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C’EST UNE BELLE HISTOIRE !

QUI SE TERMINE PAR UNE EXPOSITION A SÉVILLE !

Il y a un an à Séville, en 2024, Emilio, le directeur de l’hôtel Madrid où je descends tous les ans pour la féria depuis une vingtaine d’années, m’aborde pour me faire une proposition à mes yeux incroyable.

Il faut savoir que ce petit hôtel, au demeurant très confortable, a pour spécialité d’organiser tous les deux ou 3 mois une exposition d’un artiste local pour agrémenter le séjour de ses hôtes.

Et là, pour la première fois en ce qui me concerne, j’étais propulsé au rang d’artiste et invité à exposer mes photos dès la Semana Santa et jusqu’à la mi-juin ! Je n’en aurais jamais rêvé, d’autant que je me considère plus comme un photographe de reportage que comme un photographe artiste…

La Giralda de la cathédrale de Séville, vue à travers de la statue de Belmonte. ©JYB

Les choses étant ainsi posées, la réponse était « oui bien sûr », étant donné que cela me permettait en outre de reprendre mes dons aux écoles taurines françaises qui bénéficieront de toutes les sommes recueillies.

Restait à sélectionner une cinquantaine de photos, après avoir trouvé un thème répondant aux contraintes posées par Emilio :

Séville : Vierges, cornes et véroniques.

La Vierge de la Esperanza Macarena dans son sanctuaire. ©JYB

Pas de photos des monuments de Séville bien sûr, compte tenu du thème, mais celles de la Semaine Sainte, avec quelques portraits des plus beaux Christ et Vierge des 72 confréries de Séville. Ces statues sont inscrites au patrimoine culturel de l’Espagne et de l’UNESCO.

Novillo de la ganaderia Casa de Los Toreros, prévu pour Madrid en 2024. ©JYB

Les cornes seraient celles de toros au campo ou dans l’arène à leur sortie du toril de la Maestranza, pour traduire mon admiration pour cet animal magnifique son agressivité et le courage des hommes qui osent se mettre devant.

Véronique de Morante de la Puebla au toro Organista, n°43 de Juan Pedro Domecq, à Séville le 6 mai 2019. ©JYB

Les véroniques, à la Maestranza toujours, ou plutôt les passes de cape, car vue la durée de l’exposition et l’accueil de touristes « non aficionados » pendant un mois et demi, il n’était pas question de montrer des piques, des banderilles des muletazos et du sang pour ne pas choquer ces futurs visiteurs.

Les choses sont lancées : les photos et les cadres ont été livrés au Madrid. Et à partir du dimanche des rameaux on pourra les admirer dans le hall et le salon de l’hôtel. Un vernissage organisé par Cactus Event (agence à laquelle je reste fidèle et que je remercie sincèrement) est prévu pour le 6 mai.

Donc, si vous passez par Séville, lors de la féria ou plus tard, n’hésitez pas à visiter mon exposition. La plupart des photos ne sont pas publiées sur ce blog ! Je serai présent à l’hôtel Madrid pendant toute la féria et le dernier week-end de la Semaine Sainte.

JY Blouin https://facealacorne.fr/cest-une-belle-histoire/

Morenito de Aranda à « Los Toros » de Mont-de-Marsan

Le matador MORENITO de ARANDA est l’invité ce vendredi 28 mars à 19h de la peña « A los Toros » de Mont de Marsan dans le cycle de conférence de son 50ème anniversaire.

MORENITO de ARANDA qui entame sa 20ème année d’alternative (Valladolid le 4 mai 2005) a été l’un des grands triomphateurs de la saison française 2024 coupant des oreilles à Ales, Aire sur Adour, Riscle et sortant en triomphe à Vic-Fezensac, Mont de Marsan et Dax.

Il sera accompagné de son peon de confiance Jose Luis TRIVIÑO (ancien matador) pour évoquer cette saison avant son retour à Madrid pour la San Isidro et son seul contre six toros à la feria de Vic. Dans la région il est déjà annoncé à Mimizan, Mont de Marsan et Dax.

La soirée est ouverte à tous les aficionados, entrée libre, et se prolongera autour de vino y tapas

19h au local de la Peña A los Toros – 2 rue Leon Lalanne 

CAMPO : TIENTA CHEZ CASA DE LOS TOREROS

La ganaderia Casa de Los Toreros, implantée sur les terres de La Martelilla, autrefois celles de Marques de Domecq, est une jeune ganaderia fondée, après le partage des terres de l’élevage du Marques, avec des vaches d’origine Santiago Domecq.

