La billetterie de la novillada de la Romeria est ouverte aux Arènes de Mauguio. Ouverture les jeudis et vendredis de 17 h à 20 h et le samedi de 9h à 12h au 105 boulevard Jean Macé. Ouverture toute la journée le vendredi 20 juin et samedi 21 juin 2025. Cette année encore, le cartel proposé s’annonce spectaculaire avec 3 jeunes novilleros très prometteurs. El Mene qui vient de signer une prestation aboutie dans les arènes de Madrid à l’occasion de la feria de la San Isidro. Julio Norte qui est annoncé comme l’un des plus talentueux de la nouvelle génération et le français Victor, originaire des Saintes Marie de la Mer qui vient de vivre un grand triomphe lors de la récente Feria de Nîmes. Face à ces jeunes talents, six novillos d’élevages français dont les qualités ne sont plus à démontrer : François André, Gallon, Pages-Mailhan, Margé, Tardieu et San Sebastian. Billetterie en ligne : www.billetweb.fr/novillada-de-la-romeria-de-mauguio1 Infos et réservations par mail à billetterie.mauguio@gmail.com et par téléphone au 06 70 32 30 06. Tarifs : Entrées générales : 25 € Groupes et clubs taurins : 20 € (à partir de 10 personnes)
A J-1 de la feria d’Istres, les toros sont bien arrivés et tous les matadors prévus seront bien là !
La météo sera également estivale !
Pour la corrida du vendredi 13 juin, les élevages seront bien Yonnet et Montealto.
Pour la corrida du samedi 14 juin, « Clemente » sera bien présent après sa blessure et ses triomphales prestations de Nîmes.
Pour la corrida du dimanche 15 juin en matinée, le cartel s’annonce explosif avec Miguel Angel Perera au sommet de son art, le mexicain Diego San Roman qui a impressionné à Madrid et Christian Parejo qui en aucun cas ne voudra laisser passer cette grande opportunité.
Enfin, la feria se clôturera par cette grande et belle histoire qui réunira sur le sable du Palio, « apoderado » et torero : Juan Bautista et Marco Perez ! Corrida qui avait annoncé le « No Hay Billetes » mi mai !
Nous vous souhaitons une belle feria d’Istres 2025 !
En tauromachie rien n’est écrit d’avance. C’est ce qui fait le succès durable de ce spectacle car l’être humain est avide de surprises mais cela constitue aussi sa faiblesse car tout, dans le monde moderne, est fait pour éviter les conséquences de ces surpises. Il faut un univers lisse et prévisible qui nous évite le traumatisme ou le désordre de l’inattendu. Il faut donc prévoir, planifier ; lire dans le marc de café en réalité car le futur est par essence imprévisible… et la tauromachie qui est une leçon de vie illustre parfaitement cette « vérité vraie » mais politiquement incorrecte…
Inattendu, on l’a vu ces dernières semaines, le retour (durable) à son meilleur niveau de Morante de la Puebla qui a secoué l’Espagne, mobilisé les médias de tout le pays et enthousiasmé Madrid obligeant le torero cigarerro à sortir sur le balcon de son hôtel pour saluer ses fans venus en nombre l’acclamer. « Je vous aime » a déclaré le torero de La Puebla. C’est plutôt nous qui l’aimons !
Inattendu aussi, la présence et la réussite de Morenito de Aranda pour un « un contre six » dans ces arènes de Vic-Fézensac où les succès sont d’autant plus importants qu’ils sont rares. Morenito, il y a peu encore, pensait renoncer car même si ses qualités toreras étaient reconnues, le téléphone avait cessé de sonner. Ce sont les mystères d’un milieu parfois mesquin, médiocre souvent. Il a fallu l’acharnement d’un jeune apoderado, Jean François Pilés, et l’adhésion du public du sud-ouest pour le relancer. C’est une aventure qui évoque celle d’Emilio de Justo tombé aux oubliettes -il vivait d’un billet de 5 euros par semaine- et présent désormais en première ligne.
