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La Cour de cassation donne raison à la ville de Bayonne : “une décision exceptionnelle”

Excellent professionnel du journalisme Paul Nicolaï relève sur le site de France Bleue Pays Basque les conséquences d’un récent arrêt de la cour de cassation qui va consolider la légitimité juridique de la tauromachie non seulement à Bayonne mais dans toute les régions taurines de France. Nous citons son “papier” in extenso:

“La SPA avait attaqué en justice la ville de Bayonne qui organise des corridas dans les arènes Lachepaillet, en raison du caractère cruel de la tauromachie. La Cour de cassation déclare la demande irrecevable au nom de la tradition locale.

Les arènes de Lachepaillet de Bayonne (illustration), 10.000 places assises, pendant une corrida
Les arènes de Lachepaillet de Bayonne (illustration), 10.000 places assises, pendant une corrida © Radio France – Stéphane Garcia

C’est un arrêt de la Cour de cassation, en date du 6 décembre 2022, qui donne raison aux partisans de la tauromachie à Bayonne contre la SPA. Elle confirme une décision d’appel à Pau et une décision de première instance à Bayonne. La Société protectrice des animaux attaquait la ville de Bayonne et sa capacité à organiser des corridas dans ses arènes, en raison “des sévices graves et des actes de cruautés envers les animaux”. La chambre criminelle de la Cour de cassation rejette la demande, les magistrats la jugeant irrecevable.

Tradition locale ininterrompue

Après le texte parlementaire du député insoumis de Paris, Aymeric Caron, pour interdire la corrida, voila une autre démarche des anti-taurins qui échoue. En novembre 2022, les propositions d’Aymeric Caron avaient été retirées des débats à l’Assemblée nationale au dernier moment. Cette fois-ci, la justice donne raison aux amateurs de fiesta brava. Dans son arrêt, la Cour précise la notion de “tradition locale ininterrompue, ancrée dans une localité et recueillant l’adhésion d’une part substantielle de la population”. Cette tradition préserve la ville de tout “chef du délit de sévices graves ou d’actes de cruauté envers les animaux”.

Nous avons aussi obtenu le point de vue d’André Viard le président de l’Office National des Cultures Taurines, animateur de L’Union des Villes Taurines de France dont les compétences juridiques font autorité:

Pour lui:  “Cette décision est exceptionnelle » et relève trois points très importants :

– Elle confirme que l’immunité légale accordée par l’article 521 – 1, alinéa 9 du code pénal à tous les acteurs de la corrida dans les régions de tradition locale couvre aussi bien leur responsabilité civile que leur responsabilité pénale.

Elle confirme la jurisprudence de la Chambre Civile de la Cour de Cassation sur la définition de la notion de tradition locale ininterrompue dont la persistance est constatée lorsqu’elle demeure partagée par un nombre suffisant de personnes, ce qui se déduit de l’affluence constatée aux arènes ou du nombre d’associations et d’activités culturelles liées à la tauromachie constaté localement.

La Chambre Criminelle a rejeté en outre une question prioritaire de constitutionnalité qui avait été liminairement déposée par la SPA, par laquelle celle-ci entendait faire juger par le Conseil Constitutionnel que le cumul de l’immunité pénale et de l’immunité civile revenait à priver la victime d’un dommage de la possibilité d’être indemnisée !

Communiqué de la FSTF

Jean Baptiste Jalabert entre au CA d’ANOET, l’organisation qui rassemble les organisateurs.

L’Association nationale des organisateurs de corridas (ANOET) a tenu une assemblée générale ce mercredi à Las Ventas au cours de laquelle de futurs projets ont été discutés et un nouveau conseil d’administration a été approuvé.

Le retour à la présidence d’ANOET de Plaza 1 au nom des arènes de Madrid a été acté, ainsi que la création d’une nouvelle vice-présidence pour répondre aux besoins et aux problèmes des places de troisième et quatrième catégorie que Carmelo García occupera. Les deux autres vice-présidents conservent leur poste : Ramón Valencia représentant les arènes de Séville et Óscar Martínez Labiano « Chopera » représentant Bilbao.

Ángel Bernal, Antonio Barrera et José Cutiño restent membres de l’équipe de direction ; et Alberto García et Nacho Lloret s’y réincorporent. Comme nouveauté, ANOET a décidé d’intégrer dans son conseil d’administration en tant que membre un représentant des postes professionnels français en la personne de Juan Bautista Jalabert. Jesús Hijosa, maire de Villaseca de la Sagra, a été intégré en raison de son lien avec le monde des novilladas. Le conseil d’administration est complété par l’homme d’affaires d’Estrémadure Joaquín Domínguez, nommé membre du conseil d’administration.

