
Nouveau metier pour Enrique Ponce qui va s’occuper de David de Miranda. Voilà du lourd !
Juan Ruiz Palomares “Hijo” complète cette nouvelle équipe.

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Juan Ruiz Palomares “Hijo” complète cette nouvelle équipe.

Víctor Hernández a choisi Miguel Abellán pour diriger sa carrière à partir de la prochaine saison. Victor Hernández torero a impressionné les arènes de Madrid l’année dernière et c’est un torero à suivre. Il avait remporté la Copa Chenel en 2024.
PAMPELUNE : La Commission Taurine de la Casa de Misericordia de Pampelune a annoncé les élevages qui seront lidiés lors de la Feria del Toro 2026. L’ensemble des élévages de l’an dernier est reconduit : José Escolar, Cebada Gago, Fuente Ymbro, Miura, La Palmosilla, Victoriano del Río et Álvaro Núñez.Pour le rejoneo, toros de El Capea – Carmen Lorenzo, et pour la novillada, les novillos de Pincha.

Après douze jours d’hospitalisation, le torero Guillermo Hermoso de Mendoza a finalement quitté le centre médical ABC de Mexico où il était hospitalisé depuis le 15 novembre, date à laquelle on lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite, c’est-à-dire une inflammation du cerveau et des membranes qui le recouvrent, nécessitant des soins médicaux urgent et immédiats. Le torero avait du mal à parler et était épuisé et déshydraté. Les médecins ont identifié plusieurs zones d’inflammation active dans le cerveau et ont entrepris un traitement intensif comprenant des antibiotiques, des antiviraux et des médicaments par voie intraveineuse afin d’assurer une pénétration optimale dans le système nerveux central.

Par François Zumbiehl, professeur de littérature classique et docteur en anthropologie. Il a été conseiller culturel à l’Ambassade de France en Espagne et directeur adjoint de la Casa de Velázquez à Madrid. Il vit entre le Pays basque et Madrid
Extrait article dans Sud-Ouest
Depuis la fameuse réplique lancée par Cúchares à un acteur qui, assis sur les gradins, lui reprochait vertement son manque de courage – « Ici, Monsieur, on meurt pour de vrai » – la différence entre la fiction du théâtre et la réalité des arènes est devenue un lieu commun. Cette différence ne doit pas faire oublier que le toreo et tout ce qui se produit sur le sable de la piste composent aussi, avec un autre langage que les mots, un art scénique, fait pour toucher le public auquel ils s’adressent. Santiago Martín El Viti, peu suspect de jouer les histrions, disait que le bon torero ne doit pas seulement se préoccuper de toréer et de dominer le taureau, mais aussi de « vendre » ce qu’il est en train de faire, c’est-à-dire de faire en sorte par sa façon de se comporter dans l’arène que les spectateurs captent le sens et l’émotion de chacun de ses gestes.
Tout ce qui survient dans une corrida est réalité, mais aussi représentation. Il est clair ici qu’une représentation n’implique pas une absence de vérité, mais une vérité qui se situe au-delà des apparences physiques, et qui peut se lire grâce à elles. C’est ce que permettent les signes. Ils sont ici innombrables. Certains sont fixés par le protocole : les saluts avant et après le paseo, les brindis, les alternatives, les tours d’honneur (du torero ou de la dépouille du taureau), les sorties en triomphe sous condition selon les arènes… D’autres appartiennent à une liturgie implicite et reconnue : le signe de croix tracé par le pied à l’entrée sur le sable, le baiser de la timbale d’argent avant de se voir remettre la muleta, le bras levé ou tendu vers le taureau pour annoncer et saluer sa mort, la poignée de sable baisée et comme enfouie dans son gousset par le matador triomphant, geste de gratitude et d’adieu pour ceux qui l’ont applaudi… D’autres sont faits pour souligner et indiquer aux spectateurs la tonalité particulière des phases marquantes des prestations : les desplantes (attitudes de défi) pour ponctuer la fin d’une série réussie, avec le plus souvent la brusquerie d’une colère simulée dans ce moment heureux, ; un pan de la veste ouverte avec la main comme une façon de s’offrir à la charge de la bête ; le rictus, de tension et de plaisir, déformant la bouche du torero depuis le prélude jusqu’au terme de la passe (est-il instinctif, convenu ?)…
Avec tous ces gestes nous comprenons qu’en marge du rituel et des figures imposées du répertoire technique et artistique, chaque après-midi de taureau – où surgissent une œuvre et une rencontre entre l’homme et la bête qui ne se retrouveront plus – nous raconte son histoire particulière. Elle vaut la peine qu’on y soit attentif.

