Résultats: "madrid" Page 16 sur 23

Victor Hernández et David Galván sauvent une tarde décevante à Las Ventas

Diego Urdiales Silence / Silence

David Galvan Avis et Vuelta / Vuelta

Victor Hernandez : Oreille / Silence et avis

Une faible corrida d’El Pilar à oublier au plus vite. 5e et 6e renvoyés aux corrals. 1er et 3e rongés par un instinct défensif de mauvais aloi.


Urdiales est resté digne et inédit face à un 1er qui n’avait pas une passe, et un 4e qui n’en avait guère plus.


Grande clairvoyance de Galván qui démarre le 2e tout en douceur pour amener le toro à se livrer pour lier une faena élégante. Le manque de transmission du toro fera que la forte pétition ne soit pas suffisante et qu’il se contente d’un tour d’honneur.

Le 5e bis de Castillejo de Huebra ne fait pas montre de bonne volonté à la muleta. Galvan s’applique à lui arracher les passes. Pétition minoritaire et nouvelle vuelta al ruedo


Face aux mauvaises manières du 3e, lier deux passes pertinentes de la jauge. Un pari réussi par Hernández avec en particulier des naturelles exposées de grande valeur, au sens français et espagnol (courage) du mot. Une oreille. Avec le 6e bis de Villamarta, pas grand choix à se rappeler malgré l’envie du torero ; le froid avait saisi l’arène et ses spectateurs

Michel NAUDY

Le point de vue de Charles Figini

Tous les lots de toros présentés à Las Ventas sont minutieusement sélectionnés par chaque Ganaderia. Moises FRAILE grand ganadero depuis plus de quarante ans a su avec science et patience fabriquer à partir d’une encaste DOMECQ un toro à la fois spectaculaire et avec une vraie force d’âme. A juste titre il fait partie des élevages toujours choisis par les grandes arènes. Pourtant deux de ces six exemplaires durent être changés le Cinquième pour un défaut de vision évident remplacé par un toro de Castillo de Huebra (même poids et même trapio) et le sixième pour faiblesse par un toro de la ganaderia de Villamarta.

Diego Urdiales : Accueillit Burreñito  avec circonspection, le toro c’est vrai se montra vite très distrait et sans force ni violence à la pique. Le comportement de l’adversaire se détériorant très vite Diego n’insista pas. Peut-on dire qu’il laissa tomber ?  Au moins il abrégea : Un pinchazo, une estocade et un descabello plus tard il était temps de laisser place aux jeunes !

A son deuxième adversaire Burriño un colorado de cinq ans Diego n’eut point à s’employer davantage, un toro sans la plus petite trace de noblesse, tardo , puis presque totalement arrêté plus quelques rafales de vent lui donnèrent toutes les raisons d’arrêter là un combat jamais commencé.

David Galvan :Son premier adversaire de 4 ans et 575 Kg était magnifiquement présenté, il le reçut avec une série de véroniques templées  et parfaitement rythmées. Le toro humiliait et  manifestait une vraie bravoure. On retiendra deux séries de naturelles aussi verticales qu’émouvantes. Il manifesta tout le long de sa faena une science approfondie du toro. Il sut profiter de sa relative faiblesse dans les derniers moments pour faire valoir une tauromachie de douceur et de proximité avec l’animal.La mise à mort fut exécutée dans les règles et le toro tarda un peu à mourir (un deuxième avis sonna). Une faena complète appréciée par le public exigeant de Madrid mais pas par la présidence qui ne lui accorda pas l’oreille.

David GALVAN vit arriver un cinquième qui, lui, ne voyait pas ou trop peu et qui fut immédiatement changé pour un  sobrero de « Castillo de Huebra »  de presque six ans mais avec toutes les qualités du toro noble, il humiliait, « mettait la tête » et le maestro sut en profiter, mais pas très longtemps car Sembrador se décomposa assez vite. Malgré tout David Galvan sut le garder et provoquer la « embestida » du bicho , il sut le toréer de près en fin de faena et donna une estocade en place et efficace qui a conquis le public…Mais pas la présidence. Une vuelta tristounette s’en suivit.

