
Avec le départ larmoyant mais prévisible de Morante le toreo s’arrête-t-il ? Il a continué après ceux d’El Juli et d’Enrique Ponce car nul n’est irremplaçable et il faut penser le futur. Le succès de la temporada passée a reposé essentiellement sur l’opposition de style et de générations entre le torero de La Puebla et celui venu de Lima. Ce n’est ni plus ni moins que la dialectique du nouveau et de l’ancien qui s’est incarnée entre un génie de la tauromachie et un jeune ambitieux venu d’un univers lointain porteur d’un souffle nouveau.















