Catégorie : Actualité Page 4 sur 73

Au Mexique

Monterrey, N.L.- Plaza “Monumental. Première corrida de la Temporada 2023. Moins de demie entrée. Toros de Monte Caldera, le 4o. arrastre lent.

Le rejoneador Andy Cartagena: Oreille et deux oreilles.

Héctor Gutiérrez (grana y oro): Ovation et silence.

Diego San Román (blanco y oro): Oreille et pétition de la seconde et oreille.

Aguascalientes, Ags.- Plaza “San Marcos”. Novillada de triunfadores. Moins de 1/2 entrée.

Novillos de Caparica le 3o. arrastre lent.

 Juan Querencia (azul marino y oro): Palmas, palmas après avis et silence à celui tué pour Daniel Prieto. Daniel Prieto (grana y oro): Oreille au seul qu’il ait tué. 

Andrés García (sangre de toro y oro):  Oreille et vuelta après avis.,

Rafael Romero et Joel Delgado “El Panita” saluts aux banderilles 3o.

Durango, Dgo.- Plaza “Alejandra”. Corrida de Aniversario de la plaza. 3/4 d’entrée. Toros de Carranco, bien presentados y de buen juego en su conjunt.

El rejoneador Fauro Aloi: Ovation et oreille.

Antonio Ferrera: Ovation et deux oreilles.

Diego SilvetiOvation et oreille.

Succès de la fiesta campera des los areneros du Delta à La Chassagne

Les planètes étaient alignées ce dimanche au Mas de La Chassagne, ganadería de la famille Jalabert, avec une météo franchement printanière et une bonne ambiance partagée par 250 personnes autour d’activités taurines et festives.

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A noter, la présence d’une forte colonie biterroise avec notamment pour certains un déplacement en bus, s’expliquant par l’incorporation de Carlos Olsina, Christian Parejo et le novillero Luis Torez, cartel complété par le matador nîmois El Rafi,

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La cheville ouvrière de cette journée, Serge Bouri, a ouvert la journée par un discours de bienvenue avant une première partie sous la forme d’un tentadero de trois vaches de Jalabert, avec Alain Bonijol sur le cheval, chacun donnant le meilleur pour mettre le bétail en valeur.

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Avec aussi la participation du novillero biterrois Luis Torez, ainsi que celle d’un tout jeune débutant, Pablo, chapeauté par Tomás Cerqueira.

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Du haut de ses dix ans, il a étalé à la fois envie et aplomb, des qualités qui lui ont permis de bien connecter avec les aficionados. Olé !

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Après le sorteo pour la tarde puis les agapes de la mi-journée, la deuxième partie était constituée par la lidia de trois novillos, le Jalabert pour Rafi, le Gallon pour Olsina et le Alain Tardieu pour Parejo, avec Sofiane sur le cheval.

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Rafi ouvrit la séance, faisant ressortir face à un bon toro de Jalabert lors d’un trasteo brindé au public son entrega et son sens artistique dans plusieurs passages templés. Entière au second coup.

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Carlos Olsina a mis pas mal d’énergie dans la bataille, composant plusieurs enchainements allurés face à un Gallon malléable, la conclusion s’avérant plus délicate.

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Christian Parejo a connu plus de difficultés avec un Tardieu qui ne l’aida guère, se montrant compliqué car querencioso et arrêté. Malgré tout, le plus Chiclanero des Biterrois tenta de tirer parti d’un adversaire dont il n’y avait hélas pas mieux à faire. Mais on n’a pas attendu ce dimanche pour évaluer le bon niveau de Christian à quelques mois de la consécration. Ce jour, dans la difficulté, il est resté digne, et c’est bien l’essentiel.

