Novillos, dans l’ordre de sortie, de Margé, La Golosina, Colombeau, Pagès-Mailhan, El Campo et Gallon, les exemplaires de Pagès-Mailhan et Gallon étant crédités de la vuelta posthume.
Président André Castella entouré des Charly Laloë « El Lobo » et le président de l’école Yves Lebas.
L’automne dans la Rioja, c’est le vin, les toros. Pour donner suite à la feria à Logroño, cap sur Arnedo et son incroyable weekend taurin, le Zapato de Oro, promettant des moments festifs et captivants. Cette feria est une référence en matière de novillada piquée. Aujourd’hui un élevage que je vois pour la première fois celui de la Ganaderia Guadalmena. Cet élevage se trouve à Jaen et avec un encaste Domecq. Pour affronter cet élevage trois novilléros que l’on a vu dans le sud-ouest Christiano Torres, Aaron Palacio et Javier Zulueta.
Président
Public 1/4 d’arène
Musique : Harmonie de Arnedo
Christiano Torres : avis et 1 oreille / Salut et vuelta
Aaron PALACIO : avis et deux oreilles vuelta/ une oreille
Javier Zulueta. : Salut au tiers et vuelta / Salut au tiers
Les novillos
Le lot est bien présenté. L’ensemble du lot a presque quatre ans. Le premier a une tête commode contrairement au reste du lot. Ils expriment de la noblesse. Ils expriment de la bravoure au cheval.
Christiano Torres
Le Boléro inspire plus Maurice Ravel que le novillero à la cape. Le novillo ne montre aucun défaut dans le premier tiers. La faena est propre. Il ne se croise pas. La musique démarre dès la première série à droite. Il se fit prendre à cause du manque de sitio. À gauche, la faena fut plus aboutie. Le public adhère à la faena. L’épée est entièrement efficace. Le public demande l’oreille.
Lastimano avec une robe negro comme le premier novillo de Christiano. À la cape, il s’emploie un peu plus. Le novillo est noble mais faible. La faena s’exécute en plein centre de la piste. Il est sur le passage. La série se fait exclusivement avec la main droite. L’épée est caida.
Aaron Palacio
Pistolero, negro Liston a un trapio identique au précédent. Aaron Palacio l’accueille avec deux largas. Le novillo pousse le cheval contre les planches. La faena du novillero est sur le pico. Le museau du novillo mange le sable du ruedo. La faena exprime de l’émotion. Il montre un éventail de sa technique. Le public adhère complètement. L’épée est entière, bien placé mais plate. Les panuelos s’agitent le palco lâche le mouchoir bleu et les deux blancs.
Asustado avec une robe negro bragado . C’est le seul novillo de deux mille vingt un. Comme sur son précédent novillo il exécute de jolies séries à la cape. Il exécute la meilleure mise en suerte et avec de l’alegria. Asier Campos exécute une joli pose de banderille. A la muleta, le novillero est sur le passage lors des derechazos. Il se fait prendre sur une erreur de placement. A gauche, il exécute qu’une série, car le novillo est arrêté.
Javier Zulueta
Il tombe sur le lot qui lui plaît le moins ou qui ne l’inspire pas.
Blancaflor avec une robe colorado ojo perdiz est le novillo qui permet le moins de pouvoir s’exprimer. Il donne des coups de tête lors de la faena le public réagi avec émotion lors de la série à la cape. Plein centre. Le novillero exécute sa faena à mi-hauteur. Aucune émotion ne se dégage de la faena. Il ne se croise qu’à la fin de la faena.
Lastimado avec une robe negro ferme cette novillada entretenue. Le novillero se comporte à la cape comme sur son précédent novillo. A la muleta, près des planches, il exécute des doblones de façon très appliquée. Les séries de naturelles sont exécute avec douceur. Le novillero n’insiste pas sur la faena.
Plaza de toros de La Real Maestranza de Caballería de Sevilla. Première corrida de la Feria de San Miguel 2024. Casi lleno.
Toros de Victoriano del Río, vuelta al ruedo du 2ème ‘Dalia’, Nº 15, castaño meano, né en 08/19, de 530 kilos,
SEBASTIEN CASTELLA, oreille et silence
ALEJANDRO TALAVANTE, deux oreilles et oreille
DANIEL LUQUE, oreille après avis et silence
Saluts de José Chacón au premier et Iván García au 3 ème.
