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David de Miranda Triomphe à la Maeztranza

Ce soir, tout Séville toréait dans la rue et jusque dans les casitas de la féria : La porte du Prince s’était enfin ouverte et pas pour une des figuras en tête de l’escalafon, mais un sans grade qui a quand même connu 25 contrats en 2024, mais dont on ne parlait que dans les cercles informés.

 CAYETANO , silence et applaudissements.

• ROCA Rey, silence et applaudissements.

• DAVID DE MIRANDA , oreille avec forte demande pour la deuxième et les deux oreilles.

Pourtant le lot de toros d’El Parralejo, du moins à la sortie des deux premiers, n’incitait pas à l’optimisme : d’une faiblesse insigne (le premier aurait du être changé, mais la présidence n’a pas su voir avant les banderilles qu’il était quasi intoréable en raison de ses multiples chutes). Cela s’est un peu amélioré ensuite, mais certainement pas pour le 4 et le 5 : Ni Cayetano pour ses adieux à Séville, ni Roca Rey n’ont bénéficié d’un sorteo un peu favorable.

Ce fut la chance de David de Miranda de tomber sur les deux seuls qui pouvaient être toréés mais son talent fut aussi de ne pas laisser passer cette chance.

Il s’était déjà signalé par un quite au premier toro de Roca Rey, en gaoneras, mais en repliant la cape derrière son dos et en citant à cuerpo limpio avant de la déployer pour canaliser l’embestida.

Inspirado, le 3 ème, un castano au frontal clair sort avec alegria et est le premier à répondre aux cites des banderilleros. Intelligemment, De Miranda le fait peu piquer et entame sa faena au centre, ce qui commence à être rare, par des naturelles. Le toro n’est pas très fort, avec une faiblesse du train arrière, mais il a du jus et rentre bien dans la muleta.

C’est une arrucina qui déclenchera la musique après 4 séries bien faites dont des naturelles de face à pieds joints. Une nouvelle série à droite sera très applaudie et suivie par un ensemble de Bernadinas de haut niveau en changeant le voyage du toro. S’ajoute à cette belle œuvre une épée dans le haut et foudroyante et le palco accorde la première oreille subissant une bronca pour ne pas avoir accordé la seconde.

Hojalatero qui sort en 6 ème position sera le meilleur du lot : il sera reçu au centre encore une fois par véroniques et peu piqué. Après les statuaires superbes qui entament la faena, rématées par passe du mépris et trincherilla la musique joue. L’embestida du toro reste vive et bien exploitée par David de Miranda en droitières sur 360 degrés à mi-hauteur :

il conserve tout son jus dans les séries suivantes. Une nouvelle arrucina conclut la série à droite suivante et dans les naturelles s’inscrit ce que j’appellerai, faute de connaitre son nom éventuel, une arrucina de la gauche que je n’avais jamais vue ! Suivent à nouveau des derechazos en rond et le taureau charge toujours ! L’estocade est entière contraire et foudroyante et la présidence n’hésite pas cette fois à sortir 2 mouchoirs qui ouvrent la Porte du Prince.

Malchanceux, Cayetano qui a touché les plus faibles, mais aussi Roca Rey, n’ont pu avoir que quelques beaux gestes épars. Triste despedida de Séville pour Cayetano qui a toréé un lot impossible avec beaucoup de dignité.

Andrés Roca Rey El Parralejo Séville 10 mai 2025 © Ferdinand De Marchi

De son côté Roca Rey a montré son savoir-faire, mais à Séville on aime les passes longues qui durent 3 ou 4 secondes et qui sont liées par-dessus le marché (dixit Zocato). Or Roca Rey est plus électrique et enchaîne avec force et rapidité ses muletazos, ce qui peut être très beau à voir mais ne correspond pas forcément au style de la plaza.

Son premier est sorti faiblard et il n’a rien pu faire. A son second, il entend la musique pour des séries liées des olés pour un pendule de la gauche, mais après pinchazo, l’estocade desprendida ne permet aucune récompense.