En définitive, une journée campera visiblement appréciée de tous. Enhorabuena à tous ceux qui d’une manière ou d’une autre ont contribué à sa pleine réussite…

Paul Hermé  torofiesta.com

Séville, Morante de La Puebla triomphateur absolu

Morante a donné à la Maestranza le costume avec lequel il a coupé deux oreilles et la queue

Les prix de la féria d’avril sont les suivants

Triomphateur: Morante de la Puebla

Meilleure faena: Morante de la Puebla

Meilleure estocade: Daniel Luque

Meilleur rejoneador: Guillermo Hermoso de Mendoza

Meilleur toreo de capote: Morante de la Puebla

Meilleur subalterne de brega: Javier Ambel

Meilleur subalterne eux banderilles: Antonio Chacón

Meilleur Picador: Manuel Jesús Ruiz Román

Meilleure corrida complète: Victorino Martín

Meilleur toro de la Feria: Príncipe, número 56, negro, de El Parralejo.

MADRID : le bal des mansos




Madrid, mardi 2 mai. Trois quarts à quatre cinquième d’arène, corrida goyesque.

Cinq toros de VALDEFRESNO bien présentés en général de mansote à manso perdido, le deux bis de Jose Luis PEREDA guère mieux  sifflés à l’arastre pour la plus part, pour:


UCEDA LEAL  : ovation, silence et silence



Fernando ROBLENO silence, après avis, ovation et silence


Triste bilan pour une triste après-midi de toros dans la plus importante arène du monde.

En ce “dos de mayo”, jour férié à MADRID en souvenir de la révolte des madrilènes contre l’occupant français je pourrais vous parler des deux œuvres monumentales de GOYA exposées au Prado illustrant cette journée et celle du lendemain évoquant la féroce répression de l’armée française, je pourrais vous parler de Francisco GOYA le grand maître obligé de s’exiler comme afrancesado. Cela pourrait être bienvenu puisque l’on nous proposait en ce jour une corrida goyesque en souvenir de l’œuvre taurine du grand peintre. Mais il parait que je suis là pour parler de toros, les grands absents de jour.

Je ne ferais pas un compte rendu toro à toro pour quoi faire, disserter de la minute trente de la faena d’UCEDA LEAL à son dernier, de la course folle de Robleño derrière son dernier pour lui arracher trois passes à la porte du toril.

ROBLENO est certainement celui qui aura le mieux toréé cette tarde : A son premier le remplaçant d’un invalide Valdefresno, un toro sérieux de Jose Luis PEREDA  il donna une faena qui eut le mérite d’exister avant une mise à mort laborieuse. La faena à son second, peut être un peu moins manso, il eut le mérite d’intéresser peu à peu l’animal à la flanelle et nous offrit de tres belles séries de naturelles que personne n’espérait plus. Reprenant la main droite Robleño termine sur deux grandes séries liées terminées d’un grand trincherazo  une faena de” mucho menos à mucho mas”. Malheureusement pour le madrilène, les aciers le trahirent le privant de tout grand succès.

UCEDA LEAL  fit ce qu’il put donnant quelques détails dans le terrain de la querencia le seul endroit où ses opposants acceptèrent de se confier un petit peu. A son premier de bons détails conclus difficilement sont salués par un public bon enfant. Son second refusa tout combat malgré les efforts du toreros le manso de gala fut copieusement sifflé à l’arrastre.

Triste début pour LAS VENTAS avant la féria de San Isidro qui commence demain. On pouvait remarquer en callejon la présence d’Isabel DIAS AYUSO  la présidente de la communauté de MADRID qui ne cache pas son attachement  et son appui à la fiesta nacional. 

Jean Dupin

Nîmes, festival Traditions et aficion

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Festival Tradition et Aficion Nîmes Métropole 2023…Co-organisée en tant que prestataire de service par L’Afap et le CFT, succès de la première tienta pédagogique, prélude à la finale du bolsín de Nîmes Métropole édition 2023.

