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Le mois d’août à Madrid

Madrid prochains cartels de la Plaza de Toros de Las Ventas : 

– J 25/07. Finale du Certamen de Novilladas ‘Cénate Las Ventas’. Valentín Hoyos, Fabio Jiménez et Mario Navas (Talavante y El Freixo)

– D 04/08. Novillada avec picadors. Álvaro Seseña, Jesús García et Jesús de la Calzada (Dolores Aguirre)

– D 11/08. Novillada avec picadors. Rafael Reyes, El Niño de las Monjas et Uceda Vargas (Paloma Sánchez Rico)

– J 15/08. Corrida de la Virgen de la Paloma. Adrián de Torres, Gómez del Pilar y Jesús Duque (confirmation) (José Enrique Fraile de Valdefresno)

– D 18/08. Corrida de rejones. Sergio Domínguez, Moura Caetano, Francisco Palha, Emiliano Gamero, Andrés Romero y Paco Velasquez (Passanha)

– D 25/08. Corrida de rejones. José Miguel Callejón, Sergio Domínguez, Roberto Armendáriz, Ana Rita (confirmación), Miguel Moura y Duarte Fernandes (Benítez Cubero)

Madrid

Plaza de toros de Las Ventas, Madrid. Dernière novillada du certamen ‘Cénate Las Ventas’. 

Novillos de El Cotillo y Hnos. Collado Ruiz (2º y 5º),

• MANOLO VÁZQUEZ, silence et silence.

• FABIO JIMÉNEZ, ovation après avis et saluts.

• MARIO NAVAS, silence et ovation.

Le banderillero Pablo García, touché par le second toro: ‘Puntazo corrido au genou gauche et contusion lombaire’

Le subakterne Azuqita a subi une voltereta par le premier toro. Voici le parte: « Le banderillero Álvaro López ‘Azuquita’ a été soigné à l’infirmerie de la place. Contusion à la côte droite et à l’épaule droite. Contusion à la main gauche et plaie incisée au pouce de la main gauche. Point courant à l’intérieur du bras droit. Multiples érosions et contusions. Pronostic réservé qui l’empêche de poursuivre le combat.

A l’issue de la novillada les organsiateurs ont décidé du trio final: Valentín Hoyos, Fabio Jiménez et Mario Navas, pour la finale de ‘Cénate Las Ventas’

Madrid, la novillada

Madrid, novillada nocturne certamen cenate. 1/3

Novillos de Couto de Fornilhos. 

SANTIAGO ESPLÁ: silence après deux avis et silence.

VALENTÍN HOYOS: ovation aptès avis et salut et ovation.

RUBÉN NÚÑEZ: ovation après pétition et palmas après avis.

Juan José Domínguez et Pablo García saluts aux banderilles.

Madrid

Plaza de toros de Las Ventas, Madrid. Deuxième du certamen ‘Cénate Las Ventas’. Un tiers d’entrée.

 Novillos de Antonio López Gibaja, bien presentés, mansos das l’ensemble en su conjunto.

• ÁLVARO SÁNCHEZ, silence après avis et ovation

• CARLOS DOMÍNGUEZ, silence et silence.

 ÁLVARO DE CHINCHÓN, vuelta al ruedo et silenca près avis.

Le banderillero Juan Carlos Rey  a été pris violemment par le 1er. Il a terminé la lidia puis est parti à l’infirmerie.

Madrid: première déception du “Cenate Las Ventas”

Plaza de toros de Las Ventas (Madrid). Première des novilladas nocturnes du certamen ‘Cénate Las Ventas’. 8.173 spectateurs. 

Novillos de La Guadamilla, Chamaco (5º bis) et Los Chospes (6º bis), dcevants dans l’ensemble sauf le 4ème.

PEDRO GALLEGO, silence après deux avis et palmas

 MANUEL CABALLERO, silence et palmas

BRUNO ALOI, ovation arès avis et silence après avis

Madrid

Plaza de toros de Las Ventas de Madrid. Corrida de toros. Moins d’un quart. 7445 spectateurs.

Toros de Valdefresno.

MORENITO DE ARANDA, silence après avis et vuelta al ruedo après avis.

FRANCISCO JOSÉ ESPADA, vuelta al ruedo et silence après avis.

JUAN DE CASTILLA, palmas après avis et vuelta al ruedo.

MADRID : PACO UREÑA RESCAPÉ

MADRID le 16 juin 2024 – Corrida hommage à Antonio Chenel « ANTOÑETE » Arène pleine, 30°, soleil et vent .
A l’issue du paseo une minute de silence en hommage à ce grand torero de Madrid disparu il
y a 20 ans.
Toros de JANDILLA, le 3° de VEGAHERMOSA, les réserves de EL PILAR.
535,530,568,564,568,532 Kg. Présentation et cornes de Madrid.
JOSE MARIA MANZANARES, Ovation et Silence.
ALEJANDRO TALAVANTE, Silence et Sifflets.
PACO UREÑA, Silence et Une oreille.
Toros infumables en majorité comme cette année à Madrid.


