Mois : août 2024 Page 1 sur 18

Bayonne samedi : deux oreilles à la corrida de l’opportunité

Christian Parejo

Bayonne. Deuxième corrida de la feria de l’Atlantique, trois quarts d’arène, soleil, nuages et petite pluie à 19 heures 36, deux heures quarante de spectacle. Sept toros de Castillejo de Huebra, le cinquième changé pour boiterie, par un toro du même fer. Un lot lourd, bien armé malheureusement un peu faible pour quelques uns. Tous deux piques reçues avec une honnête bravoure. Tous toréables à la muleta deux ou trois plus difficiles.

Christian Parejo
Carlos Olsina
José Fernando Molina
Manuel Diosleguarde
Juan de Castilla
Calerito

Juan de Castilla (vert et or), au premier, très veleto, une entière, quatre descabellos avis, vuelta.

Carlos Olsina (tabac brun et or), au deuxième,autre veleto, un pinchazo, trois quarts de lame, silence.

Manuel Diosleguarde (vert et or), au troisième, une entière, applaudissements, salut du callejon.

José Fernando Molina (blanc et or), au quatrième, une entière, une oreille.

Calerito (bleu marine foncé et or), au cinquième, une entière et deux descabellos, salut.

Christian Parejo (gris très clair et or), au dernier, un autre veleto, une entière, une oreille.

Six toreros pour autant de toros, une formule, tout de même un peu ingrate pour ces maestro qui n’occupent pas le haut de l’escalafon. Pour certains une opportunité, mais difficile à saisir. Impossible de se rattraper… Il faut être parfait du début à la fin. On souhaite vraiment que les deux oreilles coupées soient bénéfiques pour José Fernando Molina et Christian Parejo. Cette course que l’on peut qualifier de l’opportunité s’est ouverte avec un Colombien courageux qui a beaucoup de mérites, Juan de Castilla.

Il affronte plus régulièrement des Dolores Aguirre, des Victorino ou des Miura que de Castillejo de Huebra, mais il s’est rapidement trouvé très à l’aise face à un veleto à crever les nuages mais de petite force. Juan de Castilla lui a servi quelques véroniques et à la muleta une série exemplaire, de naturelles par leur temple et leur lenteur et toujours des pechos de sortie spectaculaires. Final en manoletinas à genoux, mais échec à l’acier, tout de même un tour très applaudi.

Carlos Olsina, le faux espagnol de Béziers, après quelques véroniques débute sa faena de façon très classique avec des muletazos, sur les deux mains de très belle élégance. Jusqu’au bout il se battra pour tirer le maximum de ce toro sans force. Un bel effort mal récompensé.

Manuel Diosleguarde, immobile, les deux pieds figés dans le sol commence ainsi sa faena avant d’entraîner son adversaire au centre pour une série de naturelles, de rigueur et précision.

Arrivé en substitution, José Fernando Molina est venu pour gagner, même s’il échoue à la cape qui termine en lambeaux, il jouera une muleta basse et lente pour de longues séries de naturelles, toutes très applaudies et portées par le public. Dans cet ensemble il distille, en outre, quelques trincheras, on est au cœur de la tauromachie. La première oreille.

Calerito lui succède avec une immense envie, mais il se heurte rapidement à un toro faible. Il sera changé, devra le tuer, mais toujours la volonté de gagner il repart pour une porta gayola pour accueillir son adversaire changé. Un sale type que cet Aperador, bronco et assassin à souhait. Calerito se jouera la vie plusieurs fois, mais parviendra à s’imposer sur la corne gauche. La pluie arrive pour sa fin de faena et l’acier le trahit. Dommmage !

On terminera dans un excellent registre avec Christina Pajero, le chiclamero, étudiant bitterois, Il commencera sa faena près des planches, lutte sur la main gauche, encouragé par la musique et accompagné du public. Une faena compliquée avec un toro qui l’avise plusieurs fois. Mais Parejo s’en tire parfaitement et signe une grande estocade. Le deuxième vainqueur de cette opportunité est là. Voilà de quoi réjouir Francis Andreu venu à Bayonne soutenir son ami torero.