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Cette tienta avec des excellents becerros de la ganadería Michel Barcelo s’est déroulée dans les magnifiques arènes de Redessan, en présence de Madame la maire Fabienne Richard, devant plus de 600 personnes.
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Au programme, les élèves du centre Français de Tauromachie, Clément Hargous, Gauthier Dombry et Valentin Vindevogel et de l’association française des aficionados practicos, Albin Filhol.vv01h
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 Merci à Nîmes Métropole pour organiser à nouveau ce festival Tradition et Aficion sous la houlette de Gael Dupret, élu aux traditions, accompagné par Christel Christel Rochefort.af01h

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Merci à tous les intervenants, notamment les areneros des Costières, à la peña Camargua et aux différents responsables des structures présentes, Christian Le Sur, Juan Villanueva (CFT) Denis Loré et Hervé Galtier. (Communiqué – Photos : Jean-Luc Jouet)

http://torofiesta.com

SEVILLE, LES RENDEZ-VOUS DE MANUEL

Photo Jy Blouin

Séville, Maestranza. Dimanche dernière de féria. toujours sous un terrible soleil. Trois quarts d’arène. 

6 toros de MIURA très différents mais tous du tempérament né entre Février 2018 et Mars 2019.

Les trois dévolus à Antonio FERRERA de 590 à 625 Kg

Les trois de Manuel Escribano de 505 à 550 Kg.

Antonio FERRERA : Rouge et Or rématé de noir . Applaudissements, Applaudissements,  Applaudissements

Manuel ESCRIBANO : Académicien : le Vert et l’épée. Applaudissements, Oreille, Applaudissements

Les banderilleros Ángel Otero et Alberto Carrero ont salué après avoir banderillé le premier. Salut de Joao Ferreira et à nouveau d’Alberto Carrero au troisième. 

Fernandez Piñeda : Sobresaliente

El Fandi s’était fait excuser et « l’homme qui slalome entre toutes les grandes portes » (ainsi le définissait en 2001 l’immense Jacques DURAND, se référant à son passé de skieur) avait laissé les clés de la Maestranza à ces deux Maestros.

Qu’il en soit remercié chacun avec trois toros a pu s’exprimer très clairement.

photo JY Blouin

FERRERA a reçu chacun avec sa cape aussi bleue que baroque avec la prudence d’un chat. Des Miuras il en a vu d’autres ! 

Les trois prirent deux piques sans faiblir, Ferrera s’appliqua à sortir lui-même ses toros du cheval, avec des toros de Miura qui souvent « mettent la tête » ceci peut être un jeu dangereux, mais cela convient bien à son tempérament.

Antonio a définitivement oublié qu’il fut un très bon (mais là aussi baroque) banderillero et peut être a-t-il bien fait car Alberto CARRERO et Angel Otero saluèrent au premier et au troisième. On pourra retenir une paire de CARRERO placée en plein galop et vraiment entre les cornes.

Photo JY Blouin

Il brinda le premier au ciel, un genou en terre (baroque vous dis-je), il eut beaucoup de difficultés à le centrer puis à le maitriser, sans trouver la moindre passe possible à gauche, Triguero restait la tête très haute et menaçait à chaque sortie. Antonio réussit une estocade méritoire et efficace.

Avec son deuxième s’engagea une pelea violente et sans solution, le toro était dangereux et ne transmettait rien. Un pinchazo (le seul de la soirée) et une épée concluante.

Antonio brinda son dernier au public. Toro lourd (625 KG) et qui rapidement devint peu mobile. Colosse aux pieds d’argile. L’entrée à matar fut simplement époustouflante d’engagement de sincérité, de puissance sur ce toro très haut. Ce sont ces gestes qui font notre admiration , un engagement absolu pour une cause perdue.

Photo JY Blouin

Manuel tout en sourire et en concentration n’a pas failli à sa réputation d’homme de savoir et de devoir . . Il a su prendre ce qu’il y avait de mieux dans chacun de ses trois adversaires. Deux portas gayolas ébouriffantes de sang froid et de technique firent lever les arènes. Il banderilla les trois . Pas une seule tricherie, au premier un quiebro al violin EXTRAORDINAIRE.. Au dernier un quiebro contre les planches . Bon il vaut mieux avoir un peu de réussite, et beaucoup de signes de croix .Et toujours cet immense sourire.