Lors de cette Assemblée générale, l’ANOET a non seulement procédé à une restructuration de son Conseil d’administration, mais également de son fonctionnement interne, approuvant la création de commissions ou de groupes de travail différenciés pour aborder les différents fronts dans lesquels elle intervient. Chaque bloc thématique aura un membre du conseil d’administration en tant que personne responsable qui traitera de cette question et informera le reste des gestionnaires.

Tous ces accords ont été adoptés à l’unanimité par les nombreux partenaires présents à l’assemblée, conscients de la nécessité d’innover et d’accorder une attention particulière aux problèmes rencontrés par les postes de troisième et quatrième catégorie du fait de la crise économique.

Représentation de « « Je ne me sens bien, au fond, que dans des lieux où je ne suis pas à ma place » à Tarascon

Très chers amis,

En ce début d’année, nous souhaitions vous présenter de tout coeur nos meilleurs voeux à l’occasion de cette nouvelle année 2023 ! Puisse-t-elle vous apporter bonheur, santé, amour, fraternité et prospérité.

Parmi les moments marquants de cette année à venir, nous aurons la joie immense de vous retrouver pour une représentation très spéciale de Je ne me sens bien, au fond, que dans des lieux où je ne suis pas à ma place. le :

VENDREDI 28 AVRIL 2023

à 20h30 au Théâtre de Tarascon (13)

Les places sont d’ores et déjà en vente en cliquant sur ce lien, par téléphone au 04 90 91 52 10, ou sur place, les mardis et mercredis de 9h à 12h et de 13h30 à 17h.

D’ici là, plein de douces choses pour vous, et encore TRÈS TRÈS BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2023 À TOUTES ET À TOUS !

L’ÉQUIPE DE PRODUCTION

En Espagne données positives sur le temporada 2022

L'Association Nationale des Organisateurs de Spectacles Taurins (ANOET) présente son rapport statistique pour la Saison 2022 en Espagne, une étude approfondie des spectacles taurins qui livre des données positives, notant une augmentation de 14% des spectacles taurins par rapport à la saison 2019, avant la pandémie.

En termes globaux, 197 festivités de plus qu'en 2019 ont eu lieu, le nombre de corridas augmentant de 25 %, les novilladas piquées de 22 % et les corridas de rejones de 9 %. Au total, 1 622 spectacles taurins se sont déroulés, un nombre qui n'avait pas été atteint depuis la saison 2015.

Le rapport montre que les corridas dominent le marché: 436 la saison dernière contre 278 novilladas piquées. Selon cette étude, septembre a été le mois avec la plus grande activité taurine et, en termes de communautés, Castilla La Mancha et Castilla León sont en tête. L'Andalousie est la province qui organise le plus de corridas (94) et Madrid le plus de novilladas (100). 

Il faut remonter à 2015 pour trouver un nombre équivalent de spectacles taurins en Espagne, ce qui est encourageant sans aucun doute.


Disparition d’Albert Taurel

Nous avons appris avec tristesse la disparition d’Alfred Taurel grand aficionado, défenseur acharné de la tauromachie en Catalogne. Un homme cultivé, fier de ses racines juives, admiré par de nombreux toreros célèbres. Nous gardons un grand souvenir de sa générosité et de sa simplicité. Qu’il repose en paix.

Séville avec Iris Event

Après la Semaine Sainte, nous sommes heureux de vous faire parvenir nos programmes pour la Feria de Séville 2023.

Nous vous proposons deux séjours de 4 jours 

  • du 21 au 25 Avril 2023
  • du 27 Avril au 1er Mai 2023

Chaque voyage aura son point d’orgue. 

Le premier week-end des Farolillos nous nous rendrons chez Luis Agarra en compagnie de Thomas Dufau. Nous ferons une visite authentiquement sévillane dans le quartier San Lorenzo, fief del Jesus del Gran Poder, le Seigneur de Séville et de la table très courue de El Eslava où nous déjeunerons.

Le second week-end est sûrement le point culminant de cette semaine. En effet, il nous est donné la chance de passer la Journée chez La Quinta. Malgré la pression envoyée par l’engagement à La Maestranza pour la première fois durant cette Feria de Séville, par amitié, Pepe et Alvaro Conradi ont accepté de nous recevoir. Une figura de la casa animera le tentadero.Réponse quelques jours avant selon les carteles.

Daniel Luque pourrait en être!

Avant cette exceptionnelle journée, nous irons à Mairena del Alcor visiter la sastreria taurine, atelier unique en son genre où se confectionnent les trajes de luces, capote de paseo…Visita muy taurina ! Puis déjeuner à La Venta Pazo de Sanlucar la Mayor.

Des programmes très tentants..avec toujours la possibilité de vous recevoir à la carte.

Bonne lecture !! Nous voulions déposer ces programmes au pied des sapins de Noël !! C’est chose faite.

