Après l’annonce de Morante de la Puebla qu’il ne pourra finalement pas se produire au festival de ce samedi à la Maestranza de Séville, l’empresa Pagés et le coordinateur du festival, Juan Antonio Ruiz ‘Espartaco’, ont décidé que Manuel Jesús ‘El Cid’ serait celui qui le remplacerait. Il convient de rappeler que le festival sera au profit de la Confrérie des Gitans et de Nuevo Futuro Sevilla et servira à rendre hommage à Curro Romero. La célébration commence à 17 h 30.
L’affiche est enfin la suivante :
– S 12/10 : Diego Urdiales, El Cid, Daniel Luque, Oliva Soto, Pablo Aguado et le novillero, Javier Zulueta (Núñez del Cuvillo, Fuente Ymbro, Zacarías Moreno, El Parralejo, El Vellosino et Jandilla).
Le torero salmantino Manuel Diosleguarde et ses désormais ex-apoderados Ángel Castro, Nacho Matilla et José Ignacio Cascón, ont décidé de rompre leur relation professionnelle pour la prochaine temporada. Le jeune matador salmantino se trouve pour le moment sans mentor.
Tristán Barroso ne pourra pas prendre l'alternative samedi à Saragosse. Le torero s'est testé sur le terrain cette semaine et, après avoir vérifié que l'épaule opérée en juillet dernier ne répond pas comme prévu, il a décidé de ne pas défiler samedi à Saragosse car il n'est pas prêt à cent pour cent.
Tristán Barroso a subi l'une des blessures les plus dures de la saison à Mont de Marsan, une blessure qui l'a contraint à se faire opérer fin juillet. Après des mois de récupération et d'efforts, Tristán Barroso a progressé mais pas aussi vite que prévu, donc après s'être testé sur le terrain cette semaine, il a confirmé qu'il est impossible d'être au niveau suffisant le samedi, au coso de la Misericordia, où Enrique Ponce devait lui donner l'alternative en présence d'Emilio De Justo.
Après cette décision, l'idée et les projets de Tristán Barroso et de toute son équipe sont d'attendre le début de la prochaine campagne pour accéder aux échelons supérieurs.
C’est un des plus grands maestros de l’Histoire récente du toreo qui sera reçu ce jeudi par la peña des Graves à la salle des fêtes de La Brède. Un toreo qui a obtenu de grands succès dans tout l’univers taurin mais qui a construit des liens particuliers avec le sud-ouest où il a signé des triomphes mémorables. C’est aussi un homme simple et cordial, passionné qui a noué une relation forte avec Zocato le grand chroniqueur taurin qui sera là pour cette soirée animée avec le grand aficionado Alain Biec. Une soirée historique car la tauromachie est en voie d’interdiction dans la pays natal de Cesar, la Colombie. Un nouvel Oukase du président Petro qui la dirige désormais après un long passé dans la guerilla a prévu son extinction à court terme. Ce sera donc l’occasion de montrer notre solidarité avec la Colombie Taurine.
Cesar Rincon a défilé deux fois à La Brède : le 28 juin 1997 et le 19 juin 1999 avec Vicente Barrerra et Eugenio de Mora Toros de Victoriano del Rio et Alcurucen
Félicitations à Michel Campistrau et à toute son équipe pour cette belle proposition
Il y a 40 ans exactement dans les arènes de Pozoblanco un toro de Salayero y Banfdres blessait mortellement le matador de toro Francisco Rivera Paquirri. Le gaditano amenait son adversaire au cheval par delantales regardant le public dans un geste de défi. Il fut pris par l’animal retors, la fémorale percée et après être passé à l’infirmerie des arènes, il fut conduit en ambulance à Cordoues et il mourut à son arrivée à l’hôpital après plusieures heures d’atroces souffrances, la route étant dans un état épouvantable. Ce fut une sorte de collapse qui non seulement concerna le monde de l’aficion mais aussi l’Espagne dans son ensemble et on pointa du doigt sévèrement à cette occasion le manque d’équipement des villes isolées des capitales régionales.
Paquirri fut un des plus grands matadors de l’histoire de la taurmachie: sa fin tragique ne doit pas faire oublier son importance. Torero largo Francisco Rivera brillait dans les trois tiers, aux banderilles notamment qu’il n’a jamais lâchées, et c’était un tueur intrépide et sûr qui n’hésitait pas à user du recibir. Personnage charismatique il était aussi, comme Cordobes, une idole des masses avides de liberté au crépuscule du franquisme. Il avait su par son courage et sa détermination échapper au destin misérable qui lui était promis et c’est sans doute cela qui en fait sa popularité.
Spontané, gentil, amène avce les grands comme les modestes, c’était un seigneur sans prétention avec lequel il faisiat bon discuter en toute simplicité. Un grand Monsieur qui n’est sans doute pas au rang qu’il mérite dans le grand livre du toreo.
