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Vic, épisode 2: Corrida de Hijos de Don CELESTINO CUADRI VIDES

Retrouvez cette semaine la vidéo des toros de CUADRI qui seront lidiés lors de la Feria TOROS EN VIC, le samedi 18 mai à 18h par Fernando ROBLEÑO, Esaú FERNÁNDEZ et GÓMEZ DEL PILAR

Réservez vos places sur notre site : https://toros-en-vic.fr/billetterie/ et nous vous donnons rendez-vous dans quelques jours pour un autre reportage.

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Duel Lusitano/Espagnol pour le rejon d’or de Méjanes

Méjanes, accueillera le prestigieux Rejón d’Or le 13juillet avec des toros des frères Jalabert. pour un duel hispano-portugais de rejoneadors avec Sergio Galán, Joao Moura Hijo, Joao Ribeiro Telles, Francisco Palha, Andrés Romero et Sebastián Fernández.

Un moulin, une arène et un tentadero

Il y a la feria de Pâques en Arles, mais il y a des clubs taurins qui organisent des événements à côté qui mérite que l’on s’y attarde davantage. Le club taurin de la Muleta  d’Arles organise un tentadero lors de la feria. Cette année, ils invitent Luis Gerpe que l’on a découvert dans les arènes de Vic-Fezensac et le tout jeune Matador français Solalito avec quatre vaches de la Ganaderia Yonnet affiche alléchante pour les aficionados de la tauromachie.

A quelques centaines de mètres du moulin d’Alphonse Daudet et de nos saines lectures d’enfant, alors que le marché bat son plein, les arènes et ses platanes pour protéger du soleil accueille le public nombreux venant même de Paris et de Londres.

Les quatre vaches de la ganaderia ont un trapio homogène. Elles ont donné des comportements divers. Au cheval, elles y vont avec de la charge en particulier la dernière. Elles ont de la noblesse et exigeante. La première est compliquée considérablement sur la gauche. La dernière est celle qui le plus de noblesse.

Luis Gerpe avec sa seconde vache de la Ganaderia de Yonnet

Luis Gerpe sur sa première vache s’emploie à la cape avec force et qui relève la tête. Il fait de bonne mise en suerte. Sur les naturelles, il a tendance à ne pas amener le bras assez loin, car la vache ne veut pas céder. Sur la droite, ses passes sont plus construites. Aucune émotion se dégage de la faena. Mathias Sauvaire le vaillant jeune élève de l’école taurine d’Arles s’emploie de tapia. Il arrive à faire des naturelles plus élégantes.

Sur la seconde vache qui a le moins d’exigence, mais tout autant de la noblesse. Comme sur sa précédente vache, le matador s’emploie activement à la cape. Il réalise notamment plusieurs sériés de naturelles et de derechazo plus abouti que de la précédente. Son attitude exprime du plaisir que le public ressent. Un autre élève sort de second.

Solalito

Solalito préparé son retour dans les arènes nîmoises aujourd’hui devant ses vaches, il a la même détermination. Il s’applique dans les différents tiers. Confiant dans sa technique, il laisse son inspiration taurine s’exprimer . Ses faenas ont de la profondeur et exploitent bien les capacités du bétail. Le public apprécie. L’émotion se vit, mais il est parfois compliqué de la retranscrire à l’écrit. L’aficion, c’est aussi de se rendre à ces tentaderos qui donnent du plaisir sans l’apparat d’une corrida s’exprime aussi et se termine autour d’un moment de convivialité dans le ruedo sous les platanes.

Photographe Nicolas Couffignal

Texte CN

Juan Leal seul en triomphe pour la dernière corrida en Arles

Clap de fin pour la feria de Pâques en Arles. Après les trombes d’eau le soleil avec le ciel bleu pour finir en beauté avec le lot de la Quinta. Devant le local Juan Leal et sa tauromachie, Gines Marin et Clemente qui vient confirmer son succès de l’an dernier.

Président  Claude Soler. Meteo Soleil 20 °. Musique  Chicuelo

Cavalerie  Bonijol. 8 rencontres et trois piques pour le dernier toro

Public 7/10

Juan Leal deux oreilles / silence

Gines Marin un avis silence / deux avis silence

Clemente salut au tiers / une oreille et vuelta pour le toro

Le lot est homogène de présentation dans l’ensemble. Le premier à beaucoup de noblesse. Le second jusqu’au cinquième soso. Le dernier plus dans le type.

Juan Leal

Juan Leal passe très vite à la cape.
A la muleta, il exécute sa tauromachie tremendiste sur un toro dit “bonbon” mais aussi de longues passes sur les deux bords. Cette tauromachie plaît au public. A l’épée il s’engage. La pétition majoritaire demande la seconde oreille qui est donnée après que l’arrastre soit parti.