Tarde d’enthousiasme à la Maestranza et pourtant il n’est sorti que 2 bons toros de Victoriano del Rio, les deux premiers. Castella à son premier tombe sur un toro noble qui montrera à la faena son mauvais caractère par un extrano dangereux. Mais l’accueil à la cape, genou fléchi est superbe d’autorité et de sens de la lidia. Visiblement, Sébastien en veut ! L’entame de faena est sensationnelle par statuaires au tiers, suivies d’une cambiada et d’une passe du mépris. la Maestranza bouillonne et la musique joue. Séries de derechazos liés, de naturelles bien menées et pour terminer des manoletinas avant une belle estocade en place. l’oreille est largement méritée.
Son second, beaucoup plus retors, sort mansote et cherche les planches avant de montrer de la caste lorsqu’il est cité à la cape. Aux banderilles il coupe le terrain. La faena est difficile en raison des derrotes permanent du toro. Castella arrive à le maintenir au centre et lui règle la tête avant une estocade trasera concluante. Castella n’a rien à se reprocher aujourd’hui.
Le 2 est le meilleur toro du lot, d’une noblesse infinie même s’il est un peu limite de forces et sera piqué légèrement. Talavante l’aborde en multipliant les trincheras ce qui plait à Séville. La première série de derechazos déclenche la musique. Les séries très liées s’enchaînent à gauche et à droite avec des changements de main et des adornos (arrucina) pour terminer. L’estocade sera en place, mais il sera pris par le toro (enfourchement sur la corne sans conséquence). L’enthousiasme du public lui fait attribuer 2 oreilles, la seconde généreuse, mais ne boudons pas le plaisir de voir revenir le Talavante d’avant. A son second, plus compliqué, il fera preuve d’une bonne technique mais sera un ton en dessous, en toréant par moment le public. Mais on sentait qu’il voulait sa troisième oreille et la Maestranza était avec lui, d’autant que l’estocade entière était très bonne. Il gagnait ainsi sa Porte du Prince.
Luque au 3 ème va donner une leçon de dominio: Le toro est compliqué, saute beaucoup dans la cape notamment sur la corne gauche. Les véroniques sont dominatrices. La faena commence par des doblones puis le toro est pris sur sa corne gauche et s’améliore. L’estocade est entière et contraire mais une belle oreille pour Luque. Le dernier est aussi compliqué. Les véroniques sont agitées. A la pique il se défend sans s’employer même sur le second picotazo. A la faena 2 doblones, une série de naturelle où le toro serre et il vaut mieux abréger. Un pinchazo suivi d’une estocade habile, en passant par l’extérieur, mais foudroyante. le public est sorti heureux de la Maestranza ce soir!
Président. : Manuel Gonzalez Miguel Angel Perera : Silence et Silence Daniel Luque : Une oreille et Salut Borja Jimenez :Silence et Silence Cavalerie :Douze rencontres Public : 1/3 d’arène
On ne garde pas un souvenir marquant des toros de la ganaderia de Zalduendo lors de cette première corrida à Logroño. Le lot est homogène en présentation. L’attitude générale de la noblesse met en évidence à la fois des signes de faiblesse et une absence de bravoure.. Seul le vin de la rioja donne de l’ivresse lors de cette course. Les toros ont tous quatre ans et les sobreros cinq ans.
Miguel Angel Perera et son premier toro
Le toro garde la gueule fermée tout au long de la lidia . Le maestro exécute une belle faena à la cape. Elle va à mas. Le public demande le changement du toro après la pique.Le public chante lors du tercio de banderille. Miguel Angel Perera brinde son toro au public. Il réalise un magnifique travail à mi-hauteur lors de sa faena. » Aguero » retenti rapidement. L’enthousiasme du public pour l’œuvre du maestro ne cesse de grandir tout au long de la faena. L’épée fait perdre l’éventuel trophée.
Naturelle de Miguel Angel Perera sur son premier toro
Le second toro est faible voir decaste. La musique donne de l’émotion que la faena n’exprime pas. L’expression du visage de Miguel Angel Perera trahit une profonde désillusion. Sa détermination et ses compétences semblent dérisoire face à ce toro qui ne permet pas de transmettre d’émotion. Sans un engagement exceptionnel, il met une belle épée.
