Arènes de Cuéllar (Ségovie). Première de la féria. Un tiers d’entrée. Taureaux d’ Araúz de Robles, bien présentés, sérieux, avec trapío.
JUAN LEAL, silence après avertissement et silence après avertissement.
MANUEL DIOSLEGUARDE, silence après deux avertissements et deux oreilles.
VÍCTOR HERNÁNDEZ, ovation après demande et oreille.
Cella, Teruel –novillos d’ Aurelio Hernando et Zacarías Moreno pour
Sebastián Fernández, vuelta et l’oreille ; Marco Pérez, deux oreilles et vuelta
Añover de Tajo, Tolède – Taureaux de Tomás Prieto de la Cal
pour Javier Castaño, silence et sifflets ;
Jairo Miguel, oreille et oreille ;
Mataelpino, Madrid – Astados de Dehesa de Guadarrama.
Jesús Enrique Colombo, oreille et deux oreilles ;
Francisco José Espada, ovation et ovation ;
et. Borja Ximelis, oreille et deux oreilles.
Villavieja de Yeltas, Salamanque – Lleno. Dans l’ordre, Dionisio Rodriguez, Domingo López Chaves, El Puerto de San Lorenzo, Paco Galache, José Cruz et Oribe.
Ce dimanche 1er septembre, journée taurine à Seissan (32) avec un encuentro le matin et pour la tarde, une novillada piquée…
Ayant remporté ce week-end le bolsín de Nîmes Métropole, Andy Martin, élève de la section El Toreo de l’AFAP, a été inclus au cartel.
Il lidiera donc des novillos de Camino de Santiago aux côtés de Nino Julián et Clément Hargous lz torero de Villenave d’Ornon qui fera ses débuts en piquée à cette occasion. Il mérite bien par sa persévérance cette promotion Il sera au côté de Niño Julian qui vient de couper une grosse oreille à Roquefort.
Arènes d’Antequera , Malaga . Corrida Goyesque. Près des trois quarts d’arène. Taureaux de Núñez del Cuvillo, avec une bonne présentation et n jeu varié, le sixième de l’après-midi se distinguant.
MORANTE DE LA PUEBLA , oreille et silence
CURRO DÍAZ , deux oreilles et une oreille
CAYETANO qui revait de blessure , applaudissements et deux oreilles
Arènes de Las Ventas (Madrid) . Deuxième de la Féria du Cheval. Des taureaux de Benítez Cubero (2e, 3e, 4e bis, 5e et 6e) et Pallarés (1er), avec une bonne présentation et un bon jeu en général.
Seul l’arlésien repartira des arènes avec une oreille, lui valant également le prix de la meilleure faena et ce au terme d’une novillada sans picador dont on espérait un niveau un peu plus relevé de la part des trois finalistes, un constat à relativiser car ils n’en sont encore qu’au stade de l’apprentissage. Valentin Vindevogel a affiché le plus de décision, Andy Martin le plus d’envie, quant à Léo Pallatier, il montra le corte le plus torero mais aucun ne réussit vraiment à se démarquer. Certes, il y avait un vent particulièrement dérangeant mais les novillos des deux élevages ont affiché des possibilités, dans des registres différents, mais furent assez peu exploités.
Trois erales de La Paluna, propriété de Vincent Fare (2ème, 3ème et 4ème) et trois de la ganaderia Bernard Taurelle et fils (1er, 5ème et 6ème). Valentin Vindevogel (vert et or), Centre Français de Tauromachie de Nîmes : Silence et vuelta après avis. Andy Martin (blanc et or gris), École taurine El Toreo de l’Afap : Salut après avis et oreille. Léo Pallatier (bleu ciel et or), École taurine José Cubero « El Yiyo » de Madrid : Silence et vuelta. Pst : Ch. Arlac. Temps ensoleillé et vent pas mal gênant. Un bon tiers d’arène…
Rion des Landes. Belle entrée, température agréable, deux heures trente de spectacle, Six erales novillos de Valdefresno et un Alma Serena remplaçant, le troisième refusé pour faiblesse. Tous intéressant avec la force nécessaire.
Pablo Hernandez (bleu marine et or) au premier, deux pinchazos et une entière, silence ; au quatrième, six pinchazos, une entière et deux descabellos, avis, silence.
Jairo Lopez (blanc et or), au deuxième, un pinchazo et une entière, une oreille ; au cinquième, deux pinchazos, un quart de lame, cinq descabellos, avis, silence.
Julio Norte (bleu ciel et or), au troisième bis, une entière et cinq descabellos, une oreille ; au dernier, une entière, deux oreilles.