Victor Hernandez : Devant ses deux adversaires s’est montré digne de sa jeune réputation. Certes son premier adversaire le désarma à la sortie de la pique, certes, son second (un sobrero de Villamarta )lui causa pas mal de tracas , mais l’entrega du jeune homme, en même temps que sa technique sut conquérir le cœur des madrilènes. A son premier il opposa une tauromachie profonde et sincère par naturelles absolument pures et sans affèteries. La présidence voulut bien reconnaitre ses mérites et lui accorda une oreille largement plébiscitée par le public. A son second l’échec à la mort lui coutât cette fameuse « puerta grande ». Ne doutons pas du bel avenir de ce jeune homme.

Ch FIGINI

Ganadería Aurelio Hernando, les toros jaboneros de la Sierra de Guadarrama, par Philippe Gil Mir

Soto del Real (Madrid). Lundi 28 avril 2025. Ganadería Aurelio Hernando, Finca: “Carascosilla »  Soto del Real. Devisa Caña et Noir y señal Orejisana.

Alors que l’Espagne était toute entière était privé d’électricité dû à « L’apagón » sans que nous nous en rendions compte, j’étais reçu, à l’invitation de Francis Fabre et Joël Bartolotti, de la prestigieuse revue, maintenant centenaire « Toros » en vue d’un prochain article, par l’éleveur Aurelio Hernando Dans la finca « Carascosilla » à Soto del Real (Madrid), L’élevage d’Aurelio Hernando, l’un des rares qui conserve actuellement le mythique sang Veragua. Un encaste brave de lignée, qui dans cette maison est sélectionné pour maintenir ses robes variées et sa caste sérieuse pour que ses taureaux chargent avec la bravoure, de bon style avec longueur qui favorisent le succès dans la tauromachie actuelle.

Le ganadero Aurelio Hernando nous as conduit dans tous ses cercados pour nous montrer ses becerros, vacas, erales, utreros et cuatreños, un total de 600 têtes environ, tout en nous expliquant les caractéristiques et l’histoire de son élevage sans avoir sa langue dans la poche.

Aurelio Hernando est un passionné. De toros, bien entendu, mais pas seulement. Le cheval est également son « dada ». L’homme tient un centre équestre à Soto del Real et concourt à haut niveau sur des parcours de saut d’obstacles. Des toros, des chevaux, vous imaginez son emploi du temps, mais quand on aime on ne compte pas. Côté bétail, son amour se porte sur l’encaste Veragua. Un amour impossible. C’est de l’amour que naissent les illusions qui poussent à la déraison. Et parfois il convient d’être déraisonnable, en tauromachie on nomme cela romantisme, ce qui permet d’ôter la part de folie que contient le mot. Aurelio Hernando n’est pas fou, bien au contraire. Il s’agit d’un homme calme, doux, posé et seul l’amour pour le toro de combat et l’encaste Veragua a pu le pousser dans un projet aussi déraisonnable qu’élever les descendants du Duc de Veragua au XXI° siècle.

Il a débuté comme ganadero en 1992 en s’associant avec Javier Gallego García pour sauver le nucléon restant d’origine Veragua de l’élevage familial de ce dernier. Ils partirent avec 17 vaches et 1 étalon. Une ganadería type « arche de Noé » baptisée « Hernando-Gallego », qui regroupe les vestiges veragueños de l’ancien élevage de Enrique García Gonzalez, dont le fer original annoncé « Hijas de don Enrique García » est dès lors vacant. Les deux hommes attaquent avec foi et passion leur quête salvatrice. Le sort semble avec eux. Bien que l’unique étalon meure très vite, un mâle sortira des vaches pleines. Sa filiation lui impose sa fonction et cet étalon désigné se révèle d’exception. Il y a des signes qui ne trompent pas. La bête régnera sur le troupeau durant quatorze années.