Daniel Luque dans ces oeuvres
Daniel Luque n’est pas inspiré à la cape sur son premier toro qui a une charge courte sur la gauche .Comme sur le précédent le public siffle après la pique. L’inspiration du maestro avec sa tauromachie appliqué s’exprime dès le début de la faena sur des derechazos. Sur la gauche, il se fait accrocher. Avec de l’alégria, il exécute toute une série de trincheras et de trincherillas. Il finit par ses luquesina . Dans un silence de cathédrale, il exécute une épée engagée et bien placée. Les panuelos sont majoritaires et le président n’hésite pas à donner la première oreille, mais résiste à la pétition pour la seconde.
Le second toro est très bien présente. Daniel Luque s’investit davantage dans ce premier tiers. Il débute sa faena par des naturelles. Le reste de la faena n’exprime pas grand-chose. Seul le morceau « Lalo Moreno » fait réagir le public. Dans le calme solennel du moment, la première tentative à l’épée est un pinchazo. La seconde tentative, le bruit enivrant du palo fait écho de manière éclatante à travers l’arène.
Quite de Borja Jimenez sur le premier toro de Daniel Luque
Borja Jimenez Celui qui se présente dans cette arène tête découverte lors du paseo, commence avec un premier toro avec des séries à la cape très appuyé. Le toro plante non pas un essai derrière la ligne mais les cornes qui lui faire une impressionnante vuelta de campana. Le toro va pas se remettre de ce mouvement. Il va garder la bouche ouverte tout au long de la lidia . Lors de la faena , le torero est soutenu par quelques applaudissement .L’épreuve du fer est l’image de faena insignifiante.
Vuelta de campana sur le premier toro de Borja Jimenez
Alors que l’orage se déchaîne dehors, le trapio et le comportement du dernier toro est à l’identique de ces prédécesseurs. Borja Jimenez ne fait pas les mêmes erreurs que sur le précédent. A la cape et à la muleta, ses faenas sont propres et appliquées. Aucune émotion ne se transmet au public qui pense plus à faire la fête en ville et sa première nuit de fête. Une demi-épée et le descabello. Les trois toreros déçus sont applaudis lors de leur sortie.
« Comme j’avais annoncé lors d’une conférence de presse mon incorporation dans l’association Tempéras Alès Cévennes à la demande de M. Cabanis en tant que directeur pour élever une feria qui se trouvait en déclin, je porte à votre connaissance que j’ai décidé, tout comme M. Estebán Díaz, de me retirer de l’association SUPPOSÉE culturelle à cause d’irrégularités de grande importance.
Le 23 décembre 2023, Monsieur Estebán Díaz et moi-même avons eu une réunion avec M. Cabanis pour parler de la programmation de la feria d’Alès 2024. Nous avons également posé des conditions qui ont été acceptées dans leur intégralité par les 4 partenaires, ceci pour la bonne exécution de cette feria.
Ci-après les 5 conditions :
1- UNE TOTALE TRANSPARENCE ENTRE LES 4 ASSOCIÉS. Cet accord N’A PAS ÉTÉ respecté par Messieurs Cabanis et Vinuesa, car après la feria, lors de 3 réunions qui étaient programmées, ils n’ont pas présenté de factures réelles ni de comptes clairs, ne présentant que des feuilles avec des montants irréguliers et surévalués, créés par eux-mêmes, qui variaient et augmentaient à chaque réunion, au profit d’eux même, mettant en évidence un manque total de transparence.
2- UN COMPTABLE PROFESSIONNEL ET INDÉPENDANT DES 4 ASSOCIÉS QUI TIENT LES COMPTES. Accord qui N’A PAS ÉTÉ respecté par ces messieurs, puisque les comptes ont été manipulés par eux-mêmes et leur secrétaire personnelle, et que 4 mois après la fin de la feria, nous n’avions aucune information concernant les résultats financiers de la feria, étant entendu que j’attire votre ATTENTION sur le fait que nous parlons de montants à 6 chiffres.