Déçu il y a quelques jours à Dax pour son échec lors de la finale des novilladas sans picadors, Julio Norte s’est vengé et rattrapé, dimanche à Rion en s’affirmant comme le triomphateur de la novillada de Valdefresno. Tout n’avait pas très bien commencé avec un novillo qu’il fallut, pour faiblesse, lui substituer par un Alma Serena. Un eral lourd et sérieux, qu’il attaqua sur les deux mains à genoux.
Il fut chaque fois applaudi pour les pechos avec lesquels il terminait ses séries. Un bonne épée à confirmer et un premier trophée. Il terminait avec un pensionnaire de Salamanque dont il sut tirer profit de la corne gauche, émaillant son parcours de quelques trincheras d’enfer dont la dernière ouvrit un grande série de naturelles, avec la muleta traînant sur le sable et beaucoup de lenteur ce furent les trophées majeur à l’issue d’un bon coup d’épée.
Bernard Langlade nous l’avait confié, voilà trente deux ans que les Fraile-Valdefresno sont à l’affiche de Rion. Mais cet anniversaire, avait un arrière goût de déception avec un lot qui a manifesté de la faiblesse. Le troisième qu’il fallut renvoyer au corral, le quatrième fut ensuite très faible, de même qu’un cinquième qui n’avait pas grande force. Vraiment dommage car ces erales manifestaient beaucoup de mobilité et d’agressivité, de vrai lutteur, mais il leur manquait la puissance.
L’après-midi avait été ouverte par Pablo Hernadez, qui parvint à faire humilier son contradicteur. Il tenta tout ensuite, prenant notamment les banderilles, livrant quelques passe changées dans le dos, et d’ultimes derechazos à genoux après une série de manoletinas. Il avait tiré le maximum d’un adversaire faible, mais fut trahi par l’épée.
On aura apprécié le Mexicain, Jairo Lopez, qui voulait séduire son public par porta gayola interposée, banderillant chaque fois, même s’il fut bousculé lors de sa deuxième sortie. Il avait enluminé merveilleusement ses passes de cape. Lui aussi avec un deuxième novillo faible fut trahi par l’acier.
Malgré quelques regrets une novillada très agréable.
La novillada vu du président de la course
Jean-Michel Dussol et Nicolas Couffignal pour les photos
Le banderillero Carlos Pacheco, a été soigné dans les arènes de Casavieja après avoir été encorné lors du combat du troisième de l’après-midi, du fer d’Ignacio Pérez Tabernero. Selon le rapport médical, le banderillero a été soigné pour « deux blessures par encorchage. L’un d’eux dans le triangle de l’escarpement droit et l’autre dans la région lombaire et latérale gauche. Les deux plaies ont été nettoyées et suturées. Pronostic : menos grave ».
Le novillero Luis Garza a subi une cornada au scrotum par le premier toro la tarde lors de la septième novillada de la temporada de la Plaza México. Le toro était du fer de Gonzalo Iturbe, il a ét combattu parJoel Castañeda.
Le torero Ángel Tellez a été contraint, selon prescription médicale, de se reposer en raison d’une blessure au plateau tibial droit qui affecte l’articulation du genou droit. La blessure est située dans une zone où il avait déjà dû être opéré pour une fracture de la partie distale du fémur et une fracture du plateau tibial, résultat de blessures antérieures. La blessure provoque une grande gêne et une grande instabilité au genou droit du matador, ce qui l’empêche de performer lors de ses prochains engagements, comme celui du 31 août à Bayonne.
Parentis-en-Born deuxième novillada des fêtes. 3/4 d’arène.
Novillos de Retamar
Daniel Medina, pitos et vuelta après pétition;
Juan Herrero, palmas et silence
Pedro Luis, vuelta et oreille.
Novillada d’El Retamar très bien présentée. Le second astifino a pris une grande pique et applaudi à l’arrastre comme le troisième, le quatrième a pris quatre piques il a été applaudi aussi. Il y a eu du danger en piste toute la soirée.
Daniel Medina peu en confiance à son premier passage a montré plus d’engagement construisant uen faena sérieuse par la suite devant un toro compliqué. La récompense se limitera à une vuelta malgré une forte pétition.
Juan Herrero hérita d’un permeir opposant compliqué. Il bâtit un tasteo sérieux basé sur sa main gauche mais tua d’une entière basse. Il eut beaucoup de difficultés face à l’âpre cinquième.
Pedro Luis est le triomphateur de la journée. Il reçut son premier par des véronqiues profondes et effectua une faena très courageuse sollicitant l’animal sur les deux bords. Le novillo mit longtemps à tombe ce qui le priva d’une récompense qui aurait été méritée. Un grand coup d’épée permit à Pedro Luis de couper l’oreille du dernier, par ailleurs réservé et vite éteint.