ANIMALE est un film que l’on peut voir actuellement sur Canal+ Cinema. C’est un long-métrage écrit et réalisé par Emma Benestan en 2024. Animale raconte l’histoire de Nejma qui s’entraîne dur pour réaliser son rêve et remporter la prochaine course camarguaise. Un concours où l’on défie les taureaux dans l’arène. Mais, alors que la saison bat son plein, des disparitions suspectes inquiètent les habitants. Très vite, la rumeur se propage : une bête sauvage rôde…
On suit donc Nejma, une jeune femme qui s’occupe, avec quatre autres jeunes, de taureaux de courses camarguaises. Alors qu’elle vient de faire sa première course – une première pour une femme dans l’arène de son secteur – et fête ça avec ses amis, elle va se réveiller « changée ». Au cours de son enquête, qui la mènera à la limite du fantastique, elle va découvrir ce qui lui est arrivé lors de cette nuit fatidique. Le scénario explore plusieurs genres de films et on se prend au récit qui nous est conté. L’image, le son et la réalisation sont superbes. Un Western qui plonge dans le fantastique. On peut parler de Taureau-Garou ?

Les rencontres des Cultures Taurines organisées par le Cercle Taurin « Le Trident » de Castries c’est le 31 janvier et le 1er février 2026 en partenariat avec la Ville de Castries, la FFCC, la FFCL et l’UCT.
Ces rencontres existent depuis 2008 et regroupent des projections de films et de diaporamas sur les tauromachies camarguaise, espagnole et landaise, mais aussi des rencontres avec des auteurs, des écrivains, des passionnés, une exposition et les animations virtuelles et immersives proposées par la FFCC. Entrée libre.

José María Garzón est le nouvel empresario de la Real Maestranza de Caballería de Séville. C’est ce qu’a annoncé la Maestranza Royale de Caballería de Séville dans une brève déclaration dans laquelle elle officialise l’accord pour les cinq prochaines années.
José María Garzón devient ainsi le deuxième homme d’affaires de la Real Maestranza de Caballería de Séville et met fin à près de cent ans de gestion par l’entreprise Pagés.
José María Garzón est également l’actuel homme d’affaires des plazas de Cordoue et de Santander, gérant au cours de ces années de grands succès d’arènes comme Málaga, Almería, Grenade, El Puerto ou Cáceres, entre autres.
Garzón a crée Lances de Futuro en 2006 et s’est depuis imposé comme un empresario qui a su prendre le pouls des villes où il gérait ses places. Il a été l’apoderado de Paco Ureña, Diego Silveti, José Garrido, Joaquín Galdós et est actuellement de Juan Ortega.

Depuis qu’il s’est expatrié en Andalousie et qu’il s’est inscrit à l’école taurine « Rafael Ortega » de San Fernando, le jeune Rémy Asencio est parvenu à s’organiser afin de pouvoir vivre pleinement sa passion entre entrainements et tentaderos, avec actuellement en ligne de mire Algar, une coquette commune de la province de Cadix.

Rémy sera dimanche 30 novembre au cartel de la finale des becerristas, en habit de lumières, avec comme cerise sur le gâteau la présence de Canal Sur pour une retransmission télévisée en direct à partir de 17h30
Paul Hermé. torofiesta

Guadalajara, Jal.- Plaza « Nuevo Progreso ». Corrida de toros. 1/2 arène.
Toros de Los Encinos.
Diego Silveti (obispo y oro): Ovation et silence
Juan Ortega (grana y oro): Vuelta et oreille. Un récital de torería et d’art en particulier avec son second toro brindé à Cesar Rincon.
Diego San Román (burdeos y oro): Ovation et silence.

Aguascalientes, Ags.- Plaza monumental. Corrida du 51 anniversaire la plaza. Trois quart d’entrée.
Toros de Villacarmela.
Andrés Roca Rey (tabaco y oro): Ovation après avis et pitos.
Luis David (negro y oro): Silence et pitos.
Bruno Aloi (blanco y oro) qui renait l’aternative: Ovation et ovation.
Bruno Aloi a pris l’alternative avec le toro « Aniversario » numéroso 540, cárdeno bragado, de 498 kilos.
Francisco Montero Schneider et né le 23 mars 1992 à Chiclana de la Frontera (Cadiz). Il a débuté en novillada piquée le 27 août 2017 à Sepulveda. Il a pris l’alternative le 24 juillet 2022 à Orthez face aux toros de Monteviejo (2ème fer de Victorino Martin) avec pour parrain Octavio Chacon et comme témoin Sergio Flores (une corrida historique pour sa qualité). Il est revenu aux arènes du Pesqué et cette année, il a coupé l’oreille du meilleur toro de la temporada du sud-ouest: le sixième de Dolorés Aguirre. C’est un torero au chemin atypique qui s’est fait « à l’ancienne », hors des écoles taurines, en se distinguant dans les capeas de villages et qui a vécu l’expérience des maletillas qui allaient de villages et villages chercher la gloire. Marginal dans le milieu taurin, il fait son chemin sans l’appui des « grandes maisons ». Son aficion immense, son courage qui ne l’est pas moins et son originalité lui ont fait beaucoup d’amis qui lui tendent des mains fraternelles (françaises notamment), pour qu’il puisse réaliser sa vocation.
Le 14 août 2025, il se trouvait à Cenicientos. Son passage de l’ombre à la lumière a été observé par Philippe Gil Mir. Corrida de toros de Sobral pour Gómez del Pilar, Francisco Montero et Diego García


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