Sur son second toro il est pareil à la cape. Plein centre de la piste, il commence à genoux sa faena. La faena va à menos. Une épée qui ne va pas rester dans les mémoires.

Gines Marin a le même comportement dans les premiers tiers sur ses deux toros. Sa faena sur son premier toro ne restera pas dans les anales. Sur le second toro il fait l’effort. Quelques redondo, desplante, il donne des claques sur le dos du toro. Il n’a pas aujourd’hui le “duende” pour construire une belle faena. Il fait plusieurs séries à mi-hauteur. Un pinchazo et une seconde épée qui peine à rentrer. Il a deux avis.

Clemente

Son premier toro est compliqué sur la gauche. Il ne baisse pas la tête. Clémente est engagée à la cape le public reagi avec des olé. Il arrive à construire une faena. Il appuie les séries sur la droite comme sur la gauche. Une belle série de naturelles de face sur la fin. Il n’a pas de chance au fer, surpris par la charge lors de la première tentative et une seconde entière. Le toro met du temps à mourir.


Son second toro est l’un des plus gros. La charge au cheval est franche et il part de loin. Il arrive à faire des séries avec de la profondeur et de l’Alégria. le toro part de loin sur la droite et il a une charge courte sur la gauche. Clemente nous montre ses capacités, torée lentement et le public adhère. L’épée est entière et caida. L’oreille tombe avec un mouchoir bleu, mais le public ne comprend pas pourquoi la seconde n’est pas tombée.

texte W.F

photos Bruno Lasnier

Triomphale despedida de Pablo Hermozo de Mendoza à Arles

Corrida matinale de rejon à Arles. 3/4 d’arène. Toros de San Pelayo, braves et avec du fond sauf le cinquième. Le quatrième toro fait une vuelta.

PABLO HERMOSO DE MENDOZA, silence et deux oreilles 

Photo JF Galeron

LEA VICENS, oreille et oreille.

GUILLERMO HERMOSO DE MENDOZA, deux oreilles et oreille

Pablo Hermoso a montré toute sa tauromachie dans une belle prestation complète. Trois oreilles pour Guillermo Hermoso, son fils, qui a clôturé une matinée riche pleine de toreria à cheval. Et aussi remarquable prestation de Lea Vicens qui a lidié ses deux taureaux avec brio.

Photographies Philipe Gil Mir. 

Enthousiasme sur les tendidos avec ici au centre le maire d’Arles P. de Carolis (photo JF Galeron)

Nouvelle Puerta Grande avec le  triomphe de Talavante en Arles

Au son de Chicuelo les aficionados du rejon et de la corrida à pied sont unis pour cette corrida mixte. Seule l’incertitude météorologique plane. Un lot de la Ganaderia Espartales pour Diego Ventura et un lot de Jandilla pour JM Manzanares et Alejandro Talavante.

Le lot de toros d’Espartales est homogène et le lot de la Ganaderia Jandilla aussi pour les hommes à pieds

Présidence Jacky Boyer. Météo vent nuage menaçant et 14°

Public  6/10. Cavalerie  Bonijol  4 piques

Diego Ventura une oreille et silence

JM Manzanares silence et silence

Alejandro Talavante  deux oreilles / avis deux oreilles et vuelta au toro

A son premier toro, Diego Ventura est très à l aise et sa maîtrise lui permet d assurer. Un bon rejon de muerte lui permet de couper la première oreille de la corrida.

A son second toro. Il hausse le niveau. Sa cavalerie est parfaitement en phase avec lui. A la fin de la faena il enlève les rênes du cheval et réalise une pose avec une banderille dans chaque main d’anthologie. Un bon rejon de muerte mais il rate le premier descabello et ne coupe pas d’oreille.

Premier toro pour JM Manzanares. Ce toro possède un joli trapio de couleur jabonero et fait impression en rentrant dans le ruedo. Le vent empêche le Maestro d’exécuter des Véroniques. Dès le tercio de banderilles le toro garde la gueule ouverte. JM Manzanares entame la faena plein centre. La majorité de sa faena sont des derechazos. JM Manzanares lutte contre le vent pour exécuter des derechazos devant son toro. Aucune émotion ne ressort de cette faena. Une épée entière engagée sur le côté.

Le second toro du Maestro à un trapio identique à son premier. Le travail de JM Manzanares est identique, à peine mieux que le précédent. Des séries sans profondeur. L’épée est correcte.

Avec un toro de Vegahermosa , Alejandro Talavante le Maestro de Badajoz exécute le premier tiers engagé avec des farols et finit avec une belle rebolera. Le public est touché par l’émotion de son geste. Le toro avec une robe noire ne pose aucune difficulté pour exprimer la diversité des passes. Dans la querencia du toril derechazos et naturelles profondes donnent de l’alegria aux public. Kirikiki et Luquesina pour finir en feu d’artifice. Une épée entière efficace engagée permet d’obtenir deux oreilles.

