Mois : mai 2024 Page 8 sur 14

Les ganaderias pour Bouillargues

La Peña Taurina “La Embestida” de Bouilllargues est heureuse de vous communiquer le élevages retenues pour sa 12ème Novillada Sin caballos qui aura lieu le samedi 12 octobre  à 16h30… 

Fidèle à sa ligne de conduite, les novillos proviendront de six élevages français. 

Les Ganaderías retenues sont : 

Héritiers de François ANDRÉ

FERNAY y Sus Hijas 

TURQUAY 

Roland et Rafi DURAND (Vainqueur 2023)

Alain et Frédérique TARDIEU 

Jacques GIRAUD 

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Comme il est de tradition, cette novillada sera le point d’orgue d’une journée taurine complète articulée autour d’une Capea pour les écoles taurines, un grand repas, ainsi qu’une soirée Bodega.

Le programme complet de la journée, ainsi que les noms des trois novilleros, sera dévoilé au cours de la temporada. 

Ouverture de la taquilla pour Céret de Toros 2024…

L’A.D.A.C. vous informe que la taquilla est ouverte pour :

– La rénovation des abonnements

– La vente de nouveaux abonnements

– La vente de places seules

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Nous vous accueillons au siège, 5 rue Onuphre Tarris – 64000 CÉRET ou par téléphone au 04 68 87 47 47 :

Du lundi au vendredi de 10 heures à 12 heures et de 16 heures à 19 heures,

le samedi de 10 heures à 12 heures

Vous pouvez également acheter vos entrées en ligne sur notre site : https://www.ceret-de-toros.com/taquilla-billetterie-2024/

30 ans du Poulpe

Les élevages de la feria de Vic présentés par le président Cabannes

Dédé Cabannes, président du CTV place beaucoup d’espoirs dans les Dolores Aguirre Ybarra. Photo DDM.

Depuis quelques heures, l’essentiel des toros de la feria de Petecôte à Vic sont dans les corrales de l’arène Joseph Fourniols. La novillada de Raso de Portillo attendra l’ouverture de la feria le samedi 19 mai à 11 heures dans les installation d’Eauze. Pour beaucoup de vicois avec cette présence, Pentecôte a déjà commencé. Pour André Cabannes, président du Club taurin vicois (CTV), la grande attente se poursuit avec ce souhait de faire mieux que le grand cru que fut l’édition 2023.

Il y a dans cette programmation quelques paris. L’un des premiers, la présence des toro des Hijos de Celestino Cuadri. Dédé Cabannes s’explique « Je sais que mettre à l’affiche les toros de Cuadri est un risque. Mais quand nous étions à Trigueros sur la finca, on nous a présenté deux magnifique lots, un de quatre ans l’autre de cinq ans. Vous avez la priorité, celui que vous ne prendrez pas ira à Madrid. Le 24 mars, à Las Ventas, les Cuadri furent très présents, laissant une oreille à Antonio Ferrera… Si nous retrouvons cette conjoncture à Vic, on ne pourra pas se plaindre… ».

Il y a aussi dans les corrales, florilège de cornes, ces toros qui font peur à beaucoup de matadores, les Dolores Aguirre Ybarra. Le président du CTV met aussi beaucoup d’espoir dans cette course « Il y a quelques jours j’étais à Guadalix de la Sierra, dans cette nouvelle feria aux portes de Madrid j’ai vu la course de Dolores avec les frères de nos toros. On ne peut que souhaiter que cela sorte pareil à Vic. C’est très encourageant… » Il faut ajouter que cet élevage est’ actuellement une valeur sûre du monde taurin. En outre le chef de lidia en ce dimanche 19 mai, Alberto Lamelas est désormais un habitué de l’arène où il a connu divers succès. Un gage supplémentaire de l’intérêt de cette course.

La journée aura commencé, avec en fin de matinée la traditionnelle corrida concours. C’est un bouquet des meilleurs fers historique, Palha, Prieto de la Cal, Conde de la Corte ou Veiga Teixera. « Cette course, poursuit le président, est un des plats de choix de la feria. Elle va être rehaussée par la présence d’un jeune torero, Juan de Castilla, il a insisté pour affronter le Prieto de la Cal avant de défiler, sept heure plus tard à Madrid pour tuer deux Miura. Nous lui avons proposé d’organiser sa venue à Vic différemment. Il a refusé, insistant pour toréer le Prieto… » Un exploit que Juan de Castilla pourra signer en prenant un avion à Auch, après avoir quitté Vic.