Morenito sera dimanche à Aire avec Manuel Escribano, guerrier flamboyant qui eut du mal à s’imposer lui aussi (il fera sa présentation à Aire) et du français Carlos Olsina injustement méconnu sur les terres occitanes -il a pourtant débuté en costume de lumières à Mimizan.
Voilà un cartel séduisant pour ces arènes Maurice Lauche qui renaissent lentement de leurs cendres. Les toros de Pedraza de Yeltes, ganaderia fétiche sur ces terres, ambassadeurs privilégiés du Campo Charro exigeront de ce trio d’exception, expérimenté, décidé à triompher, un effort à mesurer avec justice. Il consacrera, on le souhaite, le retour inattendu (parce que long à venir) au premier plan des arènes aturines.
Pierre Vidal
PS Une pensée aussi pour Istres à l’autre bout du sud de la France et notamment pour le jeune Solal qui jouera vendredi une partie importante pour son avenir: suerte amigo !
Le jury, composé de journalistes spécialisés et convoqués par Plaza 1, a décerné les prix aux vainqueurs de la San Isidro, qui s’est récemment achevée aux arènes de Las Ventas. Alejandro Talavante a remporté le prix, Morante de la Puebla a été honoré pour la meilleure corrida de la série et Víctor Hernandez a été élu torero le plus prometteur. Voici la liste complète des lauréats :
TRIOMPHATEUR DE LA FERIA Alejandro Talavante
MEILLEURE FAENA Morante de la Puebla
MEILLEUR NOVILLERO Aarón Palacio
MEILLEUR REJONEADOR
Diego Ventura
TORERO REVELATION
Víctor Hernández
MEILLEURE ESTOCADE
Uceda Leal
MEILLEUR PICADOR
Borja Lorente
MEILLEURE BREGA
Raúl Ruiz
MEILLEUR BANDERILLERO
Iván García
MEILLEUR TORO
‘Frenoso’, de Victoriano del Río, lidié par Fernando Adrián le 16 mai
MEILLEURE GANADERÍA
Jandilla, Combattue le 5 juin.
Selon Plaza Uno: « La San Isidro, récemment terminée, ainsi que l’extraordinaire corrida caritative qui a mis fin à un mois continu de corridas à Madrid, ont rassemblé 576 228 spectateurs. Le panneau « Pas de billets » a été affiché jusqu’à 15 après-midi, soit deux de plus qu’en 2024.
Le cycle isidril, qui avait déjà marqué une nouvelle année d’augmentation de son nombre d’abonnés (17 536), a encore augmenté son nombre final de spectateurs, avec près de 12 000 de plus que la saison dernière. Au cours des 27 après-midi – les 26 soirées d’abonnement et la Corrida caritative -, une fréquentation moyenne de 21 432 spectateurs a été atteinte. 92,9% de la capacité de la plaza a été remplie.
Les chiffres de fréquentation spectaculaires atteints de la San Isidro 2025 se reflètent également dans les festejos où la vente des billets est inférieure. Cette année, 16.687 spectateurs ont été enregistrés l’après-midi où l’affluence était la plus faible, contre 15.111 qui se sont rassemblés dans les tribunes l’après-midi où l’affluence était la plus faible l’année dernière ».
Par quoi faut-il commencer cette reseña? Parler l’un après l’autre des toros? Cela risque d’être lassant. Disons que les cinq premiers ont développé des qualités différentes et soulignons que le premier et le cinquième furent les meilleurs, leur encaste Santa Coloma faisant s’épanouir aussi les qualités du torero. Le premier était noble et sa réception a porta gayola fit démarrer la soirée avec ce parfum d’émotion qui sied aux plazas toristas. Brindis au public , toujours aussi suspicieux et peu chaleureux malgre le 29 ° du jour. Heureusement le palco lança la musique, elle aussi un peu protestée par les plus coincés. Ce fut pourtant un très beau moment de tauromachie classique avec un Morenito calme et engagé qui fit tomber la premiere oreille.