Pas de pluie jusqu’à maintenant, mais de violents coups de vent arrivent pour le dernier toro. Le public est acquis à Talavante. Il entame à la cape sous les olés du public.

Début de faena dans la querencia du toril. A la muleta les series manquent un peu de profondeur. De belles séries de naturelles et de derechazos mais certaines avec le pico. A l’épée il mets une efficace entière. Il utilise le descabello. Deux oreilles et une vuelta pour un bon toro de Jandilla. Talavante a bien profité du bon lot de toro qu’il a eu et sort triomphateur de l’après midi.

Texte W.F

photos Bruno Lasnier

Annulation et report à Aignan

Photo JC Lemelle

La corrida prévue ce dimanche à Aignan a pas pu se dérouler en raison de la pluie. Elle a été reportée à dimanche prochain même cartel. Toros de Baltasar Iban pour Ucdea Leal, Dorian Canton et Christian Parejo.

Le matin, Aignan : Jaïro Lopez triomphateur de la novillada sans picadors

Jairo Lopez (bleu marine et or) hier matin à Aignan est sorti et triomphe des arènes André Ladoues. Il venait de couper une oreille à chacun de ses adversaires, un Astarac et un Camino de Jean-louis Darré. Jaïro Lopez a bénéficié de deux bonnes mise à mort qui ont cloué ses toros sur place, les deux animauc s’’écroulant aussitôt, provoquant une nuée de mouchoirs dans les arènes. Auparavant avec son premier, un Astarac il s’était montré élégant à la cape mais aussi avec beaucoup d’efficacité pour réduire son adversaire. Pour la première de ses deux sorties on le voyait poser les banderilles avec un certain succès, même si sur des quiebros volontaires, à son second, un Camino, il fut parfois en grande difficultés. Avec l’Astarac il bénéficia d’un toro noble où il se fit plaisir dans une faena une faena un peu longue où prenant confiance, il finit par être sévêrement bousculé. Mais il sut se rattraper et terminer d’une entière fulgurante. Une oreille.

Il attaqua sa seconde sortie par une belle série de naturelles, quelques gaoneras, et après son tercio de banderilles attaque sa seconde faena par une série de très belle aidées par le haut. Par la suite, il faut parfait à droite et chiffona à gauche. Mais là encore une ép

Jeanée très efficace lui fit accorder sa seconde oreille.

Face à un tel adversaire, Hadrien Lucq (bleu marine et azabache) manqua rapidement de confiance.

Face à son premier Astarac il fut plutôt bien à la cape. Il commença une faena très sage mais sur sa main droite fut rapidement débordé et châtié. Mais avec courage il revint dans le copbat sur la main gauche et eut du mal a tuer. Deux pinchazos avec une voltereta, unr demie-lame a recibir, silence. Comme deuxième adversaire, il eut un Camino, lourd et bien fait, véritable petit toro applaudi à son entrée en piste. Avec précision et application il profita d’un légère faiblesse du novillo qu’il toréa essentiellement à droite. Il lui infligea tout de même une cogida impressionnante. Hadrien s’acharna à voulooir tuer a recibir ce qu’il parvint à faire après deux pinchazos, une entière atravesada, une entière et trois descabellos, silence.

Jaïro Lopez emporta le pris de l’ACOSO remis par Michel Raymond et Hadrien Licq le prix du club taurin d’Aignan remis par son président Michel Pupin

Jean-Michel Dussol

Novillada Piquée d’Arles : triomphe de Marco Perez et bon toreo de Manuel Roman

Meteo : Printanière avec quelques gouttes, légèrement venteux. Température 15°

Président Jean Paul Marragnon. Cavalerie : Bonijol 6 piques.

Musique Chicuelo. Spectateurs un peu plus d’un quart

Manuel Roman : une oreille (Nuñez Del Cuvillo) silence ( Gallon) salut et Vuelta  deux avis (Santiago Domecq)
Marco Perez : salut (Nuñez Del Cuvillo) deux oreilles et vuelta pour le toro (Gallon)  silence ( Santiago Domecq)

Les différents taureaux sont de présentation homogène, mais de trapio plus petit que ceux de la novillada de la veille. Difficile le premier de Marco Perez, bon le second et trop faible le dernier. Manuel Roman à deux bons toros le premier et le dernier. Son second de Gallon est noble mais trop faible.

Tout au long de la course les deux novilleros ont fait des quites. On assiste à un mano a mano qui se reproduira sûrement dans les années à venir. La compétencia entre ces deux est réelle.

Manuel Roman

L’Andalou sur ces trois taureaux a su exprimer sa technique au-delà des difficultés météorologique. Sur son premier toro dans le premier tiers, il exécute de très belles séries à la cape . A la muleta, il a du temple et sa faena va à mas avec des naturelles pour finir. Il donne le ton de la course et le toro est applaudi à l’arrastre.