Algemesí, Valence. Cinquième célébration de la Semaine Bous 2024. Complet. Novillos de Jandilla (1er, 2ème, 4ème et 5ème) et Hnos Serrano (3ème), bien présentés le quatrième, nommé ‘Almirante’, récompensé par une vuelta.
Le torero français Adrien Salenc « Adriano » a été opéré ce mardi à l'hôpital Fremap de Majadahonda pour sa blessure à l'épaule droite. Sous anesthésie générale, le chirurgien Fernando García de Lucas a opéré le torero avec la technique Latarjet. Avec cette intervention chirurgicale, le torero espère mettre fin à ses épisodes de luxations à répétition, qui l'ont limité dans ses succès cette saison. Le torero est désireux d’entamer au plus vite sa rééducation afin d’être en parfaite condition physique pour le début de la saison 2025.
Président. : Manuel Gonzalez Miguel Angel Perera : Silence et Silence Daniel Luque : Une oreille et Salut Borja Jimenez :Silence et Silence Cavalerie :Douze rencontres Public : 1/3 d’arène
On ne garde pas un souvenir marquant des toros de la ganaderia de Zalduendo lors de cette première corrida à Logroño. Le lot est homogène en présentation. L’attitude générale de la noblesse met en évidence à la fois des signes de faiblesse et une absence de bravoure.. Seul le vin de la rioja donne de l’ivresse lors de cette course. Les toros ont tous quatre ans et les sobreros cinq ans.
Miguel Angel Perera et son premier toro
Le toro garde la gueule fermée tout au long de la lidia . Le maestro exécute une belle faena à la cape. Elle va à mas. Le public demande le changement du toro après la pique.Le public chante lors du tercio de banderille. Miguel Angel Perera brinde son toro au public. Il réalise un magnifique travail à mi-hauteur lors de sa faena. » Aguero » retenti rapidement. L’enthousiasme du public pour l’œuvre du maestro ne cesse de grandir tout au long de la faena. L’épée fait perdre l’éventuel trophée.
Naturelle de Miguel Angel Perera sur son premier toro
Le second toro est faible voir decaste. La musique donne de l’émotion que la faena n’exprime pas. L’expression du visage de Miguel Angel Perera trahit une profonde désillusion. Sa détermination et ses compétences semblent dérisoire face à ce toro qui ne permet pas de transmettre d’émotion. Sans un engagement exceptionnel, il met une belle épée.
Daniel Luque dans ces oeuvres
Daniel Luque n’est pas inspiré à la cape sur son premier toro qui a une charge courte sur la gauche .Comme sur le précédent le public siffle après la pique. L’inspiration du maestro avec sa tauromachie appliqué s’exprime dès le début de la faena sur des derechazos. Sur la gauche, il se fait accrocher. Avec de l’alégria, il exécute toute une série de trincheras et de trincherillas. Il finit par ses luquesina . Dans un silence de cathédrale, il exécute une épée engagée et bien placée. Les panuelos sont majoritaires et le président n’hésite pas à donner la première oreille, mais résiste à la pétition pour la seconde.
Le second toro est très bien présente. Daniel Luque s’investit davantage dans ce premier tiers. Il débute sa faena par des naturelles. Le reste de la faena n’exprime pas grand-chose. Seul le morceau « Lalo Moreno » fait réagir le public. Dans le calme solennel du moment, la première tentative à l’épée est un pinchazo. La seconde tentative, le bruit enivrant du palo fait écho de manière éclatante à travers l’arène.
Quite de Borja Jimenez sur le premier toro de Daniel Luque
Borja Jimenez Celui qui se présente dans cette arène tête découverte lors du paseo, commence avec un premier toro avec des séries à la cape très appuyé. Le toro plante non pas un essai derrière la ligne mais les cornes qui lui faire une impressionnante vuelta de campana. Le toro va pas se remettre de ce mouvement. Il va garder la bouche ouverte tout au long de la lidia . Lors de la faena , le torero est soutenu par quelques applaudissement .L’épreuve du fer est l’image de faena insignifiante.
Vuelta de campana sur le premier toro de Borja Jimenez
Alors que l’orage se déchaîne dehors, le trapio et le comportement du dernier toro est à l’identique de ces prédécesseurs. Borja Jimenez ne fait pas les mêmes erreurs que sur le précédent. A la cape et à la muleta, ses faenas sont propres et appliquées. Aucune émotion ne se transmet au public qui pense plus à faire la fête en ville et sa première nuit de fête. Une demi-épée et le descabello. Les trois toreros déçus sont applaudis lors de leur sortie.
« Comme j’avais annoncé lors d’une conférence de presse mon incorporation dans l’association Tempéras Alès Cévennes à la demande de M. Cabanis en tant que directeur pour élever une feria qui se trouvait en déclin, je porte à votre connaissance que j’ai décidé, tout comme M. Estebán Díaz, de me retirer de l’association SUPPOSÉE culturelle à cause d’irrégularités de grande importance.
