Le XXI Prix Taurino “Al Detalle para el Recuerdo” animé par Vincci Hoteles pour célébrer les moments les plus mémorables de la Feria de Abril de Sevilla, ira aux toreros sevillanos Manuel Escribano, Pepe Moral et EsaúFernández. Le jury a voulu célébrer le fait historique de trois matadors allant à Porta Gayola devant une corrida de Miura ce qui ne s’était jamais produit.
XLIV TROFEO DEL EQUIPO MÉDICO DE LA REAL MAESTRANZA “Doctores VILA” QUITE ARTISTIQUE va à Sébastien Castella pour le quite varié du 8 mai face à « Redactor” de Juan Pedro Domecq.
QUITE PROVIDENCIAL à José Antonio Muñoz “Perico” pour less quites réalisés le 7 mai à Daniel Duarte et Vicente Herrera
Samedi, à Valdemoro, après délibération du jury, les deux premiers noms en demi-finale sont Jorge Molina avec 15,70 points et Daniel Crespo avec un total de 12,33 points. Francisco Montero a terminé troisième de l’après-midi avec 12,23 points, restant à l’écart du tour suivant.
La deuxième corrida a eu lieu dimanche à Algete. Taureaux de José Cruz et Martín Lorca pour Rubén Pinar, Carlos Olsina et Sergio Rodríguez. Le vainqueur de l’après-midi a été Sergio Rodríguez avec 15,60 points suivi de Carlos Olsina, qui a totalisé 12,60 points, tous deux devenant demi-finalistes. Rubén Pinar est exclu du prochain tour après avoir obtenu 7,23 points.
Jorge Molina, Daniel Crespo, Sergio Rodríguez et Carlos Olsina sont ainsi les quatre premiers demi-finalistes de la Coupe Chenel 2025.
Plaza de toros de Puertollano, Ciudad Real – Novillada mixte.
Novillos de El Madroñal (1º et 4º), Virgen María (2º et 5º) et Luis Algarra (3º et 6º), l’ensemble modeste de présentation et mal défendu mais noble.
Le cinquième (Virgen Maria) vuelta al ruedo
• LEA VICENS, silence et silence
• MARCO PÉREZ, ovation et deux oreilles
• OLGA CASADO, ovation et deux oreilles et la queue
Olga Casado a laissé une forte impression lors de ses deux passages par son courage, son officio et son élégance. Elle a fait preuve de variété aussi face au dernier débutant à genoux au centre et concluant par une entière d’effet rapide qui lui vaudra un rabo sans discussion. Olga a ainsi confirmé les qualités qu’elle avait montré lors du festival madrilène en faveur des victimes des inondations. Durera-t-elle ? Est-elle LA torera que nous attendons depuis si longtemps ? C’est encore tôt pour le dire mais elle en prend le chemin. Bien à son second Marco Pérez, très à son aise face un noble animal de Jean Marie Raymond. Il tuera en deux fois. Léa Vicens malheureuse avec les rejons de muerte.
Hier à Aguascalientes (Mexique) le banderillero Edgar Camacho, de Diego Sánchez a reçu une forte blessure à la cuisse droite, touchant la veine fémorale, ce qui a provoqué une hémorragie importante après avoir été attrapé par le quatrième toro de l’après-midi de Corlomé, qui l’a également plaqué contre la barrière.
José Luis Martínez, chirurgien en chef d’Aguascalientes, a décrit l’accident comme « un coup de corne dans la veine fémorale de la cuisse droite, qui affecte le faisceau fémoral droit ». De plus, Edgar souffre également d’un « traumatisme crânien » dû à la violence de l’accident lorsque le taureau l’a secoué dans les airs et l’a coincé contre les planches. Par la suite, le banderillero a été stabilisé à l’infirmerie pour être transféré dans un centre médical, en demandant des donneurs de sang pour transférer le torero d’argent.
Le torero Emilio de Justo a été opéré ce dimanche matin à Plasencia, par le Dr Emilio Sánchez Barrado, d’une blessure interne de 12 centimètres dans la région dorsale de la cuisse gauche, subie hier lors du combat du premier taureau de Jandilla dans les arènes françaises d’Arles. Malgré que l’animal l’ait pris à deux reprises Emilio de Justo, blessé, s’est rétabli et a continué l’après-midi, coupant les deux oreilles du taureau et en sortant en triomphe des arènes d’Arles.
Metéo : Pluie vent et fraicheur; paseo retardé de 30 minutes pour débâchage de la piste. Entrée réduite.