Peu à peu, les deux hommes consolident leur ganadería. Si toute leur attention est portée sur la caste Veragua, une vingtaine de vaches ne peuvent constituer une ganadería. Ils augmentent ainsi le troupeau avec des vaches d’origine Domecq de chez Victoriano del Río. Cette seconde lignée étant maintenue séparément. À Force de travail, Aurelio et Javier arrivent au nouveau millénaire avec une centaine de vaches Veragua. Mission accomplie. L’amour l’a emporté sur la raison et grâce à la déraison de nos deux ganaderos les Veragua de la famille Gallego nous sont parvenus. En 2002, Javier et Aurelio se séparent. Aurelio déménage dans la banlieue de Soto del Real, dans l’ancienne finca de José Aleas (frère de Manuel) dont la placita est d’époque. Sa devise caña y negro a fait sa présentation à Soto del Real à l’occasion d’une novillada sans picador en 2004. L’année suivante, l’élevage fait sortir ses premiers novillos en novillada avec picador. Suit en 2006 la première corrida, toujours à Soto del Real. La camada est courte mais Aurelio ne peine pas à vendre son bétail qui est lidié principalement dans les alentours de Madrid. 2011 est une année charnière, l’élevage fait sa présentation en France à Orthez et un sobrero sort à Madrid. Dès lors, elle y sera répétée presque chaque année. L’élevage commence à se faire un nom et on ne peut que s’en réjouir. Le 14 juin 2025, ils seront lidié à Navas del Rey (Madrid) pour la première demi-finale de la Copa Chenel

__

____________

Philippe Gil Mir

Cliquez sur la photo ci-dessous pour voir la galerie de Philippe Gil Mir

© Philippe Gil Mir Utreros Ganadería Aurelio Hernando – Soto del Real 28-04-2025

Copa Chenel: Carlos Olsina brille à Algete

Algete (Madrid) Copa Chenel –

Toros de José Cruz (1º, 2º, 3º et 5º bis) et Martín Lorca (4º et 6º)

Rubén Pinar, silence et silence après avis;

Carlos Olsina, oreille et oreille;

Sergio Rodríguez, oreille après deux avis et oreille.

Très brillante prestation de Carlos Olsina à Algete dans cette phase finale de la Copa Chenel. Bien à ses deux passages, le Biterrois, très à son aise, a fait preuve de beaucoup de fermeté, de classe et de joie de toréer devant deux bons adversaires, bien présentés et sérieusement défendus de José Cruz. Le cinquième de Martin Lorca s’étant cassé la patte il dut remettre le couvert avec un toro de l’éleveur bilbaino comme sobrero. Ces deux opposants, le premier surtout, ont fait preuve de beaux quartiers de noblesse sur lesquels Carlos s’appuya pour triompher: toreo allègre, dominateur, classique dans sa forme. Bien conclue par deux entières, la seconde époustouflante et d’effet immédiat..

Ruben Pinar, moins heureux au sorteo, a fait preuve de l’officio qu’on lui connaît. Il sut calmer les ardeurs du premier de Martin Lorca (sorti en quatrième), toro violent qui avait envoyé bouler, avec pertes et fracas, la cavalerie. Faena engagée et solide mais conclue de manière calamiteuse à l’épée.

Sergio Rodriguez encore néophyte puisqu’il s’agissait là d’une de ses premières sorties comme matador a montré qu’il avait beaucoup de talent lui aussi. C’est une incontestable personnalité qui s’appuie sur un vrai courage. Il eut un lot difficile mais qui se laissait faire. Il en fit bon usage en en tirant le maximum à la muleta ne perdant jamais les papiers, avec des passages bien rythmés et élégants. Deux bonnes épées, la seconde spectaculaire en se jetant sur l’animal immobile.

Le qualifié n’est pas encore connu mais le match est serré entre lui et Carlos, ce qui n’enlève rien, en tout état de cause, au très bon moment du jeune Français que l’on verra bientôt avec plaisir à Aire-sur-l’Adour.

Pierre Vidal

Le Bolsin de Bougue est désormais une étape incontournable de la temporada du Sud-ouest. De nombreux maestros actuel ont foulés ce ruedo au cœur des Landes. Les organisateurs prévoient une compétition où les trois places pour la novillada de l’après-midi seront déterminées par un jury ainsi que par le vote du public.

Les novilleros se qualifient devant des vaches de la Ganaderia Camino de Santiago de Jean Louis Darré.