Un fuerte abrazo,

Patrick CAUNA
Directeur 
IRIS EVENT

 

IRIS EVENT, spécialiste, l’émotion en plus.
Voyages sur mesure en Espagne et ailleurs…
Membre du Club des Experts de l’APST.

Agence Partenaire Viajes Baqueira-Beret

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N’imprimez ce message que si c’est vraiment nécessaire

LIVRES DE NOEL

Hommage aux trois grands toreros français : Nimeño II, Juan Bautista et Sébastien Castella dans un livre d’Antonio Arévalo qui vient de paraitre…

Un livre retraçant leurs parcours, les aléas de leur combat, dès leurs débuts comme novilleros jusqu’à leur triomphe comme matadors. Ces trois toreros ont permis à la tauromachie française de dépasser ses frontières et d’être reconnue dans toute la planète taurine. Dans ce livre, que j’ai coécrit avec mon père, vous trouverez de longs et, à mon avis, riches entretiens avec Jean-Baptiste et Sébastien, mais aussi avec Alain Montcouquiol qui évoque la tauromachie de son frère. Avec plus de 90 photos.

“50 raisons de défendre la corrida” un classique bien utile par les temps qui courent par Francis Wolff, philosophe, professeur émérite à l’École Normal Sup et auteur de “La Philosophie de la corrida”. Le meilleur argumentaire pour convaincre et défendre notre passion.

Après le décès du grand journaliste écrivain, Dominique Lapierre auteur entre autres bests sellers géniaux de “Ou tu porteras mon deuil” avec Larry Collins et le soutien actif du grand éditeur Robert Laffont qui a cru tout de suite au projet…. Il s’agit du livre taurin le plus lu au monde. C’est aussi son premier succès littéraire qui eut un retentissement mondial. Sans doute il aura beaucoup fait pour bâtir la légende du cinquième Calife de Cordoue “El Cordobes”, le torero le plus populaire de l’Histoire avec Manolete.

L’Union des Bibliophiles Taurins de France a publié le 19 novembre à l’occasion de son Assemblée Générale au Musée Taurin de Béziers son dernier livre ” L’habit de Lumières, un autre regard” écrit par Encarnacion San Nicolas sous le pseudo d’Inca Virgoarte. Une remarquable écrivaine, grande aficionada et une personne chaleureuse malheureusement disparue prématurément.

Le douzième numéro de la revue de l’association Mexico Aztecas y Toros vient de sortir avec des textes de Jean François Nevière, Jacques Lanfranchi, Jean Michel Dussol, Evelyne Lanfranchi, Pierre Vidal, Jesus Hernandez, Josette Avril, Robert Regal, Michel Marcos, Monica Baston Gomez, Robert Desclaux, Jean Luc Illhé et de la regrettée Inca Virgo Arte. Photos: galerie de portraits de toreros par Bertrand Caritey.

L’aventure intime de Patrick Varin, ce choix de vie original, que nous fait découvrir Yves Lebas, un de ses proches, président de l’Ecole taurine d’Arles, auteur de plusieurs ouvrages. Un livre qui lève le voile sur un des toreros qui a le plus compté dans l’histoire de la tauromachie française, un être sensible et secret. Un homme attachant, qui transmet désormais son expérience unique aux générations montantes.

Aînée d’une ancienne dynastie Camarguaise, Magali est la femme la plus courtisée de la région, n’en déplaise au comte Charles d’Embrussum, son père, qui ne reconnait jamais dans ces pauvres gardians le moindre gendre digne de la famille. En pays sacré Saintois, terres jusqu’ici réservées aux hommes, Magali lutte pour imposer son désir de liberté et faire reconnaître son amour pour le vent de Camargue. L’histoire tragique et romanesque de l’amour de Magali et des secrets d’une grande famille, dans les couleurs, les saisons, les taureaux et les chevaux de Camargue
Un Roméo et Juliette au pays des gardians.

Francis Wolf est, sans discussion, un philosophe reconnu dans le monde entier pour ses travaux et pour ses prises de position en faveur de la corrida et pour cela il a été durement attaqué… « Penseur », il n’a jamais cédé un pouce de terrain et l’agressivité manifestée à son égard ne l’a jamais fait céder un centimètre ni empêché de mener une brillante carrière d’universitaire ni  même de tenir son rang de grand intellectuel. Un exemple pour nous tous…

« Les voitures de fêtes votives n’ont pas la prétention d’être un objet sacré, par contre, de sacrés objets, ça, oui, elles le sont. Pendant huit, neuf, dix jours de bamboula villageoise en Petite Camargue elles passent de l’état de citrouille, mot où s’entend et se présage un avenir de rouille et de rouillé, à celui de carrosse, mais de carrosse bien roturier et passablement engrunè. »
Jacques Durand

Au milieu des années 1970, rompant avec le confort d’une vie bien réglée, mettant entre parenthèses une carrière prometteuse, Paul trentenaire curieux et sensible pénètre les terres rudes du Haut-Aragon, un des berceaux de ce que la nature a produit de plus noble. Derrière chaque pierre se cache l’âme de ses habitants. Des gens humbles, fiers et authentiques s’élèvent pour donner sens à leur existence. Sous la chape d’un franquisme agonisant, les mots s’entrechoquent, claquent, résonnent. Des évènements inattendus bouleverseront définitivement la vie de Paul.