Le lundi 20 mai, la feria se terminera avec une corrida de Los Maños, arrivée directement de Sarragosse sur le coup de midi. La course sera marquée par la présence de Roman qui après une bonne feria de Valence vient de s’offrir l’oreille d’un difficile Fuente Ymbro le 11 mai dernier lors de la San Isidro de Madrid. Roman est un des représentant de ces nouveaux ou jeunes torero que la feria de Gascogne veut faire connaître aux aficionados comme Luis Gerpe, Juan de Castilla ou encore Esau Fernandez qui gracia, un jour, un Victorino Martin.

Précisons que la feria comporte aussi, le lundi matin, une novillada sans picador de l’élevage gersois du Lartet (Jérôme Bonnet), avec le vainqueur de Bougue, Pedro Rufo (le frère de Tomas), Bruno Martinez et Juan de Morena.

Jean Michel Dussol

Les cartels de la feria

Samedi 18 mai, 11 heures, novillada de Raso de Portillo pour, Alvaro Seseña, El Melli et Jesus de la Calzada.

18 heures, six toros des fils de Celestino Cuadri Vides pour Fernando Robleño, Esau Fernandez et Gomez del Pilar.

Dimanche 19 mai, 11 heures, corrida concours avec par ordre d’ancienneté, Saltillo, Palha, Prieto de la Cal, Veiga Teixera, Conde de la Corte, Pages Mailhan pour Sanchez Vara, Octavio Chacon et Juan de Castilla.

Florilège de cornes avec les Dolores Aguirre. Photo DDM.

18 heures, six toros de Dolores Aguirre pour Alberto Lamelas, Damian Castaño et Luis Gerpe.

Lundi 20 mai, 11 heures, novillada non piquée du Lartet pour Bruno Martinez, Juan de Morena et Pedro Rufo, le vainqueur du bolsin de Bougue.

17 heures, six toros de Los Maños pour Morenito de Aranda, Roman et El Rafi.

Des Montealto décevants et Samuel Navalon interessant pour la novillada piquée de Las Ventas

Troisieme novillada piquée de la San Isidro 2024 pour Diego Bastos et Samuel Navalon que nous avons vu régulièrement dans les arènes en France et Nek romero que nous avons vu lors des Fallas 2024.

Président D IGNACIO SANJUAN RODRIGUEZ

Diego Bastos : Silence et silence

Nek Romero : silence et avis / salut au tiers

Samuel Navalon : vuelta / deux avis et silence

Le lot de la Ganaderia Montealto est sérieux en trapio avec des des comportements décevants. Le troisième et le cinquième auraient permis de couper des oreilles.

Diego Bastos engage quelques séries à la cape pas très appuyées. Lors du quite  avec Nek romero Diego bastos exécute de belle façon deux gaonera.

Sous le vent le novillero exécute des statuaires.Les premières séries à droite agréables sous les encouragements du public Le novillo ayant réellement une charge plus courte. Il se fait désarmer sur la première naturelle sur le fait qu’il n’allonge pas son bras pour finir le point d’interrogation. Il recommence sur des derechazos sans profondeur ni inspiration poétique dans la construction. L’engagement à l’épée est intense, mais elle contraire et légèrement caida.

Le quatrieme novillo est assez fuyard et brusque dans sa charge. Il a un manque de caste. Avec douceur, le novillero entame ses véroniques. La faena s’ouvre par des doblones. Il finit par une trinchera, ses premières liaisons à droite sont sans conviction. Les naturelles sont propres, mais sans émotions. Il finit sa faena par des manoletinas et récolte quelques applaudissements.

Nek romero

Le comportement du second novillo est à peine mieux. Le novillo embiste plus que le précédent dans la cape de Nek Romero. Le public apprécie les genoux flexions du novillero. Le toro freine dans le peto et donne des coups de tête à défaut de pousser davantage. Le vent se renforce Nek commence par des doblones et reste le long des planches. Le public attentif apprécie les premières derechazo. Le novillo est plus compliqué sur les naturelles De nouveau à droite le toro ne répond pas aussi bien aux multiples sollicitations qu’au début de la faena. La faena va menos.  Pinchazo puis un quart d’épée avant que l’avis ne tombe et l’utilisation efficace du descabello.