Grand moment en ce 10 mai à Séville, où les rues étaient pleines de sourires ce soir !

Jean Yves Blouin (texxte et photos ) et Ferdinand de Marchi photo

Victor Hernández et David Galván sauvent une tarde décevante à Las Ventas

Diego Urdiales Silence / Silence

David Galvan Avis et Vuelta / Vuelta

Victor Hernandez : Oreille / Silence et avis

Une faible corrida d’El Pilar à oublier au plus vite. 5e et 6e renvoyés aux corrals. 1er et 3e rongés par un instinct défensif de mauvais aloi.


Les Urdiales sont restées dignes et inédites face à un 1er qui n’avait pas une passe, et un 4e qui n’en avait guère plus.


Grande clairvoyance de Galván qui démarre le 2e tout en douceur pour amener le toro à se livrer pour lier une faena élégante. Le manque de transmission du toro fera que la forte pétition ne soit pas suffisante et qu’il se contente d’un tour d’honneur.

Le 5e bis de Castillejo de Huebra ne fait pas montre de bonne volonté à la muleta. Galvan s’applique à lui arracher les passes. Pétition minoritaire et nouvelle vuelta al ruedo


Face aux mauvaises manières du 3e, lier deux passes pertinentes de la jauge. Un pari réussi par Hernández avec en particulier des naturelles exposées de grande valeur, au sens français et espagnol (courage) du mot. Une oreille. Avec le 6e bis de Villamarta, pas grand choix à se rappeler malgré l’envie du torero ; le froid avait saisi l’arène et ses spectateurs

Michel NAUDY

Le point de vue de Charles Figini

Tous les lots de toros présentés à Las Ventas sont minutieusement sélectionnés par chaque Ganaderia. Moises FRAILE grand ganadero depuis plus de quarante ans a su avec science et patience fabriquer à partir d’une encaste DOMECQ un toro à la fois spectaculaire et avec une vraie force d’âme. A juste titre il fait partie des élevages toujours choisis par les grandes arènes. Pourtant deux de ces six exemplaires durent être changés le Cinquième pour un défaut de vision évident remplacé par un toro de Castillo de Huebra (même poids et même trapio) et le sixième pour faiblesse par un toro de la ganaderia de Villamarta.

Diego Urdiales : Accueillit Burreñito  avec circonspection, le toro c’est vrai se montra vite très distrait et sans force ni violence à la pique. Le comportement de l’adversaire se détériorant très vite Diego n’insista pas. Peut-on dire qu’il laissa tomber ?  Au moins il abrégea : Un pinchazo, une estocade et un descabello plus tard il était temps de laisser place aux jeunes !

A son deuxième adversaire Burriño un colorado de cinq ans Diego n’eut point à s’employer davantage, un toro sans la plus petite trace de noblesse, tardo , puis presque totalement arrêté plus quelques rafales de vent lui donnèrent toutes les raisons d’arrêter là un combat jamais commencé.

David Galvan :Son premier adversaire de 4 ans et 575 Kg était magnifiquement présenté, il le reçut avec une série de véroniques templées  et parfaitement rythmées. Le toro humiliait et  manifestait une vraie bravoure. On retiendra deux séries de naturelles aussi verticales qu’émouvantes. Il manifesta tout le long de sa faena une science approfondie du toro. Il sut profiter de sa relative faiblesse dans les derniers moments pour faire valoir une tauromachie de douceur et de proximité avec l’animal.La mise à mort fut exécutée dans les règles et le toro tarda un peu à mourir (un deuxième avis sonna). Une faena complète appréciée par le public exigeant de Madrid mais pas par la présidence qui ne lui accorda pas l’oreille.

David GALVAN vit arriver un cinquième qui, lui, ne voyait pas ou trop peu et qui fut immédiatement changé pour un  sobrero de « Castillo de Huebra »  de presque six ans mais avec toutes les qualités du toro noble, il humiliait, « mettait la tête » et le maestro sut en profiter, mais pas très longtemps car Sembrador se décomposa assez vite. Malgré tout David Galvan sut le garder et provoquer la « embestida » du bicho , il sut le toréer de près en fin de faena et donna une estocade en place et efficace qui a conquis le public…Mais pas la présidence. Une vuelta tristounette s’en suivit.

