Plaza de toros de Villaseca de la Sagra, Toledo. Corrida de toros benéfica en faveur de la Fundación Oncohematología del Hospital Niño Jesús de Madrid. Trois quart.
Toros de Alcurrucén (1º et 2º), Ana Romero, Rehuelga, Pallarés et El Montecillo; le cinquième de Pallarés, vuelta al ruedo.
Boujan-Sur-Libron a choisi les deux ganaderias de sa IXème Feria Toros y Campo. Toutes les deux d’origine Buendía : samedi 28 juin novillada piquée de Rehuelga et le dimanche une du fer français de Turquay. L’origine Santa Coloma est donc à l’honneur.
Samedi dernier le public jerezano était convié à la sortie du dernier film taurin dont on parle le fameux « Tarde de soledad » auquel participait le matador Andres Roca Rey et sa cuadrilla. Nous étions nombreux à l’entrée du cinémas toreros et anciens toreros élèves des écoles taurines et aficionados de longue date. Pour ma part je rentrai dans la salle de projection en compagnie de mon ami Soto Paula ancien torero, cousin germain du grand Rafael, avec qui je partage souvent durant les corridas , je ne connais guère de meilleur connaisseur du toro bravo.
Tout commençait pour le mieux avec de gros plans sur le roi de la dehesa dans son environnement au campo, le souffle puissant sous la lune belles images ! Et par la suite : rien, un film entièrement en gros plans plus sanglants les uns que les autres. Du sensationnalisme à bon marché . Des « puyas » déchirant la chair mieux que ne les voit le picador lui même, des estocades à fleur de peau (souvent défectueuses) de longues agonies sous la puntilla. Jamais le réalisateur ne montre une passe entière ni un mouvement complet. Tout ce qui est l’art dans la tauromachie est passé sous silence. Soto Paula à mes côtés ne peut s’empêcher de s’exclamer « Quelle horreur !» . Pour ma part il m’a été donné de puntiller quelques toros et je vous assure c’est bien moins terrible que ce qui nous est donné à voir.
La sortie de la projection ressemblait à la sortie de ces mauvaise corridas où rien ne s’était passé comme on l’aurait souhaité. Mines tristes et têtes basse nous tirions nos premières conclusions unanimes. Tout d’abord Tarde de Soledad n’apporte rien à un aficionado, peut être même pourrait il dégoûter de la tauromachie. Et Roca Rey, parodiant le Scapin de Molière, qu’allait-il faire dans cette galère ? Je crois que lui même s’en mord encore les doigts. La question que nous nous nous sommes tous posés : ne serait-ce pas encore une manœuvre des anti taurins . Ce film leur est bien plus destiné qu’à nous.
Le torero français a été honoré pour sa carrière et pour avoir placé la France à l’avant-garde de la tauromachie mondiale.
Le maestro Sébastien Castella , icône de la tauromachie française, a été récompensé hier à Arles par la Médaille d’Honneur de la ville , non seulement pour sa carrière impeccable de 25 ans, mais aussi pour son engagement envers la tauromachie et pour avoir placé la France dans une position privilégiée. Sébastien a exprimé sa gratitude et sa fierté pour une ville qui a joué un rôle déterminant dans sa carrière.
« Il y a des noms qui deviennent des références indispensables dans la tauromachie, et Sébastien Castella est sans aucun doute l’un d’entre eux. « C’est un défenseur passionné de la tauromachie et un modèle d’engagement auprès des nouvelles générations « , a déclaré le maire d’Arles, avant de lui remettre le prix.
Nous avons appris le décès de Joël Buravand grand photographe taurin qui a parcouru l’ensemble de la planète des toros et qui a été longtemps un collaborateur de ce site. C’était un excellent camarade, discret, franc et loyal. Nous le regretterons… A sa famille, à ses proches toutes nos condoléances.
Au nord de Madrid à Soto Del Real, Aurelio Hernando a des taureaux blancs magnifiques. Il fait partie, avec Tomás Prieto de la Cal, des derniers ganaderos à sélectionner des toros de sang Veragua. Ils ont la robe claire souvent blanche, la noblesse plutôt rare et une grande endurance. Photographies Bertrand Caritey et Bruno Lasnier.
Sa devise caña y negro a fait sa présentation à Soto del Real à l’occasion d’une novillada sans picador en 2004. L’année suivante, l’élevage fait sortir ses premiers novillos en novillada avec picador. Suit en 2006 la première corrida, toujours à Soto del Real. La camada est courte mais Aurelio ne peine pas à vendre son bétail qui est lidié principalement dans les alentours de Madrid. 2011 est une année charnière, l’élevage fait sa présentation en France à Orthez et un sobrero sort à Madrid. Dès lors, elle y sera répétée presque chaque année. L’élevage commence à se faire un nom et ses taureaux sortent régulièrement maintenant.
Ses taureaux sont reconnus pour leur bravoure et sont parfois spectaculaires lors des piques.
Il a cette année un lot de novillos pour Madrid Las-Ventas, trois taureaux pour une des deux 1/2 finales de la Copa Chenel le 14 juin 2025 à Navas Del Rey (il y aura ce jour là 3 autres taureaux de Montalvo) et un autre lot de novillos dans une arène de la province de Madrid. Il espère placer d’autres taureaux.
On lui souhaite bonne chance pour la temporada 2025 et les suivantes.
Les abonnements aux 7 spectacles taurins de la feria 2025 – 5 corridas, une novillada piquée et une novillada non piquée offerte – sont désormais ouverts
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Réduction de 4,5 % sur le prix unitaire des billets pour les corridas Exonération totale des frais de location Possibilité de paiement en trois fois Priorité au renouvellement des abonnements Accès anticipé à la billetterie pour l’achat de places supplémentaires