Le cinquième novillo avec un piton gauche pas droit. Le novillero l’accueille par des rodillas. Au cheval le novillo charge correctement sans pousser. Sur le quite Samuel Navalon realise de jolies chicuelinas. Joli tiers de banderilles avec le banderillero Víctor del Pozo qui est applaudi chaleureusement. La faena commence prêt des planches et avec domination sur le novillo. Il n’insiste pas sur les naturelles. La lidia va à mas. L’entrée à matar est totale. L’épée est bien placée. Le novillero semble s’être blessé lors de l’engagement alors que le toro tombe rapidement. Le toro est applaudi à l’arrastre.

Samuel Navalon

Le troisième novillo embiste bien dans les véroniques de Samuel Navalon. Le novillero est plus sérieux à la cape que lors du quite sur le précédent toro. Plein centre le novillero attaque à genoux la faena. Ses premiers derechazos manquent de douceur, mais il y a de la profondeur. Malgré le vent? les naturelles sont agréables et le public le fait savoir. La charge courte du toro n’empêche pas Samuel Navalon d’exprimer de l’alégria dans ses dernières liaisons à droite. Il finit sa faena à mas avec des bernadinas avant de placer le toro pour le tuer. L’épée est tracera . Le novillo s’effondre assez rapidement. La pétition est forte, mais le président résiste. Il subit une bronca du public.

Sur le dernier novillo Samuel Navalon est déterminé a couper l’oreille. Il accueille le toro à puerta Gayola de façon limpia. Le castano embiste bien à droite comme à gauche. Le toro rentre violemment dans le cheval sans forcément pousser fort. La seconde charge est identique. Il sort tout seul du cheval. Il commence la faena par des statuaires. A peine au dela des lignes, la première série à droite est bien et la suivante est à mas. Le novillo ne répond plus à la sollicitation sur les naturelles. Le public applaudit la volonté du novillero. C’est sur un pinchazo, deux avis et trois tentatives que se conclut cette novillada.

Resena E.M

10 ans après… réouverture de Marbella

10 ans après, retour des toros à Marbella le 8 juin prochain avec un cartelazo. L’arène est gérée désormais par Raúl Gracia “El Tato” dirigeant de Arenal Marbella Toros, avec Fermín Bohorquez et Jorge Cutiño, membres de la empresa où l’on trouve  Fermín et Iván Bohórquez, Miguel Báez ‘Litri’, José María Pacheco associés.

Trophée Nimeño II

Un prix très attrayant pour le vainqueur de Trophée Nimeño II qui sera disputé le samedi 18 mai au matin dans les arènes de Nîmes…

En effet, le jeune torero qui sera désigné vainqueur par le jury se verra offrir par le Centre Français de Tauromachie le traditionnel stage de formation intensive d’une semaine au Campo Charro, avec hébergement et participation à des tientas et toros en privé.

valentin14k

Beaucaire 1er concours mondial de cuadrilla

Le casino municipal affichait, en ce vendredi 10 mai, une affluence digne des grands jours. Dès l’annonce de la feria de 2 desafios d’encaste, il y avait un engouement particulier pour cet événement. Cette soirée nous l’a confirmé.

Après les sorteos exécutés par les maestros BOUIX, BOURRET et MECA nous avons reçu le Prix Jean Louis FOURQUET de la meilleure novillada en France en 2023.

Clément HARGOUS et Jean Luc COUTURIER étaient présent.

Il manquait bien évidement Fabrice TORRITO retenu pour l’embarquement de la corrida del MOLAR le lendemain. Ses relations avec la ville de Beaucaire sont de longues dates

Un grand merci à la ville pour la mise à disposition du Casino, la présence du Maire, aux maestros, aux aficionados et à tous les présents d’avoir fait le déplacement. a noter les débuts en piquée de Clément Hargous le torero du Pont de la Maye qui voit sa persévérance récompensée et la présence de l’excellent banderillero Julien Breton “Merenciano” a l’aficion tremenda ainsi que que celle d’ “El Chino”.

Rendez vous les 27 et 28 Juillet 2024

Location a partir du 1 er Juillet au

07 67 60 89 12

MARISCAL RUIZ HEROIQUE VAINQUEUR DES NOVILLADAS D’ANDALOUSIE



Mariscal Ruiz a dominé de la tête et des épaules la finale des novilladas piquées d’Andalousie dans le superbe cadre de la Real Maestranza de Cabaleria de Séville. La place sévillane était pleine au deux tiers malgré la retransmission télévisée et en soi cela est déjà un bon succès.