Une corrida qui a tenu ses promesses.

Jean-Michel DUSSOL

photos Bertrand Caritey

Palencia, Almazan, Calahora, Sans Sebastian de los Reyes

Plaza de toros de Palencia, Castilla y León. 3/4 d’arène sous des trombes d’eau.

 Toros de José Vázquez. 

MORANTE DE LA PUEBLA, oreille et silence. 

ALEJANDRO TALAVANTE, palmas et ovation. 

JUAN ORTEGA, palmas et oreille. 

Le banderillero Curro Javier a salué au 1er. 

Plaza de toros de Almazán, Soria. 

Toros de Domínguez Camacho, 

DIEGO URDIALES, oreille et silence. 

PACO UREÑA, oreilel et oreille. 

PABLO ATIENZA, qui prenait l’alternative deux oreilles et silence. 

Le banderillero Agustín de Espartinas a salué au cinquième.

 

Photo M. Huertas

Calahorra (La Rioja)

Toros de Toros del Ojailén y Javier Gallego

M A Perera oreille et palmas,

Cayetano_Rivera ovation et bronca,

Daniel Luque oreille et pétition et deux oreilles

San Sebastián de los Reyes (Madrid).

Toros de Zalduendo

Sebastián Castella, oreille et deux oreilles

José María Manzanares, oreille et oreille

Roca Rey, deux oreilles et oreille après avis

Bayonne, novillada : Triomphe de Chicharro et Pedro Luis

photo Bruno Lasnier

Bayonne. Novillada matinale, petite entrée, deux heures trente de spectacle, soleil et température agréable. Six novillos de Fernay, origine Jandilla, un lot sans excès de poids, armé plutôt discrètement, tous deux piques, certaines pour le règlement. Tous toréables à la muleta sans difficultés majeures. Les un deux trois et cinq faibles.

Lalo de Maria (bleu roi et or), au premier, une entière, sept descabellos, avis, silence ; au quatrième, une entière, une oreille.

Alejandro Chicharro (bleu violine et or), au deuxième, une entière, une oreille, au cinquième, une entière, une oreille.

Pedro Luis (blanc et or), au troisième, trois pinchazos, une entière, salut ; au dernier, une entière deux oreilles.

Incidences. Marco Leal banderillero de la cuadrilla de Lalo de Maria salue au quatrième toro. Chicharro et Pedro Luis sont sortis en triomphe. Pedro Luis emporte le prix du meilleur quite décerné par la peña Cote Basque

Seul « El Lalo de Maria” n‘aura pas partagé la sortie en triomphe des arènes de Bayonne à l’issue de la novillada. Un manque de chance , mais aussi d’un peu d’audace de sa part. Il avait ouvert la course avec un novillo plutôt petit, faible et mal armé. Mais il compensait par une tauromachie très douce en véroniques et demi-passe. Par la suite rien ne fut facile car l’adversaire, après la passe fuyait aux planches. « Lalo de Maria » fut plus agressif à sa seconde apparition.

A la cape véronique genoux pliés et grande voile. Il poursuivra par des passes de châtiments pour arriver à des séries, sur les deux mains, de quatre ou cinq muletazos et un pecho spectaculaire. Des ronds complets pour en terminer, le novillero s’est alors montré parfaitment maître de son art. Le final fut à la hauteur de cette excellente faena.

Alejandro Chicharro n’est pas un laborieux de la cape. On remarquera toutefois avec son premier adversaire, quelques véroniques bien dessinées. La faena qui suivit est séduisante car le garçon implique tout son corps, dans ces passes sur les deux mains, où la muleta très basse avance avec lenteur. En outre Alejandro pèse sur le toro. A son retour il dévoilera un style grandiose dans ses trincheras… mais il est souvent obligé de se replacer après chaque figure. En fait il mettra longtemps à trouver la bonne distance… mais dès lors ce sont deux séries parfaites, en rythme et temple qu’il réalise avant de tuer avec efficacité.

