Mois : avril 2023 Page 4 sur 13

Aguascalientes: blessure de Diego Silveti

Cinquième corrida de la Feria de San Marcos en la Plaza Monumental de Aguascalientes, 3/4 d’entrée (plus de 10 000 spectateurs).

Toros de La Estancia.

Diego Silveti: palmas et silence.
Fermín Espinosa “Armillita IV”: oreille et palmas.
Andrés Roca Rey: silence et sifflets.

Grave blessure de Diego Silveti ; deux trajectoires de 12 et 17 centimètres à la cuisse droite ce qui n’a pas empêché le torero de Guanajato de rester en piste et de tuer son second toro qui l’avait blessé.

La corrida cité à comparaître

Ecole Taurine d’Arles:

UN VOYAGE D’ETUDE… ¡«PARA EL RECUERDO»! … ET FORMATEUR

Soucieux de développer les relations entre Jaén et le Pays d’Arles et grâce à l’entremise de José Calabuig, le président de la Fédération des Peñas Taurines de la Province de Jaén, Lope Morales, a invité l’Ecole Taurine du Pays d’Arles et ses élèves les plus expérimentés à une rencontre autour du thème de la formation des toreros de demain.

C’est ainsi que Juan de MORENA, Andy MARTIN, MATIAS, LISARES, Amaury CADENAS et BAPTISTE ont pu participer, entre le 15 et 20 avril, à 4 tientas, dans des élevages aussi variés et emblématiques que SANCHO DAVILA sous la conduite du maestro Alberto LAMELAS, EL AÑADIO de Maria Jesús Gualda, LOS PALANCARES ou MORAGON tenu par le maestro José Carlos VENEGAS

A la découverte d’une région de toros et d’oliviers, où la beauté des paysages le dispute à celle de villes aussi riches architecturalement que Ubeda ou Grenade, les élèves ont pu approfondir leur approche culturelle et artistique de la tauromachie, enchaînant tientas, entraînements et visites.

Ils ont aussi pu goûter à l’ambiance joyeuse des Arènes de Grenade lors du Festival en solidarité avec les personnes affectées par le syndrome de Down et aux tauromachies vives, artistiques, subtiles ou savantes du Fandi et de S. Castella, J.M. Manzanares, Cayetano, P. Aguado, M. Roman ou Marco Pérez.

De leur côté, en bons ambassadeurs de la ville d’ARLES, ils ont montré à nos amis andalous l’intensité de leur aficion et la valeur de leur formation sous la conduite du maestro Mehdi SAVALLI et de Graziella BORTOLIN.

Belle illustration de l’attachement du Pays d’Arles à la culture taurine, et excellente préparation aux prochains rendez-vous de l’école. Première illustration, la Novillada Sans Picador organisée le samedi 22 avril par LA ÚNICA dans le cadre de sa Feria de Saint-Martin-de-Crau et en partenariat avec l’Ecole Taurine du Pays d’Arles, la Fédération des Eleveurs Français de Toros de Combat et l’ACCM. En coupant les deux oreilles de son excellent novillo de François André et en remportant sans discussion le trophée décerné par LA ÚNICA lors de sa première Novillada Sans Picador, Andy MARTIN en a fait l’heureuse démonstration.

Séville: Nouvelle porte del principe pour Guillermo HERMOSO DE MENDOZA




Quasi lleno de no hay billetes pour cette première corrida de rejon de la féria de SEVILLE. Six exemplaires de SAN PELAYA  et CAPEA donnant du jeu les trois premiers, mansos le quatre bis, cinq et six. pour :