Victor Hernandez : Devant ses deux adversaires s’est montré digne de sa jeune réputation. Certes son premier adversaire le désarma à la sortie de la pique, certes, son second (un sobrero de Villamarta )lui causa pas mal de tracas , mais l’entrega du jeune homme, en même temps que sa technique sut conquérir le cœur des madrilènes. A son premier il opposa une tauromachie profonde et sincère par naturelles absolument pures et sans affèteries. La présidence voulut bien reconnaitre ses mérites et lui accorda une oreille largement plébiscitée par le public. A son second l’échec à la mort lui coutât cette fameuse « puerta grande ». Ne doutons pas du bel avenir de ce jeune homme.

Ch FIGINI

Le Tendido Risclois annonce les élevages pour la corrida de competencia

En 2025, la corrida des Fêtes de RISCLE aura lieu le samedi 2 août.

À la suite du succès de la corrida de l’an passé, le « Tendido Risclois » a décidé de proposer à nouveau une competencia ganadera composée de six élevages français :

Photo du Toro de la Ganaderia Barcelo (Crédit photo Jean-Michel Danard)

 Cuillé, Jalabert frères, Barcelo , Blohorn, La Suerte et Malaga (présentation en corrida).

Au cours des dernières temporadas, ces élevages français ont été en constante progression.

Cette journée taurine, qui sera entièrement fournie par du bétail français, débutera par une novillada sans picadors matinale de 3 novillos de Barcelo, suivie par le traditionnel repas convivial.

Le cartel complet de cette corrida sera communiqué prochainement.

Nc

Ganadería Aurelio Hernando, les toros jaboneros de la Sierra de Guadarrama, par Philippe Gil Mir

Soto del Real (Madrid). Lundi 28 avril 2025. Ganadería Aurelio Hernando, Finca: “Carascosilla »  Soto del Real. Devisa Caña et Noir y señal Orejisana.

Alors que l’Espagne était toute entière était privé d’électricité dû à « L’apagón » sans que nous nous en rendions compte, j’étais reçu, à l’invitation de Francis Fabre et Joël Bartolotti, de la prestigieuse revue, maintenant centenaire « Toros » en vue d’un prochain article, par l’éleveur Aurelio Hernando Dans la finca « Carascosilla » à Soto del Real (Madrid), L’élevage d’Aurelio Hernando, l’un des rares qui conserve actuellement le mythique sang Veragua. Un encaste brave de lignée, qui dans cette maison est sélectionné pour maintenir ses robes variées et sa caste sérieuse pour que ses taureaux chargent avec la bravoure, de bon style avec longueur qui favorisent le succès dans la tauromachie actuelle.

Le ganadero Aurelio Hernando nous as conduit dans tous ses cercados pour nous montrer ses becerros, vacas, erales, utreros et cuatreños, un total de 600 têtes environ, tout en nous expliquant les caractéristiques et l’histoire de son élevage sans avoir sa langue dans la poche.

Aurelio Hernando est un passionné. De toros, bien entendu, mais pas seulement. Le cheval est également son « dada ». L’homme tient un centre équestre à Soto del Real et concourt à haut niveau sur des parcours de saut d’obstacles. Des toros, des chevaux, vous imaginez son emploi du temps, mais quand on aime on ne compte pas. Côté bétail, son amour se porte sur l’encaste Veragua. Un amour impossible. C’est de l’amour que naissent les illusions qui poussent à la déraison. Et parfois il convient d’être déraisonnable, en tauromachie on nomme cela romantisme, ce qui permet d’ôter la part de folie que contient le mot. Aurelio Hernando n’est pas fou, bien au contraire. Il s’agit d’un homme calme, doux, posé et seul l’amour pour le toro de combat et l’encaste Veragua a pu le pousser dans un projet aussi déraisonnable qu’élever les descendants du Duc de Veragua au XXI° siècle.