Aujourd’hui, elle sort en novillada et vend les toros qui vont jusqu’à 4 ans pour la rue.

L’an dernier, elle disposait d’une novillada magnifique prévue pour fournir des sobreros à Madrid, mais qui ne sortit pas et fut finalement lidiée en fin de saison à Antequera en donnant de bons résultats.

https://facealacorne.fr/pour-madrid-on-espere-que-ces-sobreros-sortiront-et-seront-lidies/embed/#?secret=w1nYo2PxRg#?secret=7pzQ58LoGw

Pour 2025, 2 novilladas sont sur les rangs dont l’une pour Madrid (mais hors San Isidro), magnifique de présentation dont le ganadero espère beaucoup. La seconde, un peu moins rematée, n’est pas encore annoncée.

Novillo pour Madrid en 2025 de Casa de Los Toreros. ©JYB

3 toreros français étaient invités à tienter : El Rafi, Nino Julian et Clément Hargous qui sortait de second. Fait remarquable qui montre bien les problèmes de l’élevage, c’était pour chacun la première fois qu’ils se trouvaient devant les vaches en 2025 : Depuis le COVID, les ganaderos devant la reprise du nombre de corridas, ne se pressent pas trop d’augmenter leur cheptel, ce qui fait grimper les prix et compense pour eux la hausse du coût de la nourriture et des carburants. Inversement, le  nombre de vaches à tienter reste bas et là aussi, elles peuvent couter plus cher en prix de location.

El Rafi en véronique genou fléchi devant une vache de Casa de los Toreros le 11 mars 2025. ©JYB
Pase de las flores d’El Rafi à une vache de Casa de los Toreros le 11 mars 2025. ©JYB

Le ganadero avait mis 3 vaches à tienter : elles ont péché essentiellement par manque d’engagement et de caste, même si elles ont pu faire illusion. Mais le même rythme tout au long des faenas traduisait leur manière de s’économiser et peu à peu d’acquérir du sentido.

Belle naturelle d’El Rafi devant une vache de Casa de los toreros le 11 mars 2025. ©JYB

On a pu voir El Rafi très pointu avec une belle main gauche notamment sur sa première vache. Volontaire, ayant visiblement le souci de bien faire les choses, ce fut pour lui un excellent entraînement car il a pu dominer ces vaches et travailler des détails qu’il n’aurait pas mis à son programme devant un autre bétail.

Pecho d’El Rafi à une vache de Casa de los Toreros, le 11 mars 2025. ©JYB
Demie véronique de Nino Julian à une vache de Casa de los toreros, le 11 mars 2025. ©JYB

Nino Julian a semblé en progrès avec beaucoup d’engagement et une bonne maîtrise de son toréo. Lui aussi a pu profiter de ces vaches qui n’étaient pas si faciles, pour étudier certains aspects de la lidia qu’il mettra à son répertoire.

Derechazo de Nino Julian à une vache de Casa de los Toreros, le 11 mars 2025. ©JYB
Statuaire de Nino Julian à une vache de Casa de los Toreros, le 11 mars 2025. ©JYB

Clément Hargous a pu exploiter les charges des 3 vaches du jour, sentir leurs différences et tirer quelques passes de bonne qualité.

Naturelle de Clément Hargous, à une vache de Casa de los Toreros, le 11 mars 2025. ©JYB

In fine une bonne journée pour les toreros, d’autant que la pluie s’était arrêtée et que la tienta s’est déroulée au soleil !

JY Blouin https://facealacorne.fr/

Madrid proteste contre la hausse des entrées

« Joselito ideó abaratar entradas

Plaza 1 ideó arruinarnos »

« Joselito voulait baisser les entrées

Plaza Uno veut nous ruiner « 

« TARDES DE SOLEDAD » UN VRAI GRAND FILM TAURIN QUOIQU’ ILS EN DISENT…

Tardes de Soledad , n’en déplaise aux tenants des retransmissions télévisuelles n’est pas un documentaire.  Voilà la première vérité qu’assène ce film magnifique et dur.  Lors de la projection d’hier soir à La Rochelle en présence du réalisateur, on a vécu des moments d’une assez réjouiissante diversité: il y avait dans la très nombreuse assistance de quoi tracer des portraits d’aficionados proches de la caricature: »Monsieur votre film m’a énormément déplu dit l’un, la soixantaine bien tassée, j’ai vu beaucoup de corridas, ce n’est pas come ça qu’il faut voir la tauromachie, et puis d’ailleuirs je déteste Roca Rey… etc etc.

