalan- est hautement symbolique et devrait faire école en France. Il montre que l’interdiction aux mineurs n’était pas justifiée que cette décision a été contraire aux droits des personnes et aux libres choix des individus. C’est une leçon que devrait retenir Samantha Cazabone et autres abolitionistes qui se cachent derrière leurs petits doigts.
Plaza de toros de Jaén, Andalucía. Première corrida de la Feria de San Lucas 2024. Moins de deux tiers.
Toros de El Torero (1º,3º, 5º) et Fuente Ymbro (2º, 4º 6º), bien présentés, nobles dans l’ensemble, le troisième excellent
ANTONIO FERRERA, deux oreilles et deuxx oreilles après avis.
DAVID FANDILA ‘EL FANDI’, oreille et deux ioreilles.
MANUEL ESCRIBANO, deux oreilles et deux oreilles.
Les trois matadors ont échangé les banderilles évoquant ainsi les regrettés cartels de bnadeilleros. Ils l’ont fait avec succès. Face à un encierro de qualité ils ont su mettre en valeur leur officio mais aussi une ntrega qui a conquis le public. Cela augure biende la San Lucas, dernière féria de la temporada qui, après bien des déboires, renaît de ses cendres.
Environ 300 entrées, temps pluvieux qui a quelque peu plombé l’ambiance de cette novillada non piquée. Par ordre de sortie, erales de François André, Fernay, Turquay, Roland Durand, Alain et Frédérique Tardieu et Giraud.
A l’issue du paseo, une minute de silence a été observée à la mémoire des toreros Nimeño II, Paco Camino et Pepe Luis Vázquez, ainsi qu’aux aficionados qui nous ont quittés, notamment Yvon Verdier et Patrick Testut.
Francisco Fernández : oreille et saluts.
Salvador Herrero : saluts et vuelta.
Javier Hurtado : saluts et silence.
Francisco Fernández a ouvert la séance avec un François André bien dans le type. Affichant une certaine aisance capotera, le novillero de Los Barrios brinda ensuite à l’assistance une faena comprenant des passages relevés, face à un bicho qui permettait. En fin d’exercice, Francisco fit taire une musique tardive avant entière déclenchant l’unique oreille de cette tarde. Avec le cuarto, de Durand, un superbe ensabanado sucio, le Barreño se montra très entreprenant, étalant entrega et aguante devant un animal exigeant qui lui imposa un bel effort pour soutenir la cadence. Las, les aciers lui ont probablement coûté un trophée, mais il est à noter aussi que Francisco a eu très chaud quand après un premier pinchazo il a failli se faire clouer aux tablas, s’en sortant indemne de justesse. Dans l’ensemble, on peut dire que Francisco a laissé une belle impression…
Salvador Herrero a débuté avec un Fernay devant qui, face à ses exigences, il éprouva quelques difficultés à lui prendre le dessus, malgré une évidente volonté et une torería par moments bien étayée. La conclusion a été assez heureuse avec une entière trasera habile puis deux coups de verdugo. Avec le Tardieu, un castaño sérieux, il brinda au conclave qui commençait à ressentir les effets d’une humidité « prenante » une faena égrenée de tandas méritoires. Le Salmantino déjà vu à son avantage à Bellegarde perdit une fois l’équilibre, frôlant la correctionnelle mais s’en tirant finalement sans la moindre égratignure. Après entière tendida desprendida, une pétition manquant un peu de force n’a pas été suivie d’effet. Mais le ressenti était tout de même favorable.
Jorge Hurtado eut en partage un lot plus compliqué à l’image du Turquay qui souffrit rapidement après avoir tapé aux planches de pattes antérieures diminuées. De là la nécessité de le maintenir à mi-hauteur, ce dont s’est employé à faire le novillero de Badajoz par la force des choses. On a pu constater une belle application et il était bien dommage qu’il y eut ce bémol car le Turquay avait du potentiel. Avec l’ultime, de Giraud, bien armé, Jorge réussit à instrumenter, dans une atmosphère plombée par la tombée de la nuit, plusieurs séries valeureuses dans un ensemble toutefois inégal peu relevé par la conclusion.
A l’issue de la novillada, les trophées ont été remis à l’abri de la Bergerie. Le prix du meilleur novillo a été attribué à l’exemplaire de Roland Durand, le second pour Francisco Fernández qui pour sa part a recueilli celui au meilleur novillero.
Enhorabuena aux deux lauréats, mais aussi aux autres novilleros et ganaderos, sans oublier les aficionados qui ont su jouer par leur présence la carte de la solidarité et bien sûr, les organisateurs de La Embestida qui n’ont pas franchement été aidés par les éléments…
Hasta la próxima, l’an prochain… bien sûr sous le soleil !!!
Ce dimanche matin à la Bodega Pablo Romero de Nîmes, Castella, de la manade Saumade, a été déclaré Biòu d’Or par la Commission du Trophée Taurin Midi-Libre – La Provence pour la deuxième année consécutive.
Félicitations à la manade victorieuse et bonne course cette après-midi avec bien sûr le Biòu d’Or et… sous le soleil annoncé !!!