On ira plus vite pour les trois suivants dont le deuxième, d’Arauz de Robles, negro etait un manso con casta.
Tout au long de la tarde Morenito prendra un soin particulier dans la mise en place des toros pour la pique et en dehors de Gabin Rehabi, ces messieurs , ayant placé comme il convient leur cheval de face ou de trois quarts semblèrent mettre un malin plaisir à piquer très en arrière… Vic aurait dû les siffler davantage!
Le troisième,un Flor de Jara, plus costaud que les autres pousse fort aux piques et le picador est applaudi fort justement. Exception qui conftme la règle. Deuxieme toro bravo de chez Cancela.
Le quatrième est un Arauz de Robles castaño de cinq ans sacrément armé, voilent un bien bâti qui prend sans mégoter trois piques dont deux affreusement placées, en arriére ou dans l’épaule.
On devine que ce toro sera compliqué et avec du genio, ce qui n’empêcha pas le diestro de nous offir en début de faena des doblones superbes, d’un classicisme d’école; juste après un émouvant brindis à L’idole Historique de Madrid, Morante de la Puebla. Voilà pour ceux qui n’ont pas d’yeux pour voir qui est José Antnio Morante de la Puebla., Il est souvent bon de rappeler à ceux qui doutent certaines verites dans l’art. Final catastrophique avec un affreux bajonazo qui prive le matador d’une oreille quasi certaine si… Toro applaudi à l’arrastre.
Vint le cinquième, à mon avis de très loin le meilleur, dépassant le premier par la complication qu’il offrit au torero . Cardeno Oscuro, bien fait, de presque six ans. A cet âge le toro de combat rélgléchit un peu avant de charger avec des intentions pas toujours très claires. . Grande faena sur les deux bords avec de temps à autre pour permettre de reprendre leur souflle au torero et au toro, et on repart pour des séries très belles templées et sereines.
L’épée fut tendida et un peu trasera et nécessita l’usage du descabello. Petite pétition et protestation véhémente des intégristes, l’OREILLE tomba, ô combien méritée.
Le sixième de la ganaderia concurrente ne put pas sauver l’honneur, il était violent, parado et dévisageait le torero il insistait ce mal élévé il était “miron” et avait une corne droite possiblement assassine.
Ce qui fut intéressant ce sont les toques vocales très forts pour encourager le toro à entrer dans la muleta et à suivre le bras de Morenito. Pauvre Morenito usé, épuisé, avec probablement une déhirure musculaire .
Le sixième fut le seul à ne pas être applaudi à l’arrastre.
2heures 55 de festejo avec trop de temps passé aux piques surtout quand elles sont mal données.
• MIGUEL ÁNGEL PERERA, vuelta al ruedo après pétition, oreille et deux oreilles à celui tué pour Clemente.
• JUAN PABLO SÁNCHEZ, silence après avis et vuelta al ruedo après avis.
• CLEMENTE, oreille et blessure.
Un torero heureux qui sort par la porte des consuls des arènes de Nîmes. Et un autre valeureux et vaillant qui est à l’infirmerie après avoir triomphé le matin. C’est la grandeur et l’incertitude de la corrida. Un lot de Margé bien présenté, pas facile (le troisième compliqué et avisé) et deux voir trois intéressants (6em, 5me et 1er voir 4em dans une moindre mesure)
C’est au 6em taureau qui était prévu pour Clemente (le meilleur du lot) que nous avons vu toute la puissance, le pouvoir et la force de Miguel Angel Perera. Quel domination avec des enchaînements de qualité sur les deux cornes. Des Luquesina à la mode Perera incroyables en fin de faena à faire rougir Daniel Luque. Une épée entière sur le côté mais le président ne peux résister à la pétition énorme du public pour les deux oreilles. Un travail d’orfèvre sur le premier taureau mais une demi épée qui refroidi le président pour l’octroi d’un trophée. Contrôle et domination sont au programme de la faena de Perera à son second taureau qui est de moins en moins clair et qu’il tue correctement. Miguel est dans un bon moment : en effet sans ses échecs à l’épée il aurait coupé dernièrement des oreilles à Seville et à Madrid. Un vétéran encore là et avec qui il faut compter.