Une autre, j’ai filmé pour la télévision des corridas à Bayonne et à Béziers,j’ai vu aussi le 16 septembre 2002 à Nimes la plus belle corrida possible et donc je ny vais plus…

Le malheureux Albert Serra était coi!

Alors que d’autres, enthousiasmés par l’émouvant montage, une bande son absolument formidable, pas de musique, le bruit la rumeur la fureur,la répétition de scènes impossibles à prévoir.. Allez donc monter un scenario pour diriger les deux acteurs, toro et torero. Vous me suivez?

Imaginez aussi que le Réalisateur soit gêné par les exigences supposées du Matador, qu’adviendrait il de ce film qui ne veut qu’une chose, montrer le réel, les coups du sort, tout le temps heureux, chanceux malgré des chocs effarants, dont un épinglage du toro sur Roca à la barrière pas loin du tendido 7 qui l’insulte et là, la mort possible mais évitée, se taisent.

A un autre moment, merveille absolue de la tehnique sonore, tous les intervenants cuadrilla, torero, picador équipés de micros ultra sensibles cousus dans leur costumes, on entend, durant trois naturelles que l’on voit fort bien , réalisées un peu moins bien, on entend une fille hurler »Tenga miedo! »( Il a Peur) et aussitôt en contrepoint, le regard fou de Roca qui se bat depuis un moment avec ce manso impossible comprend que la fille a raison non sur sa peur mais sur son toreo imparfait,et là, il y a un grand plan séquence   ou, sans jouer , Roca est un acteur au sens propre du mot.Notons qu’on ne voit JAMAIS le public .

On est tout le temps dans le réel si dur, si fort, que peut être m’a t il manqué et je l’ai dit à Albert Serra, d’avoir montré un peu plus l’oxymore taurin par excellence,la douce violence.

Mais revenons à notre sujet, il faut aller voir ce film en cinéphile et si on y va en aficionado à los toros il  faut accepter le parti pris de ce qu’ implique le cinéma, une construction, un montage, une bande son une esthetique superbe , une impudeur totale, et d’ailleurs Roca Rey avait laissé toute liberté à l’quipe de tournage.

On voit la fraternité, l’amitié, l’admiration et la grossièreté  » à l’espagnole », des dialogues  de PUTA MADRE! de Hijo de puta, 

On n’est à aucun moment dans une académie de danse! On torée, on risque la MORT, on la donne, plus ou moins bien, En Public, Scandale assumé, Fermez le banc.

Ce film a été récompensé en Espagne par les taurins. 

Jean François Nevière avec Albert Serra hier à La Rochelle, en ouverture du festival du documentaire.

Favoriserait il les positions anti corrida, et les Opposants à cet Art se sentiront ils  confortés dans leur jugements?  En aucun cas , ils ont déjà triché pour parler de notre passion et la plus claire argumentation favorable àu film consiste à dire, comme son réalisateur: «  Jai fait un film sur le déroulement de cinq corridas,  Madrid, Séville, etc…Je ne suis ni pour ni contre la corrida, j’ai filmé avec mon regard neutre un être quelquefois si seul qu’il en est transparent, pas de fiction, la réalité » .

Contrairement à ce que j’ai pu lire ici sur ce film, on a des séries de naturelles entières, au ras des cornes, peu de cape, éviter l’ envol vers le joli, des costumes rouge et Azabache seul choix guidé par le cinéaste, des sorties des arènes sans triomphe  mais après passage à l’infirmerie en tenue de pyjama hospitalier, les larmes de certains peones, leur admiration pour ce torero qui a les couilles plus grosses que l’arène toute entière .(Dixit Viruta, banderillero)

Mais, évidemment , si vous êtes assez sots pour détester Roca Rey comme Madrid le fait et l’a fait naguère pour Juli ou d’autres… N’ y allez pas, mais tant pis pour vous.

Grand FILM, pas pour grand public , et encore, justement, je me trompe peut-être.