Public              : 4/10

Metéo             : Soleil et douceur

Cavalerie.     : Bonijol

Leo Pallatier                        ( Ecole Taurine El Yiyo Madrid)                :

Pablo Hernandez               ( Ecole Taurine Adour Aficion Cauna)  :

Javier Torres « Bombita » (Ecole Taurine Ubrique)                            :

Alvaro Briones             indépendant                                            :

Manuel Fuentes                  (Ecole Taurine du Pays de Arles)           :

David Gutierrez                    (Ecole Taurine de Badajoz)                     :

Fernando Vanegas              ( Ecole Taurine de Salamanque)            :

Matias                                      AFAP /El Toreo                                     :

Clovis Germain                     (Ecole Taurine de Beziers)                      :

Béziers: capea et gala taurin de la Feria off

Béziers, – Gala taurin.

Novillos de Jalabert, le dernier vuelta al ruedo. 

Carlos Olsina, oreille; 

Christian Parejo, oreille

 Clauzel, oreille. 

Deuxième volet de la Feria Off : une capea et un gala taurin réussis…

Un mot d’abord sur la météo qui malgré la menace d’orages, s’est avérée finalement printanière, pour ne pas dire estivale, seule une légère brise venant modérer les rayons du soleil sur le Plateau de Valras…

Pour la tarde, un millier de personnes ont assisté à un gala entretenu avec une particularité au préalable… En effet si les trois mousquetaires étaient quatre en réalité, à Béziers ce jour, ce fut l’effet contraire, puisque de quatre toros et toreros annoncés sur l’affiche, ils n’étaient finalement que… trois ! Il convient toutefois de préciser que cette modification a eu pour (bonne) cause, la qualification de Clovis à la finale de l’Alfarero de Plata de Villaseca de la Sagra qui était télévisée au même moment. Une fierté pour le jeune novillero et bien sûr pour son école de rattachement, à savoir celle de Béziers… Ceci étant précisé, sans trop entrer dans les détails, disons que les trois toreros ont été très motivés et si finalement ils sont repartis chacun avec une oreille dans leur escarcelle, cette égalité est assez représentative de leurs prestation. Face à du bétail de Jalabert qui à divers degrés a permis à chacun de s’exprimer, avec la palme au dernier qui a eu les honneurs de la vuelta, nous avons assisté de la part de chacun à de bons moments de toreo.

Carlos Olsina, au sortir des arènes, n’allait pas tarder à prendre la route pour les environs de Madrid puisque demain, il est attendu à Algete pour disputer le deuxième tour de la Copa Chenel. Ce festival aura donc constitué pour lui une excellente répétition générale ! Suerte, Charles… et pour ceux qui pensent suivre sa prestation en direct, je rappelle que ce sera retransmis par Telemadrid à 18h…

Christian Parejo poursuit sa préparation face aux futures échéances qui l’attendent et ce samedi, on a pu constater qu’il en a déjà dans les jarrets et… dans sa muleta ! Si on le retrouvera cet été dans cette même plaza, comme les deux autres d’ailleurs, le Chiclanero se produira notamment à Istres le 15 juin pour lidier les Puerto de San Lorenzo avec Perera et San Román…

Victor a lui aussi tiré son épingle du jeu, le novillero saintois affichant une torería déjà bien léchée et assurée. Et si son opposant était bon, il ne l’a pas moins été ! Cette temporada semble bien partie pour lui et après avoir récemment toréé à Arles, on le retrouvera dans pas mal de plazas régionales, comme Nîmes, bien sûr, mais encore… Béziers !

En matinée, avec du bétail de Buenaventure, 300 personnes avaient pris place sur les gradins pour assister aux prestations de trois élèves de l’école taurine locale, respectivement Pablo, Santi et Hugo, les « Niños Toreros ». Devant ce public composé pour la plupart de néophytes qui ne demandaient qu’à apprendre, il faut souligner l’initiative de l’empresa qui avait monté cette course gratuite. C’est aussi comme ça que l’on contribue à la transmission et au sortir de cette matinée, on a pu constater un indice de satisfaction plutôt élevé. Enhorabuena donc à l’organisation et à l’école taurine dirigée par Tomas Cerqueira qui a entouré ces apprentis toreros dans le ruedo.

 Pablo

Pour la petite histoire, ils n’ont pas ménagé leur peine, Pablo a obtenu deux oreilles, le mexicain Santi une puis deux avec le quatrième, et Hugo deux aussi. De quoi les encourager, même si le chemin est encore long.