Six novillos de Firmin Bohorquez dont la présentation aurait fait pâlir plusieurs plazas pour leurs courses de toros, très inégaux de jeu et de caractère pour :

El Mella petite ovation après avis et silence après avis
Xavier Zulueta silence et silence après avis
Mariscal Ruiz une oreille et forte ovation saluée

El Mella touche un premier novillo qui se révélera particulièrement soso tout au long de la lidia. Une soseria qui s’accompagnera d’une certaine faiblesse et jamais le jeune torero malgré ses efforts ne parviendra à élever le débat. La faena est souvent accrochée et désordonnée laissant toutefois quelques bons détails. Un avis sonnera entre une entière tendue et en arrière et deux tentatives de descabellos avant que le toro ne s’agenouille seul.


A son second le jeune extremeño tentera tout : de la série de largas et faroles à genoux devant la porte des torils qui font se lever le public jusque à une entame de faena assis sur l’estribo. Mais les choses en restèrent là. Certes le novillo était un peu compliqué et demandait de l’attention et de la fermeté ce qui a le plus manqué. La faena a été à menos le novillo finissant par se décomposer totalement dans un combat désordonné de la part des deux protagonistes. La mise à mort fut laborieuse.


Xavier Zulueta est à domicile, fils et frère des alguazils de la Real Maestranza , il brindera le premier à sa sœur qui officie en callejon. Ce geste fraternel sera le mieux avec ce premier qui se muera bien vite en la statue du commandeur parfaitement intoréable. Zulueta laissera cependant quelques beaux détails dans sa manière très sévillane. L’estocade est sans discutions mais ne suffit pas à réveiller le public.


A son second Zulueta laissera quelques belles véroniques bien templées. Bien mal servi par le sortéo, le sévillan hérite d’un animal qui proteste systématiquement en sortie de passes et manque totalement de caste. Son travail est méritoire et démontre une belle élégance mais le novillo refuse de se livrer et comme de plus la mise à mort est compliquée cela finira dans le silence.


Mariscal Ruiz est le plus jeune des trois et certainement le plus chanceux puisqu’il héritera en premier lieu du meilleur novillo de la soirée. L’animal a du moteur et de la caste et se montrera rapidement un excellent collaborateur. Cet autre sévillan est aussi un bon banderillero et il se chargera avec art et réussite du second tiers à ses deux opposants. Le novillo qui a du rythme s’accordera très vite à celui que lui impose Mariscal qui torée de face avec fermeté et temple. L’accord est parfait et la faena s’élève pour culminer dans la suerte suprême parfaitement exécutée. L’oreille est plus que méritée.

A son second Mariscal Ruiz passant en dernier sait qu’il a gagné mais le jeune homme a son orgueil et c’est à la porte du toril qu’il ira chercher son adversaire. L’animal est nettement moins commode que le précédent. Qu’à cela ne tienne, après avoir brindé à ses compagnons de cartel, Mariscal s’attelle à la tâche dans son style très vertical et templé. Finissant par soumettre le novillo à droite, il passe à gauche et là aussi impose sa loi et sa vitesse à l’animal. En sortie de passe de poitrine il est violemment pris par le novillo qui l’a vu, heureusement sans mal, et il revient pantalon vaguement rafistolé. Mariscal Ruiz aurait pu en rester là, le novillo était avisé et il aurait pu le tuer et personne ne lui en aurait voulu, mais non il reprend un combat héroïque jusqu’à se faire prendre à nouveau en sortie de sa troisième manoletina finale dans une série particulièrement exposée. La voltereta est spectaculaire mais sans trop de dommages. La mise à mort se fera en deux temps et le privera d’un nouveau trophée mais pas de l’ovation vibrante de Séville et bien sûr du gain sans discutions du concours.

Jean Dupin

Important triomphe de De Justo à Valladolid

Plaza de toros de Valladolid. Lleno. Toros de Garcigrande (6º bis) et Domingo Hernández (1º).

MORANTE DE LA PUEBLA, silence et oreille. 

EMILIO DE JUSTO, oreille et deux vueltas al ruedo et deux oreilles. 

Andrés ROCA REY, ovation et ovation.

  

Plaza de toros de Yecla, Murcie. Mano a mano. Toros de Adolfo Martín, sixième vuelta al ruedo.

RAFAELILLO, oreille, silence et ovation

ANTONIO PUERTA, oreille, vuelta al ruedo et deux oreilles

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