Sur le toro de la Ganaderia de Gallon, il n’arrive pas à trouver la solution sa faena est fade et pour acquérir le public à sa cause il utilise la méthode du desplante (public qui n’adhère pas). Il y a plusieurs tentatives à l’épée.

Son dernier toro permet à Manuel Roman de se ressaisir. Les spectateurs ont droit à une larga et une très belle farols. Le dernier toro fait une vuelta de campana à la sortie du cheval ce qui fait l’équivalent de trois piques. Comme sur son premier novillo, dans le dernier tiers, il exécute des derechazos avec de la profondeur parfois sans ayuda. Sa tauromachie a du temple de l’alegria même s’il lui arrive de se faire désarmer. Le public est au ange. Il finit sur de jolies manoletinas. Il met une belle épée entière, le toro met du temps à mourir et il perd l’espoir de sortir de hombros.

Marco Perez

Son premier novillo manque de race. Il execute de jolis veroniques à la cape. Il se se fait deborder dans le dernier tiers. Son épée est engagé et il doit utiliser le descabello .

Il se resaisi en exécutant une puerta Gayola. Ses véroniques expriment de l’émotion et le public le suit . Plein centre il commence avec de nombreuses séries de naturelles et de derechazos. Il finit avec six redondo. L’épreuve du fer est une réussite et le toro meurt en plein centre. Les deux oreilles tombent avec un mouchoir bleu.

Son dernier toro exprime de la noblesse mais il est trés faible et manque de race. Le novillero s’emploie avec détermination pour tirer le meilleur du novillo. Les séries sont à mi hauteurs. Il mets deux épées et la novillada se termine sur une note fade.

texte W.F

photos Bruno Lasnier

En Arles Puerta Grande pour Sébastien Castella et Daniel Luque

Après la novillada piquée matinale première corrida de la feria. C’est la première corrida de Daniel Luque de la temporada qui revient après son triomphe dans ces mêmes arènes en septembre 2023.

Le lot est de présentation homogène. Ils sont faibles dans l’ensemble. Le quatrième et le cinquième sont les meilleurs toros de la tarde.

Public 7/10 d’arène. Météo printanière. Musique Chicuelo

Présidence : Emmanuel Lescot

Cavalerie Bonijol  six piques

Sébastien Castella : 1 oreille avis et deux oreilles (2 avis )

Daniel Luque : Silence et deux oreilles ( 2 avis)

Juan Ortega : Silence et silence sous les sifflets du public

Sebastien Castella avec détermination vient pour couper des oreilles. Lors du premier tiers, avec envie, il entame des véroniques appuyées. Les banderillos posent les trois paires de banderilles. Le premier toro est faible mais avec de la noblesse. Il commence une première série de derechazo prêt de la porte des arrastres. Il enchaine des naturelles avec Alégria ; Il insiste sur les naturelles. Il prend son temps pour tuer le toro. Il place bien une épée entiere et un descabello efficace. La première oreille tombe ainsi qu’un avis.

Son second toro est aussi bon que le premier. Même attitude que son premier toro et le public reagi. À la muleta, il fait des derechazos très profonds, avec du templé et de belles trincheras. Sa faena est longue sans lasser le public. Bon coup d’épée et 2 oreilles avec deux avis.

Daniel Luque dont c’est la première corrida de la temporada entame le premier tiers avec quelques véroniques sans conviction. Il fait un brindis au public. Il commence sa faena avec des passes hautes et des trincheras. La douceur de ces derechazos ne portent pas sur le public. Il n’insiste pas sur les naturelles. Son talent n’arrive pas à trouver la solution. l’épée est bien placée mais il doit utiliser le descabello.

Plus determiné que jamais sur son second toro il commence par des véroniques engagées. Son talent s’exprime à la muleta et l’on retrouve le Maestro de la prècedente temporada. Sa faena est suave avec des naturelles, très abouties. Une satea clin d’oeil à la semaine sainte résonne. Il execute les luquesina plein centre. Deux avis après un coups d’épée engagé et légèrement de coté et deux oreilles.

Très attendu Juan Ortega n’a pas la tête à la course. Sur son premier toro, dans le premier tiers, il exécute des véroniques sans conviction et sa tauromachie est resté en Andalousie. Même à la muleta, il fait une esquisse de son style. Quelques séries à droite et à gauche. Seul une trincherazo exprime un peu d’Alégria.
Sur le second toro il insiste encore moins. Il veut une troisième pique que le palco refuse en demandant le changement de tiers. Quelque passes par le bas et une épée rapide. Il laisse les spectateurs pantois et de nombreux sifflet se font entendre. Il raccourcit la course qui a durée deux heures et demie et un public qui sort content de la corrida.

texte W.F

photos Bruno Lasnier.

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