Rui FERNANDEZ salut et salut au centre

Diego VENTURA salut et silence après deux avis

Guillermo HERMOSO DE MENDOZA une oreille et deux oreilles

JY Blouin



Le cavalier portugais Rui Fernandez est passé à côté de son passage à la Real Maestranza. Certes excellent cavalier il a démontré tout son art devant ses opposants le premier un bon toro noble et brave auquel il a cloué pléthore de banderilles courte et longues et quelques roses quasiment tout à étrier passé. Certes la mise à mort fût bien exécutée et rapide mais l’ensemble plutôt convenu ne déchaîna pas les foules et il se contenta d’un salut aprés une faible pétition.
Son deuxième adversaire se casse la corne gauche à la sortie du toril et le sobrero est un manso de gala distrait et querencioso qui ne permettrait de briller qu’en prenant des risques auxquels Rui Fernandez ne s’expose pas. Pourtant il ne réduit pas le nombre de banderilles et permet juste de montrer le savoir-faire de son écurie. Le rejon de mort est fulgurant mais li devra se contenter de saluer au centre.

JY Blouin


Diego VENTURA faisait son grand retour dans les arènes de Séville et malheureusement pour lui les choses ne se sont pas passées comme il l’avait sûrement espéré.
Son premier toro est un bon toro disposant de toutes les qualités nécessaires pour un bon rejoneo. Le cavalier de La Puebla del Rio ne s’en prive pas et fait montre de tout son art ses montures sont parfaites et c’est un régal de toreo à cheval qui nous est offert. Les changements de terrain templés se suivent avec bonheur les banderilles sont posées au milimétre. Tout va se gâcher à la mise à mort cinq pinchazo font s’envoler toute vélléité de trophées même si le descabalo parfait à cheval est inédit.
Diego prendra tous les risques à son second un autre manso. Là aussi il fait montre de tout son savoir torero en prenant les risques maximums par l’interieur. son actuation est de grande valeur devant un toro difficile réfugie en permanence vers les planches. ai là aussi la mise à mort le privera de tout trophée certes le rejon est entier au premier essai mais contraire et en arrière Diego Ventura le voit efficace et attend avant de prendre le verdugo, le toro attendra le second avis avant d’enfin plier les genoux.


“Aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années” ce vers du cid de Corneille s’applique parfaitement à Guillermo HERMOSO DE MENDOZA. Le digne fils de Pablo a ouvert ce soir pour la troisième fois la porte du Prince de la real Maestranza. Son premier adversaire a du jeu et il sait l’économiser. Les deux premières banderilles sont posées en avant des étriers citant bien de face, avec sa monture suivante il cloue les cornes dans le poitrail de l’animal. Nouveau changement de monture pour poser deux roses et une paire de banderilles courtes à deux mains au millimètre. Vous avez bien compté trois paires et deux roses le nombre réglementaire est respecté. C’est souvent dans la sobriété que nait la profondeur de l’art. Le réjon de mort est fulgurant une oreille chaleureusement fêtée tombe du palco.

Son second adversaire est lui aussi manso mais le jeune rejoneador saura prendre les risques necessaires pour en venir à bout et même l’améliorer. Guillermo tore au fil des planches son cheval à juste la place de passer mais peu a peu le toro se décolle un peu et permet une grande paire à deux mains le réjon de mort est fulgurant et la pétition est forte, Macarena De Pablo Romero qui préside accorde rapidement la première oreille et finit par céder à la pression pour la seconde.

En fin de compte une corrida de rejon intéressante même si elle ne sera pas impérissable espérons seulement que dans quinze jour Diego Ventura au plus de chance aux aciers pour ses six toros de JEREZ où, sous l’impulsion des fréres Peralta et de Don Alvaro Domecq est né ce type de spectacle entièrement réservé aux cavaliers.

Jean Dupin

Guijuelo, soirée triomphale

Plaza de toros de Guijuelo. Lleno de no hay billetes.

Toros de El Capea, de bon jeu en général. Le second, ‘Veterano’, vuelta al ruedo. 

Morante de la Puebla, oreille et deux oreilles; 

Emilio de Justo, oreille et oreille; 

Manuel Diosleguarde, qui relavit d’une grave blessure deux oreilles et oreille

Plaza de toros de la Misericordia (Zaragoza).  Près de 1/2 arène.. Deuxième corrida de la Feria de San Jorge.

Toros de Valdefresno, le premier comme sobrero, bien présentés mais de peu de jeu sauf le 3ème.