Jean François Nevière

Madrid, grave blessure de Damian Castaño

Plaza de toros de Las Ventas (Madrid). Premier spectacle de la temporada. 13.881 spectateurs.

Toros de Adolfo Martín, 

• RAFAEL DE JULIA, pitos et bronca

• DAMIÁN CASTAÑO, ovation et blessure (son toro a été tué par Rafel de Julia)

 ADRIÁN DE TORRES, silence après avis et silence après avis

L’après-midi de Damián Castaño à l’ouverture de la saison de Madrid a été de verdad du début à la fin. Avant le cinquième de l’après-midi, le diestro de Salamanque s’est retrouvé avec un taureau qui répondait violemment à ses attaques. L’animal l’attrapa violemment. Le torero a été blessé en tombant au sol et a été rapidement transporté à l’infirmerie. Sa cuadrilla a été ovationnée. Cornada de deux trajectoires sur la cuisse gauche de 15 et 10 cms de profondeur. Pronostic grave.


PARIS, JUAN LEAL À CULTURAFICION.

Juan Leal était l’invité de Culturaficion cette semaine : il était déjà venu au Ruedo Newton il y a 3 ans (voir ci-dessous) mais a dévoilé d’autres aspects de sa personnalité et de son art.

Son parcours est connu, mais rappelons-le : il est né à Paris, mais n’y a pas vécu puisque sa famille est retournée en Arles quelques semaines plus tard. Il vit sa jeunesse au milieu d’une lignée de toreros dont il constitue la 5 ème génération. Il confirme que s’il souhaite que son fils soit aficionado, il ne veut pas qu’il devienne torero de la 6 ème génération des Leal. Il a pu profiter de leur expérience et de leur entourage jusqu’à 14 ans, âge auquel il est parti en Espagne à l’école taurine d’El Juli. Il est encore surpris que ses parents aient approuvé et accompagné sa décision : « depuis que je suis père, je ne trouve pas ça normal ».

Superbe arrucina de Juan Leal à un toro de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

Interrogé sur l’évolution de son toréo, il reconnait qu’il n’a pas encore atteint ce qu’il veut faire de son style.

« La tauromachie est un art et l’artiste doit avoir sa propre personnalité. Bien entendu, cela nécessite une expérience technique. »

Au départ il voulait surtout présenter quelque chose de différent, mais n’arrivait pas à l’exprimer : il devait chercher autre chose en se démarquant ou plutôt en étant lui-même. Donc, il n’avait pas réellement de modèle même s’il admirait la façon de toréer de Damaso Gonzalez ou Paco Ojeda.

Car « être proche de l’animal met en valeur le travail du torero : il contrôle la charge au lieu de l’accompagner ce qui permet un dialogue avec l’animal et une relation intime. »

Juan Leal dans un desplante risqué face au toro n°187 de Fuente Ymbro, à Nîmes, le 13 juin 2021. ©JYB archives

Sur une question : quid du courage ?

On sait qu’il s’expose beaucoup, mais le courage est le simple fait de dominer sa peur et face au toro, tous ont peur. Mais il faut se donner à 100% par respect pour l’animal et par respect pour le public. Le pire, c’est quand le public ne ressent rien n’a pas d’émotion et sort désenchanté.

Naturelle de Juan Leal au toro n°62 de Miura, à Bilbao, le 26 août 2018. ©JYB archives

Q : Il a toréé des ganaderias très différentes ?

Au moins une soixantaine : « Le fait d’affronter des élevages si différents permet d’ajuster les paramètres de son logiciel. » Par paramètre, il entend la solution technique à choisir ; c’est pourquoi affronter des fers différents est ce qui enrichit. Pour lui, c’est un choix et non une obligation : ainsi la première fois qu’il a affronté les Miura de Bilbao, cela lui a été imposé, mais après son succès, l’année suivante, c’est lui qui les a choisis. Devant les Miura, les choses se sont toujours bien passées y compris à Madrid.

Véronique à pieds joints, de Juan Leal au toro n°88 de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

Les toros devant lesquels il se sent le plus a gusto sont ceux de Fuente Ymbro, car ils possèdent un équilibre entre transmission, toréabilité, et possibilité de s’exprimer. Mais il s’entraîne dans une trentaine de ganaderias avec lesquelles il a une relation de confiance réciproque, de Miura à Garcigrande en passant par Cebada Gago, Luis Algarra, ou Torrealta etc.