Il a débuté comme ganadero en 1992 en s’associant avec Javier Gallego García pour sauver le nucléon restant d’origine Veragua de l’élevage familial de ce dernier. Ils partirent avec 17 vaches et 1 étalon. Une ganadería type « arche de Noé » baptisée « Hernando-Gallego », qui regroupe les vestiges veragueños de l’ancien élevage de Enrique García Gonzalez, dont le fer original annoncé « Hijas de don Enrique García » est dès lors vacant. Les deux hommes attaquent avec foi et passion leur quête salvatrice. Le sort semble avec eux. Bien que l’unique étalon meure très vite, un mâle sortira des vaches pleines. Sa filiation lui impose sa fonction et cet étalon désigné se révèle d’exception. Il y a des signes qui ne trompent pas. La bête régnera sur le troupeau durant quatorze années.

Peu à peu, les deux hommes consolident leur ganadería. Si toute leur attention est portée sur la caste Veragua, une vingtaine de vaches ne peuvent constituer une ganadería. Ils augmentent ainsi le troupeau avec des vaches d’origine Domecq de chez Victoriano del Río. Cette seconde lignée étant maintenue séparément. À Force de travail, Aurelio et Javier arrivent au nouveau millénaire avec une centaine de vaches Veragua. Mission accomplie. L’amour l’a emporté sur la raison et grâce à la déraison de nos deux ganaderos les Veragua de la famille Gallego nous sont parvenus. En 2002, Javier et Aurelio se séparent. Aurelio déménage dans la banlieue de Soto del Real, dans l’ancienne finca de José Aleas (frère de Manuel) dont la placita est d’époque. Sa devise caña y negro a fait sa présentation à Soto del Real à l’occasion d’une novillada sans picador en 2004. L’année suivante, l’élevage fait sortir ses premiers novillos en novillada avec picador. Suit en 2006 la première corrida, toujours à Soto del Real. La camada est courte mais Aurelio ne peine pas à vendre son bétail qui est lidié principalement dans les alentours de Madrid. 2011 est une année charnière, l’élevage fait sa présentation en France à Orthez et un sobrero sort à Madrid. Dès lors, elle y sera répétée presque chaque année. L’élevage commence à se faire un nom et on ne peut que s’en réjouir. Le 14 juin 2025, ils seront lidié à Navas del Rey (Madrid) pour la première demi-finale de la Copa Chenel

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Philippe Gil Mir

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© Philippe Gil Mir Utreros Ganadería Aurelio Hernando – Soto del Real 28-04-2025

Copa Chenel: Carlos Olsina parmi les qualifiés

Samedi, à Valdemoro, après délibération du jury, les deux premiers noms en demi-finale sont Jorge Molina avec 15,70 points et Daniel Crespo avec un total de 12,33 points. Francisco Montero a terminé troisième de l’après-midi avec 12,23 points, restant à l’écart du tour suivant.

La deuxième corrida a eu lieu dimanche à Algete. Taureaux de José Cruz et Martín Lorca pour Rubén Pinar, Carlos Olsina et Sergio Rodríguez. Le vainqueur de l’après-midi a été Sergio Rodríguez avec 15,60 points suivi de Carlos Olsina, qui a totalisé 12,60 points, tous deux devenant demi-finalistes. Rubén Pinar est exclu du prochain tour après avoir obtenu 7,23 points.

Jorge Molina, Daniel Crespo, Sergio Rodríguez et Carlos Olsina sont ainsi les quatre premiers demi-finalistes de la Coupe Chenel 2025.

Madrid: deux tendidos à vendre

Madrid Un tendido Bajo de sol à vendre pour le 9 mai (58 euros prix annoncé)

Viernes, 9 de mayo (19H.). Corrida de toros. Toros de Victoriano del Río y Toros de Cortés para Talavante, Juan Ortega y Clemente (confirmación). 