EL FANDI, silence et silence après avis

MIGUEL ÁNGEL PERERA, silence après avis et silence

DANIEL LUQUE, oreille après avis et silence.

OVILLADAS CON PICADORES

Talamanca del Jarama (Madrid). Novillos de Guadalest. Curro Márquez, silence et silence; José Antonio Valencia, oreille et oreille.

Gros succès de Juan Leal à Casarrubios del Monte

Plaza de toros de la Casarrubios del Monte (Toledo). 1/2 entrée.

Toros de El Montecillo, le quatrième vuelta al ruedo. 

FOTOGRAFÍA TOROS PALTOREO

JUAN LEAL,  deux oreilles et deux oreilles. 

ÁNGEL TÉLLEZ, oreille après avis et oreille. 

FRANCISCO DE MANUEL, silence après avis et oreille 

Madrid bonne novillada de Guadaira

Plaza de toros de Las Ventas de Madrid. Dimanche un quart de plaza.

Novillos de Guadaira de bonnes notes en général le sixième le meilleur

• CURRO DURÁN, silencio tras aviso y silencio

ALEJANDRO MORA, silence et vuelta al ruedo

spectacualaire susto de Miguel Andrades

MIGUEL ANDRADES, silence et ovation

Saint-Martin de Crau: Andy Martin débuts en fanfare

am22pk

Triomphe d’Andy Martin qui a obtenu les deux oreilles d’un eral de vuelta de François André…Un tiers d’arène environ. Beau temps. Quatre erales de François André, manso le premier, meilleurs les autres à divers titres, notamment le quatrième qui a été gratifié de la vuelta posthume.Miguel Núñez de Molina : saluts.Juan Alberto Torrijos : oreille.Juan de Morena : saluts.Andy Martin : deux oreilles.

ndm22h

Miguel Núñez de Molina (El Puerto) n’a pas été le plus heureux au sorteo, son adversaire lorgnant davantage les planches que la panse de sa muleta. Il fit par la suite ce qu’il put, avec au passage quelques muletazos valeureux, mais relation de cause à effet, sans pouvoir aller totalement au bout de ses intentions.
ja torrijos22h

Juan Alberto Torrijos (Valencia), venu remplacer Alberto Donnaire initialement prévu, afficha de réelles capacités capoteras. Faena brindée à l’assistance au cours de laquelle le Valencian, dans un ensemble de bon concept, quoiqu’un peu inégal, étala un bon maniement de la muleta. Oreille méritée.
jdm22h
Juan de Morena (ETP Arles) reçut le troisième a portagayola et après un quite réussi d’Andy, il brinda au public une faena démarrée en donnant la distance, puis méritoire mais quelque peu inégale dans sa réalisation, en tout cas visiblement non dénuée d’envie.am22h
Andy Martin (ETP Arles) y alla aussi d’une portagayola puis d’une larga arrodillada, manifestant d’emblée sa décision lors d’une faena enlevée, brindée à Fabien Castellani, face il est vrai à un novillo remarqué pour la qualité de ses embestidas. Deux épées, la première tombée, libérant deux trophées. Un peu plus tard, lui sera remis en piste le prix de la Unica. Un épilogue encourageant pour une première en costume de lumières, non ? 
Paul Hermé torofiesta.com

Artafe, deuxième demie-finale des novilladas d’Andalousie





Un petit quart d’arène à ATARFE pour cette deuxième demie-finale des novilladas piquées de la fondation TORO DE LIDIA
Trois novillos de JIMENEZ PASQUAU et trois de AVE MARIA, bien présentés donnant tous du jeu pour :

EL MELLI une oreille et une oreilleie

Victor BAROSO une oreille et silence après avis


Ismael MARTIN deux oreilles et une oreille


El MELLI le plus capé des novilleros du jour accueille son premier par véroniques un peu génées par l’ardeur du novillo qui perdra un peu de son feu dans une mono-pique symbolique. Le tiers de banderilles permet de découvrir Héloy HILARIO dans sa nouvelle profession de banderillero, sérieux tant aux banderilles qu’à la brega, un bon début pour le jeune sanluqueno. A la muleta, El MELLI déroule une faena bien huilée dans son registre habituel d’adornos et desplantes en prenant le public à témoin et cela porte sur le conclave. le novillo un peu faible mais d’une grande bonté lui permet d’exploiter ce registre manquant toutefois de profondeur. L’estocade entière est pour le moins desprendida et tendida le public réclame et obtient sa première oreille mais la présidente ne se laisse pas attendrir pour la seconde.