Le Péruvien Pedro Luis complétait le cartel, démangé par des envies de triomphe. Les deux fois il alla attendre ses adversaires à porta Gayola. Un premier essai sans trop de réussite, mais ensuite il put enchaîne sa figure par un tercio de véroniques parsemé de quelques chicuelinas. Si dans son premier combat il avait mêlée, le classique et le baroque, toujours au centre de la piste, parf contre il allait être plus posé dans la suite. Chaque fois des séries assez courtes mais remate par un excellent pecho. Pedro Luis afficha une réelle sérénité sur la main gauche avant de terminer par un magistral coup de rapière… Les deux oreilles étaient à la pointe de l’épée et il ne les laissa pas s’envoler.

Jean-Michel DUSSOL

photos de Bruno Lasnier

Bayonne 30 Août 2024 : Luque en triomphe

photo Bruno Lasnier

Les finesses de Talavante et Mora

Bayonne. Feria de l’Atlantique, première corrida, couleurs et costumes goyesques pour tous et sable bleu. Deux tiers d’arène, température agréable, puis fraîche, ciel dégagé au début s’obscurcissant de brume au fil des minutes, deux heures trente de spectacle. Six toros de Garcigrande, bien présentés, armures adaptées au cartel, de 506 à 546 kilos chez l’éleveur, tous deux piques prises avec une honnête bravoure, toréables à la muleta.

Alejandro Talavante (blanc et azabache), au premier, un pinchazo, une demi lame, un descabello, sifflets et silence ; au quatrième, un pinchazo, une entière, une oreille.

Daniel Luque (rioja et azabache), au deuxième, une entière, une oreille ; au cinquième, un pinchazo, trois quarts de lame, avis, une oreille, sortie en triomphe.

Alejandro Mora (rose et azabache) au troisième, une entière, une oreille ; au dernier, une demie lame, salut et ovation, légère pétition d’oreille.

Présidence Christophe Robin, assesseurs, Thierry Noël et Stéphanie Bonnein Cañada.

Le bleu de l’arène ne répondait pas toujours à celui que l’on aurait pu espérer du ciel. Peu importe, nous étions quelques curieux à nous souvenir du neveu de Juan Mora, qui pour son alternative, sur ce même sable avait coupé deux oreilles. Alejandro le neveu n’a pas toute la sensibilité du tonton… mais avec son premier toro il nous a ouvert la grande porte du rêve. Un somptueuse demi lors des quites et déjà beaucoup était dit, mais lors de la faena avec une première passe à genoux suivie d’une longue série de naturelles, il gagnait le centre de la piste et immobile, pieds plantés dans le sable il allait enchaîner sur les deux mains pendant quelques minutes. Une muleta basse qui caressait le sable, qui se mouvait avec lenteur, tout n’était que finesse et temple dans ces interminables séries sur les deux mains. Un immense moment de tauromachie ponctué d’un grand coup d’épée. On attendait le nirvana pour le second toro. Malheureusement Alejandro Mora, malgré tous ses efforts ne put retrouver sa profondeur du début… Sa muleta fut souvent accrochée , le duende si volatile s’était évanoui.

Chef de lidia, Alejandro Talavante, intrigua son public avec son premier toro qu’il ne voulut pas voir et expédia après quelques passes par une mise à mort interminable qui s’acheva dans les sifflets et le silence. Par contre on retrouva un garçon transfiguré avec son deuxième adversaire, accueilli par deux faroles suivis de véroniques et chicuelinas dessinées au centre de la piste. La faena s’ouvrit à genoux entre passes changées dans le dos, derechazos et naturelles. Puis apparut le grand Talavante, au centre du ruedo, droit comme un « i », le corps relâché, et la muleta balayant sur les deux mains avec lenteur. Temple et harmonie, Talavante approchait du meilleur…

Daniel Luque ne perd jamais une occasion de gagner un trophée. Il paraissait toréer avec classicisme, mais ses derechazos très bas faisait humilier son premier adversaire, auparavant, par de longues séries, il s’était imposé et construisait sa domination. Un exemple. La seconde apparition fut totalement différente. Un début tiré des meilleures pages du classicisme, changements de mains, trincheras le tout au centre en ouvrant des rondes infernales… et soudain Luque s’immobilise devant le toro, entre les cornes, la muleta se balance, c’est un peu le jeu de la vie et de la mort, on croit revoir certaines statiques de José Tomas. Et la fanea se termine avec une figure profondément trémendiste. Est-ce le nouveau Luque ? Une deuxième oreille pour terminer par une sortie en triomphe.