Madrid Un tendido Bajo de sol pour le 10 mai (64 euros prix annoncé

Sábado, 10 de mayo (19H.). Corrida de toros. Toros de El Pilar para Diego Urdiales, David Galván y Víctor Hernández

06 87 18 05 29

Clovis le 14 juillet à Plaisance

Vainqueur du Bolsín de Bougue 2025

Clovis sera donc le premier novillero à figurer au cartel de la novillada du 14 juillet prochain à Plaisance-du-Gers, face aux novillos de Camino de Santiago et Alma Serena.

📅 Rendez-vous le 5 juin prochain pour découvrir l’affiche et le cartel complet !

En attendant, restez connectés : d’autres informations arrivent très prochainement !

Communiqué de L’équipe V5H

Trujillo: nouveau sommet de Perera

Arènes de Trujillo , Cáceres . Corrida à la Foire aux Fromages 2025 . Moins de la moitié plein. Taureaux de Sancho Dávila, avec une bonne présentation générale et un jeu varié.

  • MIGUEL ÁNGEL PERERA, une oreille et une oreille
  • BORJA JIMÉNEZ, une oreille après l’avertissement et deux oreilles après avis
  • PABLO AGUADO, ovation et oreille pétition de la seconde.

Villaseca de la Sagra: David Gutierrez remporte l’Alfarero de plata.

Finale de la novillada sans picador de Villaseca de la Sagra. 3/4 d’arène, beau temps

Novillos de la Olivilla et de las Cantiles. 5è le meilleur, le plus imposant du lot crédité de la vuelta, le 2è applaudi à l’arrastre, plus compliqués les 3è, 4 et 6è.

Sur les 18 aspirants sélectionnés pour l' »Alfarero de plata », 3 se retrouvent aujourd’hui en finale.

   . Esteban Gordillo (malabar et or) 1 entière, 3 descabellos: applaudissements.  1 pinchazo, 1 entière, 1 descabello, 1 oreille

  . David Gutièrrez (oeuf en neige et or): 1 entière, 1 avis: 2 oreilles. 1 entière fulgurante, 1 oreille.

  . Clovis (bleu nuit et or): 2 pinchazos, 1 avis, 1 entière, silence; 1 entière, silence.

Profitant du meilleur sorteo, Gutièrrez n’a pas laissé passer l’opportunité de briller surtout à son 2è, le meilleur des 6 qu’il a toréé al gusto avec beaucoup de profondeur.

De l’envie aussi à son 1er dont il termine sa faena par redondos suivis de luquesinas. Gordillo a un bon lot ;  faena hachée à son 1er, il est dépassé par son 2è qui lui inflige 3 volteretas sans gravité; le public demande l’oreille du courage accordée avec la bienveillance du palco.

Clovis hérite du lot le mois favorable: il compose une faena de poder à son 1er qui hélas se termine mal aux aciers. Avec son 2è, après un beau capotazo par chicuelinas, il se fait accrocher à sa première série de muleta. Malgré son envie, le novillo avisé le cherche; 1 entière sans effet sur le conclave.

JJ Joaniquet

Les prix de cette IXème rencontre Alfarero de Plata, triomphateur David Gutiérrez,

Meilleur ganaderia La Ollivilla,

Meilleur Novillo N° 21 Escritor de Victor Huertas,

Meilleur subalterne Cristian Expósito

Béziers, l’affiche de la féria

L’affiche de la Feria 2025 a été dévoilée ce vendredi soir sur le parvis des  arènes dans le cadre de l’ouverture de la Feria Off, avec présentation des vins…

Mrs. Robert Ménard, maire de Béziers, Olivier Margé, empresa, les toreros Christian Parejo et Carlos Olsina, ainsi que plusieurs personnalités taurines ont dévoilé l’affiche de la Feria représentant Sébastien Castella qui fête cette année ses 25 ans d’alternative…

L’œuvre surplombe l’entrée principale des arènes. Elle a été réalisée par Jérôme Gerle, du service communication municipal…

torofiesta.com

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