Photo JY blouin

Les faenas furent menées avec goût et courage. On retiendra quatre statuaires devant son premier et une cambiada citée du centre pour entamer sa faena devant Choricero, le plus maniable du lot, brave et qui fut seul à consentir à baisser la tète. Une mise à mort efficace avec une épée notoirement basse qui le priva de deux trophées. Un seul suffit à son bonheur.`

Une bien belle tarde de toros Sévillane.  

Nous reviendrons.

Ch FIGINI

Aire-sur-l’Adour: Solalito consacré

Aire sur l’Adour (France). Dimanche. Novillada des « Arsouillos ». Plus de ½ arène.

Six novillos de Flor de Jara. 

Solalito, oreille et deux oreilles; 

Sergio Rodríguez, silence et saluts du burladero après avis; 

Ismael Martín, silence et silence après avis.

Le prix de la meilleure pique est allé à Vicente González, picador de la cuadrilla de Solalito, pour le quatrième.

En entrant dans ces arènes Maurice Lauche, on ne peut oublier d’avoir une pensée pour Ivan Fandiño qui tomba sur ce sable landais le 17 juin 2017. La pensée, les paroles, les écrits font vivre les disparus d’une autre manière, ils sont donc nécessaires. Le paso-doble écrit en l’honneur du torero d’Ermua résonna donc à l’arrastre du troisième toro, parfaitement interprété par la peña Los Arsouillos, dans un silence émouvant chacun ayant au cœur le souvenir de ce grand torero.

Ce préambule clôt, le public aturin nettement plus nombreux que d’habitude -c’est à mettre au crédit des organisateurs-, a vécu une après-midi entretenida qui a consacré Solalito. L’ensemble de Flor de Jara est allé de menos à màs dans sa présentation dans le type avec de sacrés gaillards pour terminer. Chaque novillo est allé deux fois au cheval sauf le cinquième, souvent en partant de loin. Par la suite ils ont fait preuve de cette noblesse caractéristique de l’encaste : avec lenteur surtout et en humiliant. Il y en eut deux plus retors : le second et le sixième.

Solal sévèrement accroché aux banderilles

Le toreo largo de Solalito qui est tombé sur un bon lot a conquis le public par son entrega et sa volonté de faire les choses comme elles le doivent. Le jeune homme a banderillé avec classe en s’engageant un maximum ses deux adversaires. Il se fit prendre durement par son second adversaire en exécutant la suerte por dentro : l’animal l’envoyant bouler sèchement sur les planches. Solal revint en piste avec courage et sut, comme il l’avait fait à son premier passage assujettir le Flor de Jara assurant ainsi de bonnes séries des deux bords. Une entière légèrement tombée, d’effet rapide lui assura une double récompense et une grosse ovation d’un public jeune avec lequel il a une réelle capacité à connecter. Il avait pris la mesure du premier noble conduit avec allure et sobriété, sans se faire toucher la muleta. Il le tua d’une entière desprendida.

Sergio Rodriguez eut un lot lus amère et ne put s’imposer devant son premier adversaire, tobillero qui le mit sur le recul. On vit pourtant la facette intéressante du Salmantino auquel il administra une faena faite de séries bien dans le rythme particulier de l’animal et cela des deux côtés. Il ajoute à cette vision claire de l’adversaire une dimension esthétique qui lui donne une réelle personnalité. Calamiteux avec l’acier, il perdit le bénéfice de cet effort.

De l’enthousiasme chez Ismael Martin mais aussi beaucoup de déchets dans ses manières ; on l’a vu aux banderilles souvent trop approximatives comme à la muleta où le solide dernier de la course lui posa des problèmes qu’il ne put résoudre. A l’épée lui aussi connut des misères mais on tempérera ce jugement quelque peu radical  par la volonté dont il a fait preuve et aussi quelques moments de qualité trop brefs qui montrent qu’il avait lui aussi sa place dans ce trio relevé.

Pierre Vidal

Aguascalientes, malgré une indisposition Marco Perez séduit

Aguascalientes, Ags.- Plaza Monumental. Dixième de feria. Mixte. Trois quart d’entrée

Quatre toros de Fernando de la Mora, et trois novillos de la même devise; le dernier de regalo.

José María Manzanares (sangre de toro et oro): Ovation et oreille.