Clemente revient cette après midi après son succès important de ce matin. Son premier toro n’est pas clair depuis le début. Gros effort de Clemente qui le sort de la querencia. Plusieurs séries portent sur le public. Il est avisé plusieurs fois. Ca va à mas et des muletazos font rugir le public. Peut être une série de trop ? Le taureau le soulève et on craint le pire. Il revient avec un jean car l’habit est très déchiré pour réaliser encore une belle série à droite proche des planches et une belle mise à mort après deux pinchazos. Clemente est rentré dans le cœur des nîmois aujourd’hui.
Il a été opéré aux arènes d’un coup de corne dans les parties intimes puis envoyé à l’hôpital pour des examens approfondis
Le premier taureau du torero mexicain Juan Pablo Sanchez est très armé. Il a une charge désordonné mais le torero se met devant. Le manque de classe du taureau ne lui permet pas de briller malgré un engagement respectable. 1 estocade au 2em essai et 1 descabello. A son second taureau de meilleur qualité il nous montre qu’il est capable d’en découdre et réalise de bon muletazos qui portent sur le public. La mise à mort est efficace mais deux descabellos ternissent le final
Morante de La Puebla tiendra le premier rôle vendredi à Nîmes. C’est, me direz-vous, dans l’ordre des choses puisqu’il est le parrain d’alternative de Marco Pérez. Mais ce n’est sans doute pas comme ça que les auteurs du cartel avaient planifié les choses. Qui pensait que le jeune salmantino sortirait contesté de son un contre six madrilène ? Qui supposait que l’andalou reviendrait au premier plan avec des succès retentissants à Jerez et surtout à Madrid ?
Le phénix andalou renaît toujours de ses cendres et cette inconstance fait non seulement son charme mais surtout sa force. Le torero cigarrero, ne l’oublions pas, collectionne plus d’échecs que de succès mais, en ce qui le concerne, le qualitatif l’emporte sur le quantitatif. Cela en fait un torero exceptionnel, génial par ses capacités techniques et sa créativité ; plus complet donc que les grandes références artistiques qu’étaient Curro Romero ou Rafaël de Paula, des génies certes mais marginaux néanmoins. Morante a toujours su éviter l’écueil de la marginalité en se référant à un toreo fondamental en même temps qu’universel et paradoxalement très personnel dans son exécution. En ce sens on ne peut pas le classer dans la catégorie des toreros artistes, quoiqu’on en dise…
Faut-il cependant tomber dans l’excès d’éloges ? Méfions-nous des systèmes, des chapelles, des sectes, des « ismes ». Hier nous avions le Poncisme -en on voit désormais les limites- nous avons aujourd’hui le Morantisme. Ce sont souvent les mêmes porteurs d’icônes, les mêmes prophètes. Il faut raison garder et malgré tout le bien que nous pensons du torero de La Puebla nous n’en deviendrons pas un inconditionnel. Car s’il a été l’auteur d’authentiques chef d’œuvres il fut aussi à l’origine de fracasos d’anthologie.
Morante est une référence dans la mesure où il s’adresse à un public savant, donc le plus souvent âgé, d’abord sur ses terres. Dans ce sens c’est plus une fin qu’un début… Le torero de La Puebla représente la tauromachie éternelle, cet idéal dont nous rêvons… Pour autant incarne-t’ il l’avenir ?
Plaza de toros de Las Ventas, Madrid. 22ème de la Feria de San Isidro 2025. 17.219 spectateurs.
Toros de José Escolar,
• ESAÚ FERNÁNDEZ, silence et pitos
• GÓMEZ DEL PILAR, palmas après avis et oreille après avis.