Jean-Michel Dussol

photos Bertrand Caritey

Saint Gilles, adieux heureux de Thomas Joubert

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L’émotion est surtout venue de la retirada de Thomas Joubert…Temps chaud, arènes pleines. Toros de Rocío de la Cámara (le 4bis et le 6 du Cortijo de la Sierra -même élevage-) formant un lot deslucido, mansos certains et faibles pour la plupart. Deux d’entre eux ont été renvoyés aux corrales pour manque de forces, le 4 bis du même élevage et le 5bis par un Gallon.
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Au paseo, Carmen interprété par Frédéric Cornille. Avant que ne sorte le premier toro, Marseillaise puis saluts en piste des trois toreros.Thomas Joubert : saluts puis deux oreilles.Andrés Roca Rey : silence et palmitas.Adriano : saluts et silence. Cette corrida très attendue, l’entrée en attestait, n’a pas hélas tenu toutes ses promesses principalement par la faute d’un lot dont on attendait plus. Et mieux. Relation de cause à effet, la plupart des combats ont pêché par manque d’émotion, voire d’alegría.Elle avait aussi la particularité d’avoir dans un premier temps tourné autour du numero uno Andrés Roca Rey, mais curieusement, l’intérêt a pris de l’ampleur quelques jours avant à peine avec l’annonce de Thomas Joubert déclarant qu’il se retirerait définitivement à l’issue de cette course ! Un rebondissement qui en a accentué l’attrait, sans oublier la participation d’Adrien Salenc « Adriano » que l’on avait perdu l’habitude de voir par chez nous…

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Thomas Joubert a attaqué avec un Rocío qui a rapidement étalé sa mansedumbre. Après un bon second tercio à charge de Marcou Romero et El Chino applaudis, Thomas a instrumenté une faena entrecoupée de gestes méritoires au son du Concerto d’Aranjuez, sans que le tout soit totalement abouti, par manque de caste de son opposant. Mort en trois temps. Le quatrième a eu un drôle de comportement d’emblée, allant lécher le sable à plusieurs reprises, ce qui a contraint le palco à sortir le mouchoir vert.  Sortit alors un castaño bizco du même élevage, mais estampillé Cortijo de la Sierra, qui poussa sur l’unique assaut.tj30brind

Pour ce dernier combat, Thomas brinda au public puis à sa compagne et sa fille. La faena comprit alors plusieurs mouvements de bonne note au son de la Concha Flamenca, un trasteo visiblement dans le corte et le concept de son créateur, soutenu à fond par un conclave tout acquis à sa cause, comme c’est le plus souvent le cas en pareille circonstance. Certainement le moment tauromachique le plus sympathique et émouvant de la course ! Et comme colofón, avec une gestuelle en posture de réaliser une dernière série sous forme de cartucho de pescao, il réussit en définitive un recibir qui lui valut deux trophées. Olé, Maestro ! S’ensuivirent oreilles en mains, mais aussi avec les castoreños de ses deux piqueros, deux vueltas chaleureusement fêtées… entrecoupées par l’entrée en piste d’Alain Montcouquiol, ciseaux en mains, qui lui coupa la coleta… Plus tard, alors qu’il aurait pu prétendre à une ultime sortie a hombros, Thomas sortira à pied avec sa cuadrilla, un geste fort d’humilité qui lui correspondait totalement. A pieds, certes, mais sous une colossale ovation de retirada qui comptera dans l’histoire taurine de Saint-Gilles…
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Andrés Roca Rey enfile les contrats comme d’autres les perles ! Ce jour, il n’a pas vraiment eu de quoi enflammer le cirque. Son premier ne redoublait pas de forces et dès lors, son combat a manqué de saveur, le Péruvien n’insistant guère, finissant par entière au second envoi. Le quinto sortit avec fougue sur 10m… puis s’affala de tout son long ! Du rarement vu. Il a été remplacé par un autre sobrero, de Gallon cette fois, applaudi à sa sortie par réaction au bétail exposé auparavant. Mais s’il était mieux présenté, il n’a malheureusement pas totalement tenu la distance. De rares éclairs avant une conclusion en trois temps, pinchazo profond, demi-lame puis descabello. adr30k