Arturo Gilio (blanco et oro): Ovation et deux oreilles protestées.

Marco Pérez (rosa y oro, avec remates negros): Ovation après trois avis, palmas et vuelta au novillo de regalo.

A la fin du paseillo Marco Pérez passa à l’intiremerie atteiint d’une infection de l’estomac sévère. On dut passer son tour puisqu’il puisse combatter les trois derniers novillos

SÉVILLE IMPORTANTE FAENA DE LUQUE

Daniel Luque La Quinta Séville 30 avril 2023 © Ferdinand De Marchi

Séville Dimanche. 1éème de féria. Arènes presque pleines. Temps ensoleillé.

6 toros de La Quinta, bien présentés, ils s’employèrent au cheval mais furent décevants dans l’ensemble à la muleta.

El Juli Vuelta après pétition majoritaire et silence.

Daniel Luque silence et une oreille.

Pablo Aguado silence et silence.

Salut du banderillero Ivan Garcia au second.

Photo JY Blouin

Qui aurait parié pour ce cinquième toro de La Quinta? Personne. Qui aurait pu lui faire une faena? Presque personne. Impressionnante démonstration de Daniel Luque lors d’une faena très intense. Pas à pas, muletazo après muletazo, sans accrochages, en prenant son temps et en laissant son temps au toro, Daniel réussit à s’approprier de ses charges, à se sentir, pour finalement se mettre entre les cornes de l’animal et extraire des passes d’une entrega absolue et d’une domination fascinante. Faena conclue avec celle qui est peut-être la meilleure estocade de la feria. Une oreille en guise de trophée, il aurait mérité les deux. Mais la présidence avait refusé d’en accorder une à Juli à son premier et les deux ne semblèrent pas de mise. En tout cas, la prestation de Daniel Luque clôture pour lui une feria de Séville qui le hisse aux premiers rangs de la tauromachie. Son autre toro, un sobrero du même fer, fut d’une fadeur extrême où cette fois-ci on ne put rien tirer.

Photo JY Blouin

Bonne faena de El Juli à son premier, bien construite devant un adversaire plus collaborateur. Il y avait de la maîtrise, tout était bien enchaîné mais ça manquait de magie, c’était un peu trop mécanique. Heureusement, il y eut une excellente série à la fin où le torero se laissa aller avec un toreo bien plus profond. Après une estocade efficace, le président refusa l’oreille que demandait l’ensemble du public Sévillan. Face à son suivant, le pire du lot de La Quinta, qui chargeait la tête haute et ne se livrait jamais, le Madrilène ne put rien faire.

Pablo Aguado La Quinta Séville 30 avril 2023 © Ferdinand De Marchi

Décevante prestation de Pablo Aguado, malgré quelques très belles passes de cape, en particulier des demies véroniques, délicates et toreras. Mais le torero sévillan se retrouva souvent en difficulté, en particulier face au sixième, qui en d’autres mains aurait pu être mieux exploité. Aguado se montra souvent à la merci du toro, accompagnant les charges au lieu d’imposer sa tauromachie. Son premier manqua de race et le matador conclut, comme à son dernier, avec un silence.

Bon tiers de Salvador Nuñez au 1er (JY Blouin)

Cette corrida était celle de la présentation de La Quinta à Séville et elle ne répondit pas aux attentes du public et des aficionados. Elle chargea au cheval mais manqua de bravoure à la muleta. De cette après-midi nous retiendrons la capacité et la détermination du torero de Gerena Daniel Luque.

Par Antonio Arévalo

Madrid première novillada de la temporada

Plaza de toros de Las Ventas (Madrid). Dimanche. 6.303 spectateurs. Première novillada de la Feria de la Comunidad. 

Novillos de Gabriel Rojas, bien présentés et spectaculaires. Le mayoral a été ovationné à la fin du spectacle.

SERGIO FELIPE, silence et silence après avis

• JUAN JOSÉ VILLA ‘VILLITA’, silence après avis et silence après deux avis

MIGUEL ZAZO, silence et silence après avis 

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