A son deuxième le pupille de Carmelo GARCIA est bien décidé à triompher l’entame au capote trois vérodiques à genoux, trois véroniques et trois chicuelinas montre l’envie. Le quite par véroniques est parfait le novillo d’AVE MARIA est excellent. Après avoir brindé à sa grand-mère, le MELLI entame au centre à genoux, derechazos et changées dans le dos s’enchaînent dans un bouquet de passes ornementales. Le novillo est magnifique mais ici encore la profondeur manque même si l’esthétisme est de mise tant à droite qu’à gauche où le novillero nous sert une belle série de naturelles. A l’heure de la mort les choses se gâtent trois pinchazo et une entière desprendida le privent des trophées maximum qu’il aurait espéré une oreille lui permet toutefois de sortir à hombros.


Victor BAROSO  qui doit sa place dans cette demi-finale au forfait sur blessure du titulaire est bien décidé lui aussi à prouver qu’il n’est pas là par hasard et c’est à genoux par une larga afarolada qu’il accueille son premier son capotazo est d’une grande élégance. Le superbe exemplaire de l’AVE MARIA met les reins au cheval l’animal est brave et noble. Victor donne un trés bon quite par chicuelinas. La faena brindée “aux deux femmes de sa vie” sa mère et sa grand-mére commence sur les chapeaux de roue à genoux au centre du ruedo. Le novillo permet beaucoup mais on sent un peu de nervosité chez le novillero, l’envie de bien faire certainement. Peu à peu BAROSO met de l’ordre et enchaine de bonnes séries avant de conclure par les traditionnelles inversées, une série de manoletinas et  une belle passe de poitrine. Un pinchazo et une entière en place portée avec sincérité lui font octroyer un pavillon malgré une faible pétition : l’autobus du PUERTO DE SANTA MARIA  ne devait pas être aussi plein que celui de Sanlucar.

Les choses se gâtent à son deuxième toro Victor subit coup sur coup deux voltereta au capote suite à deux erreurs de placement, la seconde laisse craindre le pire pour les cervicales du jeune homme. C’est un peu groggy qu’il prend la muleta et la faena s’en ressent malgré  les qualités du novillo. Le triomphe ne sera pas pour aujourd’hui la mise à mort est laborieuse et le toro tombe après un avis et trois descabellos.


Ismael MARTIN, le jeune salmantino n’est pas venu faire de la figuration face à ses deux concurrents gaditanos. C’est encore un beau novillo de Jiemez Pasquau qui sort brave à la pique après une entrée par véroniques templées, bon quite par chicuelinas.Ismael banderille tous ces toros il le fait avec plus ou moins de bonheur mais à le mérite de le faire souvent avec élégance et toujours avec sincérité. Il est toujours agréable de voir un jeune novillero pratiquer cet art des banderilles trop souvent délaissé par ses jeunes confrères. La fena, brindée à RUIZ MIGUEL  est agréable mais le novillo s’avére rapidement un peu faible qoique tres noble,  cela s’avère dommageable pour la transmission même si les muletazos sont élégants et bien dessinés .Une trés bonne estocade en place et bien portée fait dégringoler deux oreilles du palco présidentiel.
Son deuxième adversaire noblissime avait tout pour doubler la mise l’entrée en matière par véronique le laisse augurer. Les passes s’enchainent des deux mains mais la deuxième partie est laborieuse. La suerte suprême sera elle compliquée un pinchazo trois quart de lames tombés et un descabello permettent toutes fois l’octroi d’un pavillon à la vox populi.