Le 23 décembre 2023, Monsieur Estebán Díaz et moi-même avons eu une réunion avec M. Cabanis pour parler de la programmation de la feria d’Alès 2024. Nous avons également posé des conditions qui ont été acceptées dans leur intégralité par les 4 partenaires, ceci pour la bonne exécution de cette feria.
Ci-après les 5 conditions :
1- UNE TOTALE TRANSPARENCE ENTRE LES 4 ASSOCIÉS. Cet accord N’A PAS ÉTÉ respecté par Messieurs Cabanis et Vinuesa, car après la feria, lors de 3 réunions qui étaient programmées, ils n’ont pas présenté de factures réelles ni de comptes clairs, ne présentant que des feuilles avec des montants irréguliers et surévalués, créés par eux-mêmes, qui variaient et augmentaient à chaque réunion, au profit d’eux même, mettant en évidence un manque total de transparence.
2- UN COMPTABLE PROFESSIONNEL ET INDÉPENDANT DES 4 ASSOCIÉS QUI TIENT LES COMPTES. Accord qui N’A PAS ÉTÉ respecté par ces messieurs, puisque les comptes ont été manipulés par eux-mêmes et leur secrétaire personnelle, et que 4 mois après la fin de la feria, nous n’avions aucune information concernant les résultats financiers de la feria, étant entendu que j’attire votre ATTENTION sur le fait que nous parlons de montants à 6 chiffres.
3- NOUS RÉUNIR AVEC LA COMMISSION TAURINE D’ALÈS 15 OU 30 JOURS APRÈS LA FERIA POUR MONTRER LES COMPTES, PROPOSER DE NOUVELLES IDÉES ET PARLER DE POSSIBLES AMÉLIORATIONS. Accord qui N’A PAS ÉTÉ RESPECTÉ NON PLUS. Selon Tempéras Alès Cévennes, il s’agit d’une ASSOCIATION CULTURELLE SANS BUT LUCRATIF. Il aurait été logique de parler pour de futures améliorations et montrer les comptes pour recevoir de possibles aides de la Mairie, mais il est évident que ce type de réunion n’intéresse pas ces deux messieurs pour ne pas être découverts.
4- AVANT D’EFFECTUER TOUT PAIEMENT, CELUI-CI DOIT ÊTRE VALIDÉ PAR 2 MEMBRES DE L’ASSOCIATION, EN L’OCCURRENCE M. CABANIS ET MOI-MÊME. Accord qui N’A PAS ÉTÉ respecté. M. Cabanis a effectué de supposés paiements sans mon autorisation et sans présenter de justificatifs signés par les bénéficiaires.
5- PAYER TOUS LES PARTICIPANTS NOTAMMENT LES ÉLEVEURS, LES TOREROS, LES MUSICIENS, LA SEMAINE SUIVANT LA FERIA. Cet accord a été le seul qui je pense a été respecté, mais je ne sais pas s’il l’a été dans sa totalité car M. Cabanis a préféré se cacher, allant même jusqu’à me bloquer de ses contacts et ne pas répondre à mes appels pour assumer mon désir de respecter les paiements des honoraires convenus en temps et en heure avec chaque participant et non comme ils avaient l’habitude de le faire, lors des ferias précédentes, de régler jusqu’à 7 mois après la fin des ferias, certains restant même impayés.
Bref… Etant au courant de la situation, vous pouvez tirer vos propres conclusions concernant la SUPPOSÉE « Association Culturelle sans but lucratif ». • Je reste avec la satisfaction d’avoir créé celle qui est considérée la meilleure feria de ces 25 dernières années de la Ville d’Alès, avec une grande assistance du public venant de différentes régions de France mais aussi de pays étrangers comme le Venezuela, l’Italie, le Mexique, avec deux pleins de NO HAY BILLETES pour la première fois depuis près de 30 ans, et d’autres spectacles affichant un taux de remplissage avoisinant les 100%, où j’ai créé le concept de la Corrida de la Culture pour mettre en exergue l’Histoire d’Alès, rendre hommage à un personnage emblématique et historique de la ville et de la même manière exposer le talent d’une artiste locale par l’embellissement de la piste des Arènes du Tempéras.
Je continuerai à travailler sur d’autres projets avec autant d’envie et d’implication. Je vous adresse mes meilleures salutations. »
Gérard Ducés l’apoderdao gersois du jeune novillero madrilène Victor Cerrato nous fait part des succès de son poulain dans un communiqué que nous publions bien volontiers:
« Alors que la temporada n’est pas encore terminée pour lui, le novillero madrilène Victor CERRATO vient d’achever une série de novilladas avec un résultat extraordinaire.