Estocade de Juan Leal au toro n°62 de Miura, à Bilbao le 26 août 2018. On remarquera que malgré le saut pour enfoncer l’épée, la jambe droite du maestro est toujours en face de la corne droite du toro (même si celui-ci n’a pas suivi la muleta), ce qui prouve qu’il est entré droit dans son estocade. ©JYB archives

Q : L’estocade ?

Le fait de faire un saut en portant l’épée a pu lui jouer quelques tours (il est moins facile de viser la cruz quand on n’a pas les pieds au sol), mais il a retrouvé confiance en équateur où il a très bien tué.

Q : Ses publics préférés : exigeants ou festifs ?

Incontestablement les publics des arènes de première catégorie, aussi parce que c’est en lien avec un toro plus important. Donc : Nîmes, bien sûr, Bilbao, Albacete, Bayonne.

Saltillera de Juan Leal au toro n°155 de Fuente Ymbro, à Bilbao, le 24 août 2019. ©JYB archives

Q : À propos du film d’Albert Serra que pense-t-il des toreros qui parlent des toros en les insultant ?

C’est peut-être la peur ou le soulagement. C’est peut-être une réaction de la cuadrilla qui veut protéger le moral du torero. Les toreros ont tous de l’admiration pour le toro. L’aficionado doit se rendre compte du niveau de danger et de peur et ça excuse surement certains propos du film.

Q : sa temporada 2025 ?

Il est allé en Equateur, retournera au Pérou en juin, à ce stade ont seulement été annoncés ses cartels de Madrid et Arles (Riz), mais il y en aura d’autres, même s’il ne peut pas les dévoiler.

Q : sa relation avec les jeunes ?

Il continuera à rester impliqué auprès des jeunes car ils méritent de se faire leur propre opinion de la tauromachie. Il va de ce fait relancer la Fragua (la forge) où il donnait leur chance à des jeunes d’écoles taurines.

Juan Leal avec l’équipe de Culturaficion, à Paris le 18 mars 2025. ©JYB

Après avoir posé pour la photo souvenir et signé la cape « livre d’or » de Culturaficion, Juan Leal a reçu le très beau livre de Marc Thorel Toreros dans la ville lumière en souvenir de son passage chez Culturaficion.

JY Blouin (texte et photos) https://facealacorne.fr/juan-leal-a-culturaficion/

Le deuxième acte de la Copa Chenel reporté en raison de la météo

Les célébrations de la Coupe Chenel et du Circuit de Madrid prévues ce week-end respectivement à San Martín de Valdeiglesias et Navas del Rey sont reportées en raison des prévisions de fortes pluies.

Le samedi 22 mars devait avoir lieu la célébration de la deuxième phase de qualification de la Coupe Chenel avec Rubén Pinar, Ruiz Muñoz et Alejandro Peñaranda. Les taureaux annoncés appartiennent aux fermes Condessa de Sobral et José Luis Pereda. Une corrida qui aura finalement lieu le dimanche 13 avril, en maintenant son horaire, à 18h00.

En revanche, dimanche aura lieu la novillada de la deuxième phase de qualification du Circuit de Madrid, opposant Julio Méndez et Jairo López, qui débuteront avec les picadors, avec des bouvillons de Torrenueva et El Retamar. Cette corrida aura lieu le vendredi 11 avril à 18h30.

Toute personne ayant acheté son billet pour les festivités pourra le restituer ou l’utiliser lors de la reprise des festivités.

Première de la Copa Chenel: oreille pour Juanito

Valdilecha (Madrid) première de la Copa Chenel, /2 d’arène.

Taureaux de Cerro Longo,

Sergio Flores vuelta et silence,

Juanito vuelta et oreille

Jorge Molina oreille et vuleta.

Villaseca de la Sagra, Damian Castaño en triomphe

Plaza de toros de Villaseca de la Sagra, Toledo. Corrida de toros benéfica en faveur de la Fundación Oncohematología del Hospital Niño Jesús de Madrid. Trois quart. 

Toros de Alcurrucén (1º et 2º), Ana Romero, Rehuelga, Pallarés et El Montecillo; le cinquième de Pallarés, vuelta al ruedo.

 FERNANDO ROBLEÑO, ovation et ovation.

• DAMIÁN CASTAÑO, oreille et oreille.

• MOLINA, ovation et oreille.

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