Roman : silence et deux avis, silence
Christian Parejo : une oreille et deux oreilles
Solalito : salut et silence
Les organisateurs méritent des félicitations pour avoir sélectionné un lot avec une belle présentation, mettant en valeur des toros au physique irréprochable. Cependant, le comportement dans l’arène laisse à désirer.L’ensemble du lot s’est montré decasté, manquant de la vivacité et de la puissance attendues. Quelques-uns ont tout de même réussi à exprimer une certaine noblesse, offrant des moments appréciables. Malheureusement, le manque de bravoure a globalement marqué cette présentation, laissant un goût d’inachevé chez les spectateurs.
Roman
Dans l’arène, le toro est sur la retenue. Il part directement au cheval, sans intervention de la cuadrilla. Une série de doblones se déroule sous les applaudissements du public. Aucune mise en suerte n’est effectuée lors des deux dernieres pique La charge se révèle franche. Le toro a tendance à se diriger vers les planches. Les premières naturelles se montrent compliquées, alors que le public réclame l’estocade plusieurs pinchazos interviennent avant le coup fatal, le bajonazo, avis.
Ce quatrième toro présente le même comportement que les précédents. Lors des deux rencontres avec le cheval, le public crie contre le picador, exprimant son mécontentement. Roman entame par une série de derechazos avec application, et quelques applaudissements se font entendre en témoignage de son habileté. Les naturelles sont exécutées avec soin et profondeur, illustrant ainsi la technicité du torero mais sans alegria . Enfin, deux tentatives sont nécessaires, sans que le coup fatal soit véritablement dans l’esprit, marquant l’incertitude de l’issue dans cette épreuve.
Christian Parejo
Il accueille son premier toro avec alegría à la cape. Il reçoit une seule pique. Le matador réalise une belle série à la cape, captivant le public dès les premières passes. En plein centre, il cite de loin le toro qui charge avec détermination. Il a un bon sitio, et la série de naturelles transmet une belle émotion. La musique résonne, le président ayant judicieusement attendu avant de la lancer. Les derechazos suivants se déroulent près des planches. Mathieu Guillon intervient brillamment. Christian Parejo termine avec quatre manoletinas et conclut par une épée entière et efficace.
Le cinquième toro remate dans les planches. Christian Parejo réalise de jolies véroniques et le met correctement en suerte, recevant une seule pique. Mathieu Guillon est applaudi pour sa pose de banderilles. Le torero, appliqué dans ses faenas, fait vibrer le public avec puesto et alegría. L’émotion dans la faena de Christian Parejo est sincère, contrairement à Roman, il reussit à garder le toro dans le vuelo. Enfin, l’épée est exécutée de manière parfaite.
Solalito
Solalito accueille avec élégance, à la cape, un toro réfléchi, captivant les regards dès l’entrée en piste. Cependant, aucune mise en suerte n’est observée, bien que la charge se révèle franche. Le toro, manso, semble davantage participer à des rencontres qu’à un véritable tercio de pique. La série à droite se montre compliquée, mais Solalito parvient à offrir une série de naturelles exécutées avec douceur, lesquelles transmettent une émotion palpable au public. Dans un moment de tension, le torero se fait prendre violemment, laissant l’arène dans l’angoisse. Pourtant, il revient avec détermination sous les applaudissements chaleureux des spectateurs. La mise à mort complexe, met en lumière les difficultés de fixer le toro. Solalito tente à trois reprises avant de parvenir à conclure, suscitant avis et réflexions quant à sa prestation.
Solalito débute ensuite avec une série à la cape agréable, captivant l’attention du public par sa maîtrise. La première charge au cheval est marquée par une bravoure certaine, et dans un moment de tension, le cheval est renversé. Sous les applaudissements nourris du public, Solalito pose avec précision les trois paires de banderilles cherchant à montrer sa détermination à couper une oreille. Face à un toro manso, il parvient à exécuter quelques séries, démontrant son art et sa détermination. La série de naturelles en plein centre est exécutée avec une émotion palpable et une profondeur remarquable, laissant le public en admiration. Dans un dernier effort, Solalito réussit à fixer le toro pour les dernières derechazos, terminant sur une note vibrante. L’épée, bien que légèrement de côté, s’avère efficace et vient couronner sa prestation sous la pluie et dans la nuit et le froid.
« D’Ordóñez à Clemente, l’itinéraire d’une tauromachie », soirée de la Peña Antonio Ordóñez de Nîmes le mardi 22 avril…
Programmé en Arles le samedi de Pâques et « répété » à Nîmes pour Pentecôte, Clemente mérite l’attention des aficionados nîmois.
C’est pourquoi la Peña Ordóñez a souhaité proposer un rendez-vous pour le rencontrer autour d’un thème « D’Ordóñez à Clemente, l’itinéraire d’une tauromachie ».
Animé par Joël Bartolotti et en présence du maestro Clemente, à l’Hôtel C Suites le mardi 22 avril à 19h : Apéritif et Dîner débat.