Le premier manso, sans race et sans charge. MANZANARES s’engage et s’efforce, arrive à toréer de la main droite ce toro fuyard qui lui inflige une cogida sans gravité. Estocade habile, sifflets au toro et ovation au torero.


Le deuxième le meilleur, toréable. TALAVANTE le reçoit à la porte du toril par une larga cambiada très risquée étant donné que le toro ne charge pas à sa sortie, le torée très bien de cape en suivant. Après les piques une série de gaoneras laisse voir la détermination du maestro et du toro . Mais pas d’inspiration ce jour, une faenita de la main gauche profilée et sans intérêt suit les banderilles. Le toro qui faisait l’avion en début de faena s’ennuie et décide d’arrêter son rôle de collaborateur. Il fuit le combat. Pinchazo et estocade. Silence. Dommage.
Le troisième de VEGAHERMOSA faible et ne mettant pas la tête à cause d’un problème de vision dira le matador plus tard. Brindis du centre des arènes à ANTOÑETE. Rien à la muleta. Estocade basse. Sifflets au toro et Silence au torero
Le quatrième de JANDILLA trop faible aux piques, remplacé.
Le quatrième bis de EL PILAR, trop faible également, remplacé.
Le quatrième ter de EL PILAR, faible également mais maintenu en piste. Tombe à chaque fin de série de la main droite de MANZANARES. Mete y saca et estocade. Sifflets au toro et silence au torero.
Le cinquième, de JANDILLA , un « tio » magnifique de presque 6 ans, n’a pas envie de charger après deux piques applaudies, il coupe le terrain aux banderilleros et comme TALAVANTE n’est pas dans un bon jour, il abrège son travail superficiel de la main gauche. Mete y saca, épée et descabello viendront à bout de ce toro vétéran. Applaudissements au toro et sifflets au maestro.


Le sixième, de Jandilla, batailleur à sa sortie et bien reçu de cape par le torero s’avère un retord après ses deux piques, aux banderilles et à la muleta. PACO UREÑA, comme à son habitude s’engage ( trop ) devant ce toro par des séries de la main droite de plus en plus serrées et arrive ce qui est trop fréquent pour ce maestro : Une voltereta qui aurait pu le laisser paralyser car retombant sur la tête en bas. Après avoir repris ses esprits dans la ruelle Paco revient en piste. L’émotion est à son comble, Torero, Toreero scande le public. Après deux ou trois passes dominatrices le matador tue recta le toro par une épée entière. Une oreille amplement méritée pour le courage. Curieux applaudissements au toro.
Voilà, une fois de plus, l’émotion créée par un torero chatié par son toro mais revenant en piste pour montrer à celui-ci qui est le patron entre la bête fauve et l’homme, a sauvé une après-midi bien triste jusque-là .Et puisque cette corrida était donnée en hommage à ANTOÑETE permettez à l’auteur de
cette chronique de saluer lui aussi la mémoire de cette immense torero qui lui a donné, dans les années 80, le bonheur d’assister à Bayonne, avec un toro de Buendia, à la faena la plus complète et la plus pure auquel il a assisté jusqu’à présent, à jamais dans sa mémoire.
EXIR

Morenito de Aranda à Madrid après Aire

La cartel de la corrida du 23 juin à Madrid est désormais connu Morenito de ArandaFrancisco José Espada et Juan de Castilla face aux toros de Valdefresno. Rappelons que Morenito sera dimanche à Aire-sur-l’Adour où il est très attendu après son triomphe vicois (3 oreilles). Il sera confronté aux toros de Peñajara avec Dorian Canton et Enrique Colombo. Un très beau cartel sur lequel nous reviendrons.

Madrid, Puerta Grande pour Fernando Adrian

Madrid le 9 juin. Corrida placée sous le haut patronage de l’Infante Elena.

Mano a Mano entre  Sébastien Castella, lilas et or. Ovation, silence et silence et  Fernando Adrian, blanc et argent. Oreille,silence, oreille, Puerta Grande

lleno de no hay billetes ( 13ème édition de cette San Isidro).

Beau temps, sans vent, 25°.

Toros de Garcigrande les 1,2,4,5,6 et de El Pilar le 3.

Poids moyen de 545 kg à l’exception notable du sixième, 597 kgs et 5ans et demi.

Comment aborder cette chronique autrement qu’en dénonçant une fois de plus la faiblesse , le manque de force et de race des toros et tout particulièrement les fragilités des antérieurs (les mains des toros) pratiquement à chaque animal.  Le pire ayant été le toro de chez Fraile, d’El Pilar, qui cumulait tous les défauts, mansedumbre, décasté, faible, derrotant, fuyard etc..

Et si au lieu de se répéter à propos des lacunes des 3,4 et 5 on disait deux mots agréables sur le 1 qui échut à Castella?

Pas bien joli ce colorado claro mais le maestro qui l’a tout de suite jaugé a demandé à son picador de ne pas forcer la dose de fer. Castella est un très grand capotero et distribue avec suavité et rythme des natuelles  bien conclues par une larga magnifique.