Santi

Mais il faut un début à tout et ce genre de prestation ne peut que les encourager à aller de l’avant. Suerte et enhorabuena a todos !!!

Hugo

Paul Hermé http://torofiesta.com

Valdemoro: Copa Chenel trio a hombros

Valdemoro (Madrid)– Lleno de ‘no hay billetes’. Phases finales de la Copa Chenal.

Toros de Baltasar Ibán (3º, 4º y 5º) et Manuel Sanz, vuelta al ruedo le 2ème ‘Repudiado’, nº90 de Manuel Sanz, et ‘Provechoso’, nº38 de Baltasar Ibán.

 Daniel Crespo, oreille et oreille; 

Francisco Montero, deux oreilles après avis et ovation après avis

 Jorge Molina, deux oreilles et oreille.

Francisco Montero a reçu 8 point de suture au crâne après un pitonazo donné par le second toro.

Talamanca: novillo de vuelta de El Alamo

Talamanca del Jarama, Madrid- première demi-finale du Circuito de Novilladas de la Comunidad de Madrid

Novillos de Ángel Luis Peña Sánchez (3º, 4º , 5º) et El Álamo (1º, 2º , 6º). Le 5ème vuelta al ruedo. 

El Mene, ovation après avis et oreille; 

Álvaro Serrano, oreille et deux oreilles

Julio Méndez, oreille après avis et silence après deux avis.

AIRE: EDUARDO NEYRA: DE SOLIDES REFERENCES

Qui est Eduardo Neyra qui fera sa présentation en France par le biais de la substution ce jeudi à Aire ? Il représente la crème de la tauromachie mexicaine dont on ne louera jamais assez les qualités: variété, charisme et surtout courage.

Nom complet : Eduardo Fabián Neyra Cázares. 

Né le : 7 Février 2000 à Durango (Mexique). 

Débuts en novilladas piquées : 10 mars 2019 à Aguascalientes (Mexique). Novillos de Garambullo avec José Antonio Lavado, Pedro Bilbao, Rafael Díaz, José Alberto Ortega, Jorge Alejandro Esparza). 

Présentation à Madrid : 13 aout 2023. (novillos de Lopez Gibaja avec Diego Garcia et Jesus Moreno). 

Apoderado : Leandro Marcos et Manuel Alvarez Canorea. 

Escalafon mexicain 2024 : 47ème (6 novilladas, 9 oreilles).

Copa Chenel, Valdeiglesias: oreille pour Ruben Pinar

San Martín de Valdeiglesias, Madrid dernier tour des éliminations de la Copa Chenel

– Taureaux de Condessa de Sobral et José Luis Pereda pour

Rubén Pinar, oreille et silence après avertissement ;

José Ruiz Muñoz, tour d’honneur et trois avertissements ;
Alejandro Peñaranda, applaudissements après avertissement et silence après avertissement.

San Agustín del Guadalix, encerrona historique de Damian Castaño

San Agustín del Guadalix (Madrid). Dimanche 27, matinale. Plaza de Toros Antonio Ronda Ortiz. Troisième de la Feria del Aficionado. Lleno. 

Toros de Dolores Aguirre Ybarra.

Castaño único espada: ovation et saluts, silence, ovation et saluts, ovation et saluts, ovation et saluts et ovation de despedida après avis

Première fois qu’un torero s’enfermait avec un lot de Dolores Aguirre. Il a salué à la fin du paseo. 

Prix au varilarguero Javier Martín par  » 3 Puyazos » pour le tercio de piques au second toro

Sobresalientes les matadors Alberto Pozo et Francisco Montero.

Cuadra de caballos: Alain Bonijol

Picadors:

Héctor Piña ,Jean-Loup Aillet

Javier Martin, Adrián Majada

Gabin Réhabi, Luc Tosello 

Cliquez sur la photo ci-dessous pour voir la galerie de Philippe Gil Mir

© Philippe Gil Mir - San Agustín del Guadalix 27-04-2025 Vespertina Toros de Dolores Aguirre Ybarra para Damián Castaño como único espada

Page 16 sur 23

© 2025 Corridasi - Tous droits réservés