Ismael MARTIN sera le triomphateur de cette novillada dont les plus grands vainqueurs sont certainement une fois de plus les deux ganaderos.

Jean Dupin

LABRADOR AU PARADIS DES TOROS ET JUAN DEL ALAMO PAR LA PORTE DU PRINCE DE
SAN MARTIN DE VALDEIGLESIAS

San Martín de Valdeiglesias (Madrid) – Copa Chenel- 1/2 entrée.

Toros de Castillejo de Huebra et Salvador Gavira García pour 

Juan del Álamo, oreille et deux oreilles; 

Mario Palacios, oreille et ovation; 

Juan Pedro García ‘Calerito’, ovation et oreille (nous y reviendrons demain).

San Martin de Valdeiglesias est une charmante commune située à l’ouest de Madrid, à 10
minutes en voiture des fameux toros de Guisando. Est-ce la proximité de ces toros de granit qui a inspiré Labrador de la ganaderia de Castillejo de Huebra, 4° toro de l’après-midi, pour donner un jeu magnifique de toro-toro ? Une taille impressionnante, un poids conséquent, des armures magnifiques, Labrador n’aurait pas dépareillé un lot pour la prochaine San Isidro. Du Murube pur race.
Une sortie pleine d’allant, deux piques poussées, une troisième n’aurait pas été de trop, une charge franche sur les banderilleros, tout était en place pour un engagement répétitif, puissant et allègre dans la muleta, beaucoup de transmission donc jusqu’à une mort digne de toro brave.
Dans beaucoup d’arènes Labrador aurait été gracié, mode affligeante, ici, en Castille, il eut l’honneur d’un tour d’honneur posthume, et ce fut bien, et ce fut beau.
Les grands toros ne se mesurent pas à leur noblesse, ils se mesurent à leur bravoure. Mais l’on sait bien que pour « voir » un grand toro il faut un grand torero, ce fut bien le cas hier.
Juan del Alamo est un grand torero dont on se demande ce qu’il fait à galérer dans cette Copa Chenel, très intéressante par ailleurs, alors qu’il devrait être à Séville en train de toréer du sang Domecq. Une taureaumachie pure, sans fioriture, dominatrice, franche, Salmantine en quelque sorte.
Je reprends mes notes, prises en direct :
« Brindis au public, une série droitière bien liée, une autre série, musique, cite lointain de la main droite, le toro répond, des naturelles engagées, reprise de la main droite pour un cite « Rinconien », un autre site de loin, reprise de la main gauche de trois quart face, trois naturelles centrées, va chercher l’épée, Molinetes, grande épée qui résulte un peu sur le côté, deux oreilles et vuelta du toro. Les grands toreros ne se mesurent pas au nombre de passes données, ils se mesurent à la qualité de chaque passe.
EXIR

Cette deuxième demie finale  a démontré qu’il existe des toros puissants, armés astifinos , qui ont donné du fil à retordre aux matadors en lice.Bien plus intéressants que les Cuvillo d’avant hier à Séville, par exemple.

Car on a bien senti la compétition qui se jouait là et , tout particulièrement pour Juan del Alamo qui tente un retour au premier plan.

Il a dû batailler, et de la plus belle des manières ,avec son second toro, haut, violent, allant à mas,,astiveleto, dans une faena où  Juan a eu à cœur de montrer l’étendue de son répertoire. DEUX OREILLES DANS LA LIESSE GENERALE

Et comme il avait  coupé une oreille méritée à son premier on a déjà, c’est évident, le nom du deuxième de la terna finale, et ce sera Juan del Alamo.

Ainsi les choses se précisent, Borja Jimenez et Juan del Alamo… et le dernier? Nous le saurons la semaine prochaine où s’affronteront Isaac Fonseca , Fernando Plaza et Manuel Perera.

Isaac Fonseca vendra cher sa peau, soyez en sûr.

Jean François Neviere

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