• MIGUEL DE PABLO, silence et silence
Ce soir, corrida de la célèbre Ganadería José Escolar Gil. Les toreros Esau Fernández et Gómez del Pilar affrontent ces redoutables combattants, aux côtés du torero de Colmenar Viejo, Miguel de Pablo. C’est une belle opportunité pour lui de démontrer son talent face à ces adversaires exigeants.
President D. Iñaki Sanjuán Rodríguez ASESOR: D. José Cabezas Porras ‘Joselito Calderón’
Esaus Fernandez
Le toro embiste avec une charge courte, distrait, son comportement sort du type attendu. La faena se déroule sur le passage, il est dominé sur les derechazos, mais les naturelles offrent une meilleure qualité. Le public applaudit. Une demi-épée bien placée.
Sur son second toro, c’est une puerta gayola. Plus encasté, il offre trois charges au cheval, seule la seconde pousse dans le peto. Il commence plein centre du ruedo. De la domination et de la profondeur dans les derechazos, les naturelles reflètent cette intensité. Le torero reçoit des applaudissements chaleureux, quelques manolitinas saluées par le public, et une très belle épée pour conclure,avant de finir avec le descabello.
Gomez Del Pilar
Le toro est applaudi par le public, il est dans le type. Le torero transmet à la cape, les derechazos ont de la profondeur, le toqué est fort et la charge courte. Les naturelles sont plus compliquées, mais le public répond avec des applaudissements. Pinchazo.
Gómez del Pilar accueille le toro par quelques véroniques. Au cheval, le toro semble plus intéressé par le public. Le public applaudit la mise en suerte pour la seconde rencontre du matador. Une série de doblones avec domination, il trébuche sans que le toro ne charge. La série de derechazos est saluée par le public, il ne se laisse pas dominer. À gauche, c’est plus difficile, mais il garde bien la distance. Le public réagit par la voix et applaudit la prestation du torero. Une épée entière et efficace pour conclure. Le panuelo blanc du palco est agité.
Miguel De Pablo
Le torero accueille avec domination à la cape. Le public réagit violemment au tercio de pique, le toro donne des coups de tête plus qu’il ne pousse dans le cheval. La cuadrilla peine à le fixer aux banderilles. Le torero provoque une vuelta de campana dès les premières séries à la muleta. Il débute par des naturelles, garde bien la distance sur les derechazos, cherchant à créer de l’émotion. Première tentative à l’épée manquée, la seconde bien placée.
Le dernier toro est applaudi à sa sortie du toril. Quelques séries à la cape. Le tendido réagit au puyazo du picador. Il commence par des naturelles sous les encouragements du public. Il se fait prendre la muleta, les derechazos sont compliqués. Miguel de Pablo se fait prendre par le toro, mais revient sous les applaudissements. Une demi-épée après un bel engagement. Gómez del Pilar est prêt à intervenir. Une seconde épée entière. Le premier avis tombe.
On l’a déjà dit : les cartels des 2 férias françaises de la Pentecôte sont riches et soulèvent un grand intérêt.
A Vic, on espère en particulier que le cartel de dimanche après-midi, le même que celui de Madrid, verra les toros de Dolores Aguirre sortir avec plus de qualités qu’à Las Ventas ! Le président du Club Taurin Vicois est optimiste à ce sujet, car ces toros devraient se sentir mieux dans le petit ruedo de Vic que dans l’immense plaza de Madrid.
Pentecôte à Vic 2025.
A Nîmes, l’événement sera l’alternative de Marco Perez des mains de Morante, en souhaitant au nouveau matador de meilleures bêtes qu’à son solo de Madrid et plus de réussite à l’épée. Sans oublier la double prestation de Clemente le même jour contre les Victoriano del Rio et les Margé !
Et les deux férias se termineront sur un seul contre 6 : à Vic Morenito de Aranda contre les Arrauz de Robles et les Flor de Jara, à Nîmes Borja Jimenez contre les Victorino qui y feront leur retour. Suerte à eux.