Livres à trouver chez votre libraire préféré ou sur les plateformes dédiées.

Luque à Dax sur TVPI

Revivez la corrida historique de Daniel Luque face aux toros de La Quinta à Dax, en intégralité sur TVPI.

👉 Mardi 27 décembre à 19h
👉 Mercredi 28 décembre à 21h

“A gauche : l’urgence d’un retour au concret”

Lu dans le journal “L’Humanité” du 16 décembre dernier cette tribune éloquente sous la plume de l’éditeur et écrivain Jean Le Gall, un éclairage pertinent sur les raisons et conséquences de la proposition de loi Caron. Caron qui va déposer un nouveau projet de loi pour l’interdiction de la corrida dans le cadre de la niche parlementaire des Verts. Cela ne fait pas l’unanimité à gauche comme on le voit parfaitement dans cette tribune.

https://www.humanite.fr/en-debat/gauche/gauche-l-urgence-d-un-retour-au-concret-775169

“Depuis la réforme constitutionnelle de 2008, les groupes minoritaires à l’Assemblée nationale disposent d’une journée par mois au cours de laquelle ils décident seuls des textes à débattre à l’hémicycle. C’est ce qu’on appelle une « niche parlementaire ». Les oppositions trouvent l’occasion de présenter leurs priorités. Le 24 novembre, c’est au tour des députés insoumis de profiter de ce moment d’initiative législative. A la surprise générale, ils ont décidé de retirer de l’ordre du jour le projet de loi portant le salaire minimum à 1.600 euros net. Pourquoi cette dérogation ? Pour donner plus de visibilité à une autre de leurs propositions, celle-ci visait… l’« abolition » de la tauromachie.

D’où cette question : le combat social est-il devenu si accessoire à gauche qu’il puisse être sacrifié au profit d’une polémique, d’une contestation aussi ancienne que caricaturale ? Passons sur le fait que l’homme à l’origine de ce texte, M. Aymeric Caron, est député FI du 18ème arrondissement de Paris et qu’il semble discutable que les corridas soient l’urgence des habitants de la porte de la Chapelle. Passons également sur l’argument principal de la loi, à savoir la protection des animaux, dans la mesure où seuls les partisans de ce député semblent ignorer que la survie du « taureau de combat » dépend de la tauromachie – tout comme ils semblent négliger que les animaux concernés vivent dans des conditions très enviables à l’ère de l’agriculture intensive. Passons enfin au mépris en bande organisée qui permet d’évoquer sans complexe l’hypothèse de départements français en partie peuplés de « barbares ».

L’archaïsme de ces points de vue (sur la province, sur le Sud, sur le peuple) se parant de modernité, il a semblé à certains que la cause des taureaux l’emportait sur celle des ouvriers. Que le bien-être animal l’emporte sur le bien-être social. Et même cet anti-spécisme, qui définit l’humanisme comme un « suprémacisme » (!), pourrait s’accorder avec une notion plus large de progrès. C’est l’honneur de plusieurs élus du PS et du Parti communiste de ne pas avoir validé ce nouvel ordre des choses.

Dans ce pays, décidément, les difficultés que connaissent les « bas salaires » restent insoupçonnées. Cependant, le niveau d’alerte a été atteint. Et le déclassement de certaines catégories confirmé par tous les instituts. Ouvriers, agents d’entretien touchent le Smic avec vingt-cinq ans d’ancienneté. En 2022, 65 % des Français voient au moins une personne en situation de pauvreté – un bond de 10 points par rapport à 2021. Quant à l’écart de revenu entre les mieux payés et les moins bien traités, il augmente (beaucoup) plus vite que les températures. Enfin, d’un point de vue sociologique, les succès du hard-discount, des bons de réduction et l’explosion de toute une « économie du bricolage » devraient alerter ces élus en lévitation qui ont succombé au mythe de l’hédonisme urbain et du vélo pliant. à 1 500 euros. Certes, il serait idiot de résumer les moyens politiques à l’ancien levier du salaire minimum. Cela au moins se discute, se débat. Idéalement à l’Assemblée nationale ? Indispensablement à l’Assemblée nationale !”

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