Reste Adrien que l’on a retrouvé comme on l’avait laissé, toujours enthousiaste et combatif. Il tenta par la suite de corriger la mansedumbre du Rocío, mais dut en définitive se résoudre à aller le lidier en querencia où il en tira le maximum de ce que le bicho lui permettait. Avec l’ultime, piqué en deux fois, Adriano manifesta à nouveau une belle entrega, sans pouvoir toujours lier, mais en distillant toutefois quelques muletazos valeureux, le tout étant rematé sans éclats. Mais il y a une chose que l’on ne pourra pas enlever à l’Arlésien, c’est sa détermination, ses ganas. En outre, notons qu’il a brindé sa deuxième faena à Thomas dans un beau geste de compañerismo… 
Paul Hermé

torofiesta.com

Talavera: Tomas Rufo seul contre six

Palencia Fernando Adrian obtient la grace de “Cantaclaro”

Plaza de toros de Palencia. 1/2 arène

Toros de Luis Algarra, le sixième “Cantaclaro” a été gracié

SEBASTIEN CASTELLA, ovation et oreille et pétition de la seconde. 

MIGUEL ÁNGEL PERERA, deux oreilles et ovation

FERNANDO ADRIÁN, oreille et deux oreilles et la queue symboliques 

Victor Hernández blessé à Sacedon indisponible pour Bayonne ce samedi

Victor Hernández a été blessé cet après-midi dans les arènes de Sacedón. Selon mundotoro.com, Víctor Hernández a subi un « coup de corne de 15 cm au biceps fémoral de la cuisse droite, qui affecte le biceps fémoral lui-même et le rectum ». Après avoir été opéré à l’infirmerie, le madrilène voulait sortir et combattre à nouveau, mais vu l’état dans lequel il se trouvait, il ne pouvait pas. Il sera transféré à Guadalajara pour poursuivre l’étude de l’ampleur de la blessure.

Le diestro allait recevoir le premier de l’après-midi, du fer de Torrealba, avec un long changement de genoux dans le troisième, lorsqu’il a été attrapé de manière spectaculaire par l’animal, qui l’a plaqué au sol et après avoir été retourné au sol, à plusieurs reprises, il l’a blessé à l’arrière de la cuisse droite. Víctor Hernández ne pourra pas se produire demain après-midi, 31 août, à Bayonne, dans ce qui devait être sa présentation en France.

Tarazona : corrida suspendue

En raison des fortes pluies tombées sur la petite ville aragonaise de Tarazona, la corrida prévue à Tarazona a été suspendue. On attendait le retour de Morante de la Puebla absent à Linares et Tomelloso, juan Ortega et José Garrido. Toros d’El Capea. La pluie est déja tombée hier durant la novillada de manière abondante et dans la journée aussi laissant la piste inutilisable.

La corrida de Guadix a été également annulée pour les mêmes raisons au cartel :  Sebastián Fernández, El Fandi, Joaquín Galdós, toros de Manuel Blázquez

Barrancos: deux oreilles pour Esaü Fernandez et Manuel Dias Gomes

Barrancos Portugal festival 1° de Feria avec mise à mort

Novillos de Couto de Fournillos  

Esau Fernandez 2 oreilles

Manuel Dias Gomes 2 oreilles

Barrancos village à la frontière hispano portaugaise et la seule arène du Portugal où se pratique la mise à mort des toros. La frontière en effet passe au milieu du ruedo. Les mises à mots s’effectuent côté espagnol.

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