Adrian vient au quite et montre que lui aussi, par chicuelinas et tafalleras il sait parler “toro”.

La faena de muleta est très élégante, initiée à gauche avec changement de main.

Cité de loin et de face les muletazos de Sébastien castella sont très doux, mais autoritaires démontrent à quel point le matador français est poderoso. Avis, echec à l’épée, c’est rare mais ça arrive aux meilleurs.

Le second, pour Fernando Adrian est reçu à genoux, largas afaroladas six fois de suite et le public, étrangement ne bronche et n’applaudit que lorsque le matador se relève. Le toro se couche sur le flanc tout seul, Adrian insiste et torée de verdad, faisant plusieurs fois passer l’animal dans son dos et termine, imitant Castella à son premier par un desplante dans les cornes, les outilsjetés loi derrière lui. Final par Bernadinas, le toro va a mas, on se sent mieux , on espère pour la suite, grande épée et OREILLE.

les trois suivants seront des invalides, le troisième dont hérite le malheureux Sébastien est bien banderillé par José Chacon deux fois et il doit saluer, très justement. Pour le reste, soseria. Le bicho derrote, donne des hachazos à hauteur d’homme…Faena impossible charge brouillonne, Pinchazo, entière et descabello.

Sifflé à l’arrastre. Le suivant un Garcigrande tout noir et pas vilain mais invalide qui tombe plusieurs fois, bien que peu piqué.

Le 5ème, pour Castella, un joli noir de 4 ans nommé Pistolero va t il nous enchanter ?

D’une noblesse infinie, mais si décasté et faible que Castella doit lui laisser de longues poses entre les passes. Le toro avait la bouche ouverte dès son entrée en piste, le final laisse des regrets, avec un poil de hardiesse c’aurait  pu être  un toro intéressant. Mais rien, non, rien de rien, trois muletazos, une pose de 2 minutes, trois muletazos, et une épée en se mouillant les doigts, le toro plonge sur le sable , lamentablement.

Vint le 6 ème, LE  toro de la tarde, un grand Garcigrande de 597 kgs et presque 6ans, fort, charpenté, qui dura , lui, bien fait, hechuras parfaites.  Adrian devait triompher avec lui et joua le tout pour le tout, ce qui lui réussit puisque , coupant une belle oreille parfaitement méritée il obtint la sortie par la Puerta Grande.

J’aimerais savoir au cours de cette San Isidro sur les 125 toros combattus, combien ont mérité de rester dans nos mémoires de 2024, un Santiago Domecq, un Victoriano del Rio, Dulce pour Borja Jimenez et deux ou trois autres, c’est peu, non?

Jean François Nevière

Madrid: RIEN A CHRONIQUER…


MADRID – 8/06/2024
Corrida hommage à la police nationale pour son 200° anniversaire (!), minute de silence et hymne national à l’issue du paseo.
21°, vent, Arène pleine pour la 13° fois en cette San Isidro.
Toros de ROMAN SORANDO 572,564,593,578,554,541Kg, robe variée, de 4 ans, les 3 et 5, à quasi 6 ans, les 2,4 et 6 en passant par 5 ans, le 1. Carrure et cornes conformes aux exigences madrilènes. Du Domecq pur, noblesse mais faiblesse, parfois extrême. Pas de race. Mansos.
 Mouchoir vert au 3° d’une faiblesse insigne, remplacé par un sobrero de José Vasquez de 6 ans. José Vasquez, la plus vieille ancienneté d’Espagne, 1788, mais encore du Domecq depuis quelques années, faible et sifflé lui aussi à son départ.
Mouchoir vert au 6° aussi faible, remplacé par un sobrero de MONTALVO de 5 ans et 586 kg, intoréable lui, visiblement avisé, sans doute ayant séjourné trop longtemps dans les corales.
 Pour :


DIEGO URDIALES, saumon clair et noir, silence et silence.


JUAN ORTEGA, vert printanier et or, silence et silence.


PABLO AGUADO, noir et argent, gilet or, silence
Tous les toros sifflés à leur départ.
Bronca et jets de coussins de dépit à l’issue de la corrida.  
 
Cet après-midi Madrid a touché le fond du fond avec ces toros de Roman Sorando infumables.
Ce n’était pas la peine de faire venir trois toreros classés « artistes » pour ne pas leur offrir du bétail leur permettant de s’exprimer. Trois toreros si brillants à la feria de Séville.
Pas une passe de cape, pas un quite artistique, cinq ou six passes de muleta conformes en tout pour l’ensemble de la corrida.
Nous avons rarement vu un tel désastre ganadero. En général il y a toujours un toro, pas forcément le cinquième, qui sauve l’après-midi. Mais là, aucun.
Le public n’en pouvait plus, réclamant des toros, et nous avec.
Et comme en plus les deux toros remplaçants ne voulurent pas faire d’ombre à leurs congénères, l’ennui fut total.
Il va donc falloir que la police, à laquelle les organisateurs avaient voulu offrir un hommage, ouvre une enquête sur cette après-midi désastreuse et trouve le ou les coupables.

Exir

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