3- NOUS RÉUNIR AVEC LA COMMISSION TAURINE D’ALÈS 15 OU 30 JOURS APRÈS LA FERIA POUR MONTRER LES COMPTES, PROPOSER DE NOUVELLES IDÉES ET PARLER DE POSSIBLES AMÉLIORATIONS. Accord qui N’A PAS ÉTÉ RESPECTÉ NON PLUS. Selon Tempéras Alès Cévennes, il s’agit d’une ASSOCIATION CULTURELLE SANS BUT LUCRATIF. Il aurait été logique de parler pour de futures améliorations et montrer les comptes pour recevoir de possibles aides de la Mairie, mais il est évident que ce type de réunion n’intéresse pas ces deux messieurs pour ne pas être découverts.
4- AVANT D’EFFECTUER TOUT PAIEMENT, CELUI-CI DOIT ÊTRE VALIDÉ PAR 2 MEMBRES DE L’ASSOCIATION, EN L’OCCURRENCE M. CABANIS ET MOI-MÊME. Accord qui N’A PAS ÉTÉ respecté. M. Cabanis a effectué de supposés paiements sans mon autorisation et sans présenter de justificatifs signés par les bénéficiaires.
5- PAYER TOUS LES PARTICIPANTS NOTAMMENT LES ÉLEVEURS, LES TOREROS, LES MUSICIENS, LA SEMAINE SUIVANT LA FERIA. Cet accord a été le seul qui je pense a été respecté, mais je ne sais pas s’il l’a été dans sa totalité car M. Cabanis a préféré se cacher, allant même jusqu’à me bloquer de ses contacts et ne pas répondre à mes appels pour assumer mon désir de respecter les paiements des honoraires convenus en temps et en heure avec chaque participant et non comme ils avaient l’habitude de le faire, lors des ferias précédentes, de régler jusqu’à 7 mois après la fin des ferias, certains restant même impayés.
Bref… Etant au courant de la situation, vous pouvez tirer vos propres conclusions concernant la SUPPOSÉE « Association Culturelle sans but lucratif ». • Je reste avec la satisfaction d’avoir créé celle qui est considérée la meilleure feria de ces 25 dernières années de la Ville d’Alès, avec une grande assistance du public venant de différentes régions de France mais aussi de pays étrangers comme le Venezuela, l’Italie, le Mexique, avec deux pleins de NO HAY BILLETES pour la première fois depuis près de 30 ans, et d’autres spectacles affichant un taux de remplissage avoisinant les 100%, où j’ai créé le concept de la Corrida de la Culture pour mettre en exergue l’Histoire d’Alès, rendre hommage à un personnage emblématique et historique de la ville et de la même manière exposer le talent d’une artiste locale par l’embellissement de la piste des Arènes du Tempéras.
Je continuerai à travailler sur d’autres projets avec autant d’envie et d’implication. Je vous adresse mes meilleures salutations. »
Ce samedi, une partie de la cuadrilla de La Embestida viendra présenter la douzième édition de la désormais traditionnelle et incontournable novillada sans picador de Bouillargues. Il s’agira aussi, après Bellegarde et Alès, de la troisième étape du Trophée Gard Cévennes Camargue. Cette course très courue s’inscrira dans une journée dont vous trouverez ci dessus les grandes lignes. 10h30 : capea de la manade Roumanille pour les élèves des écoles taurines. Entrée gratuite. 12h : Apéritif suivi du repas de l’aficion (20 euros) animé par la Peña Lou Carretié de Fourques. Au menu : salmorejo, paella, fromage, dessert et café. 18h30 : salle de la Bergerie, aura lieu la remise des prix des trophées avant l’apéritif à 19h. Une exposition est également à voir. Des sculptures de Bruno Eliot (autour de l’affiche de la journée) et des photographies de Jotac.
Réservation au 06 20 81 20 41 ou au 06 61 84 08 59.
Le club taurin du Pesqué, Toros y Penas et l’office de tourisme Cœur de Béarn vous proposent, à l’occasion des journées du patrimoine, de visiter les arènes du Pesqué à Orthez
DIMANCHE 22 SEPTEMBRE
Après un peu d’histoire vous foulerez le sable du ruedo Orthezien , vous visiterez les torils, puis sous les arènes au local du club taurin, deux films documentaires sur la tauromachie landaise et espagnole vous serons proposés.
Nous terminerons par un pot de l’amitié
ENTREE GRATUITE RDV 10H30 AUX ARENES DU PESQUE ENTREE PRINCIPALE